J'ai 43 ans et je vis à Brooklyn, New York. Dans la vie, je suis chef de chantier et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma poisse, je suis divorcé et je le vis plutôt bien parce que j'ai rencontré une femme qui a tout pour plaire.
Nolan n’avait qu’un souhait : Devenir architecte. Il passait la majeure partie de son temps entre le lycée et les chantiers sur lesquels travaillaient son oncle. Chaque dollar durement gagné était mis de côté pour l’université. Mais le destin en décida autrement… Il fut projeté soudainement dans une autre vie lorsque son père tomba gravement malade, engendrant des frais médicaux insurmontables pour sa mère. Pour la soulager financièrement, il s’engagea donc dans l’armée et envoya la majeure partie de son salaire à cette dernière. Après avoir passé les trois-quarts de son temps au front, et son contrat enfin terminé, Nolan revint au pays. Il s’autorisa un temps de recul pour s’adapter de nouveau à la vie civile et retourna travailler pour son oncle. Ce qui aurait dû être une solution de quelques mois, dura davantage de temps. Nolan rencontra sa première femme, acheta sa première maison, et eut son premier divorce. Il se remaria une seconde fois, eut un enfant, et divorça une fois encore. Au fil des tumultes de son existence, son rêve de devenir architecte disparu, ne lui laissant que d’autres choix que d’évoluer autrement, et cela, jusqu’à devenir chef de chantier. Exécutant les ordres des hommes et des femmes qu’il aurait pu être dans une autre vie…
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Le chantier était enfin terminé. Le projet de Maggie avait finalement pris forme après dix mois de travaux, mais pas seulement. Ce bâtiment avait assisté à leur rencontre, à leurs prises de têtes, leurs réconciliations, à la séparation de Maggie et David, ainsi que le début de leur relation. Ce projet n’avait pas été uniquement un tournant dans la carrière de Maggie, mais il avait été un tournant dans leurs vies personnelles à tous les deux. Nolan était donc sentimentalement attaché à ce bâtiment et était presque nostalgique de le voir bientôt aux mains de ses propriétaires « Je suis aussi ravi de pouvoir lui donner tort dans le fait que je ne suis qu’une tête de con avec ceux qui me cherchent » en souriant fièrement à la jeune femme blottit dans ses bras. Mais bientôt, ils auraient leur cabinet. Encore quelques mois de patience, le temps que Nolan soit diplômé. Il appréhendait la rentrée universitaire, mais il avait encore quelques semaines pour s’y préparer mentalement. Pour le moment, Nolan voulait seulement profiter de l’instant présent « Merci » alors que la jolie rousse complimenta sa tenue.
« J’espérais t’entendre dire cela » parce que le chef de chantier était en manque de la présence de Maggie qu’il ne voyait que trop rarement à son goût en raison de leurs emplois du temps surchargés, et il souhaitait donc profiter de cette dernière le plus possible. En ce qui concernait le pyjama, il lui confia qu’elle n’en aurait pas besoin ce soir, et sourit en entendant la réponse de cette dernière qui semblait en accord avec le programme de cette nuit. Il l’embrassa donc sa peau, alors que ses doigts commencèrent à descendre la fermeture éclaire de la robe de la jeune femme, jusqu’à ce qu’elle s’y oppose. Il se recula pour croiser le regard de cette dernière et se mit à sourire tout en acquiesçant « Je comprends ». Après tout, elle appréhendait déjà leur première fois, alors l’idée de le faire ici-même, en extérieur, ne devait pas vraiment rassurer sa petite-amie. Il posa sa main sur sa joue avec douceur « On attendra d’être rentrés » et embrassa avec douceur les lèvres de Maggie qui agrippa son haut, trahissant son envie « On termine au moins les coupes de champagne, et on pourrait diner à la maison. De toute manière, ça doit être froid et j’ai un micro-onde qui fait des merveilles ». Ils finirent donc leurs coupes de champagnes et Nolan glissa sa main dans celle de la jeune femme, faisant la visite de l’immeuble en sens inverse jusqu’à l’extérieur.
« Il faut que je mette un écriteau pour mes voisins, qu’on puisse faire la grasse matinée demain matin » alors qu’il glissa la clef dans la porte non sans rire, alors qu’il tourna la tête vers Maggie. Il poussa la porte et la laissa entrer en première, et prit soin de refermer derrière lui. Nolan posa ensuite le sac du traiteur chinois sur le comptoir, retira sa veste en cuir qu’il déposa sur le porte-manteau et leva les yeux sur la jeune femme « Tu sais, on peut attendre encore si tu le souhaites » alors qu’il sorti les boites du traiteur pour verser le tout dans une assiette qu’il rangea dans le micro-onde. Le temps que ce dernier ne tourne, il s’approcha de Maggie, entoura sa taille de ses bras et l’embrassa avec douceur « Je peux attendre. Et si tu as besoin de pyjama pour cette nuit, j’ai des t-shirts qui t’iront à ravir » en se mettant à sourire avec amusement, laissant apparaître ses fossettes. Un baiser sur sa joue lorsque le micro-onde sonna et se détacha de la jeune femme pour récupérer le dîner de ce soir, ainsi que les couverts « Tu veux regarder quel film ? » tout en revenant dans le salon, les mains chargées et déposa l’assiette sur la table « On pourrait regarder la suite de Pitch Perfect ? ».
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Mer 13 Oct - 9:10
Margaret Hall
J'ai 35 ans. Je vis à New York - Brooklyn, États-Unis. Dans la vie, je suis architecte et décoratrice d'intérieure et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis fiancée et je le vis plutôt bien.
Enfant, Maggie passait son temps à aménager à ses poupées des maisons de rêves. Elle adorait ça. Bonne en dessin, pas trop mauvaise en math, c’est tout naturellement qu’elle a choisi de devenir architecte et de compléter son diplôme par une formation en tant que décoratrice d’intérieur. Dans ses rêves de jeune femme, elle était ainsi capable de proposer un projet à ses clients qu’elle pouvait mener de bout en bout. Mais lorsqu’on est une femme dans un milieu d’homme, ça n’est jamais évident de trouver sa place, encore moins de se faire sa place. Sa rencontre avec Nolan Campbell fut comme une bouffée d'oxygène dans sa vie. Ils n'ont rien commandé, ça leur ait tombé dessus. Un lien unique et plus fort que leur volonté est né, les poussant l'un vers l'autre. Aujourd'hui, Maggie a décidé d'annuler son futur mariage.
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« -oui enfin s’il apprends qu’on est ensemble, c’est possible qu’il s’imagine que je ne suis qu’une faible petite femme sur laquelle tu as abusé de tes charmes pour faire ce que tu voulais sur mon chantier ! » un sourire en coin. En vérité, ce que son patron pouvait penser l’importait peu. Parce qu’elle avait dans la tête tout un tas de projet, dont celui de monter un cabinet d’architecture avec Nolan. Bientôt elle ne serait plus obligé de travailler pour cet homme. Bientôt à nouveau bien des changements allaient arriver dans sa vie. Et c’était grisant. Un peu effrayant aussi mais elle préférait ne pas penser de cette façon.
Depuis qu’ils étaient ensemble, ils avaient toujours été dérangé ou interrompu lorsque l’envie de l’autre était présente. Mais ce soir, alors qu’ils étaient seuls sur cette terrasse, Maggie se sentait incapable de répondre à cette envie. Pas ici. Pourtant elle le voulait lui, elle avait vraiment envie de franchir le pas. Alors en restant sur cette franchir entre eux, elle préféra lui dire, plutôt que de gâcher ce moment plus encore. Soulagement lorsqu’il avoua comprendre. « -merci... » souffla Maggie qui se sentait un peu bête, encore une fois l’adolescente prenant un peu le dessus sur la femme de plus de 35ans. Un hochement de tête : « -d’accord... » accompagné d’un petit sourire timide et désolée à la fois. Il s’était peut être imaginé une nuit exceptionnelle sous le ciel étoilé. Maggie ferma les yeux en terminant sa coupe de champagne, regardant une dernière fois le vitrail qu’elle aimait tant, se disant qu’encore une fois, elle avait du mal à savoir exactement si Nolan se forçait à comprendre ou à lui prendre son temps avec elle. Et puis un des ampoules des guirlandes se reflétât dans un carreaux rouge du vitrail. Elle sourit en y voyant la couleur des poivrons. Sa coupe terminée, elle glissa sa main dans celle de Nolan pour rentrer chez lui. « -si jamais ça frappe, c’est moi qui irait voir. » ce qui laissait sous entendre, qu’ainsi la voisine ne reviendrait pas. Elle posa son sac à main et retira sa veste tout en détaillant Nolan du regard. Maggie se détourna pour accrocher sa veste lorsqu’il proposa d’attendre encore. Rien que d’en parler ainsi, ça lui mettait la pression. Alors face au porte manteau elle ferma les yeux quelques instants. Lâcher prise. Arrêter de trop penser. C’était Nolan. C’était avec lui qu’elle voulait être. Il avait déjà été plus que rassurant. Et puis mince à la fin, ça n’était pas sa première fois ! Elle se retourna dans l’intention de le rejoindre dans la cuisine, mais il était juste à côté d’elle. Alors elle souffla : « -si jamais j’ai froid… je te le dirais... » avec une petite moue du bout des lèvres et un léger haussement d’épaules.
Maggie le suivit du regard, ne le quitta pas des yeux alors qu’il s’occupait du repas dont elle n’avait pas la moindre envie pour le moment. Elle s’approcha sans répondre, toujours sans le quitter des yeux. « -j’ai pas faim. Et je veux pas regarder de film. » elle agrippa le bas du tshirt de Nolan, et avec lenteur le fit remonter jusqu’à lui retirer. Elle caressa son torse, sentant son propre coeur prendre déjà de la vitesse. « -j’ai pas envie qu’on attende encore... » puis ses yeux passèrent de ceux de Nolan à ses lèvres et approcha ses lèvres pour l’embrasser. Ici elle se sentait en sécurité, un peu plus dans son élément. Et comme elle l’avait dit, elle ne voulait plus attendre. Parce que l’envie était là, bien présente, puissante.
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Mer 13 Oct - 15:23
Nolan Campbell
J'ai 43 ans et je vis à Brooklyn, New York. Dans la vie, je suis chef de chantier et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma poisse, je suis divorcé et je le vis plutôt bien parce que j'ai rencontré une femme qui a tout pour plaire.
Nolan n’avait qu’un souhait : Devenir architecte. Il passait la majeure partie de son temps entre le lycée et les chantiers sur lesquels travaillaient son oncle. Chaque dollar durement gagné était mis de côté pour l’université. Mais le destin en décida autrement… Il fut projeté soudainement dans une autre vie lorsque son père tomba gravement malade, engendrant des frais médicaux insurmontables pour sa mère. Pour la soulager financièrement, il s’engagea donc dans l’armée et envoya la majeure partie de son salaire à cette dernière. Après avoir passé les trois-quarts de son temps au front, et son contrat enfin terminé, Nolan revint au pays. Il s’autorisa un temps de recul pour s’adapter de nouveau à la vie civile et retourna travailler pour son oncle. Ce qui aurait dû être une solution de quelques mois, dura davantage de temps. Nolan rencontra sa première femme, acheta sa première maison, et eut son premier divorce. Il se remaria une seconde fois, eut un enfant, et divorça une fois encore. Au fil des tumultes de son existence, son rêve de devenir architecte disparu, ne lui laissant que d’autres choix que d’évoluer autrement, et cela, jusqu’à devenir chef de chantier. Exécutant les ordres des hommes et des femmes qu’il aurait pu être dans une autre vie…
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Nolan comprenait le choix de Maggie de ne pas faire l’amour sur la terrasse. Pas pour leur première fois. Après tout, elle appréhendait sûrement déjà assez comme ça pour ne pas devoir s’interroger sur le vis-à-vis des voisins ou tout autre chose qui pourrait lui occuper l’esprit au lieu de profiter du moment présent. Alors ils rentrèrent à l’appartement de Nolan qui se mit à rire doucement « Hum… Sexy » en voyant que la jeune femme voulait s’imposer, surtout face à la voisine du dessus qui avait le béguin pour lui. Cette petite jalousie qui perçait de temps en temps chez la jeune femme charmait Nolan. Un petit silence et le quarantenaire repensa à leur conversation sur le toit quelques minutes auparavant et il décida de faire comprendre à la jeune femme qu’il pourrait attendre. Ça ne serait pas simple parce qu’il avait réellement envie d’elle, d’aller plus loin que les précédentes fois où ils avaient été dérangés. De la découvrir dans l’intimité. Mais il pourrait attendre, parce que c’était elle et qui tenait à elle. Il lui proposa notamment de quoi se vêtir cette nuit pour ne pas se tenter mutuellement, mais la réponse de cette dernière le laissa perplexe, et souffla un « D’accord » ne sachant pas comment comprendre la réponse de cette dernière, s’occupant plutôt de réchauffer le dîner qu’il apporta sur la table.
« Tu as pris froid ? » mais il eut rapidement sa réponse quand Maggie lui retira son haut et frissonna sous le contact de ses mains alors que son cœur battait à tout rompt dans sa poitrine « Tes désirs sont des ordres » et lui rendit son baiser avec douceur, puis l’approfondi, trahissant l’envie, le désir qu’il éprouvait. Le chef de chantier lui retira sa robe tout en douceur, puis caressa sa peau, sa taille, et descendit lentement jusqu’à ses cuisses, la soulevant du sol pour la conduire jusqu’au lit, et cela, sans détacher ses lèvres des siennes. Il la posa délicatement sur lit, posant ses hanches contre les siennes « J’ai le cœur qui va exploser » en souriant et reprit possession de ses lèvres alors que ses mains lui retiraient son soutien-gorge, libérant ainsi sa poitrine. Les lèvres de l’ouvrier quittèrent celle de son amante pour laissait sa langue glisser sur sa peau, s’arrêtant sur sa poitrine un moment et continua son chemin jusqu’à son bas ventre et glissa lentement la dernière barrière de sa féminité le long de ses jambes avec lenteur, tout en profitant du spectacle que lui offrait Maggie, entièrement nue sur le lit. Il laissa tomber le sous-vêtement de cette dernière tomber au sol et sans la quitter des yeux, retira son jean et son boxer. Nolan la dévorait littéralement du regard en cet instant. Il revint vers elle avec lenteur, embrassant sensuellement sa cheville, puis remonta ainsi tout le long de sa jambe, savoura l’intérieur de sa cuisse et poursuivit jusqu’à son bas ventre et remonta jusqu’à ses lèvres « Tu es belle » et il avait envie que leur première fois se passe en douceur pour Maggie. Il voulait ôter définitivement cette appréhension. Il voulait qu’elle se sente libérée dans la vie intime, qu’elle ne se dénigre pas. Il voulait qu’elle ait confiance en elle autant dans l’intimité que lorsqu’elle parlait d’architecture. Nolan descendit alors lentement ses lèvres le long de son cou, de ses épaules, de sa poitrine, puis jusqu’à son nombril, continuant de descendre lentement jusqu’à son bas ventre sans la quitter du regard.
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Mer 13 Oct - 21:18
Margaret Hall
J'ai 35 ans. Je vis à New York - Brooklyn, États-Unis. Dans la vie, je suis architecte et décoratrice d'intérieure et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis fiancée et je le vis plutôt bien.
Enfant, Maggie passait son temps à aménager à ses poupées des maisons de rêves. Elle adorait ça. Bonne en dessin, pas trop mauvaise en math, c’est tout naturellement qu’elle a choisi de devenir architecte et de compléter son diplôme par une formation en tant que décoratrice d’intérieur. Dans ses rêves de jeune femme, elle était ainsi capable de proposer un projet à ses clients qu’elle pouvait mener de bout en bout. Mais lorsqu’on est une femme dans un milieu d’homme, ça n’est jamais évident de trouver sa place, encore moins de se faire sa place. Sa rencontre avec Nolan Campbell fut comme une bouffée d'oxygène dans sa vie. Ils n'ont rien commandé, ça leur ait tombé dessus. Un lien unique et plus fort que leur volonté est né, les poussant l'un vers l'autre. Aujourd'hui, Maggie a décidé d'annuler son futur mariage.
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Nolan ne semblait pas comprendre. Peut être que son regard rivé sur lui n’était pas assez de braise pour qu’il puisse y lire son envie. Pourtant Maggie n’avait pas la moindre attention de le faire attendre plus. Ils passaient trop peu de temps ensemble, à chaque fois que l’envie les avaient assaillit, ils avaient été dérangé. Ce soir, elle le voulait lui. Elle voulait franchir ce pas, avancer avec lui dans leur relation. Découvrir sa peau, ses caresses. Découvrir le plaisir avec lui. Elle fut ravie de la réponse qu’il donna, souriant avant qu’ils ne s’embrassent. Sa robe glissa au sol et cette fois elle n’arrêta pas Nolan. Elle entoura son visage de ses mains, avant de passer ses bras autour de son cou, ses lèvres dévorant les siennes, le laissant les conduire jusqu’au lit.
Une fois allongée dessus elle soupira de plaisir sous ses baisers, un frisson courant sur sa peau lorsque Nolan descendit peu à peu, la déshabillant avec lenteur. Son coeur aussi battait à tout rompre, une pointe de peur en le regardant retirer à son tour ses vêtements. A nouveau elle frissonna en sentant la caresse de ses doigts et la douceur de ses lèvres, cambrant légèrement les reins et la nuque. Un sourire à son compliment avant de l’embrasser. Elle adorait sa façon de la regarder. Tout comme elle aimait l’espèce d’aura animal qu’il émanait de lui.
A mesure qu’il descendait le long de son corps, Maggie sentait un légère vague de panique grimper en elle, se mêlant à l’envie. Ce qu’il s’apprêtait à faire, elle n’y était pas habituée. Alors elle saisit sa main, croisa son regard, et le ramena à elle. Le souffle court, elle chercha à nouveau ses lèvres pour faire taire son angoisse. A nouveau elle aimait le poids de son corps sur le sien, le contact de sa peau contre la sienne, le goût de ses lèvres et la chaleur de son souffle. Elle remonta une cuisse et le laissa entrer en elle. C’était si bon… Enfin ils ne faisaient plus qu’un, offert l’un à l’autre. Maggie caressa son dos, aventurant ses mains jusqu’à ses fesses, soupirant de plaisir alors qu’il commençait un langoureux va et vient entre ses cuisses. Plus de doute ou d’inquiétude, rien que ce plaisir qui l’envahissait de seconde en seconde. Rien que ces baisers fiévreux et ce besoin d’assouvir cette envie de lui.
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Mer 13 Oct - 21:52
Nolan Campbell
J'ai 43 ans et je vis à Brooklyn, New York. Dans la vie, je suis chef de chantier et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma poisse, je suis divorcé et je le vis plutôt bien parce que j'ai rencontré une femme qui a tout pour plaire.
Nolan n’avait qu’un souhait : Devenir architecte. Il passait la majeure partie de son temps entre le lycée et les chantiers sur lesquels travaillaient son oncle. Chaque dollar durement gagné était mis de côté pour l’université. Mais le destin en décida autrement… Il fut projeté soudainement dans une autre vie lorsque son père tomba gravement malade, engendrant des frais médicaux insurmontables pour sa mère. Pour la soulager financièrement, il s’engagea donc dans l’armée et envoya la majeure partie de son salaire à cette dernière. Après avoir passé les trois-quarts de son temps au front, et son contrat enfin terminé, Nolan revint au pays. Il s’autorisa un temps de recul pour s’adapter de nouveau à la vie civile et retourna travailler pour son oncle. Ce qui aurait dû être une solution de quelques mois, dura davantage de temps. Nolan rencontra sa première femme, acheta sa première maison, et eut son premier divorce. Il se remaria une seconde fois, eut un enfant, et divorça une fois encore. Au fil des tumultes de son existence, son rêve de devenir architecte disparu, ne lui laissant que d’autres choix que d’évoluer autrement, et cela, jusqu’à devenir chef de chantier. Exécutant les ordres des hommes et des femmes qu’il aurait pu être dans une autre vie…
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Nolan avait compris qu’avec la jeune femme, il allait devoir prendre son temps, l’apprivoiser et lui faire comprendre qu’elle pouvait avoir une confiance aveugle en lui, et pas seulement sur un chantier. Alors, lorsqu’elle se saisit de sa main pour le faire remonter jusqu’à ses lèvres, il ne fut pas vraiment surpris. Il allait lui falloir du temps pour qu’elle apprenne à lâcher prise aussi dans l’intimité. Il prit donc possession de ses lèvres et en sentant sa cuisse remonter le long de son corps, Nolan pris cela comme une invitation à entrer elle. Il ne se fit pas prier et la pénétra, commencer à onduler langoureusement le bassin sans quitter ses lèvres, entrecouper de soupir de plaisir trahissant ce qu’il éprouvait. Il laissa sa main glisser le long de sa cuisse alors qu’il accéléra les coups de reins jusqu’à sentir la jouissance l’envahir. Il nicha son visage dans son cou le temps de reprendre contenance « C’était bon, vraiment bon ». Ils étaient enfin parvenus à aller jusqu’au bout sans être dérangé. Il n’y croyait plus. Nolan embrassa ses lèvres avec plus de tendresse cette fois-ci et se glissa à ses côtés, l’invitant à venir se blottir contre lui et passa son bras autour de son corps nue, laissant ses doigts glisser sur sa peau alors qu’il fixait le plafond, un sourire de bien-être sur les lèvres. Un léger silence le temps de reprendre ses esprits et il baissa son regard brun sur Maggie « Ça va toi ? » tout en glissant ses cheveux derrière son oreille de son autre main « Tu as eu peur de ce que je t’allais te faire tout à l’heure ? » en parlant de ses lèvres qui descendaient dangereusement jusqu’à son intimité « David ne te faisait pas ça ? Ou c’est parce que tu n’aimes pas ? ». Oui, Nolan était curieux, mais elle était habituée.
Le chef de chantier s’extirpa des draps « Attends-moi là » et enfila rapidement son boxer en chemin, puis récupéra l’assiette de repas chinois, la fit rapidement chauffer, récupéra des couverts en chemin et une bouteille d’eau, puis retourna dans le lit, plaçant l’assiette entre eux « Tu m’as donné faim ! » en commençant avant tout par boire avant de prendre une première bouchée de nouilles « Tu as des projets pour ce week-end ? » avant de baisser les yeux sur la nourriture, réfléchissant et releva son regard brun sur elle « On va prendre le temps pour ça aussi, tu sais » avant de préciser sa pensée « Pour que tu t’épanouisses aussi sexuellement, que tu lâches prises aussi là. Attention, c’était vraiment bon. J’ai vraiment aimé te faire l’amour, n’en doute pas une seconde » alors qu’il se pencha pour l’embrasser puis murmura « Et je compte bien faire en sorte que l’on recommence » et l’embrassa de nouveau avant de se reculer, reprenant des nouilles chinoises « J’ai envie de te faire du bien » avant de rire « Bon, je ne sais pas si c’est la meilleure des manières de le dire. Je vais juste… continuer de manger » tout en mettant des nouilles dans sa bouche pour se faire taire. Lorsqu’ils eurent finis, Nolan débarrassa le tout et revint auprès de Maggie, lui tendant un de ses t-shirts « Si jamais tu en as marre d’être complètement nue » alors qu’il se glissa sous la couverture, tendant le bras pour qu’elle vienne se réfugier dans ses bras.
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Jeu 14 Oct - 9:01
Margaret Hall
J'ai 35 ans. Je vis à New York - Brooklyn, États-Unis. Dans la vie, je suis architecte et décoratrice d'intérieure et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis fiancée et je le vis plutôt bien.
Enfant, Maggie passait son temps à aménager à ses poupées des maisons de rêves. Elle adorait ça. Bonne en dessin, pas trop mauvaise en math, c’est tout naturellement qu’elle a choisi de devenir architecte et de compléter son diplôme par une formation en tant que décoratrice d’intérieur. Dans ses rêves de jeune femme, elle était ainsi capable de proposer un projet à ses clients qu’elle pouvait mener de bout en bout. Mais lorsqu’on est une femme dans un milieu d’homme, ça n’est jamais évident de trouver sa place, encore moins de se faire sa place. Sa rencontre avec Nolan Campbell fut comme une bouffée d'oxygène dans sa vie. Ils n'ont rien commandé, ça leur ait tombé dessus. Un lien unique et plus fort que leur volonté est né, les poussant l'un vers l'autre. Aujourd'hui, Maggie a décidé d'annuler son futur mariage.
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Le visage de Nolan dans son cou, le souffle court, Maggie avait le regard fixé sur le plafond, un sourire doux sur les lèvres. Elle n’avait pas jouit, comme souvent d’ailleurs, comme beaucoup de femmes aussi. Elle savait que c’était probablement dû à cette pointe d’angoisse et d’appréhension, à son manque sa lâcher prise. Ça viendrait. Parce qu’elle savait maintenant, elle le savait vraiment, qu’avec lui, ça serait différent. Elle était malgré tout heureuse de ce qui venait de se passer, heureuse qu’ils aient pu aller jusqu’au bout sans que quelqu’un en décide autrement. Maggie caressait le dos de Nolan du bout des doigts, lorsqu’il se décala. Ce fut son tour de venir se blottir contre lui, et elle ne se fit pas prier. Elle posa sa joue dans le creux de cou, posant une main sur son torse, lover contre son corps chaud. Un hum hum pour toute réponse, avant de sourire et de laisser passer un léger rire nerveux. « -un peu. » avoua alors Maggie directe et franche. Elle savait très bien qu’il fallait qu’ils en parlent, que c’était essentiel. De plus elle ne voulait pas qu’il s’imagine des choses simplement parce qu’elle n’avait pas atteint l’orgasme. Si ses ex femmes y parvenaient à chaque fois, c’était soit qu’ils prenaient leur temps, soient qu’elles simulait. Parce que le plaisir féminin ça ne venait pas là, dans un claquement de doigt.
Maggie ne bougea pas, plus facile de parler de ça sans le regarder droit dans les yeux : « -non. Et je ne sais pas vraiment. Mais là… tu m’as surpris... » il allait vraiment la trouver chiante à force. En le voyant quitter le lit, elle eut comme un pincement au coeur. Voilà ce qu’elle redoutait arrivait. Ils n’étaient pas compatible au lit. Elle glissa ses deux mains sous sa joue, allongée sur le côté, le regard dans le vague. Un froncement de sourcils en entendant le micro onde tourner, avant de se redresser légèrement sur un coude. Un sourire doux et un peu gêné lorsqu’il revint.
La question qu’il posa la dérouta. Sérieusement ? Il ne voulait pas en parler ? « -heu… pas vraiment… enfin rien de précis... » en réalité elle avait dans l’idée de passer du temps avec lui, vu que ce n’était pas son weekend de garde, mais là tout de suite, elle ne savait plus. Puis elle releva les yeux sur lui en l’écoutant. Puis elle les baissa à nouveau. Elle avait l’impression d’entendre un prof prêt à lui donner des leçons. Ça sonnait étrangement à ses oreilles. Sans s’en rendre compte, elle remonta sa main vers son visage et porta son index à ses lèvres. Le drap couvrant sa nudité, elle fixa un point invisible, avant de sourire légèrement. Un regard en lui rendant son baiser du bout des lèvres. « -d’accord... » souffla Maggie en lui rendant son baiser. Elle savait qu’elle n’avait pas été très bavarde jusqu’à présent et à nouveau elle sourit sans le regarder. « -non je... » commença Maggie en levant les yeux sur lui, n’ayant encore rien mangé. « -Écoutes… c’était très bien. » elle inspira un grand coup avant d’ajouter : « -c’est juste que… je sais pas, c’était une première fois… et… envie ou pas et ba… et bien il y avait quand même un peu de stress chez moi et… » elle se mordit les lèvres en lissant le drap devant elle. « -tu as raison, faut que je lâche prise… je crois que je voulais tellement que ça soit bien que finalement… enfin non, si c’était bien. Très bien mais… » elle ferma les yeux. Rah il allait encore se foutre de sa gueule ou alors commencer à la trouver vraiment chiante et regretter.
« -je suis certaine que la prochaine fois ça sera meilleure. » oui, simplement parce que ça ne serait plus la première fois. Parce qu’elle était maintenant certaine qu’elle pouvait lui faire confiance sur tout ça. « -je suis désolée… je complique toujours tout. Je sais que tu attendais ce moment avec impatience… enfin pas que toi d’ailleurs... » il n’y avait quelle capable de gâcher ce genre de moment. Elle aurait pu simplement resté blottit contre lui, l’embrasser et se taire. Elle finit par soupirer, fermant les yeux, cachant son visage sous ses deux mains. Elle ouvrit les yeux lorsqu’il lui tendit un tshirt, soufflant un merci avant de regarda le tissu entre ses mains puis venir se blottir contre lui. Maggie laissa passer un moment de silence avant de reprendre la parole : « -je me sens bien avec toi tu sais... » elle se tourna sur le ventre pour lui faire face, sa poitrine contre son torse. « -et je… j’ai pas été habitué à avoir un partenaire tourné vers mon plaisir. Je dis pas que David était un connard qui pensait exclusivement à lui. Non. Mais… on est toujours resté très classique. Pour ce que tu avais l’intention de faire, il a proposé une fois, deux fois mais j’en sentais pas le besoin à ce moment là et après et bien.. Il a pris ça pour acquis je pense. Du coup… j’ai vraiment été surprise. Et merci d’avoir compris... » oui parce qu’il n’avait pas insisté. Il devait avoir l’impression de sortir avec une gamine sans la moindre expérience. Elle était désolée qu’il soit obligé de fournir autant d’effort pour la comprendre et la mettre à l’aise. Parfois Maggie avait l’impression que c’était bien plus simple lorsqu’ils n’étaient pas ensemble.
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Jeu 14 Oct - 12:14
Nolan Campbell
J'ai 43 ans et je vis à Brooklyn, New York. Dans la vie, je suis chef de chantier et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma poisse, je suis divorcé et je le vis plutôt bien parce que j'ai rencontré une femme qui a tout pour plaire.
Nolan n’avait qu’un souhait : Devenir architecte. Il passait la majeure partie de son temps entre le lycée et les chantiers sur lesquels travaillaient son oncle. Chaque dollar durement gagné était mis de côté pour l’université. Mais le destin en décida autrement… Il fut projeté soudainement dans une autre vie lorsque son père tomba gravement malade, engendrant des frais médicaux insurmontables pour sa mère. Pour la soulager financièrement, il s’engagea donc dans l’armée et envoya la majeure partie de son salaire à cette dernière. Après avoir passé les trois-quarts de son temps au front, et son contrat enfin terminé, Nolan revint au pays. Il s’autorisa un temps de recul pour s’adapter de nouveau à la vie civile et retourna travailler pour son oncle. Ce qui aurait dû être une solution de quelques mois, dura davantage de temps. Nolan rencontra sa première femme, acheta sa première maison, et eut son premier divorce. Il se remaria une seconde fois, eut un enfant, et divorça une fois encore. Au fil des tumultes de son existence, son rêve de devenir architecte disparu, ne lui laissant que d’autres choix que d’évoluer autrement, et cela, jusqu’à devenir chef de chantier. Exécutant les ordres des hommes et des femmes qu’il aurait pu être dans une autre vie…
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Comme il s’en doutait, Maggie ne parvenait pas à lâcher prise, même dans l’intimité. Toujours dans le contrôle, dans l’appréhension, dans la peur, alors qu’il n’avait souhaité que lui donner du plaisir. Il ne s’en offusqua. En fait, ça le faisait sourire avec douceur quand elle lui confia avoir eu peur. Apparemment, à la réponse de la jeune femme, son ex-fiancé n’était pas un habitué de ce genre de préliminaires. Nolan acquiesça « Et tu n’aimes pas les surprises » en lui souriant avec taquinerie alors qu’il quitta le lit pour réchauffer le dîner parce qu’il commençait vraiment à avoir faim. Il revint donc avec le contenu du traiteur chinois dans le lit et changea radicalement de conversation. Elle semblait soudainement mal à l’aise avec lui « Tu pourrais le passer ici, avec moi ? » en prenant une bouchée de nouilles. Il avait envie de passer le week-end avec cette dernière, à rattraper le temps perdu en raison de leurs emplois du temps incompatibles.
Nolan avala sa bouchée, et décida de revenir sur le sujet de leur première fois, en tentant de la rassurer sur le fait qu’ils allaient prendre leur temps pour qu’elle apprenne à lui faire confiance dans l’intimité, à lâcher prise. Il déposa ses lèvres sur les siennes pour conclure, et murmura « Détends-toi » en la sentant tendue. Quand Maggie se décida à prendre réellement la parole, le chef de chantier fronça les sourcils et au fur et à mesure qu’elle continua de parler, il comprit qu’elle n’avait pas jouit « Mais tu n’as pas eu d’orgasme. Je pensais que… Je crois que j’en avais tellement envie que, que je n’ai pas fait attention. Pourquoi tu ne me l’as pas fait comprendre ? ». Il se saisit de l’assiette pour la poser au sol, se rinça la bouche d’un coup d’eau et rétorqua « J’aurais pu prendre plus de temps ou faire autrement » tout en secouant ses mains devant elle. « On va prendre plus le temps ». Une fois encore, elle s’excusa alors il se mit à sourire avec amusement « Poivrons. Arrête de te prendre la tête. Je n’ai pas toujours été un bon coup avec mes ex-femmes. Il y a des ratés. On ne va pas se mettre la pression pour autant » et se leva pour lui donner un t-shirt afin qu’elle ne prenne pas froid, puis la rejoignit dans les draps, l’invitant à se blottir tout contre lui « Moi aussi » et la laissa se retourner, son visage près du sien. Il laissant ses doigts danser sur sa peau, montant et descendant le long de son dos.
De sa main libre, le quarantenaire se saisit du menton de Maggie « Je n’ai pas à te forcer de faire quoi que ce soit et le jour où tu en auras envie, tu me le feras comprendre. Je ne veux pas être le seul à prendre mon pied » et l’embrassa du bout des lèvres « On ira à ton rythme », puis souffla « Et arrête de te prendre la tête, j’ai aimé et si toi aussi, alors c’est tout ce qui compte. On a tout notre temps. On ne fait pas une course contre la montre à moins que tu ais décidés de me larguer à une date précise » en riant doucement pour la détendre. « Pour ce week-end, tu veux qu’on reste ici ou qu’on parte un peu ? ».
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Charly
Jeu 14 Oct - 13:35
Margaret Hall
J'ai 35 ans. Je vis à New York - Brooklyn, États-Unis. Dans la vie, je suis architecte et décoratrice d'intérieure et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis fiancée et je le vis plutôt bien.
Enfant, Maggie passait son temps à aménager à ses poupées des maisons de rêves. Elle adorait ça. Bonne en dessin, pas trop mauvaise en math, c’est tout naturellement qu’elle a choisi de devenir architecte et de compléter son diplôme par une formation en tant que décoratrice d’intérieur. Dans ses rêves de jeune femme, elle était ainsi capable de proposer un projet à ses clients qu’elle pouvait mener de bout en bout. Mais lorsqu’on est une femme dans un milieu d’homme, ça n’est jamais évident de trouver sa place, encore moins de se faire sa place. Sa rencontre avec Nolan Campbell fut comme une bouffée d'oxygène dans sa vie. Ils n'ont rien commandé, ça leur ait tombé dessus. Un lien unique et plus fort que leur volonté est né, les poussant l'un vers l'autre. Aujourd'hui, Maggie a décidé d'annuler son futur mariage.
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« enfin j’imagine que ce genre de surprise, je serais capable de les apprécier plus tard... » rah mais qu’est ce qu’elle se sentait conne ! Nolan changea de sujet et Maggie bafouilla un : « -heu… oui… pourquoi pas. » qui n’était pas du tout convainquant. Le ton de sa voix et le peu d’assurance dans sa voix était seulement dût au changement de sujet, au détachement de Nolan. Comment faisait il pour tout prendre autant à la légère ?
Le visage cacher derrière ses mains, elle s’en voulait de cette conversation, juste après avoir coucher ensemble. Pourquoi est ce qu’elle ne pouvait pas simplement dire ok alors on recommence ! Un soupire. « -c’est pas grave... » souffla Maggie en laissant glisser ses mains, tournant simplement les yeux vers lui. Elle avait détaché chacun de ses mots, parce que là, les roles allaient s’inverser. « -non, tu n’y ai pour rien, c’est moi… ça n’a rien avoir avec compétences… aptitudes ? Talents ? Au lit... » elle grimaça en montrant ses dents blanches. Elle commença alors à lui présenter des excuses. Elle cligna plusieurs fois des paupières en entendant le code. Recula le visage et sourit : « -ça… ça marche vachement bien... » un sourire avant de réceptionner le t shirt qu’elle n’enfila pas.
Face à lui, elle lui expliqua du mieux possible. Un sourire : « -tu sera pas le seul. Je suis pas frigide, j’ai juste un cerveau bien assez chiant. Donc oui, je vais trouver le bouton pause et tout ira bien mieux. » elle en était convaincue. Ils avaient franchit un cap d’une certaine façon. Ça ne pouvait qu’aller mieux. « -le plus tard possible. » commenta Maggie avec un grand sérieux avant de lui sourire. « -si par ici tu entends dans ton lit, ça ne me pause pas de problème. » parce que malgré ce léger blocage de sa part, elle se sentait parfaitement bien dans ses bras, là coller contre lui. « -j’ai pas envie de faire de la route. » ajouta Maggie avec plus de sérieux. « -j’ai eu une semaine de dingue, toi aussi. Alors rester ici à regarder des séries, ça me va très bien. » elle souhaitait vraiment passé du temps avec lui. Pas besoin de partir loin ou de faire un truc de fou chaque weekend. Elle était fatiguée de sa semaine et deux jours de repos ne lui fera pas de mal. Elle le détailla du regard, souriant avec douceur et à la fois une pointe d’amusement : « -tu dois te dire que tu avais raison dès le départ. Que je suis une petite bourgeoise coincée... » cela la fit rire, avant que son regard n’accroche le sien et qu’elle n’approche ses lèvres pour l’embrasser.
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Manhattan Redlish
Jeu 14 Oct - 14:03
Nolan Campbell
J'ai 43 ans et je vis à Brooklyn, New York. Dans la vie, je suis chef de chantier et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma poisse, je suis divorcé et je le vis plutôt bien parce que j'ai rencontré une femme qui a tout pour plaire.
Nolan n’avait qu’un souhait : Devenir architecte. Il passait la majeure partie de son temps entre le lycée et les chantiers sur lesquels travaillaient son oncle. Chaque dollar durement gagné était mis de côté pour l’université. Mais le destin en décida autrement… Il fut projeté soudainement dans une autre vie lorsque son père tomba gravement malade, engendrant des frais médicaux insurmontables pour sa mère. Pour la soulager financièrement, il s’engagea donc dans l’armée et envoya la majeure partie de son salaire à cette dernière. Après avoir passé les trois-quarts de son temps au front, et son contrat enfin terminé, Nolan revint au pays. Il s’autorisa un temps de recul pour s’adapter de nouveau à la vie civile et retourna travailler pour son oncle. Ce qui aurait dû être une solution de quelques mois, dura davantage de temps. Nolan rencontra sa première femme, acheta sa première maison, et eut son premier divorce. Il se remaria une seconde fois, eut un enfant, et divorça une fois encore. Au fil des tumultes de son existence, son rêve de devenir architecte disparu, ne lui laissant que d’autres choix que d’évoluer autrement, et cela, jusqu’à devenir chef de chantier. Exécutant les ordres des hommes et des femmes qu’il aurait pu être dans une autre vie…
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« J’espère que tu apprécieras plus que lorsque je viens à l’improviste à ton bureau » en faisant référence à l’unique fois où il était venu lui apporter une boisson chaude au cabinet. Évidemment, Nolan la taquinait pour la détendre un peu parce qu’il la sentait mal à l’aise face à tout cela, à leur conversation. Il ne l’était pas de son côté, et prenait tout cela avec légèreté, comme à chaque fois, ce qui avait tendance à agacer son entourage. C’était la raison pour laquelle il n’avait pas le moindre mal à changer de sujet comme si de rien n’était. Mais la réponse hésitant de Maggie le rendit perplexe « Tu n’as pas l’air enthousiasme ? ». Avait-il fait ou dit quelque chose qui ne fallait pas ? Puis la jeune femme se décida à prendre la parole et il prit conscience qu’elle n’avait pas jouit avec lui, et s’excusa de ne pas avoir été assez attentif à elle. Il sourit avec timidité quand les rôles s’inversèrent. Il se mit à rire en entendant les qualificatifs de Maggie, sans parler de son sourire « En ce qui me concerne, je dirais plutôt talents » avec une assurance seulement apparente. Et voilà qu’elle se mit à présenter ses excuses et Nolan n’avait pas envie de cela, alors il utilisa le mot magique avant de se mettre à rire « Parfait ! »
Blottis l’un contre l’autre, ses doigts glissant lentement sur sa peau, ils poursuivirent leur conversation « Oui, mais je n’ai pas envie de rejoindre le club des solos. Il faut juste que tu comprennes que tu n’as rien à craindre avec moi ». De toute manière, ils avaient tout le temps pour s’appréhender mutuellement, pour que Maggie apprenne à lâcher prise, sauf si elle décidait de le quitter avant et sa réponse le fit sourire, répondant timidement « Bonne nouvelle » parce qu’il n’avait pas envie que leur histoire se termine maintenant ou dans un avenir proche. Nolan revint sur leur week-end, lui proposant de choisir entre rester dans l’appartement, tous les deux, ou de partir les deux jours. La réponse de cette dernière lui plaisait « Évidemment ! ». Parce qu’en cet instant, il n’avait envie d’être nulle part autre qu’ici-même, avec elle, dans son lit. « J’espérais que tu me dirais ça » en riant presque « Je suis épuisé de ma semaine et je n’ai pu me reposer le week-end dernier avec Desmond. Alors je veux bien passer la journée au lit, avec une série et de la malbouffe qu’on aura commandé ». Ça serait le week-end idéal pour Nolan, et apparemment, pour Maggie aussi.
Le chef de chantier n’eut pas le temps de répondre qu’elle l’embrassa. Il glissa sa main sur sa joue et répondit à son baiser, la faisant basculer sur le dos, prenant place à moitié sur elle « Qui te dis que ce n’est pas ce que j’aime ? » en se moquant d’elle, et l’embrassa de nouveau avec un peu plus d’envie « Laisse sortir la Maggie qui est tatouée et qui adore le roller-derby » alors qu’il regarda sa propre main caresser le cou de Maggie, glissant entre ses seins avec douceur, son ventre, puis releva son regard brun sur elle « Celle qui rebelle, la méchante fille qui m’a avoué avoir envie de moi par message alors que j’étais à plus de deux heures de route » et laissa sa main glisser jusqu’à son intimité, jouant de ses doigts alors qu’il continuait de lui parler sans décrocher son regard d’elle « Alors que j’étais trop loin pour assouvir son envie. C’était de la torture de savoir que tu étais dans une chambre d’hôtel avec une autre femme, pendant que moi, j’étais bloqué dans mon canapé ». Il approcha ses lèvres des siennes sans les toucher « C’est un peu comme si je retirais mes doigts là sans attendre » et finit par l’embrasser à pleine bouche.
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Charly
Jeu 14 Oct - 17:07
Margaret Hall
J'ai 35 ans. Je vis à New York - Brooklyn, États-Unis. Dans la vie, je suis architecte et décoratrice d'intérieure et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance , je suis fiancée et je le vis plutôt bien.
Enfant, Maggie passait son temps à aménager à ses poupées des maisons de rêves. Elle adorait ça. Bonne en dessin, pas trop mauvaise en math, c’est tout naturellement qu’elle a choisi de devenir architecte et de compléter son diplôme par une formation en tant que décoratrice d’intérieur. Dans ses rêves de jeune femme, elle était ainsi capable de proposer un projet à ses clients qu’elle pouvait mener de bout en bout. Mais lorsqu’on est une femme dans un milieu d’homme, ça n’est jamais évident de trouver sa place, encore moins de se faire sa place. Sa rencontre avec Nolan Campbell fut comme une bouffée d'oxygène dans sa vie. Ils n'ont rien commandé, ça leur ait tombé dessus. Un lien unique et plus fort que leur volonté est né, les poussant l'un vers l'autre. Aujourd'hui, Maggie a décidé d'annuler son futur mariage.
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« -oui ça fait moins curriculum vitae... » ajouta Maggie avec un sourire tendre. Elle était vraiment désolée même si il ne voulait pas l’entendre. Parce qu’elle savait que ce genre de truc c’était important pour les hommes. Qu’en plus Nolan avant son égo. Et puis elle ne voulait pas qu’il se sente mal vis à vis de ça. C’était entièrement de sa faute. Si elle avait été capable de vraiment déconnecter son cerveau, et bien peut être qu’il l’aurait fait grimper aux rideaux. « -c’est quoi ce club ? » demanda Maggie sans comprendre avant de capter. « -oh non, mais tu n’en feras pas parti. Parce que… parce que je veux que ça marche. Et je sais que ça peut marcher, il faut juste que mon cerveau la ferme un peu. Ou alors tu trouves un moyen de le faire taire. » un sourire en coin, avant qu’ils n’en viennent à parler du weekend.
Clairement, elle se sentait déjà mieux. Elle adora sa réponse et son sourire. « -pourquoi tu ne l’as pas proposé alors ? » déclara Maggie en haussant les épaules, ne voyant pas pourquoi il lui laissait le choix alors qu’il avait besoin de repos autant qu’elle. Maggie caressa la joue de Nolan et souffla : « -ça me va tu sais. Pas besoin que tu m’emmènes au bout du pays tous les weekend. Je veux juste qu’on passe du temps ensemble. Parce que durant la semaine je suis en manque de toi. » elle était heureuse qu’ils soient en accord là dessus.
Elle sourit contre ses lèvres alors qu’il la faisait basculer sur le côté. Puis elle se mis à rire joyeusement en entendant sa réponse. Enfin sa question. « -la méchante fille ! » s’amusa la jeune femme, adorant l’écouter dire tout ça, le laissant la possibilité de caresser son corps comme il le voulait. Son coeur s’accéléra, sa poitrine se souleva un peu plus profondément. Elle se pinça les lèvres sans le quitter du regard, cambrant les hanches. « -je sais... » oui elle savait que c’était de la torture, ça l’avait été pour elle aussi. Le fait de ne pas le quitter des yeux l’aidait à se laisser aller, à ne penser qu’à eux là maintenant, qu’aux doigts de Nolan qui jouaient avec elle. Maggie laissa passer un soupir de plaisir, parce que ce qu’il lui faisait, c’était tout simplement très bon. Elle lui lui rendit son baiser avec envie, appréciant qu’il décide de recommencer rapidement. Il la connaissait assez bien pour savoir que c’était mieux ainsi, que ça lui éviterait de trop analyser ou culpabiliser. Elle gémit dans son cou, ses mains s’agrippant à épaules. Elle en remonta une jusqu’à sa nuque, le guidant jusque dans son cou, chose qu’elle avait toujours aimé. Les baisers dans le cou… Maggie ferma les yeux, savourant le plaisir qu’il lui donnait, le plaisir qui montait. C’était presque nouveau pour elle qu’un homme s’intéresse vraiment à son plaisir et soit capable de lui en donner sans en prendre de son côté.