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LE TEMPS D'UN RP

"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Dim 14 Juil - 17:40

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Angelica avait grandit au sein d’un foyer dysfonctionnel dans lequel, elle était la perpétuelle raison des disputes entre ses parents. Les reproches semblaient constants, de telle sorte qu’ils en avaient presque omis le bonheur de leur seule et unique enfant. Pourtant, la petite fille au milieu de cette famille brisée et divisée, était devenue une femme conciliante, pétillante, douce et tout disposée à pardonner lorsqu’elle le jugeait opportun. Elle ne portait aucune stigmate de cette enfance tumultueuse, et ça ne faisait que la rendre plus fier encore de celle qu’elle était devenue aujourd’hui, de cette femme qu’il aimait tant. « Parfois la haine prend tellement le pas sur l’amour, qu’ils en oublient comment ils s’en sont venus à s’aimer la première fois… Seulement, ils ont également omis que tu étais au milieu de tout ça et qu’ils devaient te protéger ». Aucun de ses parents n’avaient su assumer pleinement leur rôle, de telle sorte qu’ils avaient rendu quelque peu malheureuse le fruit de leur amour passé. « Ce n’est pas parce qu’il existe pire ailleurs, que tu dois minimiser ce que tu as ressenti » renchérit-il avec douceur tout en venant déposer un baiser sur le sommet de sa chevelure de feu. « Je comprends mieux pourquoi tu as fondé tes réseaux sur le bien-être ». Probablement que cela n’avait aucun lien, mais en cet instant, en écoutant Angelica se livrer sur une enfance déplaisante, soumise aux directives d’une mère qui vivait sa vie par procuration, il y percevait un lien de causalité. « Tu as été heureuse de gagner, toi aussi ? » parce que son bonheur comptait aussi. Pas seulement celui de son entourage.

La quiétude qu’offrait l’endroit et la présence d’Angelica à ses côtés eurent raison de lui, se laissant bercer par les bras de Morphée peu de temps après que ses paupières ne se soient fermées. Il dormit du sommeil du juste durant deux longues heures, durant lesquelles la jolie rousse à ses côtés avaient lu. Le roman était celui d’une de ses followers. Cela le fit sourire avec douceur en constatant le lien qui existait entre l’influenceuse et les personnes qui la suivaient au travers de ses réseaux sociaux. « De quoi ça parle ? » l’interrogea-t-il, réellement intéressé. Une fois sur la terre ferme, le politicien proposa une soirée au coin du feu, et à la belle étoile. L’un des charmes de détenir une propriété de plusieurs hectares coupée du monde, c’était la possibilité de dormir la nuit en pleine nature sans craindre le moindre danger. L’engouement d’Angelica lui confirma que sa proposition était pertinente. Elle s’imaginait d’ores et déjà lui conter des histoires qui font peur. Il se montra quelque peu dubitatif face à cette idée, et la souleva pour la poser sur son épaule, comme si elle n’était qu’un vulgaire sac de sable « J’en connais plein des histoires qui font peur mon amour, mais es-tu prête à les entendre ?! ». Telle était la question ! Mais pour que la soirée soit parfaite, il était nécessaire qu’ils aient en leur possession des shamallow, ainsi des bananes et du chocolat. Derniers ajouts à sa liste effectué par une Angelica toujours postée sur son épaule « Si Madame le désire, qu’il en soit ainsi » et se saisit donc du téléphone pour commander un taxi. Une heure. Il avait des projets avant la venue de ce dernier, qui consistait à baiser sa petite-amie sous la douche. Une proposition qui eut pour effet d’apaiser les assauts de sa moitié qui insistait pour qu’il la repose au sol. « Je savais que tu serais te montrer réceptive à ma demande » répliqua-t-il en riant de bon cœur.





Charly
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Charly
Dim 14 Juil - 19:16

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -il y a encore quelques années, je leur en voulait. Aujourd’hui, je me dis qu’ils ont fait comme ils pouvaient… Et finalement, je ne me balade pas plus de blessure que les autres… » elle trainait encore ce sentiment de ne jamais parvenir à être assez… mais elle travaillait dessus… « -je ne minimise pas, j’ai travaillé dessus, je travaille encore dessus aujourd’hui… » à quoi bon juger ses parents. Il était impossible de revenir en arrière. « -ça a été une motivation oui… parce que je trouve ça important que toutes ces femmes, parviennent à s’accepter pleinement. S’aimer elle et non pas ce qu’en pense les autres. » elle sourit ensuite : « -j’étais heureuse de la voir heureuse. A l’époque j’avais la sensation d’avoir enfin droit à son amour. » une grimace. « -je sais, c’est moche… » mais c’était la vérité.

Alors qu’elle commençait à ramer sous les conseils d’Edward, elle lui expliqua d’où sortait le livre qu’elle avait dans son sac. Une de ses followers qui lui avait demandé de le lire. C’était bien écrit, l’histoire était intéressante. « -c’est l’histoire d’une femme qui fait une dépression à cause de son travail. En gros s’est son cheminement pour sortir la tête de l’eau, changer de vie… j’aime bien. Quand je l’aurai terminé, je lui ferais une petite promotion gratuite. Il lui a certainement fallu déjà du courage pour me demander de lire ce qu’elle a écrit. Si ça peut l’aider, j’en serais heureuse. » Ce n’était pas rien d’écrire un livre. Cette femme méritait d’être connue et reconnue. Angie avait dans l’idée de lui faire rencontrer Adam, mais elle évita d’en parler, pour ne pas raviver de dispute.



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Manhattan Redlish
Dim 14 Juil - 20:41

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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La compréhension dont faisait preuve Angelica à l’égard du comportement de ses parents était prodigieuse, relevant presque de l’abnégation. Elle ne se considérait pas plus heurtée que quiconque en ce bas monde. Pas plus que lui qui pourtant avait grandi dans un foyer au sein duquel il avait été aimé et choyé. Pourtant, il était incapable de ne pas éprouver une certaine contrariété à la simple pensée que ces parents n’éprouvaient probablement une culpabilité. « Je sais que tu y parviendras ». S’il y avait bien une personne dans cette barque capable de tout surmonter et de guérir de ses blessures passées, c’était elle. Tout bien considéré, Angelica était parvenue à utiliser une faille dans son histoire et la transformer en force, pour encourager les autres femmes à ne plus se soucier du regard des autres, mais seulement du leur. La couvant amoureusement du regard, Edward déclara avec une sincérité déconcertante « Je t’admire tellement ». Elle le faisait l’aimer un peu plus encore. Comment toutes ces personnes qui étaient censées l’aimer sans concession, étaient parvenus à ébranler la femme qu’elle était… Ses parents. Travis. Il n’avait plus qu’un désir, prendre soin d’elle, l’aimer et la protéger. « Oui. C’est moche… » confirma-t-il, le cœur serré. « Tu es pourtant si facile à aimer… ». Elle méritait d’être aimée pour celle qu’elle était. C’était la seule et l’unique manière de l’aimer, aux yeux du politicien.

Angelica le lui prouva une fois encore lorsqu’elle confia comment elle en était venue à lire ce roman. Un livre qui avait été écrit par l’une de ses followers et qui attendait un retour de l’influenceuse. Un dévouement que le politicien admirait au quotidien. L’influenceuse ne le faisait pas pour accroître sa réputation auprès de l’opinion publique, mais parce que ça lui tenait à cœur. Elle aimait venir en aide aux gens, qu’ils s’épanouissent tout autant qu’elle. Comment ne pas aimer une telle femme ?! Il en était incapable. « Tu me fais t’aimer plus encore Angie » et lui sourit avec douceur, tout en reprenant « Est-ce qu’elle a un éditeur ? » demanda-t-il réellement intéressé « Parle s’en à Adam. Il connaît du monde dans le milieu de l’édition, il pourrait sûrement l’aider ». Il hésita un instant, et reprit « Laisse-moi seulement lui parler de nous deux avant. S’il te plaît ». Edward devait une explication à l’auteur à succès au préalable, justifier son comportement le soir du gala. Mais aujourd’hui, il ne souhaitait pas s’épancher davantage sur le sujet de son ami de longue date et se remémorer cette dispute qui aurait pu sonner le glas de sa relation avec Angelica. Elle était présente à ses côtés, elle l’aimait et c’était tout ce qui devait importer aujourd’hui à ses yeux.






Charly
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Charly
Lun 15 Juil - 0:18

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -tu… » elle venait de froncer les sourcils tout en souriant, ne comprenant pas. « -tu m’admires ? » elle ajouta un : « -pourquoi ? » elle ne souhaitait pas flatter son égo, mais comprendre ce qui le poussait à lui dire cela. Evoquer ses parents n’était jamais quelque chose qu’elle appréciait. Mais ils faisaient parti de son histoire et elle appréciait qu’Edward cherche à en savoir plus à son sujet. Elle sourit avec douceur à ces derniers mots. « -je t’aime… » souffla Angie tel une confiance. Facile à aimer et jusqu’à quelques années, facile à manipuler, à berner et à détruire. Aujourd’hui, elle n’était plus cette femme. Elle avait changé, évolué, elle s’était soignée lentement de ses blessures d’enfances. Et si elle pouvait aider d’autres femmes à le faire, alors c’était une immense satisfaction personnelle. C’était une merveilleuse motivation pour son job, qu’elle ne faisait pas pour vendre des leggings ou des tapis de yoga.

Non, elle le faisait pour aider ces femmes et c’était aussi pour cette raison qu’elle avait accepté de lire ce livre, écrit par l’une de ces femmes qui la suivait sur les réseaux. A nouveau ce soir et cette sorte d’incompréhension suite à ce qu’il venait de dire. « -pour le moment, elle s’est auto éditer, mais son livre mérite d’être connu. » Angie ouvrit la bouche en arrêtant de ramer, tournant la tête vers Edward. S’en suivit un hochement de tête et un : « -d’accord… » elle espérait qu’Adam appellerait avant Edward.


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Manhattan Redlish
Lun 15 Juil - 9:39

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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La couvant amoureusement du regard, Edward ne put réprimer un doux sourire à l’attention de la jeune femme toujours blottie dans ses bras. Elle semblait perplexe vis-à-vis de ses mots, et il trouva ça pour le moins attendrissant. Comme si elle ne parvenait pas à comprendre les fondements de telles paroles. « Oui, je t’admire » comme si c’était l’évidence même « Parce que tu as su te reconstruire, devenir une femme forte et indépendante, qui a su transformer le négatif en positif. Tu apportes du bonheur aux gens, tu es si dévouée… Je t’admire pour tout ça, pour la femme que tu es aujourd’hui » déclara-t-il avec la même sincérité qui brillait dans ses prunelles azurées. Il l’aimait un peu plus chaque jour, aujourd’hui, ne faisait pas exception. Il ne parvenait pas à comprendre pourquoi tant de gens s’étaient évertués à la briser au cours de son existence, alors qu’elle méritait seulement d’être aimé inconditionnellement. Si les autres avaient failli face à une telle mission, il se promit qu’il ne faillirait pas devant la sienne. Il se promit de tout mettre en œuvre pour qu’elle soit pleinement heureuse à ses côtés, aussi longtemps que durerait leur histoire. Son cœur se gonfla un peu plus d’amour pour elle lorsqu’elle prononça ces trois petits mots dans un murmure « Moi aussi la mia luce ». Il n’en dérogeait pas. Elle était si facile à aimer… Et la voir si investie auprès de ses followers ne faisait que l’aimer un peu plus. Elle était réellement dévouée à son prochain, et beaucoup avait à apprendre de cette femme. Il avait envie d’apprendre lui aussi. Il lui proposa donc d’évoquer le sujet avec Adam. Il comprit que l’évocation du nom de l’auteur à succès la surprenait après leur dernière discorde « Je n’interfèrerais pas. Je te le promets ».



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Lun 15 Juil - 12:10

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J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -arrête parce que je vais rougir… avait elle répondu en baissant les yeux, avant d’ajouter : « -je me suis reconstruit parce que c’était soit aller de l’avant, soit faire une énorme dépression… » un petit haussement d’épaule comme si ce n’était rien : « -j’ai choisi d’être heureuse. C’était… s’était un peu une sorte de revanche aussi. » elle avait voulu montrer à Travis qu’elle était capable de vivre sans lui, et de vivre bien mieux ! Qu’il ne l’avait pas détruire. Parfois elle espérait qu’il regarde ce qu’elle était devenue, comme une espèce de doigt d’honneur. « -et puis la vie est bien plus sympa quand tout le monde sourit. » parfois il suffisait d’un rien pour illuminer la journée de quelqu’un. Un compliment, un sourire, un petit mot gentil. Accepter de lire un livre et avoir dans l’idée d’en faire une promo et d’aider une femme à réaliser son rêve. « -d’accord… et merci. » avait elle ajouté au sujet d’Adam, appréciant que ça soit Edward qui ait évoqué l’écrivain et non elle.



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Lun 15 Juil - 13:23

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward était admiratif de la résilience dont avait été capable la jeune femme, et elle était en droit de le savoir. Il n’était que trop familier de sa capacité à constamment se déprécier. C’est la raison pour laquelle, il voulait qu’elle sache que lui ne la percevait pas ainsi. Le politicien distinguer en Angelica une femme forte et indépendante, douée d’une abnégation rare et d’un réel dévouement pour les autres. Elle était à la fois si douce et pétillante. Elle était devenue son tout avec le temps, et il tenait à ce qu’elle n’oublie jamais. Il voulait qu’elle se voit elle-même comme lui la percevait chaque jour. « Je ne cesserais jamais de te dire que je suis fier de toi Angie ». Elle avait choisi de se battre que de se laisser abattre. C’était la plus belle des victoires à ses yeux. Pour étayer le propos de sa moitié, il sourit à son tour « Je ne saurais dire le contraire ». Après tout, c’était elle qui lui avait rendu l’envie de sourire de nouveau. C’était pour cela qu’il désirait être une meilleure version de lui à ses côtés. Il décida donc de l’aider dans son entreprise en lui proposant de contacter Adam et faire appel au réseau d’éditeur dont il disposait si cela pouvait venir en aide à sa follower. En ce qui le concernait, il n’interviendrait pas de nouveau. Angelica était tout à lui, et rien ne changerait cela. Il avait confiance en elle.

Il retira lentement ses doigts de sa fente, et déposa un long baiser sur son front. Un geste qui contrastait avec la violence de leurs ébats, mais c’était ainsi que fonctionnait le politicien. Les deux faces d’une même pièce. Il se saisit du gel douche, sans s’attarder sur l’appartenance de ce dernier, et commença à savonner le corps nu et éreinté de la jeune femme, dont l’état le préoccupait quelque peu. Un sourire lorsque sa réponse lui parvint, et déposa ses lèvres sur les siennes, avant de poursuivre ce qu’il avait entrepris. « Prends ton temps mon amour, rien ne presse » tout en continuant de la savonner dans des gestes doux et délicats. Son égo masculin fut quelque peu flatté par l’information qu’elle lui communiqua. Jamais elle n’avait ressenti autant d’orgasmes à la suite. Il était le premier à lui avoir offert ce cadeau. « Je suis ravi de l’entendre » finit-il par avouer avec un sourire satisfait sur les lèvres « J’ai adoré te voir jouir autant de fois contre moi… Tu n’as pas idée à quel point ». Le fait que sa queue soit restée dure jusqu’au dernier orgasme était un bel indice. « Si tu as aimé, on pourrait peut-être recommencer de temps en temps. Enfin, si tu es prête… ». Il ne lui promettait pas de la faire jouir ainsi, successivement, à chaque ébat, mais il avait envie de réitérer l’expérience à nouveau, dans un avenir plus ou moins proche. Mais seulement si Angelica était prête à l’accepter. Son consentement restait sa priorité. Un petit rire résonna dans la douche, c’était celui d’Edward qui la rassura « Si je voulais que tu t’occupes de moi, je te l’aurais demandé mon amour. Je voulais seulement que tu te focalises sur le plaisir que je te donnais ». L’amour était un moment de partage, mais pour autant, le politicien aimait également lui donner à elle sans contrepartie. « J’ai aimé te voir me regarder pendant » répliqua-t-il en dégageant une mèche de cheveux de son visage « Je n’aurais pu rêver de meilleure amante que toi, mon amour » et déposa ses lèvres sur les siennes, puis caressa ses cheveux de sa main « Est-ce que ça va mieux ? ». Il se redressa sur ses jambes, et lui tendit ses mains pour l’aider à se relever « Je ne devrais en avoir pour une petite heure, tu devrais aller te reposer un peu en attendant ». Il se savonna à son tour, tout en continuant de l’observer « Je te trouve vraiment magnifique ». Il déposa ses lèvres sur les siennes, puis se rinça. Tandis qu’il enfilait un jean clair et un t-shirt blanc, il demanda « Tu veux m’accompagner ? ».

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Lun 15 Juil - 16:09

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Un hochement de tête. Oui, elle avait retrouvé un souffle régulier, elle n’avait plus la tête qui tournait. Alors elle se redressa avec lenteur avant de se mettre sur ses jambes. Elle glissa son visage sous l’eau chaude, rinçant son corps avec sensualité. Elle embrassa Edward en souriant avant de sortir de la douche, et de s’entourer d’une serviette de toilette. Elle avait la sensation d’être dans une sorte de coton. Alors elle se dirigea vers la chambre, prenant le temps de s’habiller avec lenteur. « -j’ai envie de t’accompagner. » elle sourit et ajouta : « -je dois mettre une petite culotte ? » avant de rire joyeusement. Une fois habillée, elle se dirigea vers la cuisine pour boire un grand verre d’eau fraiche. « -en rentrant, je vais faire des étirements… » s’amusa Angie. Quelques minutes plus tard, ils grimpaient dans un taxi direction la petit village le plus proche du chalet. Une fois sur place, elle glissa son bras sous celui d’Edward, sa joue contre son épaule, un immense sourire aux lèvres : « -alors on avait dit… chocolat… banane… marshmallows. »

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Lun 15 Juil - 20:41

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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L’acte charnel n’était plus un moyen comme un autre pour assouvir un besoin primaire, tel qu’il l’avait perçut au cours de ces deux dernières décennies. À compter de leur première étreinte, Edward avait su que la jeune femme était parvenue à éveiller en lui une appétence certaine pour le sexe qu’il n’avait jamais soupçonné, et qu’il ne pourrait dorénavant plus se défaire. Il était devenu insatiable, ambitionnant à explorer toujours plus leur intimité. Dans cette douche, il venait de réaliser l’une de ses fantasmes en assaillant Angelica d’une succession d’orgasmes, jusqu’à percevoir son corps éreinté par le plaisir. Il s’était délecté de la voir jouir toujours plus à son contact, que cela soit au contact de sa queue, de ses doigts ou encore de sa langue. La jolie rousse l’avait accueillit sans réserve à chacune de ses tentatives fructueuses, stimulant plus encore son désir d’explorer davantage les limites de leur vie intime avec elle. La voir jouir de nombreuses fois avait produit un certain effet sur lui. Il avait prit plaisir à la sentir ainsi à sa merci, et ne pouvait la contredire quand elle lui avoua avoir lu ce plaisir dans ses prunelles azurées, répondant seulement par un sourire, ses dents mordillant sa lèvre inférieure. Maintenant, la question était de savoir si Angelica désirait réitérer une telle expérience à l’avenir. Les paroles de son amante lui tira un rire joyeux « Tu aurais pu vouloir expérimenter cela une seule fois uniquement, et ne pas me demander de recommencer. J’aurais accepté Angie ». Son consentement était primordial. Derrière ses allures de mâle alpha dominateur qu’il pouvait être au quotidien, ou au cours de certains de ses ébats, Edward était avant tout un homme qui respectait Angelica. Il n’entreprendrait jamais rien qui pourrait la mettre à l’aise, qui pourrait engendrer la moindre douleur ou mal-être, quel qu’il soit. Elle le savait pertinemment, et ce fut la raison pour laquelle elle exprima son consentement de manière libre et éclairée à son attention, appréciant sa délicate attention « J’avais besoin d’entendre ces mots » rétorqua-t-il avec douceur « Tu ne seras pas trop déçue si je ne t’en donne qu’un ou deux la fois prochaine ? » et précisa « Je parle d’orgasme » tout en émettant un petit rire timide.

Dès l’instant où Angelica s’excusa de ne pas avoir glissé ses doigts autour de son membre tendu, un rire jaillit de la gorge du politicien qui balaya ses excuses d’un revers de main. La voir jouir ainsi au contact de ses doigts qui s’immisçaient toujours plus profondément en elle, avec une rare intensité, avait aussitôt tendu son chibre. Edward avait prit plaisir à enrouler sa main autour de sa queue tendue pour elle, se branlant avec véhémence tout en continuant de doigter abruptement la jeune femme qui avait finit par l’observer. Ça n’avait fait que l’exciter plus encore, le conduisant jusqu’à la jouissance en peu de temps. S’il avait désiré qu’Angelica participe davantage, il aurait su le formuler à voix haute. Mais aujourd’hui, dans l’intimité de cette douche, seul le plaisir de son amante avait de l’importance, tel qu’il le précisa pour réponse « Je voulais qu’on concentre uniquement sur ton plaisir, mon amour ». L’influenceuse se révélait être une amante extraordinaire et prête à l’accueillir comme une reine. Il n’aurait pu rêver de mieux. Elle était aussi parfaite au quotidien, que dans l’intimité de leur chambre à coucher. Il ne s’était toutefois pas attendu à ce que cette dernière lui retourne le compliment, et rougit quelque peu en déposant ses lèvres sur les siennes « C’est un beau compliment ». Surtout pour celui qui avait toujours considéré la sexualité comme une contrainte. Finalement, il s’était fourvoyé toute ces années. « Suis-je parvenu à me hisser au sommet du podium ? ». Oui, sa question était présomptueuse et n’avait que pour but de flatter son égo d’homme. Mais qu’importe.

Parce qu’après ce qui venait de se dérouler sous ce jet d’eau, la jeune femme ne lui en voudrait pas d’apprécier la vue qu’elle lui offrait, Edward attarda son regard sur le corps nu d’Angelica qui se rinçait avec une sensualité rare. Elle était tout simplement magnifique. Le politicien lui rendit son baiser et se laissa s’extirper de la douche à l’italienne pour se vêtir d’un jean et d’un t-shirt, et talonna l’influenceuse jusque dans la chambre. Dans une posture nonchalante, l’épaule appuyée contre la chambranle de la porte, Edward lui proposa de l’accompagner dans la petite ville de campagne à quelques kilomètres de leur propriété « J’ai envie que tu m’accompagnes », et émit ensuite un petit rire « Tu peux mettre une petite culotte ». Il n’avait pas pour projet de la toucher une fois encore avant le lendemain. Angelica avait besoin de repos après ce qu’il lui avait endurer sous cette douche, et son corps également. Il la suivit ensuite jusque dans la cuisine, imitant cette dernière en avalant un grand verre d’eau « Qui a dit que tu ne ferais pas de sport ici ? ». C’était seulement d’un autre ordre que celui qu’elle pratiquait au quotidien. Il déposa son verre au fond de l’évier, et grimpèrent dans le taxi qu’il conseilla de revenir d’ici deux heures environ. Bras dessus-bras dessous, Edward déposa ses lèvres sur la chevelure de feu d’Angelica qui énuméra la liste des courses tout en blottissant sa tête contre son épaule « Qu’est-ce que tu désires pour le dîner ? » et se mit à réfléchir « On pourrait faire cuir une côte de bœuf sur le feu, avec des pommes de terre en papillote ». Ils entrèrent dans le premier commerce et il se mit à sourire béatement « Ça me fait plaisir de faire les courses avec toi. C’est la première fois qu’on sort tous les deux à l’extérieur sans craindre d’être photographié » et il appréciait cela. Ils firent un tour de l’épicerie, trouvant tout ce dont ils avaient besoin, le tout enfermé dans un sac kraft qu’il garda contre son torse « Le taxi ne revient pas avant une heure et demie. On pourrait faire un tour dans cette petite boutique » en désignant une petite échoppe artisanale. « Bonjour Messieurs dames » déclara la vendeuse qui approchait des soixante-dix ans sans mal, le visage marquée par les années de vie et les cheveux qu’on devinait aisément brun à une époque, était clairsemé de gris et de blancs. « Bonjour » murmura Edward, dont l’attention se dirigeait d’ores et déjà sur les bijoux gravé à l’effigie des montagnes dominant cette partie du Montana « Que penses-tu de ce collier la mia luce ? ».


Charly
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lune 2
Charly
Lun 15 Juil - 21:54

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Ils furent bientôt dans le petit village de montagne, avec l’intention de faire quelques achats pour le repas de ce soir qui serait au coin du feu. Blottit contre Edward, sa tête contre lui, Angie ne cessait de sourire. « -oh oui ! ça va être délicieux ! » répondit la jeune femme avec envie. « -et je meurs déjà de faim… » soulignant le fait que c’était sa faute à lui. Elle réalisa qu’ils n’avaient jamais encore pu se promener ensemble, main dans la main. Tout cela en choisissant le chocolat… C’était agréable de pouvoir partager ce genre de petite chose du quotidien. « -c’est amusant, j’étais en train de me faire la même réflexion… » sourit Angie en déposant le chocolat dans le panier. « -on devrait peut-être venir vivre ici… » souligna Angie. « -il y a surement du réseau pour que je puisse continuer de travailler… » elle était à demi sérieuse. Mais l’idée ne lui déplaisait pas. A L’exception qu’elle serait bien trop loin de Flynn, qu’elle avait l’habitude de voir pratiquement un jour sur deux.

Elle le laissa prendre le sac, elle avait voulu l’accompagné, mais elle devait bien reconnaitre qu’elle était épuisée parce qu’il lui avait fait subir. « -je te suis… » elle laissa son regard se poser sur l’enseigne, la façade, et sourit en trouvant l’endroit adorable. Elle adressa un sourire à la vieille dame qui se tenait derrière le comptoir, et la salua avec politesse. A nouveau elle laissa son regard sur la boutique qu’elle trouva magnifique. Angie cligna des paupières et tourna la tête en direction d’Edward, qui venait de l’interpeler. Elle se rapprocha de lui et se pencha légèrement pour regarder les bijoux, en particulier celui qu’il lui montrait. « -oh j’adore, il est magnifique ce pendentif… »

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