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Edward
Mer 14 Fév - 18:24
Matthew Phillips
J'ai 28 ans et je vis à Vancouver, Colombie Britannique. Dans la vie, je suis Photographe et je m'en sors moyennement pour un nouveau dans le métier. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Informations supplémentaires ici.
A défaut de bonbons, je piques autre chose, que veux-tu ! Pouffais-je alors que je la laisse m'entraîner. Nous terminons donc le trajet bras-dessus bras-dessous, riant de son estomac calé aux bonbons.
De toute façon, ce ne serait pas une bonne idée, tu risquerais de dormir avec du pop-corn dans ton lit. Pouffais-je en réponse à son éclat de rire.
Chemin faisant, nous bavardons de trucs et d’autres. Rien de vraiment personnel, mais plus dans un échange fluide et tranquille, parsemé de quelques éclats de rire. Je suis généralement plutôt bavard et, chose amusante, cela semble souvent assez contagieux. Une fois rentrés, je verrouille la porte et retire mes baskets avant d’accrocher ma veste en cuir dans la penderie. De son côté, elle a déjà déplié le canapé avant de pouffer en arguant que nous aurons plus de place.
Oui, c’est un fait ! Rétorquais-je en riant avant de sortir la couette de sous l’assise. Vas-y, je vais faire de même, maintenant, c’est soirée pyjama ! Lançais-je en me marrant comme un môme. Pendant qu’elle va à la salle de bain, je mets rapidement le drap sur le canapé avant d’abandonner la couette en tas. Je me rends alors dans ma chambre ou j’enfile un t-shirt et un short de nuit avant de mettre mon casque, le fameux, sur ma tête. De retour dans le salon, je la trouve dans une tenue licorne qui tranche sacrément avec mon casque militaire estampillé “PRESS”. C’est un casque couleur sable dont le côté gauche a été littéralement déchiqueté par un éclat de mortier.
C’est bien soldat ! Lançais-je en réponse à son exclamation. Je presse alors un bouton au mur et un écran descend du plafond. À grand chef-d'œuvre, grand écran ! Gloussais-je avant de la rejoindre sur le canapé.
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Arthécate
Mer 14 Fév - 18:56
Hailey Stevens
J'ai 23 ans et je vis à Vancouver, Colombie Britannique. Dans la vie, je vis de petits boulots, ce qui me convient parfaitement. Je suis récemment redevenue célibataire et tant mieux… Sauf que je suis obligée de squatter le canapé de mon frère.
Informations supplémentaires ici.
Je ne peux qu'éclater de rire en avisant sa dégaine… Un mélange subtil entre la décontracté et l'urgence… Comme s'il venait tout juste d'être tiré du lit … avec un casque estampillé “Presse” sur la tête.
– Ta tête de lit est si menaçante que ça ? je pouffe, hilare, avant de m'installer plus confortablement, un coussin dans les bras.
Je le laisse préparer le nécessaire, notamment le fameux écran dont Alex, en grand cinéphile, m'avait tant fait l'éloge. Malicieuse, je saisis la télécommande pour la lui coller devant le bec, comme on le ferait avec un micro. D'ailleurs, pour jouer le jeu, je m'empresse de lui voler son casque.
– Quelques mots avant la projection ? je lui lance en souriant. Parlez-nous de ce fameux film.
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Edward
Mer 14 Fév - 22:01
Matthew Phillips
J'ai 28 ans et je vis à Vancouver, Colombie Britannique. Dans la vie, je suis Photographe et je m'en sors moyennement pour un nouveau dans le métier. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Informations supplémentaires ici.
C’est sûr, un casque militaire avec un short gris et un t-shirt blanc, cela peut donner un look un peu étrange. Il ne manque que le fusil et cela pourrait faire comme dans ces films où des soldats sont attaqués en pleine nuit sur leur camp en Irak.
Naaan ! C’est le casque dont je t’ai parlé, celui que j’avais quand j’étais au Sahel. Expliquais-je en la rejoignant sur le canapé-lit, m’asseyant en tailleur. Tandis que l’écran descend doucement, j’allume les enceintes et m’empare de la tablette qui gère le projecteur. Alex et moi, on s’était tous les deux cotisés pour l’achat de ce système. Il possédait la partie son et moi la partie image. Alors que le film s’affichait, prêt à être lancé, Hailey me déroba casque et télécommande pour se la jouer reporter.
Eh bien toute l’équipe espère que ce film saura laisser sa trace. Nous y avons mis tout notre savoir et tout notre cœur. Commençais-je en entrant pleinement dans son jeu. Il a été réalisé avec peu de moyen par un type qui n’y connait rien, mais tout a été fait avec l’âme. Ici l’idée était de rendre hommage à l’œuvre originale tout en y associant quelques clins d'œil de la version de Burton. Le mieux reste encore de le regarder ! Dis-je en pointant l’écran du doigt. En revanche, vous devriez vous méfier, votre casque est un peu abimé, ce n'est as très présentable pour la remise des Césars.
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Jeu 15 Fév - 8:26
Hailey Stevens
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Le voyant rentrer dans mon jeu avec grand sérieux, je m'efforce à garder le mien… Et ce n'est pas si facile. Je ferai une bien piètre actrice, à l'évidence.
–En revanche, vous devriez vous méfier, votre casque est un peu abimé, ce n'est pas très présentable pour la remise des Césars. – Hein ?
Surprise, je retire le casque pour l'observer avec plus d'attention… Je n'avais pas du tout remarqué que l'un des côtés avait été… totalement déchiqueté. Comment ai-je fait pour ne pas le voir ?
Mon regard passe alors du casque au visage de Matthew. Ce dernier ne porte aucune cicatrice, heureusement pour lui… Mais alors… Comment a-t-il pu seulement survivre alors que son casque s'est retrouvé dans un état pareil.
– Heu…. Comment ? Pourquoi ?
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Edward
Jeu 15 Fév - 12:17
Matthew Phillips
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A sa tête, je comprends qu’elle n’avait pas remarqué le large impact qui noircissait le flanc du casque. Ce dernier, éventré sur près de dix centimètres, m’avait été offert par les soldats français à la fin de mon séjour. Je vois son regard aller du casque à ma figure, des yeux interrogateurs et perplexes.
Je venais de prendre une série de photos d’un groupe de soldats français en pleine action. Un obus de mortier est tombé non loin et un éclat a frappé mon casque. J’ai eu une chance incroyable de m’en sortir indemne. J’ai juste été assommé par le choc. Les militaires m’ont offert le casque quand je suis reparti.
Je laissais un doigt frôler la déchirure.
C’est un peu con, mais depuis, j’aime ce casque. Il me rappelle à quel point la vie est fragile et qu’il faut en profiter.
Reprenant le casque pour le poser sur la table basse, je lui souriais largement. Alors, prête pour ce grand film ? Demandais-je, souriant.
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Arthécate
Jeu 15 Fév - 12:42
Hailey Stevens
J'ai 23 ans et je vis à Vancouver, Colombie Britannique. Dans la vie, je vis de petits boulots, ce qui me convient parfaitement. Je suis récemment redevenue célibataire et tant mieux… Sauf que je suis obligée de squatter le canapé de mon frère.
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J'observe, j'écoute avec attention ses explications. Cela ne fait aucun doute, il a eu beaucoup de chance ce jour-là et je comprends tout à fait pourquoi il a ressenti le besoin de garder l'objet qui lui a sauvé la vie.
– Ouais… Enfin. Il est quand même un peu dangereux ton boulot. Tu devrais plutôt te contenter de photographier des jolies filles dans un champ de coquelicots pour une pub de parfum… C'est plus sur.
Je ne cherche pas à me moquer, pas du tout. C'est juste que je n'aime pas que l'on m'expose la fragilité de la vie. Je la connais déjà très bien. Je lui rends donc le casque qu'il s'empresse de poser sur la table basse avant de lancer le film.
Mon oreiller toujours prisonnier de mes bras, je me laisse porter par les images qui défilent. Ce n'est certes pas un travail de pro, le jeu des acteurs est même plutôt mauvais. Il me rappelle un peu celui des comédiens d'avant la nouvelle vague. C'est peut-être l'effet recherché après tout. J’aime beaucoup l'attention portée à l'image, à la lumière. Le son est intéressant lui aussi. Je me demande avec quel matériel ils ont tourné. Je n'y connais strictement rien, bien-sûr, mais je suis tout de même très curieuse.
– Intéressant, dis-je une fois le court-métrage terminé. Le clair-obscur est vraiment génial. Cela donne une ambiance particulière à mi-chemin entre l'angoissant et le reposant. J'adore.
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Jeu 15 Fév - 18:24
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Ah ben, je voulais essayer le reportage de guerre, si c’est passionnant, c’est pas dit que je recommence ! Avouais-je avant de la débarrasser du casque et de lancer le film.
Évidemment, nous sommes bien loin d’un truc bien fichu. Il ne faut pas oublier que les acteurs sont des étudiants en technologie de l’image et de la prise de vue. Comprendre par là que ce sont uniquement des personnes habituées à être du côté invisible de l’objectif. D’ailleurs, mes camarades ont dû me forcer à passer devant les caméras, arguant que “même Tarantino le faisait”. C’est un ainsi que j’avais interprété un petit rôle, important certes, mais largement réduit pour que le film tienne dans l’heure.
Lorsque le générique de fin démarre, les premières critiques d’Hailey me font terriblement plaisir.
Merci ! Ce jeu entre les ombres et la lumière, c’était ce que je voulais pour ce film ! M’exclamais-je, un peu excité par son approbation. C’était bien galère à réaliser, surtout qu’il fallait guider les acteurs pour tirer pleinement parti des effets, mais je suis assez fier du résultat. Dis-je avec un large sourire. Tu m’as reconnu en Tobias ? Le marin amoureux de la fille du barbier ? Demandais-je avant de me laisser tomber en arrière sur le lit. Ils m’ont menacé de me retirer la réalisation si je n’apparaissais pas à l’écran. Pouffais-je.
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Jeu 15 Fév - 18:45
Hailey Stevens
J'ai 23 ans et je vis à Vancouver, Colombie Britannique. Dans la vie, je vis de petits boulots, ce qui me convient parfaitement. Je suis récemment redevenue célibataire et tant mieux… Sauf que je suis obligée de squatter le canapé de mon frère.
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Mon commentaire semble le satisfaire. Il m'explique que c'était précisément ce qu'il avait souhaité pour son film avant de me parler des difficultés qu'ils avaient pu rencontrer durant la réalisation de ce dernier. Il me demande ensuite si je l'ai reconnu à l'image mais je dois bien avouer que non.
– Vraiment ? Non, pas du tout… en même temps, tu devrais être vachement plus jeune…
Après tout, j'imagine qu'il doit avoir l'âge de mon frère, plus ou moins trente ans. Enfin, je suppose. Il a, en tout cas, l'air bien plus mature que les gamins présents dans ce film.
– C'est chouette d'avoir ce genre de souvenirs, dis-je en resserrant un peu plus mon oreiller. Tu en as d'autres ? J'ai pas vraiment sommeil donc bon…
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Edward
Jeu 15 Fév - 20:08
Matthew Phillips
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J’avais 22 ans je crois. Après, j’étais bien grimé aussi. Entre la perruque brune et la fausse moustache… Et je me suis amusé à rendre la vie difficile à celui qui tenait la caméra aussi. Pouffais-je afin qu’elle comprenne qu’il n’était pas évident du tout de me repérer.
Allongé sur le lit, je la regarde alors qu’elle resserre l’oreiller entre ses bras, affirmant qu’il était fantastique d’avoir de tels souvenirs. Avouant ne pas avoir sommeil, elle me réclame alors d’autres histoires. Je me retourne alors, toujours sur le dos, mais la tête à côté d’elle et non plus loin dans son dos.
En anecdotes marrantes, il y a l’éternel cours sur la photo dénudée. Il y en a toujours des tonnes à raconter sur ces moments-là. Comment, sur les premiers cours, il est parfois difficile de se concentrer sur le jeu de contraste et de lumière plus que sur d’autres choses. Quand tu vois la photo d’une cambrure du dos allant de la nuque aux reins, les observateurs ont souvent tendance à oublier que le photographe voit le sujet en entier. C’est pas toujours simple à gérer quand tu es jeune, même si cela prête souvent à sourire quand on le raconte. Après, avec le travail et l’habitude, tu apprends à voir cela avec un filtre. Le plus difficile étant encore de servir de modèle en fait. Gloussais-je. Après, avec le temps, cela fait de drôles de souvenirs que l’on se ressort parfois quand on se croise avec les collègues. Racontais-je, un sourire aux lèvres.
Après, au niveau de la photo humaine, je me suis spécialisé dans ce que j’appelle la sublimation naturelle. J’aime trouver un moyen de sublimer une personne sans aucun artifice, simplement en jouant avec les ombres, les lumières, la colorimétrie ou les angles de vue. C’est vraiment quelque chose que je trouve hyper complexe mais hyper intéressant. Je me souviens, au Nigère je crois, j’avais croisé une femme. Ni jeune, ni vieille, pas spécialement souriante, j’ai obtenu son accord par geste pour la photographier mais elle n’a jamais souri et elle cherchait absolument à dissimuler une cicatrice qu’elle avait à la joue. Finalement, je lui ai fait baisser la main, pour qu’elle cache un téton avec deux doigts et j’ai fait l’inverse de ce qu’elle imaginait, j’ai au contraire mis en valeur cette cicatrice qui, couplée à son regard profond, a donné un résultat…
Je me retourne alors sur le ventre et m’étire jusqu’à la table basse. Ouvrant un tiroir, j’en sors ladite photo en noir et blanc, encadrée dans un cadre très simple en ébène. Je l’observe et la lui tend.
J’ai alors trouvé cette femme sublime et, lorsque je lui ai donné le double, dans un cadre, elle l’a longuement regardé avant de m’enlacer… Et elle souriait. Racontais-je, allongé sur le flanc, à côté d’elle. J’aime que les gens se trouvent beaux grâce à mon travail, je crois que c’est ce que je préfères dans mon métier.
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Jeu 15 Fév - 20:27
Hailey Stevens
J'ai 23 ans et je vis à Vancouver, Colombie Britannique. Dans la vie, je vis de petits boulots, ce qui me convient parfaitement. Je suis récemment redevenue célibataire et tant mieux… Sauf que je suis obligée de squatter le canapé de mon frère.
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J'écoute en silence, attentive à toutes ces histoires liées à son domaine professionnel. Je souris en l'imaginant rougir devant un corps nu avant de le photographier. J'éclate de rire en l'entendant affirmer que le plus compliqué restait de servir de modèle. Et je suis parfaitement certaine que s'il l'affirme, c'est précisément parce qu'il l'a vécu.
Il me parle ensuite de ses préférences en matière de photographie, me narrant l'histoire de cette femme à la cicatrice immortalisée dans une photo encadrée. Je ne regarde pas la photo, du moins ce n'est pas ce que je fais en tout premier. Je préfère soulever un point que je juge hautement important :
– Tu fais donc partie de ces gens qui encadrent des photos pour les laisser pourrir dans un tiroir, dis-je en haussant un sourcil.
Je pouffe en me levant, cherchant un petit point de lumière pour mieux observer ce cliché si injustement oublié. Je dois bien avouer qu'il a l'oeil, cette femme est tout simplement magnifique… Unique, grâce à cette cicatrice pourtant imposante.
– En effet, elle est sublime, j'affirme en souriant. Et elle n'a strictement rien à faire dans un tiroir !
J'éclate de rire avant de lui rendre le cadre et de reprendre ma place sur le lit.
– C'est dommage, je n'ai rien d'aussi intéressant à raconter en échange.