"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Ven 30 Aoû - 22:18
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ça n’avait pas été sans un certain engouement qu’Edward s’était empressé de verrouiller la porte de son bureau à double-tour en ce milieu d’après-midi afin de rejoindre la jolie rousse à sa séance photo. Toutefois, l’enthousiasme qui l’avait assaillit jusqu’alors s’était aussitôt dissipé à la vue de sa petite-amie pratiquement nue qui faisait face à un photographe que le politicien jugea pour le moins ingérant dans sa manière de procéder. La familiarité dont il faisait preuve à l’égard de l’influenceuse ne satisfaisait nullement celui qui se censurait pour ne pas faire d’esclandre sur le lieu de travail de la jeune femme. Ce n’était pas pour autant que la posture rigide et la froideur de son regard n’indiquaient pas son ressentit vis-à-vis de cette collaboration à laquelle n’adhérait nullement le politicien. La mâchoire crispée à son paroxysme, il ne se délecta pas non plus de la vue du corps contorsionné d’Angie qui, à l’accoutumé, parvenait à avoir raison de toute son attention. Tout ce qu’il percevait en cet instant, c’était qu’un autre homme que lui avait la primeur d’observer en détail les courbes pour le moins parfaite de la jolie rousse, et qu’il n’était pas le seul à apprécier le spectacle dont leur faisait la primeur l’influenceuse. Il avait surprit plus d’un regard à son attention et il n’avait d’autres choix que de rester de marbre, et de réprimer le moindre de ses ressentiments, pour ne pas nuire à la carrière de sa moitié. Obnubilé par les probables pensées lubriques de ses congénères ci-présent dans la pièce, il ne remarqua pas Angie qui s’avançait jusqu’à lui pour déposer ses lèvres contre les siennes. Il ne savoura pas son étreinte, lui rendant tout juste son baiser et acquiesça simplement de la tête à son aveu.
Elle était heureuse. Toutefois, ce n’était pas un sentiment partagé en cet instant, jusqu’à ce que la jeune femme ne le surprenne à le désigner comme son conjoint. Interdit face à cette désignation, Edward resta sans mot dire à la fixer de ses prunelles azurées. C’était la première fois qu’Angelica le désigner en tant que tel en sa présence. Muré dans son habituel mutisme, le politicien ne prononça pas le moindre mot, laissant ainsi la moindre des interrogations de la jolie rousse sans réponse, jusqu’à ce qu’elle n’évoque sa tenue, et la manière dont il devait appréhender la situation. Lui rendant de nouveau son baiser du bout des lèvres, il finit par rétorquer avec froideur « Ce qui me pose souci, c’est que je ne suis pas sûrement pas le seul homme à t’envisager dans son lit ce soir ». Aussitôt ces mots prononcés, Edward ferma les paupières avec force tout en laissant échapper un soupir de lassitude. Quand il reposa de nouveau son regard sur Angie, il ajouta « Il a osé te toucher et … ». Son regard dévia aussitôt sur le photographe qui prenait connaissance des différents clichés pris jusqu’alors, et il reprit « Tu es ma femme. Je n’aime pas l’idée qu’un autre homme puisse poser les mains sur toi sans ton accord ». Parce qu’il avait bel et bien surprit leur échange. Angie ne lui avait jamais accordé le droit de la toucher ainsi. D’un geste, il glissa une main hors de sa poche pour saisir celle de la jolie rousse « Je ne changerais pas. Je suis possessif et je n’aime pas que l’on touche ce qui m’appartiens. Tu es à moi et … » il esquissa un sourire « Je suis ton conjoint ». En sentant le regard impatient du dénommé Aaron sur leurs personnes, Edward délaissa la main de la jeune femme pour la glisser dans sa nuque, approchant ses lèvres contre les siennes et l’embrassa amoureusement, avant de mettre lentement fin à leur baiser. « J’ai quand même le droit de te trouver jolie dans cette tenue ? ».
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Charly
Dim 1 Sep - 11:28
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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En voyant Edward, un sourire radieux s’afficha automatiquement sur les lèvres d’Angie. Il était venu. Et bien plus tôt qu’elle ne l’avait imaginé. Ça voulait donc dire qu’il avait quitté son bureau, laisser du travail pour… et bien pour elle. Elle était dans un environnement professionnel et techniquement, ils n’avaient pas encore officialisé leur couple aux yeux du monde. Peut-être que quelqu’un ici, reconnaitrait Edward. Alors elle opta pour plus discret et pourtant intime. Ses bras autour de son cou, ses lèvres sur les siennes. Même si le retour de son baiser ne fut pas celui imaginé. Il était contrarié… Pas compliqué à comprendre. Son regard, ses gestes, sa mâchoire serrée… Elle le présenta pourtant au photographe, le désignant comme son conjoint. Parce que c’était un mot qu’elle aimait bien plus que petit ami. Ils n’avaient plus quinze ans. Ils vivaient ensemble… Quoi qu’il en soit, elle posa rapidement la question. Qu’est ce qui n’allait pas. En mettant directement sur ce qui avait pu lui déplaire. Elle savait déjà que ça venait de sa tenue. Sans doute aussi de l’attitude d’Aaron.
Un sourire en l’entendant répondre. Jaloux, possessif… mais il faisait l’effort de le cacher ou du moins de maitriser ses pulsions meurtrières. Et ça c’était important pour Angie. Ça voulait dire qu’il avait tiré une leçon de l’histoire avec Adam. « -je sais. » répondit la jeune femme. « - et je l’aurai remis à sa place exactement comme je l’ai fait, même si tu n’avais pas été là. » elle détacha ses bras du cou d’Edward avec lenteur, souriant toujours avec douceur. « -Je connais Aaron depuis quelques années déjà » Elle pencha la tête : « -ça n’arrivera plus, lorsque tu seras devenu mon photographe officiel… » souffla Angie avec une lueur complice dans les yeux. « -oui… je suis tienne… » ajouta la jeune femme avant de sourire avec tendresse. « -exactement… » elle apprécia qu’Edward soit en accord avec la dénomination qu’elle lui avait donné.
Angie lui rendit son baiser en moulant son corps au sien, comme si le reste du monde n’existait plus. Si jamais une photo était prise d’eux, ils renverraient l’image d’un couple amoureux. Parce que c’était tout simplement ce qu’ils étaient. Totalement amoureux l’un de l’autre. « -seulement jolie ? » demanda Angelica « -j’aurai dû te le dire que c’était des photos pour de la lingerie… enfin.. de la lingerie… » elle n’était pas en dentelle sexy ou porte jarretelle. Elle embrassa à nouveau Edward, avant de reprendre le travail. La séance dura encore deux bonne heures. Elle changea plusieurs fois de tenues, dirigeant la séance à sa façon. Soit : de façon naturelle et ne perdant pas de vue que ce qu’elle portait, était fait pour faire du sport, pas pour donner des envies aux hommes. « -j’en ai encore pour une bonne heure… » souffla la jeune femme en revenant vers Edward, grimaçant légèrement. « -tu pourrais… tu pourrais peut-être prendre ce temps pour aller acheter cet appareil qui te faisait de l’œil l’autre jour… » et qu’il n’avait pas eu le temps d’aller acheter. « -qu’est ce que tu en penses ? » demanda la jeune femme en penchant la tête, les deux main sur les torses d’Edward.
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Dim 1 Sep - 13:15
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Dès l’aube de leur cohabitation, Edward n’avait jamais dissimulé sa nature profonde à la jeune femme. Dès les prémices, Angelica avait pu constater d’elle-même qu’il disposait d’un tempérament pour le moins jaloux et possessif à son encontre. Elle était sienne et il lui était pour le moins difficile de tolérer qu’un autre homme s’autorise à poser ses mains sur son corps, sans y avoir été convié de surcroît. Néanmoins, pour ne pas porter préjudice à la carrière et à la réputation que l’influenceuse s’était évertuée de consolider avec les années, Edward avait prit la décision de rester à distance, en tant que simple spectateur, réprimant le moindre de ses ressentiments. Toutefois, la rigidité de sa posture et ce baiser qu’il avait rendu du bout des lèvres avaient suffit à Angie pour exiger de lui quelques explications quant à son comportement soudain. Contre toute attente, ce fut un sourire qu’elle lui offrit alors qu’il se décida à justifier sa soudaine réserve à son égard. Angelica ne semblait pas contrariée par sa réponse, et se montra par ailleurs compréhensive vis-à-vis de sa réaction « J’ai entièrement confiance en toi La Mia Luce » précisa-t-il en sentant l’irritation se dissiper peu à peu à son contact. Dès lors qu’Angelica était entrée dans sa vie, elle avait toujours eu un effet apaisant sur sa personne. Aujourd’hui ne faisait pas exception. « Je me moque que tu le connaisses depuis le berceau Angie. Qu’il ne s’avise plus jamais de te toucher sans ton autorisation ». Les années de collaboration, ou bien la tenue légère de la jolie rousse ne justifiait aucunement qu’il s’autorise un tel geste à son encontre. Il ne perdrait pas son temps en vain avertissement. Si ce dernier réitérait un tel geste, il subirait les affres de sa colère. « Si tu essaies de me convaincre, ne te donne pas cette peine. C’est déjà fait ». Ce comportement était une motivation supplémentaire pour concrétiser ce projet à deux. Ainsi, il la saurait en toute sécurité en sa présence. Un sourire étira finalement ses lèvres et acquiesça « J’aime beaucoup être ton conjoint ». Ce n’était pas anodin comme description. Il n’était pas son petit-ami, son copain. Il était davantage.
Afin de confirmer cette désignation, et ainsi dissiper tout espoir auprès de l’équipe technique, dont certains regards attardés avaient déplu au politicien, ce dernier déposa ses lèvres contre celles d’Angie. Son corps parfaitement moulé au sien, il l’embrassa avec passion, faisant entièrement abstraction du monde qui évoluait autour d’eux l’espace de quelques instants. Ils s’aimaient et aucun d’eux n’aspirait à poursuivre cette relation cachée aux yeux de l’opinion publique. Angelica le lui avait prouvé précédemment en le désignant comme son conjoint, et il fit ce pas en avant à son tour en l’embrassant sans la moindre réserve. Il se contrefichait que leur photo apparaisse sur les réseaux sociaux ou à la une de la presse politique. Il était las de continuellement dissimulé son amour pour Angelica. Il voulait vivre cette relation au grand jour. Un petit rire sous cape résonna ensuite et il lui vola un nouveau baiser « Tu es magnifique. Tu l’es toujours ». Mais le sourire qui habillait actuellement ses lèvres se dissipa au profit d’une expression plus sévère sur le visage du politicien qui considéra les propos d’Angie absurde « Je crois que tu ne m’as pas bien compris mon amour » et déposa sa main sur sa joue tout en venant caresser sa peau de la pulpe de son pouce « Tu es une femme libre et indépendante. Je suis là pour t’encourager dans le moindre de tes projets, mais jamais, tu m’entends, jamais je ne m’opposerais à tes ambitions. Si tu dois poser pour une marque de lingerie, qu’il en soit ainsi. Ce que je condamne ici aujourd’hui, c’est le comportement des autres hommes ». Aucun d’eux n’était à même d’exiger d’elle des postures lascives pour vendre leurs tenues, de toucher son corps sans son accord explicite, de poser sur elle des regards inconvenants. Il lui rendit son baiser, et osa une tape sur ses fesses alors qu’elle se hâtait pour rejoindre le mur immaculé de blanc qui servait de fonds pour la séance photo.
Tout en restant à proximité, échangeant de temps à autre des sourires ou des clins d’œil avec la jolie rousse, il avait mis à profit ce temps pour passer quelques appels dans leur ordre de priorité. Toutefois, il ne s’empêcha pas de couper court à la conversation quand il aperçut la jeune femme revenir jusqu’à lui. « Tu es sûre que ça ne te dérange pas ? » demanda-t-il tout en venant se saisir d’une mèche de cheveux entre son pouce et son index « Veux-tu que je vienne te chercher ou je rentre pour préparer le dîner en t’attendant ? » l’interrogea-t-il tout en glissant ses mains sur ses hanches « Si tu as besoin de quoi que ce soit, j’ai mon téléphone » et vint déposer ses lèvres sur les siennes « Avant de partir, je veux juste te dire que j'ai beaucoup aimé être là cet après-midi, avec toi et que je t'aime aussi ». Il esquissa un sourire « À ce soir La Mia Luce ». Sur ces mots, et après un nouveau baiser, Edward s’éclipsa pour se rendre à la boutique de photographie et faire l’acquisition du matériel qui lui sera nécessaire à l’avenir.
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Dim 1 Sep - 14:01
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie n’avait pas convié Edward à venir la voir ici, sur un lieu de travail, pour qu’il lui fasse une crise de jalousie doublée d’une scène en publique. Elle connaissait le photographe depuis quelques années maintenant. C’était quelque de passionné, qui se laissait enivré par l’action, et qui ne réfléchissait pas forcement aux conséquences de ses gestes. Ce n’était jamais facile de prendre ce rôle de mannequin. Seulement plus le temps passait et plus Angie savait donner ses consignes. Ils avaient rédigé des contrats strictes avec Flynn, suite à des soucis sur les tout premiers shooting qu’elle avait fait. On lui avait clairement fait comprendre qu’elle était novice, et qu’elle devait la fermer. Elle avait quitté le lieu avec Flynn, annulant le contrat. Puis elle avait fait une belle pub à la marque en question. C’était aussi pour cela qu’aujourd’hui, elle avait prit partie de travailler avec marque qui avait besoin d’elle. Et non l’inverse. Elle voulait que son image aide les entreprises cherchant à se lancer, celles qui partageaient ses valeurs.
Elle ne pouvait que sourire en entendant Edward. Il n’avait toujours pas changé d’avis. Il voulait toujours devenir son photographe. « -ça sera les mêmes consignes pour toi ? Interdiction de toucher… » souffla Angie avec un étincelle taquine dans les regards. Elle aimait le voir se détendre à nouveau. « -tant mieux parce que ce n’est pas prêt de finir… » peut-être qu’un jour ce statu évoluerait à celui de mari… Angie se surprit elle-même à penser cela. Lorsqu’il se décida à l’embrasser avec autant de passion, la jeune femme ressentit comme une sorte de liberté nouvelle. C’était bon de pouvoir vivre pleinement, au grand jour, sans penser à ce qui serait dit. Elle accepta le compliment, avant de froncer les sourcils. Qu’est ce qu’elle n’avait pas compris ? Elle se mit de nouveau à sourire, de manière plus solaire. « -je t’aime Edward… » c’était une affirmation, une réalité. Ce n’était pas prononcé pour le rassurer. Mais plus pour lui dire merci d’être lui, merci d’avoir cette attitude. Elle écarquilla les yeux lorsqu’il osa lui claquer les fesses, avant de lui sourire.
Quelques heures plus tard, elle s’approcha de nouveau, lui confiant qu’il y avait encore un moment à passer ici. « -bien sur que non. Au contraire, je veux que tu l’achètes cet appareil. » ainsi il n’avait pas d’excuses. « -je prendrais un taxi. Mais je veux bien que tu nous prépares un petit repas en tête à tête. » elle sourit : « -d’accord. » elle se pinça les lèvres, pencha la tête sur l côté et répondit : « -je suis contente aussi que tu sois venu. » Elle rentra un peu plus d’une heure plus tard à l’appartement. Elle déposa son sac dans l’entrer et avança avec lenteur jusqu’au salon, sourire aux lèvres, n’ayant d’yeux que pour Edward, comme si ça faisait des jours qu’elle ne l’avait pas vu. Qu’est ce qu’elle le trouvait sexy avec sa chemise manche retroussé, col ouvert. « -bonsoir… » souffla Angelica avec douceur.
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Dim 1 Sep - 14:40
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Dans un peu moins de trois semaines, Edward n’aurait plus à se soucier des problématiques rencontrées avec les autres photographes. Il deviendrait le sien, et comptait bel et bien être en charge de la plupart des séances photos qu’on assignerait à Angelica dans le cadre de ses projets futurs. Toutefois, le politicien n’envisageait pas de se contraindre aux mêmes clauses que ses prédécesseurs, comme il le confirma à la jolie rousse par la suite « Non. Je dispose d’un laisser-passer pour ton corps ». Cette même lueur taquine illumina son regard, alors qu’il renchérit d’une voix plus basse et profonde « Bien que cette interdiction de toucher pourrait prendre une tournure plus intéressante si on le désire … ». Cela faisait germer dans son esprit un énième fantasme dont il avait d’ores et déjà à cœur d’expérimenter avec son amante dans l’intimité de leur appartement. Elle était une source d’inspiration inépuisable. Mais Angelica n’était pas seulement cela à ses yeux. Elle était sa femme, son tout, son univers. Il lui était entièrement dévoué, corps et âme. Donc entendre cette dernière le désigner comme tel, comme son conjoint, produisit son petit effet sur le politicien qui ne put réprimer un certain contentement à être désigné de la sorte par l’influenceuse « Je ne l’envisageais pas autrement ». Maintenant qu’elle était entrée dans sa vie, il n’envisageait plus de la laisser partir. Ils avaient tant de projets à concrétiser ensemble, main dans la main. Et l’un d’entre eux s’amorça aujourd’hui même. Il était finit de vivre un amour caché aux yeux du monde. Ils étaient tout autant libre de s’aimer que ceux qui composaient cette Terre, quoi qu’en dise leur entourage ou l’opinion publique. Ils s’aimaient et étaient tout disposé à le vivre au grand jour, comme le présuma ce baiser qu’ils échangèrent à la vue de tous. Un baiser qui avait une saveur toute particulière et dont le politicien se délecta jusqu’à son terme. Néanmoins, le sourire qu’il arbora à la suite se dissipa dès qu’Angie reprit parole en évoquant sa tenue affriolante. Il se moquait bel et bien de la manière dont elle était vêtue, la jugeant dans son bon droit de se vêtir comme bon lui semblait. Il voulait la savoir libre à ses côtés. Elle n’avait jamais eu besoin d’un homme pour vivre et leur relation ne devait aucunement altérer ce sentiment de liberté auquel elle tenait tant. Ce qu’Edward condamnait à ce jour, c’était le comportement de ses congénères, de ses pairs. Celui des autres hommes qui se sentaient légitimes d’agir selon leur bon vouloir à l’encontre d’Angie parce qu’elle était une belle femme aux courbes attirantes. Son petit laïus sembla convenir à l’intéressée qui prononça ces trois petits mots qu’il affectionnait tout particulièrement « Je t’aime aussi Angie » murmura-t-il tel un secret, avant d’apposer sa main sur son cul dans une légère claque, l’encourageant à reprendre sa séance photo. Il lui adressa un clin d’œil quand il croisa son regard, la laissant s’éloigner de lui.
À l’issue de quelques heures de séance photo intensive à laquelle avait assisté Edward, imposant sa présence à l’équipe technique, il fut convié à quitter le lieu par nulle autre que la jolie rousse. Elle désirait qu’il acquiert cet appareil photo auquel il avait fait référence quelques jours auparavant et qu’il n’avait eu aucunement le temps d’acquérir « Bien » et sourit « J’y vais de ce pas alors ». Ses lèvres se posèrent sur le front d’Angelica « Je vais nous préparer une soirée romantique de ce pas, alors ». Sa main caressant ses cheveux roux, le politicien acquiesça de nouveau « Moi aussi », et s’éclipsa comme prévu. À son retour à l’appartement, Edward s’était aussitôt délesté de sa veste de costume et de sa cravate qui jonchait sur le rebord du lit conjugal. Les manches relevées et le col de la chemise ouvert, il s’était par la suite affairait en cuisine afin de préparer un filet mignon à la moutarde accompagné de quelques légumes poêlé. Au cours de la cuisson minutieuse, le politicien avait dressé la table, disposant nappe blanche et couvert en argent, le tout éclairé par deux bougies aux chandelles. Quand Angelica franchit enfin le seuil du penthouse pour le rejoindre dans le salon, il était en pleine quête de la bouteille de vin adéquate afin d’accompagner le dîner. Le millésimé entre les mains, il sourit aussitôt que ses prunelles azurées se posèrent sur elle « Tu es rentrée… » et hâta son pas pour venir l’embrasser « J’espère que tu as faim ». Il glissa sa main dans la sienne, tout en tenant fermement la bouteille dans l’autre, et conduisit la jolie rousse jusqu’à la terrasse. Il se délesta du vin rouge sur le rebord de la table, et tira la chaise afin qu’elle y prenne place, profitant de cette proximité pour déposer ses lèvres dans son cou « Il n’y a aucune occasion spéciale. J’avais juste envie de te faire plaisir » précisa-t-il « Je reviens tout de suite » et s’éclipsa pour revenir avec deux assiettes dressées en main. Il les disposa sur la nappe blanche et prit soin d’ouvrir la bouteille, remplissant les deux verres à moitié. Ce ne fut qu’à ce moment-ci qu’il s’autorisa à prendre place à son tour, face à elle « A nous deux » trinqua-t-il et après une gorgée, ajouta « Comment s’est déroulé la suite de la séance photo ? ».
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Dim 1 Sep - 15:11
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -s’il te plait… nous ne sommes pas seul… » souffla Angie avant de se mordre la lèvre inférieure. Elle avait très bien comprit ce que cette provocation venait de faire naitre dans l’esprit d’Edward. Plus elle l’écoutait et plus elle avait hâte que la politique appartienne à son passé. La photographie allait lui ouvrir de nouveaux horizons, une nouvelle vie. C’était d’ailleurs pour cela qu’elle avait finit par lui demandé de rentrer sans elle, mais surtout d’aller acheter l’appareil dont il lui avait parlé l’autre soir. Elle voulait qu’il franchisse un nouveau cap. Lorsqu’il aurait l’appareil entre les mains, tout serait encore plus concret. Elle espéra également qu’il prendrait le temps de leur cuisiner un petit repas.
Angie ne fut pas déçu lorsqu’elle fut de retour chez eux. Elle le trouva en cuisine. Ça sentait terriblement bon. Mais là tout de suite, celui qu’elle trouvait le plus apetissant, c’était lui. Elle prit le temps de l’observer, de détailler son corps de ses yeux, avant de signifier sa présence par un simple petit mot, qui s’accompagna rapidement d’un sourire lumineux. Elle l’embrassa avec envie et répondit : « -je meurs de faim. Je ne sais pas ce que tu as cuisiné, mais je salive d’avance rien qu’à l’odeur. » Elle n’avait pas prit le temps d’avaler quoi que ce soit de la journée. Alors oui, elle avait faim. Angie écarquilla les yeux en voyant la table qu’il avait installé pour eux dehors. Elle n’en avait pas imaginé autant. La jolie rousse prit place, croisant les jambes avant élégance. « -et bien c’est très réussi. » répondit-elle heureuse de ce début de soirée.
Lorsqu’il revint avec les assiettes elle observa le contenu, huma l’odeur et complimenta le chef : « -ça à l’air délicieux. » elle l’observa amoureusement ouvrir la bouteille de vin, comme s’il était l’homme le plus sexy au monde. Le menton posé sur sa main, coude sur le bord de la table, elle ne cessait de sourire. Puis elle se saisit de son verre « -et à notre soirée en amoureux… » elle prit une gorgée et commença à manger après lui avoir souhaiter un bon appétit. « -très bien. Visiblement ils étaient content des images. Comme pour le shooting de la plage, c’est moi qui valide ce qui peut ou non être publié. » si ça ne collait pas à ce qu’elle voulait, ça serait non. « -Flynn te passe le bonjour, il est arrivé dix minutes après ton départ. » ils s’étaient loupés de peu. « -et toi, cette rencontre avec ton nouvel appareil, comment ça s’est passé ? » comme si c’était un peu un rendez-vous avec un vieil ami retrouvé.
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Dim 1 Sep - 20:04
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Le temps n’avait pas d’emprise sur l’enchantement qu’il éprouvait dès lors qu’il posait son regard la jeune femme. Sa seule présence suffisait à le rendre heureux. Jusqu’alors, Edward n’aurait jamais cru cela possible, et pourtant … Il constatait chaque jour dans quelle mesure son cœur lui était dévoué. Elle était la complète illustration de la perfection. Elle n’avait qu’à entrer dans une pièce et poser sur lui ce regard dont elle avait le secret, et alors tous ses petits tracas de la journée s’envolaient aussitôt. Edward n’avait alors plus d’yeux que pour elle. Ce soir ne faisait pas exception. C’était la raison pour laquelle il combla promptement l’espace entre leurs deux corps, déposant ainsi ses lèvres sur les siennes dans un baiser passionné, comme s’ils s’étaient languis l’un de l’autre des heures durant. « Un filet mignon à la moutarde et des légumes poêlé ». Dès son plus jeune âge, Edward s’était découvert une appétence certaine pour l’art culinaire, mettant à poing d’honneur à s’affairer en cuisine même pour lui seul. Toutefois, il prenait davantage plaisir à cuisiner maintenant qu’il préparait le repas pour eux deux. Il se plaisait à faire découvrir des mets différents chaque semaine à la jolie rousse qu’il accompagna dès lors jusqu’à la terrasse où il avait dressé une table pour deux. Edward considérait qu’il n’était pas nécessaire d’attendre une occasion particulière pour faire plaisir et le lui prouva ce soir. Ses lèvres se posant dans le cou d’Angie, il sourit à sa réponse « Je suis ravi que ça te plaise ».
Son absence ne fut que de courte durée et dès son retour, le politicien déposa les assiettes dressées avec soin sur les rebords de la table. Il lui adressa un sourire pour seule réponse, et tandis qu’il s’évertuait à ouvrir la bouteille du grand cru français, Edward surprit le regard énamouré qu’elle posa sur lui en cet instant, et s’autorisa à rougir quelque peu face à l’amour qu’il pouvait lire dans ses prunelles émeraudes. Il se pencha pour venir poser ses lèvres sur les siennes en murmurant « J’aime quand tu me regardes ainsi La Mia Luce », puis versa un fond de vin dans chacun des verres. Ils trinquèrent à eux deux, à leur soirée en tête-à-tête, puis dégustèrent la première gorgée du liquide fruité. Dès la première bouchée, le politicien fut satisfait de la cuisson de la viande, et put ainsi se concentrer sur les dires de sa moitié « Tu crains le rendu des photos ? » osa-t-il demander avant de sourire à la politesse de Flynn à son encontre « Tu le salueras en retour la prochaine fois. Comment se porte-t-il ? ». Le questionnement était sincère. Malgré des débuts difficiles, Edward avait prit conscience de l’importance de ce dernier dans la vie de la jolie rousse. Dorénavant plus enclin à lier, qui sais-je, une probable amitié à l’avenir, il n’attendait plus qu’Angelica accepte de le convier à dîner. Dans l’attente de ce moment, il se contenta de sourire avec amusement à la question qui suivit « Eh bien maintenant que tu l’évoques, je voulais attendre ton retour et qu’on le fasse ensemble. Après tout, tout ça, c’est grâce à toi mi amore ». Il désigna ensuite le repas d’un signe du menton « Tu aimes ? ». Pas encore certain des goûts culinaires de la jolie rousse, il cuisinait bien souvent à l’aveugle, alimentant le doux espoir que cela lui convienne le moment venu. Reposant lentement ses couverts sur le rebord de l’assiette pour se saisir de la serviette en tissu, il amorça un « Angie… » hésitant, puis releva ses prunelles azurées sur cette dernière tout en délaissant le morceau de tissu sur le rebord de table « Ce qui s’est passé tout à l’heure … Je ne voulais pas te donner l’impression que je n’avais pas confiance en toi vis-à-vis d’Aaron. Je sais que je peux être possessif, jaloux également, parfois même dominateur et … Je ne changerais pas parce que je n’en éprouve pas l’envie, mais je peux toutefois être désolé si tu as considéré mon comportement malvenu ou inadéquate… ». Il glissa sa main jusqu’à la sienne, entrelaçant ses doigts aux siens « Je ne te considère pas comme un objet que j’aurais marqué de mon estampille, et que je revendique auprès des autres hommes, à l’image d’un trophée ou d’une poupée de porcelaine ». Tout en fixant leurs mains liées, il reprit « Quand je te martèle que tu m’appartiens, je veux que tu comprennes que ton cœur est mien, ton corps et ton esprit est nôtre. Tu es sous ma protection. J’espère que tu le sais ça Angie… Parce que j’y ai longuement réfléchis après mon départ et… » il se mit à sourire timidement tout en relevant lentement son regard bleu sur elle « Je t’appartiens tout autant, tu sais ».
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Charly
Dim 1 Sep - 21:00
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -ouh j’ai déjà hâte de gouter à tout ça. » renchérit la jeune femme qui adorait la cuisine d’Edward. D’une parce qu’elle le trouvait extrêmement sexy lorsqu’il était derrière les fourneaux, de deux parce qu’il cuisinait très bien. Jusqu’à présent elle n’avait jamais eu droit à de vulgaire pâtes aux fromages. C’était toujours recherché, et même si parfois, c’était un plat simple, il y passait du temps pour que cela soit fait maison. Elle aimait se laisser surprendre parce qu’il aurait décidé de faire pour le repas. Jusqu’à présent elle avait tout aimé, sans exception. Mais ce soir, il était allé encore plus loin, en dressant un table dans une ambiance romantique, et tout cela rien que pour elle. Pour un homme qui n’avait jamais eu de relation sérieuse avec une femme, ou une vie de couple, il était pourtant parfait dans ce rôle. Alors comment ne pas le couver d »un regard transpirant d’amour. Elle était totalement éprise de lui, sous son charme. Elle sourit un peu plus encore, si c’était possible, en entendant son commentaire.
« -oh non, mais j’aime avoir ce droit de regard. Ça fait comprendre que c’est moi qui dirige le game. » elle prit un petit air supérieur en disant cela, surjouant. « -c’est mon corps, mon image, ma réputation. Alors je veux bien poser pour des petites culottes, mais pas n’importe comment. » elle évoqua la venue de Flynn et le fait qu’ils s’étaient loupés de peu. « -il va très bien. Comme toujours d’ailleurs. » Flynn était toujours d’humeur égale, de bonne humeur. « -oh c’est gentil. On fera ça juste après le repas. » elle avala une nouvelle bouchée et ajouta : »- oui, c’est délicieux. J’aime vraiment beaucoup. » la viande était très bien cuite, les légumes croquants. Un délice.
« -ou là… » souffla la jeune femme sans perdre son sourire. « -sujet sérieux en vue. » Rien qu’au ton de la voix. Elle continua de manger tout en l’écoutant, dégustant également le vin qui était en accord parfait avec le plat. « -ce n’est pas le cas. » répondit Angie du tac au tac, comme pour conclure cette conversation qui n’avait pas lieu d’être d’après elle. Elle posa lentement ses couverts et elle sourit derrière son verre lorsqu’il lui prit la main. « -je suis au courant… » s’amusa Angie en penchant la tête sur le côté. Elle le laissa poursuivre en le couvant du regard avec douceur. « -j’ai apprécié que tu prennes sur toi. Je sais que tu l’as fait pour moi. Et je t’en remercie. » elle avait parfaitement comprit que lorsqu’elle s’était rapprochée de lui, il bouillonnait intérieurement. « -tu n’as pas à t’inquiéter pour ma sécurité. De plus, tu seras bientôt mon unique photographe. Je ferais changé les contrats, et ils n’auront pas le choix. » ainsi le problème ne se poserait plus.
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Dim 1 Sep - 21:53
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ce n’était pas rare que la jeune femme pose sur lui un tel regard, et dans ces instants-là, il pouvait y lire tout l’amour qu’elle éprouvait à son égard. Pourtant, Edward ignorait encore et toujours les raisons qui avaient poussé une femme telle qu’Angie à tomber amoureuse d’un homme tel que lui, bien souvent décrit comme taciturne et acariâtre. Toutefois, l’ignorance ne l’empêchait pas d’apprécier chaque instant qui leur était offert et le bonheur d’être ensemble. Las des doutes qui avait pu l’accabler par le passé sur sa légitimité à être à ses côtés, le politicien aspirait dorénavant à jouir de chaque instant auprès de celle qu’il aimait, tout en ignorant les aléas du lendemain. Tout ce qui importait dorénavant à Edward, c’était la concrétisation de leurs projets futurs, que cela soit l’acquisition de leur maison dans la banlieue du New Jersey ou encore sa carrière de photographe qui s’amorçait peu à peu. Après cette après-midi, ce dernier ne cachait pas son empressement de devenir le photographe attitré de la jeune femme. Sa venue sur le lieu du shooting photo n’avait pas été sans conséquence et bien qu’il avait tenté de réprimer le moindre de ses ressentiments à l’égard du dénommé Aaron, il avait conscience que cela n’avait pas échappé à Angelica qui avait poursuivi la derrière heure de séance photo seule avec lui. Par conséquent, le politicien peinait à dissimuler sa curiosité à l’encontre de la suite de la séance. Au vu des dernières informations que lui communiqua Angie, tout s’était déroulé pour le mieux et n’attendait plus que le retour des clichés pour émettre son propre jugement. Un droit de regard dont elle disposait et qu’elle souhaitait se voir pérenniser « Je trouve la femme d’affaire très sexy » avoua-t-il derrière son verre de vin et acquiesça, confirmant les dires de cette dernière. « Tu as une séance de lingerie fine à venir ? » finit-il par demander, quelque peu intrigué par cette dernière information « Parce que si tel est le cas, j’ai l’appareil photo, donc… » et laissa son sourire charmeur clôturer la phrase pour lui. « Tu lui as parlé du dîner ? » et dissimula tout autant son sourire que son visage derrière le verre de vin qu’il porta à ses lèvres. Pour ce qui était de l’appareil photo, ce dernier était toujours soigneusement rangé dans sa boite d’origine dans l’attente du retour d’Angelica afin qu’elle soit présente pour le découvrir. C’était le début de leur projet de collaboration. C’était symbolique pour Edward, et souhaitait partager ce moment-ci avec la jeune femme qui apprécia l’attention à son encontre « Bien ». Un sourire étira par la suite ses lèvres devant le compliment de l’influenceuse « Je crois que j’ignore ce que tu aimes ou non. Tu as peut-être des préférences pour les repas ». Il cuisinait selon l’inspiration et la disponibilité des produits frais. Pour autant, Angie avait probablement des envies particulières à certains moments ou des mets qu’elle appréciait moins que d’autres, et cela, il l’ignorait. Il voulait par conséquent qu’elle se confie à lui sur certains détails de sa vie.
Quand Edward prononça son prénom au cours du dîner sans rien ajouter à la suite, cela signifiait qu’il s’apprêtait à aborder un sujet de conversation sur une note plus sérieuse qu’à son accoutumé. Ce qui n’échappa pas à Angie qui était dorénavant familière de certaines de ses habitudes de langage. Son commentaire parvint à extirper un maigre sourire à son conjoint qui poursuivit toutefois son monologue, désireux de recontextualiser ce qui s’était déroulé un peu plus tôt dans la journée. Contre toute attente, la jolie rousse n’avait pas considéré ses propos comme avilissant. « Je sais que parfois, mes propos peuvent porter à confusion, et je voulais qu’il n’y en ai aucune entre nous » précisa-t-il afin de se justifier. Se penchant légèrement sur le rebord de sa chaise, Edward porta la main de l’influenceuse jusqu’à ses lèvres, embrassant sa paume avec douceur « Je ne vais pas te mentir en te disant que ça a été simple de me taire… Seulement, je ne voulais ni te nuire, ni te perdre en faisant un esclandre » et laissa leurs mains liées reposer de nouveau sur la nappe blanche « Je sais … Mais je ne peux pas m’en empêcher » avoua-t-il timidement tout en acquiesçant « Qu’est-ce que tu penses de voir ce que donne ce nouveau matériel ? » et délaissa la main d’Angie pour se saisir des assiettes. La table débarrassée et leur tasse de tisane trônant sur le bord de la table basse du salon, Edward disposa le carton à ses pieds et l’ouvrit avec délicatesse, dévoilant ainsi l’imposant appareil photo et les différents objectifs dont il avait fait l’acquisition en fin de journée « Qu’est-ce que tu en penses ? Il est joli, non ? » et se lança dans le descriptif détaillé avant d’émettre un petit rire et de fixer la femme à ses côtés « Tu peux aussi me dire de me taire, tu sais » et se pencha pour l’embrasser « J’ai pensé à toi » et se pencha sur le côté du canapé pour en extirper un petit sac coloré à l’effigie d’une célèbre marque de sous-vêtements « Tu peux le ramener au magasin si tu veux l’échanger » renchérit-il rougissant, son coude contre son genou et sa main caressant maladroitement sa nuque « La vendeuse m’a bien conseillé. J’ai précisé que c’était pour ma femme » en référence à sa passivité face aux avances de Bethany quelques jours auparavant. « Je me suis dit que ça serait l’occasion d’exploiter les capacités de l’appareil… ». Il leva toutefois son index, puis glissa sa main dans le sac pour en sortir une carte de visite « J’ai également rendu visite à mon agent immobilier pour notre maison. Je dois le rappeler demain matin pour l’informer de nos exigences ». Il n’avait pas oublié leur désir d’acquérir une maison à eux et dans laquelle ils écriraient leur histoire à deux.
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Charly
Lun 2 Sep - 11:03
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -merci pour ce compliment… » oui, celui-ci aussi elle le prenait. Elle aimait le fait qu’Edward aime cette facette de sa personnalité. Femme d’affaire… trop peu de gens la voyait ainsi, retenant seulement qu’elle vivait grâce à ses réseaux sociaux. Seulement, en derrière des vidéos, c’était un gros investissement qui ne se faisait pas n’importe comment. « -oui justement… » précisa Angie avant d’ajouter : « -j’ai un contrat avec une marque de lingerie, mais j’ai décalé la date parce que j’aimerais que ça soit toi le photographe. » avant de conclure : « -et personne d’autre. » avant qu’ils ne soient ensemble, ça ne posait pas vraiment de souci à la jolie rousse. Mais aujourd’hui, c’était différent. Elle voulait qu’il puisse plonger rapidement de nouveau dans la photo, et si quelqu’un devait prendre ce genre de clichés d’elle, elle souhaitait que ça soit lui. « -oui on en a rediscuté et je voulais voir avec toi pour un soir de la semaine prochaine. Suivant ton planning. » Flynn avait accepté l’invitation, ne restait plus qu’à mettre un date dessus.
« -j’adore quand tu cuisines… j’aime te voir cuisiner, j’aime ce que tu prépares, j’aime aussi la surprise à chaque fois. Je ne suis pas difficile. Il n’y a que les petits pois dont je ne suis pas fan du tout. » voilà, comme ça, il savait qu’il valait mieux ne pas lui en servir. Edward prononça son prénom, et elle su rapidement que le sujet allait être bien plus sérieux que ses gouts culinaires. « -je sais tout ça Eddy… » souffla Angie avec douceur. « -et j’apprécie vraiment que tu aies adopté ce comportement. » il avait réfléchit et ne s’était pas laissé dominé par son ressenti ou sa colère. Ça comptait vraiment pour elle. Un nouveau sourire tendre. Elle comprenait ce qu’il éprouvait, seulement il ne pouvait pas passé son temps à se faire du souci. « -allons s’y ! » s’écria Angie avec enthousiasme.
Elle s’installa sur le canapé et le laissa déballer l’appareil. Elle n’y connaissait pas grand-chose, mais lui oui visiblement. A nouveau, elle le regarda parler, ses yeux remplis d’amour, adorant entendre la passion dans sa voix. « -non… j’aime t’entendre parler avec autant d’entrain. » vraiment, c’était beau à voir. Son sourire, ses yeux qui pétillaient comme ceux d’un enfant à Noël. Un léger froncement de sourcil, avant de voir apparaitre le sac d’une marque de sous-vêtements. Un sourire en coin, un regard pour lui, puis elle ouvrit le paquet. Elle déballa avec lenteur quatre tenues qu’elle trouva magnifiques et très sexy. « -pourquoi tu voudrais que j’échange ? J’adore… » elle sourit jusqu’aux oreilles : « -pour ta femme… » le taquine Angie. « -alors tu devrais vite le mettre à charger. » précisa la jeune femme. Comme tout appareil, il devait avoir besoin d’être mis en charge avant la première utilisation.
« -tu en as encore beaucoup des surprises ce soir ? » demanda Angie en regardant la carte de visite. « -ça veut dire qu’on doit faire notre liste ce soir ? » elle déposa de nouveau la lingerie dans le paquet et se leva pour aller prendre un papier et un crayon. « -très bien. Alors. Une cuisine ouverte sur le salon pour que je puisse te regarder cuisiner. Avec un plan de travail pas trop haut pour pouvoir y faire l’amour. » elle lui lança un regard taquin. « -ensuite on avait dit une cheminée. Un jardin… » ils notèrent petit à petit tout de qu’ils voulaient, et ce qu’ils ne voulaient pas. « -voilà… je pense qu’il va avoir du travail. » s’amusa Angie en confiant le papier à Edward. Puis elle se leva, l’embrassa et récupéra le paquet : « -je vais me changer… je te laisse choisir où tu veux faire ces photos. » elle l’embrassa de nouveau avec plus d’envie avant de quitter la pièce, puis elle revint sur ses pas : « -on a un autre colis à ouvrir… » un clin d’œil et elle gagna la chambre pour se changer.
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