"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Sam 8 Juin - 12:26
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Apprendre à savourer chaque instant que la Vie avait à offrir, sans le laisser s’altérer par les craintes, les interrogations successives et les doutes. Il ne faisait nul doute que l’entraînement était nécessaire pour apprendre à contrôler suffisamment son esprit pour qu’il devienne davantage un allié qu’un ennemi dans ces moments-là. Angelica parvenait y parvenir sans mal, et il pouvait le constater au quotidien depuis leur cohabitation. En ce qui le concernait, le politicien restait toujours assaillit par ses doutes et ses peurs, bien qu’il mettait tout en œuvre pour s’en émanciper afin de profiter de ces quelques instants qui lui était offert auprès de la jeune femme, gardant à l’esprit qu’à l’issue du contrat, elle disparaîtrait sûrement de sa vie… « Tu as eu raison » confirma-t-il en repensant à leur baignade intervenue en fin de journée. Il avait accepté sans une once d’hésitation. La jeune femme lui faisait découvrir, au fil du temps, qu’il existait également un monde en dehors de sa carrière politique et de sa course au Sénat. « Tu m’y emmènerais un jour ? ». Edward avait vécu toute sa vie à New York, mais il n’avait jamais pris d’explorer la ville de cette manière-ci, considérant toujours que ça n’était construit qu’à l’attention des touristes. De sa grand-mère maternelle, la conversation avait inéluctablement déviée jusqu’à sa carrière politique. Pour Angelica, sa décision de poursuivre la campagne sénatoriale lui paraissait insensée. Pourtant, si elle savait … Les sourcils au milieu du front, il fut quelque peu abasourdi par sa proposition « Je photographie les personnes » précisa-t-il, quelque peu décontenancé. « Ta proposition est sérieuse ? » finit-il par demander, avant de poursuivre « J’ai mes raisons Angie, et tu dois avoir confiance en moi ». Comment lui avouer qu’il était prêt à s’enfermer dans une vie qu’il dépréciait uniquement pour la garder à ses côtés ?! S’il lui avouait, elle ferait probablement ses bagages, considérant que sa présence entre ces murs n’avaient plus lieu d’être et reprendrait possession de son propre appartement, et finirait par l’oublier tôt ou tard. Il n’était pas prêt à une vie sans elle…
La série TV venait de commencer, et l’histoire de certains personnages avait une résonnance étrange avec la leur. Probablement qu’il délirait en pensant ainsi, et pourtant… C’était la sensation qu’il ressentait. « Elle aura toujours sa place dans sa vie. La carrière ne rend pas pleinement heureux un homme. Elle devrait essayer » rétorqua-t-il en posant ses yeux saphirs sur la jeune femme à ses côtés. C’était ainsi qu’il percevait dorénavant sa vie. Sa carrière politique ne lui apportait pas tant qu’il avait pu le penser toutes ces années durant. Aujourd’hui, c’était Angelica qui le rendait pleinement heureux, de telle sorte que son travail avait été relégué au second plan. Il le prouva une fois encore en décidant de se faire porter pâle le lendemain, pour seulement profiter d’une soirée avec la jeune femme à visionner une saison entière de la série TV qu’elle venait de lui faire découvrir. Edward esquissa un sourire tout en la corrigeant « Je ne dis jamais n’importe quoi ». Si l’influenceuse se percevait au travers de son regard, elle saurait alors qu’elle était parfaite à ses yeux. Angelica vint se blottir tout contre son torse, tandis qu’il enserrait sa taille de ses bras. « Tu n’aspires pas à une vie tranquille, sans disputes, dans un petit cottage au bord du lac ? ». Ce qu’il était incapable de lui offrir. Elle n’en avait probablement pas conscience, mais l’entendre décrire une relation amoureuse avec ses hauts et ses bas, des disputes et des pardons… C’était tout ce qu’il souhaitait entendre en l’interrogeant à ce sujet. Parce qu’il était incapable de lui offrir autre chose. C’est le moins que l’on puisse dire …
Angelica s’éclipsa quelques minutes pour revenir avec un sachet de chocolat, notamment un au caramel, qu’elle fourra dans sa bouche sans attendre sa réponse. Il ne put retenir un rire franc et sincère, et décida de lancer l’offensive en la chatouillant, se délectant de son rire, et récupéra le paquet de chocolats pour se saisir de l’un d’eux. La liqueur. Il ne put que grimacer, tout en cherchant désespérément un moyen de s’en débarrasser. En vain. Il n’eut d’autres choix que de l’avaler « C’est dégueulasse » et la laissa lui ramener un verre d’eau qu’il troqua contre les chocolats « Merci » et l’avala d’une seule traite. L’influenceuse reprit place contre son torse, blottie au creux de ses bras, et déposa ses lèvres dans son cou, tandis qu’il pianotait sur l’écran de son portable devant eux « Non » répondit-il simplement, alors qu’il se montra pour le moins laconique avec Ava. Comme toujours. La seule qui bénéficiait de longue réponses et parfois d’explications sur ses prises de positions, c’était Angelica. Elle, et seulement elle. Il jeta le portable de l’autre côté du canapé, et déposa un baiser dans son cou, avec une excessive envie de réitérer son geste encore et encore. « Elle s’en remettra » rétorqua-t-il avec aplomb « J’aime bien être un mauvais garçon » tout en riant légèrement contre ses cheveux roux. Edward glissa ensuite ses lèvres autour du chocolat, effleurant les doigts de la jeune femme « Merci ». La tête tournée en direction de la télévision un bref moment, il enveloppa Angelica du regard avec douceur lorsqu’elle prononça son prénom, signifiant qu’elle avait besoin de toute son attention en cet instant précis. Elle venait de l’obtenir. Il était dorénavant pendu à ses lèvres. Edward pouvait sentir son cœur tambourinait contre sa cage thoracique avec férocité au fur et à mesure des mots que la jeune femme prononça. Cette caresse sur sa joue eut raison des papillons qui dansèrent dans son ventre et se saisit de sa main pour embrasser sa paume avec douceur, puis relâcha son emprise sur ses doigts pour resserrer son étreinte autour de sa taille « Je l’aime aussi » murmura-t-il à son oreille, tout en poursuivant avec douceur « Tu me plait vraiment beaucoup La mia luce », et vint blottir sa tête contre la sienne. « Tu as d’autres chocolats dans ton paquet ? » et ajouta « La dernière fois que j’ai fait une nuit blanche, je devais avoir quinze ans ».
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Charly
Sam 8 Juin - 13:11
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Lorsqu’elle avait signé ce contrat, Angie ne savait pas dans quoi elle s’engageait vraiment. Quand elle avait posé ses valises ici, suivant l’idée folle d’Ava, elle avait eut envie de partir, très rapidement. Et puis petit à petit, elle avait lâché prise, elle avait accepté de vivre cette sorte d’aventure étrange. Elle avait ainsi découvert un homme avec des failles, un homme qui avait désespérément besoin de tendresse. Elle avait alors comprit que le but de sa mission avait changé. Elle voulait le voir heureux. Elle voulait lui ouvrir les yeux sur le sens de la vie. Elle voulait qu’elle redresse les épaules et change de regard sur tout ça. Qu’il profite au lieu de subir. Petit à petit, elle avait la sensation d’y parvenir. Et qu’il appréciait cela. « -si tu veux oui… » avait répondu avec douceur. Et tu m’expliques pourquoi tu vous voit main dans la main ? Edward semblait vraiment aimer sa grand-mère. Et durant la conversation, Angie se permis, pour une fois, de demander pourquoi il voulait poursuivre cette carrière, imaginant qu’il en change et lui proposant en riant de devenir son photographe particulier. « -oui, bien sûr. » avait elle ajouté avec un haussement d’épaules. « -je suis certaine que tu es du talent. » après c’était à discuter plus sérieusement bien entendu, mais si il était épanouie et heureux… c’était tout ce qui comptait non. « -je te fais confiance, le souci n’est pas là. J’aimerais seulement te voir heureux dans ce que tu fais. Seulement ce soir, quand tu es rentré, ce n’était pas le cas. Et il y a deux jours non plus… Je n’y connais rien, mais j’imagine qu’il est possible de retirer ta candidature à n’importe quel moment non ? » elle le fixa du regard et ajouta : « -je te fais confiance, mais j’aimerais beaucoup, que tu y réfléchisses vraiment… » elle voulait qu’il se pose les bonnes questions.
« -essayer quoi ? De lui dire ce qu’elle ressent ? » avait ajouté Angie sans quitter l’écran des yeux. Bonne idée ça lui dire ! C’est un peu comme faire un plongeons dans une piscine sans qu’il n’y ait d’eau dedans ! Le crash assuré ! « -si je t’assure, ça t’arrive. » non, il n’aurait pas le dernier mot là-dessus. « -le cottage, très peu pour moi. J’ai besoin de réseau pour travailler. Je trouve ça… important de se disputer. Ça remets les choses à plat, ça permets de se dire les choses. Alors oui, ça peut faire mal, mais ensuite on laisse retomber, on renoue le dialogue et on arrange tout ça. » un peu comme on l’a fait…
La décision fut prise de regarder la saison 1. En une seule fois. Une seule nuit. Alors ça serait chocolat et blottit au creux des bras d’Edward. Peu importe ce que ça pouvait engendrer. Elle avait simplement envie de ça. Mais aussi de l’entendre rire et de se moquer de lui alors qu’il avait prit un chocolat à la liqueur. Elle se marrait en allant chercher de l’eau, puis récupéra les chocolat et sa place dans les bras d’Edward. Angie observa les doigts d’Edward pianoté sur le téléphone, lisant au passage ce qu’il pouvait écrire à Ava. Lorsqu’il enfouit son visage dans ses cheveux, elle sourit, heureuse de lui apporter tout ça. Ils lancèrent le premier épisode et elle ferma les yeux en sentant les lèvres d’Edward effleurer ses doigts. Angie avait un peu de mal à vraiment être concentrée sur l’écran. Il fallait qu’elle lui dise. Alors elle murmura son prénom, caressa sa joue et avoua aimer leur relation, peut importe ce qu’elle était. Angie ferma les paupières en sentant les lèvres dans sa paume. Elle sourit pour elle-même, avant de répondre à la question sur les chocolats : « -un bon ou un dégueu ? » collant un peu plus sa tête contre celle d’Edward en riant légèrement. « -tu es tellement trop sage tout le temps… » commenta Angie en lui tendant un nouveau chocolat. « -je te promets pas de pas m’endormir… » ce qu’elle finit par faire six épisodes plus tard, lover contre lui.
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Sam 8 Juin - 14:03
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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« Oui. J’aimerais beaucoup » déclara Edward avec douceur, en imaginant sans mal s’aventurer dans le jardin botanique en compagnie de la jeune femme, qui lui conterait ses histoires d’enfance qu’elle avait partagé avec sa grand-mère en ce lieu. Le politicien était désireux de voir leur relation évoluer également en-dehors de ces murs. Il désirait visiter les lieux incontournables de New York en sa compagnie, déjeuner sur le pouce à Central-Park, s’allonger dans l’herbe pour lire un livre ensemble, et probablement s’endormir sous la caresse du soleil, pour finalement être réveillé par les rires des enfants jouant à proximité. Il était fort plausible que ce n’était pas de ce genre de relation que l’influenceuse désirait lier avec lui, mais ça ne l’empêchait pas d’espérer silencieusement … Parce que c’était pour ces moments-là qu’Edward ne mettait pas un terme définitif à sa carrière de politicien, et plus précisément à la campagne sénatoriale. Bien que la proposition d’Angelica était plus qu’attrayante. Devenir son photographe attitré. Cela signifiait-il qu’elle ne souhaitait pas se débarrasser de lui ?! Qu’elle aussi s’était attachée à ce lien qui les unissait dorénavant, et qui ne résultait en rien du contrat qu’ils avaient signé l’un et l’autre ?! « Tu me surestimes » commenta le politicien qui n’avait pas touché un appareil photo depuis des décennies, et qui n’était pas certain de disposer encore de son talent d’antan. « J’ai envie de dire « oui » » avoua-t-il à voix haute. Néanmoins, il était engagé auprès du Maire, de l’État de New York et de ses électeurs, mais plus encore, envers Angelica. « Oui » répondit-il simplement et hocha lentement de la tête « Je ne cesse d’y réfléchir et j’aimerais que ça soit aussi simple. Crois-moi » répliqua-t-il avec douceur. J’aimerais tout t’avouer Angie… Mais ce n’est pas aussi simple …
La série TV ne fut finalement pas la distraction qu’il espérait. L’histoire des personnages le ramenait inéluctablement à la leur et à tous les complications inhérentes à celle-ci. « Oui. Il n’attend sûrement que cela pour faire le premier pas ». La peur n’avait de cesse de paralyser les Hommes au quotidien, que cela soit dans leur vie professionnelle ou bien sentimentale. C’était ce même sentiment qui lui empêchait de tout lui avouer, de crainte de la perdre elle… Alors qu’elle était si parfaite à ses yeux, bien qu’elle n’avait pas envie de le croire. Il décida de ne pas renchérir, souriant seulement et lui proposa une vie tranquille, au bord d’un lac, dans un cottage charmant. Angelica déclina cette invitation à vivre cette vie-là. Elle voulait des disputes, pour ensuite que mieux se retrouver. « Comme nous deux » osa-t-il constater à voix haute. Pourquoi sentait-il son cœur se gonfler d’espoir à ces mots ?! La jeune femme faisait naître en lui des sentiments qu’il méconnaissait, des envies qu’il n’avait jamais envisagé, des désirs dont il ignorait encore tout jusqu’à son arrivée dans sa vie. Il avait envie de continuer de l’entendre se moquer gentiment de lui parce qu’il était tombé sur un chocolat à la liqueur, de se délecter de son rire lorsqu’il la chatouillait ainsi, et plus encore, de l’étreindre aux creux de ses bras parce qu’elle était la chose la plus précieuse à ses yeux. Mais rien n’était comparable que d’entendre Angelica lui confier qu’elle avait conscience que leur relation venait de prendre un tournant insoupçonné, mais qu’elle aimait ce qui était en train de se dessiner entre eux deux. Par ces seuls mots, elle venait de balayer d’un revers de main tous ses doutes et ses craintes, et confirmait ses espoirs. Il lui plaisait, lui aussi … Leur relation n’était plus un jeu… Et il aimait ça. Edward déposa ses lèvres sur la paume de sa main, tout en réprimant son envie de plus, et lui murmura qu’elle lui plaisait. Il ne voulait plus que les doutes subsistent entre eux et les freinent.
Ce rire, cette manière de blottir sa tête contre la sienne. Comment ne pas éprouver de sentiments pour cette femme blottie dans ses bras « Aie pitié de moi Angie, je t’en prie » et se saisit du chocolat entre ses lèvres et sourit « Je ne suis pas tout le temps sage » renchérit Edward avec un soupçon de sous-entendu qui le surprit lui-même. « Je suis sceptique » et il avait eu raison de l’être. Le politicien avait sentit le souffle d’Angelica devenir plus lent et régulier. Il avait alors sourit avec douceur en constatant qu’elle s’était endormie dans le creux de ses bras. Avec lenteur, Edward se saisit de la télécommande pour éteindre la télévision, et se glissa dans le canapé, jusqu’à s’allonger complètement, et resserra le corps d’Angelica contre le sien, et s’endormit à son tour.
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Sam 8 Juin - 18:37
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -je suis certaine que non. » avait répondu Angie avec aplomb sans le quitter du regard. Oui, elle n’avait jamais vu aucune de ses photos, mais elle était convaincu qu’Edward avait du talent derrière un appareil photo. On ne décidait pas de devenir photographe sans un minium de talent. « -et je fais confiance à Nonna. » avait elle ajouté avec un doux sourire. Si la grand-mère d’Edward l’avait imaginé photographe, c’était qu’il y avait des raisons. Quant à la proposition qu’elle venait de faire, oui, elle était sérieuse. L’un comme l’autre, ils n’avaient pas vraiment besoin d’un travail pour vivre. Angie avait un compte en banque bien rempli, il ne était de même pour Edward. « -alors dis oui. » insista la jeune femme, avant de mettre en avant qu’il pouvait sans doute arrêter la politique sans souci. « -qu’est ce qui te retiens ? Je retrouverais un poste à Ava s’il n’y a que ça. J’ai envie de… j’ai envie de te voir t’épanouir dans une vie que tu aimes. Et si tu as envie de changer, vraiment envie, je serais là. Et je serais encore là après. » elle espérait vraiment lui faire entendre raison. L’avenir le lui dirait.
« -peut-être qu’elle a peur de faire fausse route, de s’imaginer des choses et de le perdre si elle parle. » Angie n’était plus certaine de parler de la série sur le moment. Angie ne rêvait pas d’une vie toute simple. Elle n’était pas assez naïve pour croire qu’une vie de couple était un long fleuve tranquille. A ses yeux, s’il n’y avait pas de dispute, c’était que l’un des deux étaient soumis et n’osait pas s’exprimer. « -exactement… » dit le ! Mais elle n’osa pas aller plus loin. Comme le personnage de la série, elle avait peur de faire un pas en avant et de le perdre. Lui, le loup solitaire qui n’y connaissait rien à l’amour. Elle se décida à sa façon, un peu plus tard. Jusqu’à présent, elle était incapable de définir ce qu’ils vivaient, mais elle aimait ça. Ce qu’il y avait entre eux. Elle n’avait pas dit cela pour rendre plus logique le fait de se blottir contre lui. Non, elle était sincère et parlait avec son cœur.
« -promis c’est caramel. » elle lui tendit le chocolat, sans bouger, exactement comme quelques minutes plus tôt. Un léger rire à ce qu’il venait de répondre, avant de préciser qu’elle n’était pas certaine de tenir toute la nuit éveillée. Quelques heures plus tard, Angie avait sombré dans le sommeil, non sans avoir lutter pour garder les yeux ouverts. C’était le souffle régulier et chaud d’Edward dans son cou qui l’avait lentement réveillé. Son corps était moulé au sien, son bras autour de sa taille, comme s’il avait voulu la retenir à elle. Si tu te tournes ma belle… Elle n’écouta pas la voix dans sa tête et elle se tourna pour le regarder dormir. Elle le trouva beau, ainsi détendu. Du bout des doigts, elle caressa sa tempe, puis sa joue, laissant glisser ses doigts dans son cou, puis sur son bras. Angie ne résista pas plus longtemps. La jolie rousse nicha son visage dans le cou d’Edward et embrassa sa peau, une fois, puis une seconde, remonta lentement jusqu’à son menton. Son cœur battait comme un fou dans sa poitrine. Edward avait parlé d’un pas en avant… elle était en train de lui offrir. Elle sautait dans le vide, en espérant ne pas être repoussée. Parce qu’elle en avait envie. Il lui donnait envie de vivre autre chose, d’approfondir cette relation étrange…
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Sam 8 Juin - 20:14
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward n’avait que tout au plus huit ans la première fois qu’il a posé la main sur un appareil photo. Le polaroid de son grand-père. Après plus d’une heure à en comprendre le fonctionnement, il avait photographié chacun des membres de sa famille présent, avant de s’aventurer dans le jardin et de s’exercer auprès de la nature elle-même. Rien ne lui échappa pas, du chien de ses grands-parents à la coccinelle posée sur la feuille d’un des nombreux rosiers qui bordaient la maison italienne. Ce qui était avant tout la curiosité d’un enfant, devint rapidement une véritable passion pour celui qui avait délaissé la photographie à la mort de son meilleur ami. Aujourd’hui, il se retrouvait de nouveau à la croisée des chemins, celui du cœur ou celui de l’esprit. Angelica n’avait de cesse de l’encourager à revenir à son premier amour, à cette passion qui l’avait toujours animée, mais qu’il n’avait eu de cesse de réprimer afin de correspondre aux attentes de la famille Wyler. Elle croyait tant en lui, que ça ne faisait que tenir davantage à elle. Pourtant, l’influenceuse ignorait tout de son travail. Le politicien lui adressa un timide sourire, et tout autant lorsqu’elle évoqua Nonna, sa grand-mère maternelle « Tu lui plairais vraiment, tu sais » déclara-t-il avec douceur. Divisé entre la raison et le cœur, Edward avait envie d’accepter la proposition et de tirer un trait sur sa carrière politique dès aujourd’hui, mais il en était tout bonnement incapable. Mettre un terme à sa course au Sénat, c’était se résigner à laisser partir Angelica. « Je ne peux pas… » finit-il par souffler, et resta laconique sur les raisons qui le contraignait à poursuivre en ce sens. Mais c’était sans compter l’obstination de la jeune femme dont les mots à eux-seuls parvinrent à le convaincre de tout lui avouer. « Toi » clama-t-il dans un premier temps, et décida de poursuivre, se doutant pertinemment que l’influenceuse ne se suffirait pas de ce seul mot. « Tu as aménagé avec moi pour me faire obtenir les voix nécessaires à mon élection. Si j’abdique et quitte la campagne maintenant, le contrat n’a plus de raison d’être et tu pars. Et je ne veux pas que tu partes Angie ». Il poussa un soupir, posant sa tête contre le dossier du canapé, fixant le plafond blanc au-dessus de leurs têtes. Il ignorait comment il était parvenu à trouver le courage pour tout lui avouer, et maintenant, il nourrissait une seule crainte, que malgré ces dires, elle ne lui donne raison et parte.
« Elle ne le saura jamais si elle n’essaie pas » répondit Edward en n’était plus vraiment certain d’uniquement évoquer la série TV qu’ils regardaient. Probablement qu’il se fourvoyait en pensant que leur situation était similaire à celle des protagonistes. Après tout, ce n’était pas parce qu’elle était blottie dans ses bras, et qu’elle lui confia désirer une relation identique à la leur, que c’était pour autant lui, la bonne personne à ses yeux. Leur relation n’était qu’une collaboration, un jeu de rôle bien huilée en public. Et bien que la frontière entre le réel et la fiction s’effritait peu à peu, depuis quelques jours, que cela signifiait pour autant que tel était le cas. Mais Angelica dissipa toutes ses appréhensions et ses doutes d’un revers de main. Elle aussi avait constaté que leur relation n’était plus celle établie. Le lien qui les unissait n’était dorénavant plus le contrat qu’ils avaient signé sur le rebord de son bureau, un soir de semaine. C’était bien plus, sans pour autant parvenir à le définir. Ce qui convenait tant à l’un qu’à l’autre. Edward n’était pas certain d’être prêt à définir réellement ce qu’ils étaient l’un pour l’autre. Il voulait uniquement en savourer chaque instant, parce qu’elle lui plaisait plus qu’aucune femme avant elle. Il aimait la savoir auprès de lui chaque jour, et avoir la liberté de la serrer dans ses bras comme ce soir. Il n’y avait pas besoin de mots pour rendre tout cela concret. Leurs gestes se suffisaient à eux-mêmes. Il se saisit du morceau de caramel entre ses lèvres, la remerciant également, et apprécia son rire lorsqu’il se montra sceptique quant à la nuit blanche qu’ils avaient programmée. Il avait eu raison de l’être, car Angelica sombra dans les bras de Morphée à l’issue du sixième épisode, et ne tarda pas à la rejoindre peu de temps après, la gardant enserrée dans ses bras.
Ce ne fut pas tant la caresse de ses doigts que celle de ses lèvres qui eut raison du sommeil d’Edward qui laissa échapper un soupir de bien-être, tandis qu’il ouvrait lentement les yeux, esquissant un doux sourire. Il voulait des matinées identiques à celle-ci pour le restant de ses jours… Avant de réaliser qu’Angelica était en train de déposer ses lèvres sur sa peau, en de multiples baisers, et qu’il n’était dorénavant plus bercé par ses rêves. Tout ça était réel. Il sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine, puis démarra un véritable ramdam dans sa poitrine en posant ses prunelles azurées sur la jeune femme blottie dans ses bras. Sa main se posa délicatement sur sa joue afin la contraindre à croiser son regard « Angie… » murmura-t-il d’une voix pleine de sommeil. « Tu es sûre ? ». Edward approcha son visage du sien avec lenteur, effleurant seulement ses lèvres des siennes, pour finalement l’embrasser avec toute la tendresse qu’elle méritait. Le dernier baiser qu’il avait donné à une femme remontait à ses seize ans, et elle s’appelait Jessie Carlton. Pourtant, il n’avait pas souvenir d’avoir sentit sa peau se recouvrir de frissons à l’époque, et que cœur s’était tant débattu dans sa poitrine, comme s’il tentait de s’en extirper. Sans le moindre empressement, il glissa sa langue entre ses lèvres pour venir caresser la sienne, avec une certaine sensualité, tandis que son corps prenait place au-dessus du sien, et qu’une de ses mains se glissa contre sa cuisse, la caressant avec douceur. Il désirait prendre tout son temps pour la découvrir. Il ne souhaitait pas bâcler cette première fois avec elle. Parce que c’était Angelica, tout simplement. Edward mit un terme à ce premier baiser et l’observa plus en détail, en venant à la contempler. Il la trouvait belle. Bien qu’il ne le prononçait pas avec les mots, il espérait qu’elle pouvait le lire dans le regard qu’il portait sur elle en cet instant. Il déposa de nouveau ses lèvres contre les siennes, laissant ses doigts remonter le long de sa cuisse, jusqu’à sa taille, quand un « Oh mon dieu ! Pardon ! Pardon Monsieur Wyler » à proximité. Tel un adolescent prit en faute par ses parents, Edward s’était reculé aussitôt du corps de la jeune femme, constatant que ce n’était que Yuma qui cachait ses yeux derrière ses mains, martelant inlassablement des excuses. Il se saisit aussitôt d’un des coussins pour masquer sa virilité tendue, et son regard se fit soudainement aussi noir que les profondeurs des abysses « Yuma » siffla-t-il. « Je vais faire les chambres Monsieur Wyler» et s’éclipsa aussitôt, sans attendre, les laissant à nouveaux seuls.
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Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -j’aurai peut-être la chance de la rencontrer un jour… » si elle acceptait ce voyage en Italie avec lui. Peut-être que Nonna se rangerait du côté d’Angie et insisterait également pour qu’Edward délaisse la politique et renoue avec sa passion pour la photographie. Cependant, il émit encore des réserves. Il ne pouvait pas tout laisser tomber. Elle voulu savoir pourquoi afin de démonter une par une les raisons de cet acharnement. « -moi ? » elle ne comprenait pas. Quel lien avait elle avec la politique ou les élections ? Edward décida de clarifier les choses. Elle le dévisagea, resta muette quelques secondes avant de demander : « -tu penses sincèrement que c’est ma signature en bas d’un document qui me donne des raisons de rester ici, chez toi, avec toi ? » ça lui fit presque mal de comprendre qu’il pensait cela. Ils avaient pourtant parlé de ce contrat, c’était dit qu’ils ne voulaient plus en entendre parler. « -Edward… » souffla Angie avant d’ajouter : « -je ne suis pas ici, avec toi à cause du contrat. Si je suis toujours ici, c’est parce que je t’apprécie et que… et que j’aime la relation qui se tisse petit à petit entre nous. » elle chercha encore pour vraiment le convaincre : « -avec ou sans contrat, avec ou sans course à l’élection, j’ai envie de rester dans ta vie. Je ne veux pas perdre ce lien entre nous. » elle pensait vraiment d’une manière différente de la sienne : « -si tu gagnes ces élections, c’est ça qui nous éloignera. Ton nouveau poste, l’opinion de ta famille…. C’est toi qui n’aura plus de temps à nous consacrer. » Angie espérait de tout cœur qu’il comprenait. L’arrivée de la pizza mit fin à cette partie de la conversation. Ils avaient besoin d’y penser chacun de leur côté. Elle espérait avoir trouver les bons mots.
« -l’avenir nous dira si elle essaye. » exactement… ils en apprendraient plus dans les prochains épisodes. Si ils parlaient encore de l’épisode. Le reste de la soirée fut doux, et Angie en apprécia chaque seconde. Cette complicité, cette tendresse, la chaleur de ses bras. Elle se sentait si bien. Si bien qu’elle finit par s’endormir ainsi, blottit contre lui. Au petit matin, ils étaient coller l’un à l’autre, et lorsqu’elle se retourna pour le regarder dormir, la jolie rousse décida de mettre de côté ses peurs, se laissant guider par son envie. Elle faisait le premier pas. Ses lèvres sur sa peau. Lorsqu’elle le sentit bouger légèrement, la peur refit surface quelques secondes. Et s’il la repoussait. Il venait de dire son nom… Incapable de dire quoi que se soit, elle hocha lentement la tête pour répondre à sa question. Oui, elle était sûr. C’était ce qu’elle voulait. Elle le laissa approcher son visage, et ferma les yeux et savoura le gout de ses lèvres sur les siennes. Pas de précipitation, seulement une immense douceur. Lentement, elle glissa une mains sous le débardeur d’Edward, caressant pour la première fois ce torse qui avait la faculté de la mettre en émoi. Angie s’allongea sur le dos alors qu’il se positionnait entre ses jambes. Elle sentait son cœur battre dans sa poitrine à une rythme fois. Lorsqu’il la détailla du regard, elle eut la sensation d’être la 8ème merveille du monde.
Un nouveau baiser, toujours aussi doux, avant qu’une voix féminine ne se fasse entendre. La femme de ménage. Ils avaient totalement oublié quel jour il était, et que Yuma allait prendre son service. Tout cela fit sourire Angie, à la limite du rire. Elle posa une main sur l’avant-bras d’Edward. « -ce n’est rien Yuma. » ajouta Angie avant de la voir détaler. La jolie rousse se redressa, sourire aux lèvres. « -elle est mariée et à des enfants. Elle sais ce que c’est non ? » ajouta Angie en souriant à Edward. Elle l’embrassa une nouvelle fois, avec lenteur et toujours avec autant de douceur, savourant ce baiser. « -tu veux qu’on lui dise de prendre sa journée ? » demanda la jeune femme avant de demander : « -tu as bien dormi ? » en glissant ses doigts dans les cheveux d’Edward.
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Sam 8 Juin - 22:20
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Chaque année, le politicien s’envolait pour l’Italie approximativement à la même date, afin de profiter du début de l’été en Italie, auprès de sa grand-mère maternelle. Cette année ne ferait pas exception malgré la campagne sénatoriale. Seulement, cette fois-ci, il ne souhaitait pas s’y rendre seul. Edward souhaitait que la jeune femme l’accompagne. Une idée qui germait dans son esprit depuis quelques jours maintenant. Il n’attendait plus que sa réponse. En attendant, il exprima un simple « Sûrement » plein d’espoir. Probablement qu’il aurait également l’opportunité d’annoncer à Nonna qu’il avait abandonné la politique pour se consacrer à sa véritable passion, la photographie. Un choix de vie qui ne se serait jamais produit sans Angelica, et qui était également la seule raison pour laquelle il s’obligeait à poursuivre sa carrière politique. À la question que posa cette dernière, il sut immédiatement qu’il s’était fourvoyé en pensant ainsi, mais avant tout, qu’il venait de la blesser. Il ne détourna pas le regard pour autant « Je ne sais pas ». Voilà que le politicien se montrait de nouveau laconique dans ses réponses. Cette manière de prononcer son prénom signifiait qu’elle désirait toute son attention pour ce qui allait suivre. C’étaient des détails qu’il avait apprit à repérer chez Angelica et qui lui plaisait, peu importe le contexte de la conversation. La jeune femme prononça précisément les mots qu’il avait tant désiré entendre. Le contrat n’était dorénavant plus la raison qui les liait l’un à l’autre. « Ne dit pas ça » répliqua-t-il comme si l’idée même qu’il puisse être loin d’elle en raison de son choix de carrière lui était douloureux. « Je parlerais à Ava » signifiant qu’il venait de prendre sa décision « Je ne veux pas te perdre » et se leva en entendant le livreur de pizza sonner à leur porte.
Il ignorait ce qui avait poussé Angelica à se dévoiler ainsi à lui ce soir, blottie au creux de ses bras. Était-ce les protagonistes de la série TV qui lui avait fait appréhender leur propre relation sous un nouveau jour ?! Peu importe. L’important, était que la jeune femme avait fait le premier pas qu’il attendait si patiemment, dissipant ainsi le brouillard qui enveloppait leur relation ces dernières semaines. Ils tenaient l’un à l’autre, et c’était le plus important pour le politicien qui s’endormit à ses côtés cette nuit-là, sans se douter qu’il serait réveillé au petit matin par la douceur des baisers d’Angelica sur sa peau. Lorsqu’il comprit que ce qui était en train de se produire n’était pas une invention de son subconscient, il interrogea la jeune femme, pour s’assurer qu’elle était pleinement consentante de la tournure définitive qu’allait prendre leur relation. Le signe de la tête fut presque imperceptible, qu’il n’était pas certain qu’elle ait bien acquiescé, mais en ne remarquant pas le moindre signe de contestation, Edward déposa ses lèvres sur les siennes sans la moindre précipitation, savourant leur tout premier baiser. Son corps se positionna au-dessus du sien, sa main caressant sa cuisse, tandis qu’il continuait de savourer leur proximité. Il mit un terme à leur premier baiser pour simplement la contempler, et déposa de nouveau ses lèvres sur les siennes. Son cœur battait à tout rompt dans sa poitrine. Il peinait à réaliser ce qui était en train de se dérouler entre eux, mais en était pleinement heureux. Excepté l’intervention de sa femme de ménage qui le fit sursauter et reculer aussitôt, tel un adolescent surprit par ses parents. Néanmoins, il se souvint hâtivement qu’il n’était pas un adolescent, mais son supérieur et la froideur dont il fit preuve suscita une soudaine panique chez sa femme de ménage qu’Angelica se chargea d’apaiser aussitôt. La jeune femme ne semblait aucunement déstabilisée et souriait même.
Yuma retourna à son travail avec autant de précipitation que le Bipbip dans le célèbre dessin-animé, et tandis qu’il cachait sa virilité avec l’un des coussins, il déposa un regard soudainement plus adoucit sur la jeune femme dont la main n’avait pas quitté son avant-bras « Elle ne m’a jamais vu avec aucune femme » précisa-t-il, comme si ça justifiait son changeant brutal de comportement à son égard. Edward lui rendit son baiser avec tout autant de douceur qu’elle, sa main enveloppant sa joue. Il savait qu’il aimerait le goût de ses lèvres, avant même d’y avoir goûter, et elle lui donnait raison à chaque fois qu’elles caressaient les siennes. « Oui » fut le seul mot qu’il parvint à prononcer. « Parfaitement bien et toi ? » alors qu’il la couvait tendrement du regard, et qu’elle laissait ses doigts se perdre dans ses cheveux bruns. « On devrait prendre le petit-déjeuner… Ensemble ». Pour la première fois depuis leur cohabitation. Il glissa sa main dans la sienne, entrelaçant ses doigts aux siens, et calant leurs mains jointes dans le bas de son dos, il se dirigea jusqu’à la cuisine. Il relâcha son emprise sur les doigts de la jeune femme pour s’affairer en cuisine. Pendant que la machine à café se charger de moudre chaque grain de café avec précision et délicatesse, pour ne pas en altérer les arômes, il glissa quelques tranches de bagels dans le grille-pain et actionna la bouilloire pour le thé d’Angelica. Il profita des prochaines minutes d’accalmie pour se rapprocher de la jeune femme, ses bras autour de sa taille « Qu’est-ce qui t’a décidé ? » en évoquant cette initiative qu’elle avait prise avec leur relation, pour son plus grand bonheur.
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Charly
Dim 9 Juin - 12:43
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Sans l’intervention de Yuma et sa presque crise de panique en les surprenant ainsi dans le canapé, Angie et Edward seraient certainement aller bien plus loin. Il avait remonté sa main le long de sa cuisse, elle avait glisser les siennes sous son débardeur. Elle avait senti son désir pour elle. Le moment de foli venait de s'envoler. Mais peu importait à Angie. Il venait de se passer quelque chose d’important. Ils venaient de s’embrasser… ce n’était pas rien. C’était un immense pas en avant. Un geste qui allait, ou devrait changer bien des choses entre eux. Angie rassura la femme de ménage, et prit tout cela à la rigolade. « -elle pense qu’on est en couple depuis le début Edward… c’est plutôt logique que ce genre de chose arrivent entre nous. » même si jusqu’à présent ça n’était pas vrai. Sans chercher à comprendre ce qui se déroulait, toujours dans l’objectif de seulement savourer, la belle rousse prit l’initiative d’embrasser de nouveau Edward. Elle n’en avait pas eu assez. Elle ne voulait pas que ça s’arrête brusquement. « -moi aussi… » elle sourit et ajouta : « -je t’avais dit que je tiendrais pas toute la nuit sans dormir. » elle sourit un peu plus encore à la proposition qu’il fit. « - avec plaisir. » elle resserra ses doigts autour des siens, et l’accompagna jusque dans la cuisine.
Elle le laissa faire, l’observant, silencieuse et souriante, aimant le voir évoluer ainsi. Elle détourna seulement les yeux pour prendre la boite de thé et en choisir un sachet. Puis elle se redressa et vint poser ses mains sur le torse d’Edward. « -la conversation d’hier soir, la série aussi… » elle lui sourit de nouveau. « -quand je me suis réveillée, j’ai eu cette sensation d’être tellement bien… » elle l’observa et ajouta : « -ça te fait… peur ? » Demanda la jeune femme avec douceur. « -je sais pas ce que ça va donner. Je sais pas comment on va le vivre, mais… j’ai envie d’essayer. » elle se pinça les lèvres en baissant les yeux.
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Manhattan Redlish
Dim 9 Juin - 13:21
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Habituellement, Edward amorçait chaque journée en éteignant la sonnerie stridente de son réveil qui l’extirpait chaque matin des bras de Morphée. Mais aujourd’hui, c’étaient la douceur des lèvres d’Angelica se posant dans son cou, jusqu’à sa mâchoire, qui lui fit ouvrir lentement les paupières. Il n’existait pas de meilleure manière de commencer une journée que celle-ci, pensa-t-il en posant son regard sur elle. Ses lèvres sur les siennes, il n’avait pu retenir un frissonnement sous la caresse de ses doigts contre son torse nu. Et sans la venue inopinée de Yuma, il aurait non seulement partager leur premier baiser dans ce salon, mais également leur première étreinte. Il fustigea du regard la femme de ménage qui s’était aussitôt éclipsée, pour les laisser seuls de nouveau. Il tenta de justifier la réaction de son personnel, mais Angelica émit un raisonnement des plus logiques de si bon matin. Il ouvrit la bouche, pour la refermer ensuite, les yeux légèrement plissés, en laissant son esprit appréhender l’information avant son premier café. « Une information que j’ai oublié » déclara-t-il avec une légère moue, qui se dissipa au baiser que lui donna Angelica avec toute la douceur qui la caractérisait. Il ne pourrait jamais se laisser du goût de ses lèvres, et encore moins de ce que cela faisait éclore en lui. Un sourire étira ses lèvres « Je le savais » murmura-t-il à sa seule attention, avant de lui proposer de l’accompagner pour petit-déjeuner ensemble. Sa main dans la sienne, ils se rendirent dans la cuisine ensemble.
Avec sa rigueur habituelle, Edward répéta les mêmes gestes chaque matin, celui-ci ne faisant pas exception. La machine à café, la bouilloire et les toasts dans le grille-pain. Généralement, il profitait de cette accalmie pour récupérer le New York Times devant la porte d’entrée, mais il ferait une exception ce matin. Il n’avait d’yeux que pour Angelica et toute son attention était focalisée sur la jeune femme. Ses bras autour de sa taille, il se délectait de chaque moment de proximité entre elle et lui. « J’espérais que tu comprendrais que j’avais besoin de ça pour avancer avec toi » en évoquant leur conversation de la veille au soir. Le politicien voulait qu’elle lui confirme que ses espoirs n’étaient pas vains, que ses interprétations pas viciées, et qu’elle éprouvait les mêmes sentiments que lui à son égard. Il le savait dorénavant. « C’est un joli compliment » murmura-t-il, et répondit ensuite par un « Oui et non » tout en sachant pertinemment que l’influenceuse ne se suffirait pas de cette seule réponse, il poursuivit donc « J’ai peur que je te le fasses regretter un jour ou l’autre, par mon attitude à ton encontre, parce que j’ignore tous des relations amoureuses » Il sourit et reprit « Et à la fois, je n’ai pas peur parce que j’ai tant espéré que ça se produise entre nous, que le réel rattrape la fiction, que j’ai envie de me laisser porter, et de croire que ça peut être unique ». Il déposa son pouce et son index autour du menton d’Angelica fin de la contraindre à lever les yeux sur lui « On l’ignore tous les deux, et c’est ça qui est grisant », avant de lui demander « Tu as peur ? ».
En entendant la bouilloire s’agiter, Edward se recula après un baiser sur le front de la jeune femme, servant l’eau chaude dans la tasse d’Angelica, et récupéra les toasts qu’il disposa dans une assiette à leur attention, et récupéra sa tasse de café. Il disposa le tout sur le comptoir de l’ilot central, ouvrit la porte du réfrigérateur pour en extirper la confiture et le fromage blanc, et prit place sur l’un des tabourets, non sans s’autoriser à déposer un baiser dans le cou de cette dernière « Je dois te faire un aveu… » et la fixa un moment, avant de se lancer « Je t’observe chaque matin par-dessus mon journal lorsque tu arrives, et ce, jusqu’à ce que tu prennes place face à moi ». Il voulait avant tout la faire sourire.
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Charly
Dim 9 Juin - 21:04
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Après ce baiser échangé, ils venaient de faire le grand plongeon. C’était comme s’ils s’étaient enfin comprit, enfin autorisé à passer le cap. Angie avait ressenti un soulagement lorsqu’il avait posé cette question. Il ne l’avait pas repoussé. Elle n’avait donc pas halluciné. Il n’y avait pas qu’elle qui ressentait cette attirance et qui avait envie de vivre plus que ça. Malgré une nuit sur le canapé, elle savourait ce réveil tout en douceur. Malgré l’intervention de la femme de ménage, elle était toujours sur un petit nuage et elle déposa ses lèvres sur celles d’Edward pour poursuivre ce moment de bien-être et surtout ne pas faire de pas en arrière. Ce n’était pas une erreur. Elle avait eu envie de ce baiser, envie de lui. Et elle avait très envie de partager ce petit déjeuner ensemble.
Elle l’observa s’affairer dans la cuisine, avant de poser ses deux mains sur son torse pour répondre à la question qu’Edward venait de poser. Elle avait voulu lire entre les lignes, croire que ce n’était pas de la série dont il parlait. Elle avait visiblement bien fait. « -je crois que ça serait arrivé tôt ou tard. » si elle n’avait pas fait ce pas en avant ce matin, ça serait arrivé un autre jour, à un autre moment. Parce que les gestes et les regards parlaient pour eux. Parce qu’il lui avait dit ne pas vouloir la perdre. Ce fut ensuite à elle de poser une question. Est-ce qu’il avait peur. Elle voulait savoir. Edward n’était pas habitué à cela. Il vivait seul depuis toujours. Angie écouta sa réponse, plissa légèrement les yeux et il comprit qu’il allait devoir en dire plus. Elle sourit en l’écoutant. Ça arriverait peut-être… l’avenir leur dirait si c’était une bonne ou une mauvaise idée. En relevant ses prunelles pour le regarder, elle sourit et répondit avec sincérité : « -un peu… » elle ne comptait pas lui mentir. « -mais généralement, quand il y a de la peur, c’est que c’est le bon chemin… » un nouveau sourire en le regardant préparer la suite du petit déjeuner : « -je pense qu’on dois encore apprendre à se connaitre et se comprendre. Mais je veux qu’on essaie. A l’abri des regards. Pour le moment. Si tu es d’accord. » elle prit place sur un des tabouret : « -je n’en parlerais pas à Flynn. Je ne veux pas d’interaction extérieur. Parce que c’est notre histoire… » Elle n’imaginait pas qu’Edward puisse vouloir rendre tout cela public. Parce que c’était nouveau, qu’ils ne savaient pas très bien ce que ça allait donner.
Un sourire pour le baiser dans son cou, et elle souffla sur sa tasse de thé, avant de relever les yeux. Quel aveu ? « -tu veux bien parler au lieu de me faire languir ? » demanda Angie alors qu’il l’observait, comme si elle était capable de deviner seule. Ce qu’il déclara la fit rire joyeusement. « -sérieusement ? Moi qui pensait que tu étais totalement absorbé par ta lecture du journal. » elle n’avait jamais vraiment fait attention, évitant de lui parler avant qu’il ne le fasse pour respecter son besoin de déjeuner seul et en silence. « -et tu en as d’autres des aveux de ce genre ? » demanda la jeune femme avant de commencer à manger, sourire aux lèvres.
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"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly