J'ai 26 ans et je vis à New York, mais en vrai je papillonne partout. Dans la vie, je suis détective privée pour les cas oublié par les loup garou. Sinon, grâce à ma chance, je suis un groupie de Gretel et je compte bien le rester. → Attaqué à 8 ans par un loup errant, et à perdu ses cordes vocales → Parle le langage des signes, peut lire sur les lèvres → A vue seulement trois fois Gretel en live, à 11 ans, à 13 ans et à 14 ans.
Son corps laisse émettre un petit bruit, pas réellement venant de sa gorge mais de son ventre, ou d’ailleurs, une autre sorte d’onomatopée… Elle sourit en la prenant dans ses bras, ne trouvant pas du tout tendancieux la position alors qu’elle l’écoute simplement en profitant de leur proximité à toutes les deux. Elle fit un hochement de tête pour dire qu’elle avait entendu. C’était gentil de bien vouloir aller vers ses enquêtes. De temps en temps, elle osera peut-être demander. Pour le moment, elle n’avait pas envie de penser à son travail mais juste au moment présent. Elle regarde le visage de Gretel, et elle se demande à quoi elle pense avant de la déposer au sol. Quelque chose qui la blesse ? Qui doit la blesser elle ? Elle ne sait pas. Elle fait ce qu’elle demande et ferme les volets, après avoir pris quelques secondes pour en comprendre le mécanisme. Elle était assez fier de pouvoir faire ça pour elle.
Elle mange tranquillement en regardant plusieurs fois Gretel. Et parfois, elle se pince encore et touche Gretel du bout des doigts. Elle mange en présence de Gretel, dans « leur » camping car, et ça, ça la rend heureuse la petite dame. Elle aime l’idée qu’elle puisse être en sa présence, ainsi intimement. A la phrase de Gretel, Prudence penche la tête avec une question dans la tête « tu veux quoi, toi ? ». Prue en avait rien à faire de dormir avec Gretel toute nue, même si ça ne sera pas le cas de son côté qui avait besoin de son débardeur et sa culotte pour se sentir à l’aise…. Mais si ça dérange Gretel, elle pouvait dormir plus loin… Surtout qu’elle ne pourrait pas s’empêcher de la toucher. Elle allait mettre une main sur son bras, ou un pied sur sa jambe, juste pour avoir un contact avec elle. Pour être sûr de ne pas rêver.
Elle allait partir quand elle s’arrêta pour la robe. Oh. Elle avait pris la robe de leur rencart ? Oh. Elle rougit. Elle n’y avait plus pensé pour tout dire … elle s’était juste dit qu’elle voulait être jolie. Elle va sous la douche et elle profite de l’eau pour laisser passer un nouveau petit bruitage. C’était comme si elle sautait sur place de joie. Elle finit par pencher la tête, comme si elle chantait une musique dans son esprit, en pensant à Gretel. Elle sort simplement habillé d’un débardeur court, qui allait au-dessus de son nombril, et une culotte blanche. Elle se voit dans un reflet et sursaute alors que Gretel va dans la douche. Elle pose sa main sur sa cicatrice. Elle devrait dormir avec un t-shirt non ? Gretel ne semblait pas dégouté … mais elle ne l’avait pas tous les jours devant le visage…. Elle était en train de fouiller sa valise quand Gretel sortit, nue, et s’étala dans le lit. Prudence s’approcha et la regarda simplement alors qu’un nouveau sourire de joie et d’amour apparu.
- Fatigué, signa-t-elle, tu veux dormir tout de suite ?
Elle regarda à nouveau sa valise. Elle avait un paquet de t-shirt qui remonter, mais il faisait bien trop chaud pour penser à mettre ça en dormant … et la plupart de ses t-shirt étaient avec un col en rond, ce qui veut dire que ça l’étouffe dans son sommeil… et ses cauchemars plus le col en V, ça faisait pas bon ménage. Elle regarde à nouveau le corps de Gretel, et elle a un autre sourire. On pouvait lire clairement un « j’avais raison » passé dans ses prunelles « Tu es magnifique ». Elle s’approche et n’ose ni partir, ni se mettre sur le lit. Elle est simplement devant. Prue avait conscience que si elle disait vouloir cacher son cou, Gretel lui dirait de ne pas le faire … Elle eut un frisson d’éffroi.
- Dis, signa-t-elle, tu penses que tu pourras m’excuser auprès du loup qui était avec toi… je pense que je l’ai rpzbjsegr rhrh
La jeune femme se mit à trembler puis elle secoua la tête avant de regarder à nouveau Gretel et de faire des gestes plus lents pour éviter de montrer son tremblement.
- Je t’ai reconnu. Ton regard … mais l’autre loup j’ai juste eu peur. Et je sais que la peur n’aide pas les loups.
Elle n’avait toujours pas bougé de sa place au pied du lit … et tout comme elle avait besoin de se pincer et de la toucher, Prudence fit un geste pour mettre son pied entre ceux de la jeune femme, pour avoir un contact. Elle en avait besoin.
Bien qu'elle ait décidé d'emmener Prudence avec elle, Gretel n'était pas une habituée de la vie à deux. En groupe oui, et elle avait même du partager trois voitures avec neufs personnes et un furet, mais là elle avait son propre véhicule, qu'elle partageait avec sa compagne. Elle n'en avait jamais eu, et se demandait comment cela fonctionnerait avec le temps. Comme elle passait tout son temps avec ses doubles qui étaient relativement taciturnes, elle avait l'habitude de peu parler et d'être dans son coin à s'occuper près d'autres personnes qui en faisaient de même. Prudence était probablement plus causante et sociable qu'elle -elle le lisait dans son regard-, mais il leur fallait le temps d'apprendre à se connaître un peu mieux. Elle n'y avait pas fait attention en entrant dans la salle de bain, mais maintenant qu'elle s'étendait sur le lit, les jambes pendant dans le vide et Prudence plantée juste devant elle, elle ne put que sourire. Sa cicatrice était atroce, profonde et couvrait une large partie de sa peau. Si cela lui donnait des envies de meurtre, elle ne la trouvait pas moins jolie pour autant.
"Pas encore, mais je suis pleine de courbatures et ce lit est vraiment confortable."
Elle prit le temps de l'observer, chose qu'elle n'avait pas vraiment pu faire jusque-là. Elle se demandait si elle dissimulait d'autres cicatrices, d'autres traces de ce qui lui était arrivé. Elle avait envie de la mettre à nue et de parcourir son corps de caresses et de baisers, et ce n'était même pas motivé par sa libido. C'était simplement l'envoie et le besoin de la toucher, de la découvrir, de lui montrer qu'elle pouvait lui faire confiance et s'abandonner à elle. Lorsqu'elle perçut ses tremblements -Gretel était trop observatrice pour les manquer- elle se redressa d'un coup, attrapa la jeune femme et l'attira dans ses bras pour la faire basculer sur elle, puis elle la fit rouler sur le côté pour se retrouver au dessus.
"Hey, je suis là Prue. Tout va bien."
Elle se pencha pour embrasser son front, puis sa joue, une main passant dans ses cheveux pour les caresser.
"C'était Angel, mon jumeau. Et c'est le seul autre loup qui voyage avec nous. Tu n'as rien à craindre de lui, et tu n'as pas besoin de t'excuser, ta réaction est normale. Tu apprendras à le connaître avec le temps. Et puis c'est un loup soumis, il n'est pas aussi susceptible que moi ou la meute que tu as rencontré."
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Clionestra
Mer 13 Sep - 21:53
Prudence O'Donnell
J'ai 26 ans et je vis à New York, mais en vrai je papillonne partout. Dans la vie, je suis détective privée pour les cas oublié par les loup garou. Sinon, grâce à ma chance, je suis un groupie de Gretel et je compte bien le rester. → Attaqué à 8 ans par un loup errant, et à perdu ses cordes vocales → Parle le langage des signes, peut lire sur les lèvres → A vue seulement trois fois Gretel en live, à 11 ans, à 13 ans et à 14 ans.
Prue n’osait pas vérifier le lit. Souvent, comme elle ne peut pas parler, elle vérifie les choses par elle-même, cela évite de chercher à communiquer … mais avec Gretel, c’était différent. Elle pouvait la croire, et l’envie de vérifier le lit n’était qu’une excuse pour s’approcher. Ce qu’elle n’osait toujours pas faire, planter à moitié nue, elle, devant elle, qui était nue. Cette situation aurait pu être cocasse si Prue n’avait pas l’intime conviction que ça prouver aussi une intimité entre elles, qui n’étaient qu’à elles. Elle essaya de parler, mais tremblant. Et à nouveau le mouvement de Gretel était trop rapide pour qu’elle ne les anticipe. Elle laisse échapper un hoquet de surprise alors qu’elle se retrouve sous la louve. Là… ça, c’était intime. La position était clairement une position intime. Leurs habits, ou absence, donnaient à leur position une dimension au-dessus. Pourtant Prue n’avait pas peur de ça, de cette proximité ou de leur corps l’un contre l’autre. Elle regardait les yeux de Gretel pour en chercher la raison. Simplement rechercher le pourquoi elle avait eu besoin de la mettre sur son lit ainsi. Elle lâcha un petit rire. Ouais. Le lit était confortable, elle l’avoue bien. Elle aime bien se faire toucher par Gretel. Elle sait que Gretel ne lui fera pas de mal. Même si elle passe sur des zones de sa tête qui avait subit des chocs par le passé, elle n’a pas peur d’elle. Elle écoute la réponse avec attention. Elle se sent un peu coupable, tout de même d’avoir eu peur de son frère jumeau … mais le souvenir du loup fit naître un frisson de peur dans son dos et elle repoussa l’image aussi loin que possible. Gretel était Gretel. Elle était la personne la plus incroyable du monde. En louve ou en humaine, ou qu’importe ce qu’elle pourrait être, elle serait incroyable… Mais l’esprit de Prue n’arrivait pas à voir le second loup comme un « rien ». Elle le voyait comme un monstre et calqua le pelage sur ses souvenirs plus anciens encore malgré elle. C’était ça, qui la faisait trembler. Et même si Angel était un soumis, depuis le temps Prue savait ce que ça signifiait, ça ne change pas qu’elle en avait peur. Il avait tout de même des crocs qui peuvent déchiqueter, et des griffes qui peuvent arracher. Elle fronce les sourcils. « Tu n’es pas susceptible » disait-elle avec son expression visé sur son visage.
Puis, elle tire sa bouche en une moue de réflexion. Pourquoi avait-elle dû monter sur elle pour lui dire ça ? Est-ce que c’était si important pour elle qu’elle comprenne que c’était son frère. Prue lève la main et caresse ce visage qu’elle aime tant, qui l’apaise dans les nuits de cauchemars et repousse les démons de ses pensées. Cela depuis toujours. Elle sourit doucement. Pour dire que tout irait bien. Elle apprendrait à aimer son frère, elle n’a pas de doute puisqu’elle le connait aussi depuis longtemps, seulement de nom mais cela suffit. Elle caresse la jeune femme, cette joue et sourit encore en hochant la tête. C’était une promesse. Elle faisait la promesse de ne plus avoir peur, un jour. Aussi proche l’une de l’autre, elle ne pouvait pas signer, alors elle pouvait simplement se faire comprendre avec ses expressions et ses gestes. Elle embrasse le menton de Gretel délicatement, toujours avec cette douceur qui la caractérise avant de faire un autre sourire et un regard franc.
Elle n’aura plus peur. Alors Gretel n’avait pas besoin de s’inquiéter pour elle. Elle n’aura plus peur, même s’il faut du temps… mais Gretel n’avait pas besoin de s’en faire. Gretel n’avait pas à souffrir de ce qui la faisait souffrir, elle. Elle n’avait pas besoin de se prendre la tête parce que Prudence arriverait à être assez bien pour ne plus faire ressentir la peur, un jour… Elle y arriverait. Elle en avait envie. Alors, elle laissait son regard s’attarder sur cette femme qui veut la protéger et essaie de lui faire comprendre que 1. Elle aimait se sentir protéger. Et 2. Elle ne resterait pas un boulet éternellement. Et un jour, elle n’aura plus besoin de s’inquiéter du tout. Elle fit un nouveau petit rire après ça, parce que les cheveux de la belle étaient en train de chatouiller son cou. Clairement, elle n’aurait jamais cru pouvoir sentir quelque chose de bon venant de sa gorge et pourtant. Elle la regarde et se demande ce qu’elle compte faire maintenant. Prudence, ça ne la dérange pas la position mais ça ne sera clairement pas agréable pour dormir, non ? Sauf si elle se met sur elle, et Gretel serait le propre masque pour cacher sa cicatrice, c’était une bonne idée aussi, non ?
La louve sourit à la demoiselle emprisonnée contre son corps nu, frissonnant légèrement à son contact sur sa joue. Elle était si facile à décrypter qu'elle en venait à se demander pourquoi elle avait pris la peine d'apprendre à signer.
"Je le suis. Comme n'importe quel loup, ma réaction peut-être violente quand une personne s'invite sur mon territoire ou me manque de respect. Mais moi je suis née comme ça, je suis depuis toujours l'animal et l'humaine en même temps. C'est pareil pour Angel et Hazel, ce qui nous permet de mieux gérer nos réactions, mais nous sommes des cas extrêmement rares. Les loups changés sont...elle regarda à nouveau les marques sur sa gorge, venant délicatement les effleurer.La majorité sont des gens comme toi, qui survivent contre toute attente. Mais quand ils se réveillent, ils sont différents. Ils entendent des choses qui se passent à des dizaines de mètres, ils voient des couleurs qui n'existaient pas jusque là, se retrouvent capables d'associer une odeur à une émotion... Et surtout, ils sentent quelque chose en eux. Un animal tapi qui ne demande qu'à sortir. Le loup pense de façon simple et pratique. Il pense à se nourrir, se défendre, et prendre soin des membres de sa meute. C'est un réel traumatisme que de se retrouver du jour au lendemain avec une autre personnalité à l'intérieur de soi qui a des réactions irréfléchies et donc, régulièrement, violentes. Je n'ai pas ce problème, mais je suis une louve dominante et ça implique parfois ce genre de réactions. Angel n'a pas ce problème parce qu'il est dans sa nature de baisser la tête et de se montrer avenant là où je ressens celui de prouver ma force et de défendre ce qui m'appartient."
Elle se pencha à nouveau, s'approchant de son oreille.
"Et tu m'appartiens."
Prudence avait accepté de la suivre en semi-connaissance de cause. Gretel se maîtrisait trop pour s'en prendre au premier venu qui la regardait de travers, néanmoins elle pouvait réagir violemment selon la situation. Hazel serait également présente pendant quelques jours, ce qui était une bénédiction compte tenu des circonstances. Les omégas affectaient n'importe quelle espèce, ce qui rendait sa jumelle apte à aider Prudence à s'habituer aux loups. En outre, sa propre forme hybridée était plus petite et plus facile d'approcher dans un premier temps. Gretel se redressa pour manipuler la lumière du plafonnier qu'elle baissa presque jusqu'à l'éteinte complète, puis elle regarda la demoiselle sans changer de position. Assise sur son bassin, elle dénoua ses dreadlocks mauves qui retombèrent dans son dos et sur sa poitrine à présent dissimulée, puis elle glissa une main sur le ventre de la demoiselle. Délicatement, elle remonta de quelques centimètres son débardeur.
"Je peux te l'enlever ?"
Une légère lueur allumait ses iris d'or, et sa voix était un poil plus rauque qu'auparavant. Elle ne savait pas elle-même ce à quoi elle pensait, malgré ses envies il lui semblait tôt pour la faire grimper aux rideaux, mais elle n'en pouvait plus de la voir toujours habillée. Elle l'avait enfin, rien qu'à elle, et elle mourrait d'envie d'explorer son corps sous toutes les coutures.
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Clionestra
Mer 13 Sep - 22:36
Prudence O'Donnell
J'ai 26 ans et je vis à New York, mais en vrai je papillonne partout. Dans la vie, je suis détective privée pour les cas oublié par les loup garou. Sinon, grâce à ma chance, je suis un groupie de Gretel et je compte bien le rester. → Attaqué à 8 ans par un loup errant, et à perdu ses cordes vocales → Parle le langage des signes, peut lire sur les lèvres → A vue seulement trois fois Gretel en live, à 11 ans, à 13 ans et à 14 ans.
Elle pince ses lèvres et regarde ailleurs, l’air de dire « non, tu es parfaite j’ai dis ». Elle ne voulait pas accepter qu’elle puisse être susceptible. Elle ne pensait pas Gretel capable d’être violente pour rien. Donc, elle avait raison. Si quelqu’un s’invite chez elle ou lui manque de respect, même elle, Prudence, pourrait s’énerver. Parce qu’on ne manque pas de respect à sa Gretel, non mais oh. Donc. Non. Gretel n’était pas susceptible du tout. Elle l’écoute, apprendre de ses mots, apprendre de sa voix. Elle comprend, elle croit. Même si elle n’était pas encore sûre de pouvoir supporter la présence de Angel, elle pouvait essayer de le comprendre. Peut-être que s’il était vraiment si avenant, elle arrivera à plus vite oublier sa peur… elle l’espère vraiment … Elle n’avait pas envie d’avoir peur de la famille de Gretel. Elle les connaissait par l’intermédiaire de Gretel, depuis un an, et par ce qu’elle avait vue depuis ses onze ans… Alors elle fit un hochement de tête pour dire qu’elle entendait et comprenait. Avant que la jeune femme ne s’approche de son oreille pour lui parler et lui rappeler qu’elle était à elle. Elle sourit. Cela lui va, mais cela n’empêche qu’elle doit apprendre à ne plus avoir peur, pour le bien de leur relation. Elle regarde la jeune femme, penche la tête sur le côté pendant qu’elle laisse ses cheveux libérés. Prudence a envie de la toucher, mais n’ose pas le faire. Elle se demande juste la douceur de ses cheveux ou la sensation de l’avoir sur son visage. Elle ne voyait plus bien, et laisse ses yeux s’habituer à la lumière. Elle voulait voir aussi. Elle voulait la voir, mais Gretel préférait le noir, dommage. La main sous son débardeur la surprise. Cela lui faisait naître des frissons sur sa poitrine. C’était agréable. Elle sourit à la question … puis ensuite elle laissa un petit rire.
- Mhhh, fit-elle pour dire oui en hochant la tête.
Elle le ferait bien elle-même, mais elle avait l’impression que c’était important pour Gretel. Quelque chose lui faisait dire qu’elle en avait besoin. De la manipuler, de la porter, de monter sur elle. Gretel n’y voyait rien à redire. Cela ne le dérange pas. Elle approche sa main de la joue et laissa un nouveau sourire s’entendre entendre elle. C’était le genre qui envoyer un message clair « Je te fais entièrement confiance ».
Gretel ne put s'empêcher de sourire, satisfaite de l'approbation qu'elle venait d'avoir. Elle se redressa et incita la demoiselle à ouvrir ses cuisses pour s'agenouiller entre, ravie d'avoir une vue d'ensemble sur la jeune femme. Lentement, elle releva le débardeur pour ne dévoiler que son ventre dans un premier temps, sa main glissant délicatement dessus. Elle avait la peau douce, mais colorée de bleus divers et marques plus ou moins grandes qu'elle attribuait sans mal au loup qui l'avait attaquée enfant. Elle se pencha pour déposer un baiser au dessus de son nombril, avant de promener ses lèvres ci et là, embrassant chaque cicatrice, chaque blessure qu'elle trouvait sur son chemin avec une délicatesse infinie histoire de ne pas lui faire mal. Puis elle remonta un peu plus son haut afin de dévoiler sa poitrine qu'elle trouva de suite à son goût, et plus encore quand elle vint y glisser une main curieuse. Son sein épousait parfaitement la coupe de sa main, ce qui la convainquit une énième fois. Elle se pencha encore pour continuer de parsemer sa peau de baisers en remontant le long de son sternum, avant de redescendre jusqu'à l'un de ses mamelons qu'elle effleura du bout des lèvres. Sa peau était douce, sucrée, lui donnant envie de la goûter encore et encore. Elle ne se priva pas de lui donner un léger coup de langue en étouffant un petit rire avant de se relever, espérant contempler un visage aussi rouge que sa gêne.
"Si tu veux que je cesse, fais le moi immédiatement savoir."
La louve l'aida à se redresser suffisamment pour lui ôter complètement son haut, les rendant presque à égalité. Elle passa une jambe par dessus la sienne, se retrouvant avec un genou près de sa hanche et l'autre légèrement appuyé entre ses cuisses, histoire qu'elle s'avance un peu plus. Ses cheveux retombant ci et là effleuraient la peau de la jeune femme à chacun de ses mouvements. Gretel reprit là où elle en était, embrassant une dernière fois sa poitrine avant de remonter sur sa gorge, sur cette vilaine cicatrice qui l'empêchait de parler. Elle en embrassa chaque parcelle, s'appuyant un peu plus sur la demoiselle si bien que leurs poitrines s'effleuraient. Elle continua son ascension jusqu'au lobe d'oreille qu'elle mordilla, avant de s'avancer encore un peu pour la regarder droit dans les yeux. Sourire aux lèvres, elle déposa ses lèvres sur les siennes pour l'embrasser tendrement, les yeux clos. Son baiser était doux et délicat, ce qui témoignait d'une grande volonté de sa part vu la chaleur qui se diffusait dans son bas ventre. Lorsqu'elle libéra sa bouche pour reprendre son souffle, elle retourna immédiatement caresser sa gorge abîmée.
[b]"Est-ce que tu veux continuer ? Et si oui, est-ce que je peux retirer ton bas ?"
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Clionestra
Mer 13 Sep - 23:19
Prudence O'Donnell
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À mesure qu'elle découvrait son corps ravagé par le loup et les Hommes, elle sentait une flamme s'allumer en elle. Un mélange de haine et de désir, une envie de tuer et de posséder. Chaque plaie, chaque marque qu'elle trouvait sur son chemin était délicatement embrassée, comme si elle voulait que leur existence ne soit plus associée à de mauvais souvenirs, mais à ses lèvres sur sa peau. C'était sa volonté depuis la première fois qu'elle avait glissé sa main sur sa gorge. Elle n'avait aucun mal à deviner que la demoiselle n'avait jamais été touchée de cette façon auparavant et, bien qu'elle trouve quelque chose de dérangeant à penser ainsi, elle appréciait d'être la première à laquelle elle s'offrait. D'être la seule, en réalité. Elle sentait son corps vibrer sous le sien à mesure que leurs langues se mêlaient. Elle sentait sa poitrine se raffermir, ses tétons pointer en se frottant contre les siens. Le corps de Gretel réagissait en conséquence, cela dit elle mourrait d'envie de lui sauter dessus depuis quelques temps déjà. Elle la laissa glisser sa main sur son sous-vêtement et sourit en lisant sur ses lèvres. Que Prudence ne parle pas ou qu'elle-même soit sourde comme un pot n'avait pas la moindre importance, elle rêvait déjà d'à quel point elle allait la rendre folle. Elle lui demanderait de la supplier, de lui dire qu'elle lui appartenait, de lui dire qu'elle l'aimait. Elle s'était déjà appropriée son coeur et en ferait de même avec son corps, et elle n'avait aucun remord en y repensant. Gretel n'était pas juste dominante en tant que louve, c'était une part importante de sa sexualité... Mais elle pouvait tout à fait s'en passer. Elle pouvait se montrer douce et délicate, comme elle comptait le faire ce soir. Et elle recommencerait ça aussi, parce qu'elles en avaient toutes les deux besoin.
Lentement, les lèvres de la louve prirent le chemin inverse. Elle s'arrêta sur sa poitrine pour venir titiller ses extrémités avec la pointe de sa langue, s'amusant à l'enrouler autour, à donner quelques coups, et même à la mordiller sans la blesser par instant. Elle embrassa la brûle dans le creux de son sein tendrement, puis descendit le long de son ventre. D'un geste maîtrisé, elle releva le bassin de la demoiselle pour lui retirer son bas, la dévoilant enfin complètement à son regard doré. Elle ne put s'empêcher de sourire en remarquant qu'elle lui faisait beaucoup d'effet, ce qui était loin de lui déplaire. La louve embrassa sa hanche, puis le haut de son aine, avant de finalement poser un baiser sur son bouton d'or. Elle y donna un petit coup de langue, puis un deuxième, tandis que l'un de ses doigts vint caresser son entrée en douceur. Elle la laissa s'habituer à sa présence avant d'enfoncer doucement son index, en restant très attentive à la moindre de ses réactions.
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Clionestra
Jeu 14 Sep - 0:09
Prudence O'Donnell
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Prudence avait le goût du sucre, du citron et de l'orange mélangés, ce qui correspondait peu ou prou à l'une de ses sucreries favorites. Sa langue torturait avec plaisir son intimité, glissant même un peu plus bas pour remplacer ses doigts quelques instants. Elle s'agrippa à sa cuisse pour stabiliser son bassin qui ondulait mécaniquement, savourant la manifestation de son désir avec un plaisir sincère. Avant d'insérer un second doigt en elle, elle redressa légèrement la tête.
"Il est possible que ça te tiraille ou que tu ais un peu mal, fais moi signe si c'est insupportable."
N'en déplaise aux arriérés, nul besoin d'une verge flamboyante pour déchirer un hymen. Néanmoins, en y allant en douceur, Gretel gardait une chance de l'étirer sans le briser. Elle serra la main de Prue dans la sienne avant de retourner à sa tâche, continuant de malmener la demoiselle pour son bon plaisir. Elle la sentit se tendre, s'agiter, jusqu'à jouir sous l'assaut de ses caresses. Sourire aux lèvres, elle la relâcha en douceur et se redressa pour venir l'embrasser à nouveau, mordillant sa lèvre inférieure pour la l'inciter à reprendre son souffle. Quand elle la sentit manquer d'air elle daigna la relâcher, puis vint s'allonger sur le flanc à côté d'elle en la prenant dans ses bras. L'une de ses mains trouva néanmoins son chemin jusqu'à sa poitrine, s'emparant de l'un de ses seins qu'elle caressa, malaxa un peu, s'amusant même à venir pincer son téton et à le rouler entre son pouce et son index. L'avantage de la condition féminine était la possibilité de continuer ces petits jeux sans soucis, et Gretel n'en avait clairement pas fini avec son humaine. Elle se pencha pour embrasser son front, venant caresser sa tempe à l'aide de sa main libre.
"Comment tu te sens ?"
Elle tira sur le plaid qui traînait sur le lit pour le remonter sur elle histoire qu'elle ne prenne pas froid, un entre-deux acceptable puisqu'elle ne comptait pas aller se coucher tout de suite.
"Est-ce que tu as conscience de ce que signifie être ma compagne ?"