"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Mer 28 Aoû - 22:27
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Les éclats de rires retentirent de nouveau dans l’intimité de la bibliothèque dans laquelle ils avaient trouvé refuge un peu plus tôt dans la soirée. La nostalgie et la rancune vis-à-vis d’un temps passé s’était peu à peu dissipée, à l’instar des sujets de conversations plus lourd de sens qu’ils avaient été contraint d’aborder pour entrevoir l’avenir de manière plus sereine. Délesté des sujets les plus oppressants, ils s’autorisèrent à amorcer un nouveau dialogue sur des notes plus légères « Eh bien, si tu veux vraiment que l’on aborde le sujet » enclencha-t-il avant de poursuivre « La fois où tu as réquisitionné Yuma pour ton travail, ou encore quand tu as décidé unilatéralement de changer les draps de mon lit après notre première nuit ensemble, alors que je voulais dormir avec ton odeur une nuit de plus, quand je cherchais ma chemise porte bonheur » et ajouta « Dois-je poursuivre ? » tout en arborant fièrement ce petit sourire en coin aux allures espiègle qui s’accu à la réplique d’Angelica « Ai-je plusieurs moyens de paiements ou tu ne prends que de l’argent liquide ? ». Finalement, ce que femme voulait, femme obtenait. Ils décidèrent donc de rester encore un moment dans la bibliothèque. La jolie rousse n’était pas encore parvenue à combler sa curiosité vis-à-vis de son talent de photographe. Elle semblait comme fascinée par sa capacité à mettre en exergue l’émotion des gens au moment même où son doigt s’écrasait sur le déclencheur, immortalisant ainsi une lueur dans le regard, un instant, quel qu’il soit.
Toutefois, Edward n’aurait pas envisagé que la vue de ces quelques clichés vieux de plus de deux décennies engendrerait un tel engouement chez sa moitié. Angelica était comme assaillit par d’innombrables possibilités qui germaient peu à peu dans son esprit créatif, pour la plus grande satisfaction du politicien qui n’avait dorénavant d’yeux que pour cette dernière. La couvant amoureusement du regard, il était tout ouïe à la moindre de ses idées. En cet instant, Angie semblait comme possédée, se laissant mener par le fil de ses pensées, déblatérant sans cesse pour lui exposer la moindre des possibilités qui s’offraient à eux en joignant son envie de mettre en évidence le bien-être des femmes, et son talent pour la photographie. Naturellement, Edward lui rendit son sourire et rétorqua aussitôt « Je suis réellement séduit par tes idées. On pourrait aussi mettre en valeur des femmes qui ont réussi à s’épanouir professionnellement, des cheffes de cuisine, des dirigeantes d’entreprise, peu importe la structure, et les exposer de manière à ce que les modèles des petites filles ne se résument pas uniquement aux princesses des contes de fées ». L’Histoire peinait à évoquer le nom de femmes qui avaient participé à faire évoluer le monde pour le faire devenir celui que nous connaissons aujourd’hui. Les réseaux sociaux étaient aujourd’hui la nouvelle presse, et l’outil le plus adéquate pour mettre en lumière des femmes qui ont réussi personnellement ou professionnellement, quel que soit leur domaine. Ainsi, ils offriraient de nouveaux modèles de réussite aux générations futures.
L’enthousiasme de sa moitié était communicatif, et c’était la raison pour laquelle il ne se sentit pas contraint de formuler une telle promesse à son encontre. Il ne gâcherait pas son talent de photographe au profit d’une carrière politique qui n’était plus en adéquation avec ses valeurs profondes. Ce baiser était tout autant une réponse que ses mots, et sourit à ses mots « Non. Merci à toi La Mia Luce ». Parce que sans elle, Edward ne serait pas parvenu à amorcer un tel changement dans son existence. Sans elle, il ne serait pas dans cette pièce à redécouvrir les photos de son passé. Angelica était son présent le plus précieux. Elle était son tout, son univers. Ce fut la raison pour laquelle Edward prit la décision d’évoquer de nouveau sa volonté d’officialiser leur relation. Subitement, la jolie rousse se montra moins encline à amorcer un tel changement dans leur existence. Elle n’était plus certaine de la pertinence d’une telle décision. Ce qui le fit sourire au lieu de l’offusquer. Il savait que la réponse formulée préalablement pesait de tout son poids dans la balance, et alors qu’il s’apprêtait à la contredire, Angie lui demanda implicitement le silence. Un nouveau sourire étira lentement ses lèvres et la laissa poursuivre jusqu’à ce qu’il soit assuré qu’aucun mot ne passerait de nouveau la barrière de ses lèvres « C’est d’accord » déclara-t-il dans un premier temps et se justifia aussitôt « Je veux que l’on officialise notre relation. Seulement, je voulais que ça soit pour des raisons légitimes, et celles de tout à l’heure ne l’étaient pas à mon sens ». Il embrassa sa tempe chaude tout en poursuivant « Je veux que toutes les femmes du monde sachent que je suis tout à toi, et à tous les hommes du monde que tu es mienne » déclara-t-il tout en émettant un petit rire « On procèdera de la manière dont tu préfères. Une conférence de presse, un post sur les réseaux sociaux. Peu importe ». Malgré l’appréhension qui tiraillait ses entrailles à cette pensée, Edward était prêt à franchir ce pas avec la jeune femme.
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Charly
Jeu 29 Aoû - 10:48
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -oui on va l’aborder. » précisa Angie avec sérieux mais souriant malicieusement. Elle éprouva une sorte de soulagement en écoutant ce qu’il avait à dire. Cela fit même rire : « -alors pour Yuma je me suis excusée, et depuis lorsque je lui demande de l’aide, elle est rémunérée et surtout je ne fais pas ça sur son temps de travail. » et de un : « -pour les draps j’en savais rien, c’était pas ma faute, tu n’avais qu’à dire clairement que tu étais déjà raide dingue de moi. » et pour la chemise… « -et pour la chemise, pour ma défense tu… tu te promenais torse nu ! » franchement elle était soulagée… Si ce n’était que ça, alors ce n’était rien. « -parce qu’il y en a d’autre ? » demanda Angie surprise. « -tu peux payer avec ton corps, ça me va aussi. » ajouta la jeune femme avec sérieux, avant de rire de tout cela.
La vue des photos prisent par Edward il y a de ça des années, faisait naitre dans l’esprit d’Angie tout un tas d’idées. Trop à la fois sans doute, mais elle fonctionnait ainsi. Elle laissait tout arriver et elle faisait le tri ensuite. Généralement elle les notait, pour ne rien oublier et Flynn l’aidait à savoir si c’était possible, réalisable ou complètement fou. Elle fut ravie de voir qu’Edward aimait ses idées, et elle sourit de plus en plus en l’écoutant à son tour prendre la parole et compléter tout cela. « -oh oui j’adore ! » clama Angie en battant des mains comme une enfant. Cependant, elle redescendit rapidement et lui demanda de lui faire une promesse. Adieu la politique. Il ne pouvait pas abandonner la photo. Il l’avait fait durant trop d’années.
Pour ce qui était de la question suivante, Angie se montra soudainement bien moins assurée qu’au bord de la piscine. Elle avait comprit que cela gênait Edward. Pas pour lui, mais pour elle, pour sa carrière, son image. Angie nourrissait les même craintes mais pour lui. Sauf que lorsqu’il aurait arrêté la politique, plus rien ne viendrait s’opposer à leur couple. Alors elle proposa d’attendre qu’il ait arrêté définitivement. Angie ouvrit de grand yeux. Il était d’accord ? Des yeux qu’elle leva comme une ado prise en faute lorsqu’il revint sur ce qu’elle avait dit au borde de la piscine. « -j’étais en mode jalousie, ça va… » souffla-t-elle comme pour se défendre, à voix basse. « -je vais faire un nombre incalculable d’envieuse… » souligna la jeune femme avec un sourire en coin, avant de frotter son nez contre celui d’Edward. « -une conférence de presse ? Je suis pas la princesse de Galles. On va juste s’afficher ensemble au yeux du monde. Peut-être une photo ou une vidéo sur mes réseaux. Enfin on verra bien… » elle s’en foutait de comment, elle voulait juste qu’ils ne se cachent pas. Angie se leva, et déposa la boite de photo un peu plus loin, sur le bureau, puis elle revint vers le canapé, vers Edward en souriant. « -on a jamais fait l’amour dans cette pièce je crois…" elle prit place sur les genoux d'Edward, à califourchon sur lui avant de lui murmurer à l'oreille: "-et ce matin tu avais certaines idées que j'aimerais beaucoup mettre en pratique..."
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Jeu 29 Aoû - 20:57
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Aussi étrange que cela puisse-t-il être en raison de leurs personnalités diamétralement opposées, la cohabitation s’était déroulée sans entraves majeures, à quelques exceptions près qu’Edward s’amusa à énumérer. Une liste exhaustive qui extirpa un joli rire de la gorge d’Angelica qui prit plaisir, comme à son accoutumée, à obtenir le dernier mot. Ce qui ne surprit nullement le politicien qui était dorénavant familiarisé avec ce trait de caractère prépondérant chez la jeune femme, et qui le faisait bien souvent sourire, à l’instar de ce soir « Ce qui explique que la maison soit de nouveau propre » précisa-t-il avec malice, avant d’intervenir de nouveau « Petite précision sur ce point mon amour ! Je n’étais pas le seul à tomber amoureux, sinon tu ne serais pas venue sciemment dans mon lit cette nuit-là ! », et elle le prouva d’une certaine manière en lui avouant, une nouvelle fois, le trouble qui l’avait accablé en l’apercevant torse nu dans l’appartement « J’étais loin de me douter que ça te troublerais autant de me voir sans ma chemise ! » renchérit ce dernier avec un certain entrain, l’asticotant avec légèreté. Angelica avait d’ores et déjà formuler cet aveu par le passé, et il avait donc par conséquent conscience que la jeune femme n’était nullement insensible à sa plastique affutée par de nombreuses heures de sport. « Oh … Eh bien, je peux notamment te régler par chèque ou carte bancaire si tu le désires » et laissa ses lèvres s’étirer dans un nouveau sourire « Je peux aussi te régler en nature si tu le désires ». Edward devait même avouer qu’il avait une préférence pour cette dernière suggestion. Toutefois, pas dans l’immédiat. En réalité, il se plaisait à redécouvrir les photos qu’il avait prise au cours de son adolescence, alors qu’il vaquait librement dans les rues de New York, uniquement armé de son appareil photo.
Néanmoins, Edward fut quelque peu déconcerté devant l’engouement soudain de la jeune femme qui lui fit part des nombreuses idées qui germaient peu à peu dans son esprit, encourageant le politicien à renchérir. Peu à peu, se dessiner l’esquisse de projets futurs qu’ils seraient à même de réaliser main dans la main. C’était cette existence-là qu’il désirait mener aujourd’hui, et non celle qui résultait d’un choix pratiquement fait en raison du deuil qui l’accablait. C’était pour cela qu’Edward ne rencontrait aucune difficulté à lui promettre qu’il mettrait un terme à sa carrière politique tel qu’initialement prévu. Toutefois, ce n’était pas la seule étape que souhaitait franchir le politicien dorénavant. Malgré des appréhensions profondément ancrées en lui, il était dorénavant à même d’officialiser leur relation. Ces quelques heures lui avaient permis de songer plus sérieusement à leur devenir à tous les deux, et il ne désirait plus vivre à l’abri des regards du monde. Il avait savouré la liberté d’arpenter les rues de ce petit village des montagnes au cours de ce week-end d’escapade romantique, et ambitionnait à partager ce quotidien simple avec Angie de nouveau, à New York. « Je dois t’avouer que j’ai aimé ce petit côté-là chez toi La Mia Luce » répliqua-t-il avec légèreté. « N’ait crainte, les hommes vont tout autant m’en vouloir de savoir que tu es tout à moi dorénavant ». Adam n’était probablement pas le seul à avoir été subjugué par son charme, et il ne préférait pas envisager tous les hommes qui l’avait connu bibliquement… Cette femme allait devenir la sienne officiellement, aux yeux de tous. « Hum… » amorça-t-il pensif, et poursuivit « Tu penses par exemple à la vidéo de nous deux, faisant l’amour dans la chambre ? » proposa-t-il tout en venant embrasser son cou, éprouvant une soudaine envie de régler sa dette de la plus délicieuse des manières.
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Jeu 29 Aoû - 21:55
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J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -quoi ? Je suis venue dormir dans ta chambre parce qu’on était en phrase mensonge à la terre entière. » elle se remit à rire joyeusement : « -bon d’accord et à nous même également ! » son rire redoubla : « -comme si j’étais aveugle ! » qu’est ce qu’elle l’aimait… c’était peut-être incroyable, mais c’était pourtant la stricte vérité. « -en nature, c’est très bien. Y’a pas de taxe comme ça. » s’amusa à répondre la jeune femme avant qu’ils ne regardent le reste des photos et que son esprit ne se mettent à imaginer tout un tas de possibilité pour exploiter le talent d’Edward. Comment est ce qu’il remit le sujet sur le tapis, ça c’était une bonne question. Mais Angie n’était plus si certaine de vouloir officialiser leur relation. Elle entendait et comprenait les dire d’Edward, et ne voulait surtout pas lui forcer la main. Ce qui lui semblait le plus intelligent en tout cas, c’était d’attendre qu’il soit libéré de sa vie politique pour divulguer l’information. Angie ouvrit de grands yeux en entendant l’idée qu’il donna pour annoncer leur relation au grand public. « -oh oui et on devrait la diffuser au journal ! » renchérit la jeune femme avant de rire.
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Jeu 29 Aoû - 22:54
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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En se remémorant les souvenirs datant de l’aube de leur cohabitation, Edward ne put que constater qu’ils s’étaient fourvoyés, tout autant l’un que l’autre, en ce qui concernait leurs sentiments réciproques. Cette première nuit passée ensemble n’avait pas été anodine, quoi que pouvait en dire Angelica dans un rire joyeux dont il ne parviendrait jamais à se lasser « Balivernes ! ». Contre toute attente, la jolie rousse abdiqua d’elle-même face à l’évidence « Exactement ! Ne te mens pas Angie, chérie » renchérit-il tout en laissant jaillir à son tour un rire tout autant discret qu’amusé par leur échange « Si j’avais su, je n’aurais fait que me pavaner dans cette tenue les jours suivants ». Ce qui ne se serait jamais produit, même informé du trouble que cela engendrait chez l’influenceuse. Il aurait probablement tant rougis qu’il n’aurait eu d’autres choix que de s’enfermer plusieurs heures durant dans son antre, dans l’espoir que le malaise se dissipe au plus vite. Aujourd’hui, leur relation était différente et avait su évoluer au fil de l’amour qu’ils se portaient l’un à l’autre. Ainsi, il ne craignait plus d’émettre son envie de régler sa dette en nature si tel était son désir « Qu’il en soit ainsi ». Ils n’étaient plus entravés par un quelconque contrat ou par les contraintes d’une cohabitation non-désirée, comme pouvait le prouver quelques-unes des vidéos contenus dans leurs téléphones respectives, et qu’Edward proposait de diffuser pour annoncer leur relation au grand public « Je constate que nous sommes sur la même longueur d’ondes mon amour ».
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Ven 30 Aoû - 16:45
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Ven 30 Aoû - 17:56
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ven 30 Aoû - 18:50
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J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Le lendemain matin, elle se rejoignit dans la cuisine alors qu’il prenait son café. Elle l’embrassa avec tendresse avant de préparer son petit déjeuner. « -jeudi j’ai une séance photo. Je ne sais pas trop vers quelle heure je vais rentrer. Je te donnerais l’adresse si tu as quelques minutes pour passer. » Le fameux jeudi, au matin, elle avait réceptionné leur colis. Elle avait envoyé une photo du paquet à Edward, avec des emojis avec des étoiles dans les yeux. Vers quinze heures, elle s’était rendue sur le lieu du shooting. C’était pour une marque de sous vêtement de sport. Elle fit la bise au photographe qu’elle connaissait. Puis elle passa au maquillage, à la coiffure avant de rediscuter des idées pour les photos. C’est ainsi qu’elle se retrouva à prendre la pose devant un mur blanc, en boxer, retirant peu à peu un gros pull pour laisser apparaitre une brassière de sport.
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Ven 30 Aoû - 21:03
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Au fur et à mesure que les matinées se succédaient, leur rituel matinal s’étoffait de nouvelles habitudes, de petites attentions inopinées. Aujourd’hui ne faisant pas exception alors qu’Angelica décida de l’interrompre momentanément dans sa lecture expéditive de l’actualité du jour relatée par le New York Times pour simplement venir déposer ses lèvres sur les siennes dans un tendre baiser. Le politicien d’antan aurait été probablement irrité par cette interruption fortuite, mais l’homme transit d’amour qu’il était devenu avec le temps ne pouvait qu’appréciait cet égard de douceur à son encontre. « J’essaierais de passer dans ce cas » promit-il à demi-mot tout en pliant le journal d’un geste habile de la main afin de le disposer sur le rebord du comptoir en marbre à ses côtés. Ce que ne confia pas dans l’immédiat le politicien, de crainte que cela ne soit pas envisageable en raison d’un emploi du temps toujours plus saturé que la veille, c’était qu’il avait d’ores et déjà envisagé d’être présent plus que les quelques minutes qu’Angie demandait de son temps pour assister à la séance photo.
« Excusez-moi, c’est une séance privée » l’interpella le jeune homme occupant probablement son premier emploi. Doté d’un porte-document blottit entre l’intérieur de son coude jusqu’à ses doigts, et tentant de faire abstraction des grésillements de son oreillette, celui qui ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans tenta de le retenir à la porte d’entrée. En vain. « Puis-je savoir qui vous êtes ? ». C’était sans nul doute présomptueux de réagir ainsi, mais cette interrogation l’avait toujours quelque peu irritée. Toutefois, il se contenta de répondre par un simple « Un ami d’Angelica Gordon ». Perplexe devant sa réponse, le jeune homme le jaugea du regard quelques instants, puis de la pointe de son stylo, lui désigna le fond du hangar où se déroulait la séance photo. Dans son costume trois pièces, Edward contrastait considérablement au milieu de l’équipe en place, vêtu pour la plupart de tenues décontractées afin de supporter sans mal les heures de travail exigeant que nécessitait leur travail. En apercevant Angelica devant un mur d’un blanc immaculé, il sourit. Elle était rayonnante et dans son élément. Toutefois, son sourire se dissipa aussitôt que les mains du photographe s’autorisèrent à descendre légèrement le boxer jusqu’à la frontière de sa féminité « Il faut qu’on voit plus ton corps ». Il n’en fallut pas davantage pour que sa mâchoire se contracte suffisamment afin d’apercevoir ses muscles danser sous sa peau. Les mains dans les poches de son costume, il s’avança à proximité du photographe qui ignorait sa présence, renchérissant par un « Le yoga te va à ravir ma belle. Continue comme ça. Tourne-toi et montre-nous ce cul raffermit par ses longues heures de torture ». Un raclement de gorge interrompit l’engouement du professionnel qui lui adressa un bref coup d’œil « Vous êtes ? » avant de replonger son regard dans l’objectif « Un … ami d’Angelica ». Un petit rire retentit « Vous n’en semblez pas certain. Écoutez, c’est un lieu de travail ici alors je vous prierais de dégager. Merci ». Le photographe reporta son attention sur la modèle qui se tenait devant eux et reprit les clichés « Tu pourrais nous faire une petite posture de yoga pour montrer que le produit est parfait ». Muré dans son mutisme, il tenta de réprimer sa jalousie émergente pour ne pas faire d’esclandre en ce lieu. C’était sa possessivité qui avait nuit par le passé à leur relation, et elle n’accepterait jamais qu’il réitère à tel affront sur son lieu de travail, au milieu de tous ces gens avec qui elle devait collaborer. Toutefois, il lui était difficile d’être simple spectateur en cet instant… et cela se ressentait dans sa manière de fixer la jeune femme, dans sa posture tendue...
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Ven 30 Aoû - 21:39
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Ils avaient leurs petites habitudes du matin. Mais ce matin-là, elle avait prit la liberté de venir l’embrasser alors qu’il avait le nez dans le journal. Tout en préparant son petit déjeuner, elle lui avait parlé de son planning de la journée, de la séance photo qu’elle devait faire, sans précisé que c’était pour une marque de sous-vêtement de sport. Elle lui avait donné l’adresse et si son emploi du temps le permettait, elle serait ravie qu’il passe la voir. Angie connaissait l’équipe, le photographe également. Elle s’entendait bien avec, et elle savait surtout que malgré son franc parlé, il était respectueux de sa personne. L’idée n’était pas de faire des photos osées. Mais des photos qui permettaient à n’importe quelles femmes de se sentir belles.
Elle avait prit place contre ce mur blanc, en boxer, un pull par-dessus la brassière. Ils avaient commencé par quelques photos simple, sans touché au pull. Et puis petit à petit, elle devait faire mine de le retirer, dévoilant peu à peu son corps puis la brassière. Aaron avait posé son appareil et s’était rapproché. Il avait repositionné l’élastique du boxer et Angie avait soupiré. « -je peux le faire seul tu sais. » un regard pour lui faire comprendre qu’il n’avait pas à prendre ce genre de liberté. « -pardon ma belle, tu sais très bien que j’aime tout contrôler. » Elle le savait, il était plus que perfectionniste. Angie leva les yeux au plafond en écoutant la remarque suivante tout en se tournant, les deux bras en l’air, les fesses légèrement en arrière. Elle baissa les bras et se tourna à nouveau, pour faire le constat qu’Edward était là. Elle sourit automatiquement et lança : « -ok mais donne-moi trois minutes. » sans attendre la réponse, elle se détacha du mur et accouru d’un pas sautillant vers Edward. Elle avait envie de lui sauter au cou, mais elle se contenta de glisser ses bras autour et de l’embrasser. « -t’as pu venir, je suis contente. » elle se détacha légèrement de lui et fit les présentations : « -Aaron, je te présente mon conjoint. » puis elle regarda à nouveau Edward et lui demanda : « -tu veux un café ? Quelque chose ? Je ne pensais pas que tu pourrais venir si tôt. » puis elle fronça légèrement les sourcils : « -qu’est ce qui se passe ? » d’un ton neutre. « -c’est parce que je suis en petite tenue c’est ça ? » demanda la jeune femme avec un sourire en coin. Elle l’embrassa à nouveau avant de lui glisser à l’oreille : « -tu n’as qu’à imaginer ce que tu me feras ce soir… » avant de rire légèrement.
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"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly