"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Mer 23 Oct - 12:01
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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La jolie rousse s’évertuait à continuer de le taquiner plus encore sur une hypothétique vie d’assassin avant lui. Cette même femme douée d’une douceur et d’une bienveillance sans pareille. Elle n’était nullement capable de tuer qui que ce soit, et il en était convaincu. Le politicien se contenta donc d’arborer ce petit sourire espiègle qui s’accordait à la lueur taquine qui illuminait ses prunelles azurées en cet instant, tandis qu’il rétorqua un « Je sais. Nul besoin de te justifier ». Son rictus devint brusquement plus doux lorsqu’Angie lui rappela à son bon souvenir l’imposante posture qu’il avait dans cette salle pour enfant, assis sur une chaise bien trop petite pour sa carrure. Il s’était sentit tel un géant au milieu d’adorable lilliputiens. Pour seule réponse, il émit un petit « Humhum », avant d’évoquer le dessin que lui avait offert Alicia à l’issue de leur bref bavardage. « Non. Sur le réfrigérateur ». Au moment de le disposer sur la porte noire brossée de l’électroménager, il avait esquissé un doux sourire et avait envisagé, le temps d’un instant que les prochains soient ceux de leur enfant. Toutefois, la réalité l’avait rapidement ramené à elle, mettant un terme à ses divagations. Le dessin d’Alicia serait le seul accroché à jamais sur la porte de son réfrigérateur…
Parce qu’il ne souhaitait pas perdre Angie avec un désir qu’elle ne partageait pas, et plus encore, parce qu’il était embrigadé dans une situation qui ne risquait pas de se démêler de sitôt… Il allait mené à bien cette campagne, mais ne souhaitait pas quitter New York à l’issue et occuper ce poste qu’il briguait depuis tellement d’années maintenant. Mais pour cela, Edward devait soumettre un nom au parti qui le soutenait depuis le début, et son choix se portait sur deux femmes. Le premier nom poussa Angie dans ses retranchements, tandis que le second ne convainc pas davantage sa moitié « Je l’ignore » précisa-t-il en évoquant les aspirations d’Ava « Je dois lui en parler, et pour cela, je ne vais avoir d’autres choix que de lui révéler notre petit… aménagement ». Il n’était pas certain que son assistante apprécierait d’apprendre qu’elle n’avait pas été mise dans la confidence le moment venu, et que plus encore, il s’obstinait à mettre un terme à sa carrière politique. Mais pour le moment, Ava n’était pas un problème en soi. Contrairement à Bethany Winthrop…
Tandis qu’il avait trouvé sa jalousie séduisante de prime abord, Edward regretta bien vite d’avoir évoqué la sulfureuse blonde de vive voix, et au cours de leur unique soirée en tête-à-tête depuis trois semaines maintenant. La culpabilité l’assena de plein fouet et constatant qu’elle éprouvait toujours autant de craintes à l’encontre de sa relation avec Bethany, et combla alors l’espace entre leurs deux corps, lui demandant de le pardonner pour son impair… Pourquoi ne l’avait-il pas repoussé au moment où elle avait déposé ses lèvres à la commissure des siennes. Ainsi, la jolie rousse n’aurait jamais douté de sa fidélité, et plus encore de lui. Ce soir, le mal était fait et il avait la sensation qu’il ne parviendrait jamais à apaiser ses peurs qu’il avait insinué dans son esprit malgré lui.
Alors que la jeune influenceuse reprit parole, ce fut au tour d’Edward de poser sur elle un regard quelque peu perplexe devant le discours qu’elle tenait devant lui. Angie lui martelait avoir confiance en lui, et pourtant, elle continuait d’avoir peur… Pour endiguer les appréhensions de sa moitié, le politicien décida d’envisager d’autres prétendants au poste « Je préfère être loin de toi le temps nécessaire, que de te savoir ici-même, à gamberger sur ce que je suis ou non en train de faire avec Bethany … ». Edward était prêt à mettre leur relation entre parenthèses quelques mois, si ça permettait à Angie de ne pas souffrir à l’imaginer en train de faire l’amour à une autre femme qu’elle. Lorsqu’elle reprit parole, Edward ne put retenir un « Oulà ! » pour le moins inquiet. Le problème était plus profond et persistant qu’il n’avait pu se douter. Son index se glissa sous son menton afin de lui permettre de se noyer dans son regard d’émeraude « Bethany est une belle femme, mais elle ne m’attire pas » précisa-t-il avec conviction « Par contre, tu n’as aucune confiance en moi ». Un constat qu’il ne fit sans la moindre colère ou animosité dans la voix. Il plaça son doigt sur ses lèvres « Tais-toi et laisse-moi terminer ». Il délaissa ses lèvres pour venir envelopper sa joue de sa main « Lorsque nous nous sommes rencontrés, je t’ai dit que j’étais un homme fidèle. Ma fidélité ne dépends pas de ta géolocalisation Angie, ou encore des tumultes de notre relation. Je n’ai pas besoin que tu sois à côté de moi pour me rappeler que je ne dois pas succomber à une autre femme. Bethany, à l’instar des autres femmes, peut être nue devant moi et me promettre mondes et merveilles, je n’en ai rien à foutre » déclara-t-il avec assurance. Lui qui n’était jamais vulgaire, le devenait en cet instant pour qu’Angie puisse comprendre dans quelle mesure il se moquait bien des autres femmes. « La Mia Luce, je ne te suis pas fidèle parce que je me dois de l’être, mais parce que j’en ai envie » et déclara dans un petit rire nerveux « Parce que je suis dingue de toi Angie, et je ne sais plus comment te le dire pour que ça soit ancré en toi ».
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Charly
Jeu 24 Oct - 11:06
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Alors qu'ils évoquaient le possible, enfin La possible remplaçante d'Edward, Angie se fit la réflexion que cela semblait presque impossible de passer une soirée tranquillement. Le mode de fonctionnement qu'ils imposaient à leur couple n'aiderait en rien. Parce qu'ils allaient forcément moins se voir vouloir éviter de se faire souffrir le peu de temps qu'ils se voyaient… le sujet devait être abordé malgré ce qu'il pouvait engendrer. « -pourquoi ? Tu peux aussi lui dire que tu n'as plus envie de ça. » elle regarda Edward et ajouta : « -à moins que tu ne veuilles plus lui mentir, ce que je peux comprendre. » il était proche d’Ava après tout.
Pour ce qui était de l’autre candidate, Angie n’était pas du tout d’accord avec cette idée. Elle sortie du frigo ce qu’elle avait préparé, tout en se permettant d’interdire à Edward de rester seul avec cette femme. Le problème n’était pas lui, mais bel et bien cette autre femme. Il s’était levé et avait trouvé bon de venir la rassurer. « -et si tu ne trouves personne d’autre ?! » Clama Angie un peu comme s’il y avait urgence. Edward était à même de comprendre, il s’était fait des films au sujet d’Adam. Roh elle détestait cette femme, elle détestait ces idées qui lui passaient par la tête. Angie redressa le menton et fut bien obligée de regarder Edward. « -non c’est f… » répliqua Angie. Mais il ne la laissa pas finir. Elle l’écouta en regardant ailleurs. Elle avait le visage vers le sien mais regardait ailleurs. Comme honteuse de ce constat qu’il faisait à voix haute. « -j’ai la sensation de ne plus rien contrôler actuellement, et ça m’angoisse. » avoua la belle rousse. «Te savoir en compagnie de cette femme… ça m’angoisse un peu plus encore. » elle soupira. « - ça va se résumer à ça maintenant nos moments ensemble ? A parler de sujet sensibles et de devoir constamment se rassurer l’un l’autre ? J’ai envie de tout envoyer balader. De partir loin rien que toi et moi… et je sais que tu ne peux pas. Je peux pas non plus d’ailleurs. Mais tout m’agace et m’irrite. Et ça m’énerve d’être comme ça parce que c’est pas dans ma nature… » elle ferma les yeux. « -et maintenant je parle, je parle, je parle alors que ne résous absolument rien... » elle laissa ses épaules s’abaisser.
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Jeu 24 Oct - 11:51
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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En songeant à cette soirée dont il s’était tant langui au cours de ces dernières heures, Edward n’avait pas envisagé que ces quelques heures qui leur étaient dévolues soient consacrées à évoquer son avenir dans la politique, et plus encore à inquiéter Angie sur une hypothétique liaison entre lui et Bethany qui ne se concrétiserait jamais. Finalement, il avait probablement quelque peu idéalisé cette soirée en tête-à-tête, et comme bien souvent dans ces circonstances, la réalité l’avait brutalement ramené à elle… « Je ne souhaite pas lui mentir » conclut-il avec assurance, non sans être intrigué par l’étrange comportement de sa moitié. L’effervescence de leur retrouvaille s’était dissipée comme une trainée de poudre, et ils se retrouvaient confrontés aux conséquences de leur choix. Non, ce n’était pas ainsi que le politicien avait envisagé cette soirée… Pas dans cette cuisine, à songer à d’autres candidats pour que la jolie rousse ne consacre pas l’ensemble de ses soirées à l’imaginer ne faire qu’un avec la sulfureuse blonde de la mairie « Eh… Calme-toi La Mia Luce » murmura-t-il avec douceur « Je m’envolerais pour Washington, et je te rejoindrais chaque week-end. Je me suis renseigné … Il n’y a qu’une heure et demie de vol. On va s’en sortir Angie. Fais-moi confiance ». Ce soir, entre les murs de l’appartement de feu sa grand-mère, Edward était devenu soudainement son point d’ancrage. Celui qui devait apaiser le moindre de ses craintes, une par une, jusqu’à ce qu’elle n’en ressente plus aucune.
Toutefois, Edward était bien loin de se douter qu’elle percevait en Bethany Winthrop, une réelle antagoniste, de sorte qu’elle envisageait d’ores et déjà qu’il succomberait à la moindre de ses avances. La jeune diplômée en économie était une belle femme, et ça serait mentir que de prétendre le contraire. Néanmoins, elle ne l’attirait pas. Une précision qu’il considéra pertinente de partager avec sa moitié, avant de constater qu’elle n’avait aucune confiance en lui, quoi qu’elle puisse prétendre devant lui. Alors qu’Angie s’apprêtait à le contredire, il disposa son index sur ses lèvres tout en exigeant d’elle, qu’elle reste silencieuse. Jamais il n’aurait pensé devoir se justifier sur sa fidélité, et pourtant, c’était bel et bien ce qu’il s’évertuait à faire en cet instant même, devant celle qui avait son cœur à tout jamais. Avec le temps, Edward risquait d’être à court de mots pour lui faire entendre raison sur les sentiments qu’il éprouvait pour elle. « Tu n’es pas obligée de tout contrôler Angie. Tu peux aussi me laisser prendre les choses en main » et caressa sa peau dans un geste lent du pouce « Je saurais dire « non ». Ai confiance en moi. Je t’en prie… » et ajouta « Je suis là devant toi, et j’ignore comment apaiser tes craintes… J’ignore comment te faire comprendre à quel point je suis amoureux de toi, et plus encore, comment te prouver que je te saurais fidèle, que tu ai seulement confiance en moi ». Ça lui faisait mal de la savoir si torturée et qu’il ne puisse rien faire pour apaiser sa douleur.
Quand elle reprit parole, elle se laissa porter par ses mots. Parlant encore et encore, jusqu’à ce qu’il ne dépose ses lèvres sur les siennes pour la faire taire. Un baiser plein de sentiments auquel il mit lentement un terme pour croiser de nouveau ses prunelles émeraudes « Alors ne change pas qui tu es pour cette situation, pour nous, pour moi… ». Il se saisit ensuite son portable qu’il ralluma, et constata quelques alertes de son emploi du temps sur les réunions auxquelles il devait assister demain, mais n’en fit que peu de cas de tout cela, s’attelant à chercher le nom d’un ami dans le répertoire, et porta le petit appareil à son oreille. Sans mot dire, il embrassa le sommet de sa tête, avant qu’une voix masculine ne lui parvienne « Bonsoir Edgar, je ne t’importune pas ? » « … » « Est-ce que tu as toujours ta maison à New Bedford ? » « … » « Est-ce que ça te dérange si je la réquisitionne dès ce soir » « … » « Disons… Deux jours » et déposa un nouveau baiser sur la chevelure d'Angie tout en prêtant une oreille attentive à son interlocuteur « … » « J’arrive dans dix minutes tout au plus ». Et raccrocha sur ces mots, pianota un rapide message à l’attention de son assistante, puis glissa son portable dans la poche intérieure de sa veste de costume, après s’être assuré qu’il était de nouveau éteint « Tu voulais partir, alors partons. Je viens te récupérer dans moins d’une heure. Seulement le temps de récupérer les clefs de la résidence, de faire mon sac et de prendre la voiture. On mangera ce que tu as préparé sur la route ». Il déposa de nouveau ses lèvres sur les siennes, et s’éloigna jusqu’à la porte avant d’ajouter « Je ne t’ai pas demandé… Est-ce que tu en as envie ? ».
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Ven 25 Oct - 9:57
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Mentir… que ça soit à Ava ou au reste de du monde, c’était pourtant ce qu'ils avaient choisi de faire. Enfin… Angie savait qu’à un moment ou à un autre, il finirait par dire la vérité à Ava. Elle pouvait comprendre. Elle espérait seulement que cela n'allait pas aggraver leur situation actuelle. Ava pouvait être un atout tout autant qu'un obstacle. La belle rousse avait du mal à imaginer l’assistante d’Edward prendre sa suite. Mais elle se trompait peut être. Pour ce qui était de l'autre femme dont Edward avait cité le nom, c’était une toute autre histoire.
Il lui demanda de se calmer. Elle en était incapable là tout de suite. Une heure et demi de vol… il s’était renseigné. Elle ne savait pas comment prendre cette information. « -ça fait trois semaines qu'on ne s’est pas vu Eddy, parce que ton emploi du temps est surchargé. Tu penses vraiment que ça sera plus facile après ? Que tu pourras prendre l’avion quand bon te semblera ? » Il était en plein délire ?! La jeune femme ferma les paupières en l’entendant lui demander de lui faire confiance. Encore une fois ce n’était pas lui le problème, mais ce qu’il y avait autour, ce dont il dépendait. En l’écoutant la supplier de lui accorder sa confiance, elle avait fermé les paupières. Comment en étaient arrivé là ? Où était la soirée en amoureux ? « -j’ai confiance en toi Edward ! » trancha Angie. « -j’ai confiance en toi… » reprit la jeune femme d’une voix plus basse. « - je veux seulement que tu ne lui laisses aucune possibilité de croire que… elle et toi… » elle se mordit les lèvres. « -j’ai l’impression que je vais te perdre… et j’ai horreur de ça. » elle était également en train de gâcher leur soirée et cela aussi lui faisait horreur. Elle s’en voulait.
Lorsqu’il prit son téléphone, elle ne trouva rien à dire. Le tête à tête était foutu de tout manière… elle posa son front contre le torse d’Edward, les paupières closes. Elle n’écouta pas vraiment la conversation, plus focalisée sur les battement de cœur de l’homme qu’elle aimait. Lorsqu’il lui demanda si elle était d’accord pour partir, elle ne su quoi répondre. Est-ce que cela allait changer quelque chose ? Elle n’en était pas certaine. Le choix de la remplaçante n’était pas acté… finalement elle accepta le voyage, et une heure plus tard elle montait dans la voiture, après avoir chargé une petite valise. Elle ne savait même pas exactement où ils allaient.
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Ven 25 Oct - 11:00
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Sans le moindre effort, Edward se remémora leur rencontre, comme si elle s’était déroulée la veille au soir, sur le rooftop de l’Elyisum. Elle ne s’était pas un instant laissé impressionner par son apparente sévérité, arborant ce sourire qu’il avait appris à affectionner. Elle ressemblait … Non, elle faisait partie de ces femmes fortes et indépendantes, que rien ne pouvait ébranler. Ça serait mentir de penser qu’il avait su, à ce moment précis, qu’elle allait devenir importante pour lui. Mais il avait su le comprendre avec le temps. Edward était tombé amoureux d’une influenceuse quelque peu brisée, mais qui dissimulait ses blessures derrière cette lumière qui émanait d’elle au quotidien. Bien longtemps, il avait craint d’atténuer cette lueur qui la caractérisait tant, mais les jours se succédaient, et elle continuait de briller pour eux deux. Jusqu’à ce soir … Angie révélait des craintes insoupçonnées jusqu’alors, et il se sentait impuissant face à sa détresse, d’autant plus lorsqu’il prit conscience d’être le responsable de ses peurs… « Je… Je l’ignore… » murmura-t-il, soudainement à court de mots. Ce n’était peut-être pas tant Bethany que son absence de ces derniers jours qui était la cause des angoisses de la jeune femme.
Edward s’évertua néanmoins à convaincre sa moitié de sa fidélité envers et contre tout, avec la sensation que sa tentative serait vaine à l’issue, et elle le lui confirma. Pas en lui martelant avec presque froideur qu’elle avait confiance en lui, mais par la requête qui suivit. Si Angie avait tant confiance en lui, comme elle semblait vouloir le croire, alors pourquoi s’employer à lui demander de ne laisser transparaître aucun doute quant à ses intentions à l’égard de Bethany. Le politicien aurait pu formuler ce constat à voix haute, mais ça n’aurait causer que plus de douleur à l’un et l’autre. Il ne désirait aucunement la faire souffrir davantage, alors il se contenta de répondre un « Ce n’était pas mon intention Angie » avec une douceur infinie. Contre toute attente, ce fut la jolie rousse qui lui assena le coup de grâce en évoquant sa peur viscérale de leur perdre lui… Sans voix, Edward l’observa en silence, et finit par formuler, la gorge nouée « Jamais. Angie. Jamais tu ne me perdras ». Mon dieu, qu’est-ce que cela pouvait être douloureux d’entendre ces mots s’échapper de la bouche de celle qu’il aimait…
Le politicien aurait pu la serrer fermement dans ses bras, patientant jusqu’à ce qu’elle retrouve un semblant de sérénité, et prétendre que la soirée se déroulait pour le mieux, mais n’en fit rien. Les quelques heures qui leur étaient dévolues n’étaient pas suffisantes. Ils avaient besoin de plus de temps ensemble, et décida de le leur octroyer. Qu’importe les remontrances d’Ava à son retour ou de l’amas de dossier qui joncherait sur le rebord de son bureau à son retour. Angie avait besoin de lui, de sa présence à ses côtés. Il farfouilla donc dans le répertoire de son téléphone, et pressa l’écran pour se saisir du nom de son interlocuteur. L’appel fut bref et sans fioritures. À l’issue, Edward s’éclipsa de l’appartement de la jolie rousse…
Son index apposé contre ses lèvres, tandis que son autre main tenait fermement le volant, le quadragénaire tentait au mieux de maintenir son attention rivé sur la route. Mais ses prunelles azurées n’avaient de cesse que de s’aventurer en direction d’Angie, installée à ses côtés. Rarement une telle inquiétude l’avait submergée la concernant. Elle lui semblait si vulnérable en cet instant, et lui, se sentait si incapable. Sans mot dire, il permuta ses mains sur le volant, afin de déposer ses doigts sur sa cuisse « Comment tu te sens ? », réellement soucieux de son état.
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Dim 27 Oct - 9:16
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Lorsque Edward avait quitté son appartement, Angie était restée quelques longues minutes le dos contre la porte de l’entrée, le regard dans le vide. Elle avait royalement gâché leur soirée. Tout ça pour quoi ? Par jalousie ? Non mais c’était du grand n’importe quoi. Elle s'en voulait tellement. Ça n’était pas dans sa nature de réagir ainsi. De douter, de se laisser guider par la peur. C’était du grand n’importe quoi. Il fallait qu'elle remette ses idées en ordre et qu'elle se ressaisisse. Elle avait confiance en Edward. Pas en Bethany. Mais avoir confiance en lui voulait également dire : le croire capable de résister ou d’imposer ses règles, pas uniquement de lui être fidèle. Angelica hésita quelques minutes entre se détacher de la porte, faire sa valise ou bien annuler. Ce week-end improvisé n’était pas la solution à tous leurs problèmes. Elle était certaine que cela n’allait rien résoudre. Et pourtant, la jolie rousse avait finit par faire sa valise, avant de finir par monter dans la voiture .
Sensation étrange de le voir conduire. Elle ne l’avait jamais vu prendre le volant. Angie n’avait pas le cœur à faire la conversation. « -concentre toi sur la route. » avait elle répondu alors qu’il passait trop de temps à l’observer, selon elle. Avoir un accident n’était pas au programme. Malgré la réponse froide qu'elle venait de donner, elle entrelaça ses doigts à ceux d’Edward. Comme un pardon silencieux. Quelques secondes plus tard, elle mettait de la musique. Quelques minutes ensuite, elle monta la son parce que c’était une musique qu’elle adorait. Elle se mit à chanter, d’abord dans sa tête, puis légèrement plus audible. Puis de façon bien plus entrainante. « -j’ai réfléchi et je suis d’accord pour ta proposition de l’autre jour. » ça tombait un peu comme ça, mais la conversation qu’ils avaient eut lui avait faire prendre conscience de certaine chose.
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Dim 27 Oct - 9:51
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Son sac de voyage Maxwell-Scott en cuir pleine fleur d’un marron foncé, presque noir, était encore vide des effets personnels du politicien lorsque ce dernier prit place sur le rebord du lit, à ses côtés. Un soupir lui avait échappé dans le mouvement, tandis qu’il laissait ses coudes prendre place sur ses genoux, joignant ainsi ses mains dans ses épais cheveux couleur ébène. Edward n’était pas assuré que ce week-end d’évasion n’apaise les maux de leur relation. Il se sentait impuissant vis-à-vis des inquiétudes de la jeune femme, qu’il en venait à penser qu’ils avaient commis une erreur en acceptant de poursuivre cette relation clandestinement. S’il s’était obstiné dans sa décision, elle l’aurait pleuré quelques jours durant, puis sans nul doute qu’elle aurait reprit la suite de son existence par la suite. Une pensée qui lui déchirait le cœur, parce qu’il voulait simplement la rendre heureuse, et ne pas insinuer des doutes et des craintes dans son esprit. Il se saisit lentement de son portable, et parcourra les réseaux sociaux d’Angie en quête des premières photos de leur relation. Celles qu’ils avaient prises alors qu’ils n’étaient encore que des collaborateurs. Elle était si belle… Continuant de faire dérouler le fil de ses publications, il aperçut la photographie d’eux deux, riant aux éclats après leur chute mémorable et inopinée du canapé. Un tendre sourire étira aussitôt ses lèvres, et caressa le visage de la jeune femme d’un geste du pouce. Edward ne pouvait pas la laisser croire de telles inepties le concernant. Il devait se battre pour eux deux, pour cet amour qui les liait et qui ne cessait de croître. Il rangea donc le petit appareil dans sa poche, et s’affaira à rassembler quelques effets personnels qu’il disposa rigoureusement dans son sac de voyage.
L’inquiétude ne l’avait pas pour autant quitté sur le chemin du retour, et c’était même accru en constatant le silence dans l’habitacle. Son regard n’avait de cesse de vaciller entre la route qu’ils arpentaient, et Angie assise à ses côtés. Le politicien permuta ses mains sur le volant et osa l’interroger, brisant ainsi ce silence presque oppressant qui avait envahi l’intérieur de la Bentley depuis leur départ. Sa réponse n’était pas celle escomptée, et le tendit quelque peu. Il va falloir qu’on parle en arrivant, pensa-t-il. La mâchoire crispée, il retira lentement de la sienne, jusqu’à ce qu’il ne soit interrompu par Angie, qui entrelaça ses doigts aux siens. Il osa un coup d’œil en sa direction, et rapprocha de nouveau sa main sur sa jambe, resserrant son emprise. Il ne quitta la route du regard qu’un bref instant, tandis que la musique s’élevait dans la voiture, suivit peu de temps après par la voix mélodieuse d’Angie. Edward ne pouvait que sourire en l’écoutant ainsi chanter. Pour autant, le fond de leurs problèmes n’était pas encore résolu. Ce n’était qu’un aparté. Le sourire qu’arborait encore précédemment le quadragénaire s’envola aussitôt que la jolie rousse reprit parole « Quelle proposition ? ». Il n’en avait plus souvenir, jusqu’à ce que la peur le saisisse « Si tu parles de nous quitter… J’y ai réfléchi tout à l’heure, et la réponse est non… Parce que je veux croire qu’on peut être heureux ensemble, que je peux te rendre heureuse… » et l’observa ensuite, avant de se concentrer sur sa conduite « Tu ne parlais pas de ça, n’est-ce pas ? ».
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Charly
Lun 28 Oct - 10:15
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Ce n’était pas dans ses habitudes de parler de cette manière. Seulement, elle se sentait perdue. Et agacée d’être perdue. Énervée de ne pas parvenir à faire face à tout cela sans prendre tout à cœur. Pourquoi est ce que tout devait être si compliqué ?! Parfois, Angie ne se reconnaissait plus. Et elle se demandait d’où cela venait. Est-ce que c’était à cause de leur couple ? De la pression qui pesait sur son entreprise ? De cette sensation de ne plus rien maîtriser ? Elle avait l’horrible impression que la femme qu'elle avait tant d’année à reconstruire, à devenir, était en train de s’effondrer. Et ça lui fichait une peur bleue. Sa relation avec Edward mettait en lumière le fait qu’elle s’était soignée, mais que bien des choses restaient encore fragile. Elle détestait ça.
Alors comme souvent, pour se détendre, elle avait monté le son. Puis elle s’était laissée emporter par la musique. Elle chantait plutôt bien, assez juste. L’idee n’était pas de faire un concert, seulement d’évacuer la pression, de faire en sorte que son cerveau pense à autre chose. La technique fonctionna assez bien. Même si ce qu’elle dit à voix haute n’était pas éloigné du cadre pro et politique. Elle fronça les sourcils en écoutant Edward. « -non je ne parlais pas de ça. » répondit la jolie rousse, tout en lui souriant. « -tu me rends heureuse Edward. » précisa-t-elle avant d’ajouter « Je te parle de devenir le visage et la porte parole pour ta campagne, afin de dénoncer le cyber harcèlement. » Elle baissa le son, aimant moins cette chanson. Puis elle se tourna légèrement vers lui. « -j’ai envie de le faire. Parce que ça me tiens à cœur. J’ai envie de m’engager pour ça. » elle était sincère. « et ça nous permettra également de passer plus de temps ensemble. » de rester aussi dans les parages afin que Bethany ne prenne pas trop ses aises. « -mais tu as peut être changé d’avis… » il ne souhaitait peut-être plus s’engager dans ce combat.
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Manhattan Redlish
Lun 28 Oct - 10:37
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Cette soirée n’était pas sans rappeler la matinée consécutive à son retour anticipé de l’Italie natale de sa mère. Excepté que cette fois-ci, Edward n’était pas parvenu à apaiser la moindre des craintes formulées à son encontre. Il n’était pas certain que cette exode sur la côte Atlantique résolve tous leurs soucis, mais ça leur offrait davantage de temps pour y songer ensemble. Seulement, il craignait que la jeune femme ne soit pas encline à se confier à lui ce soir, et il le comprit dans la froideur des quelques mots qu’elle prononça à son attention, alors qu’il se souciait uniquement de son bien-être. Si elle n’avait pas retenu sa main avec cette douceur qui la caractérisait tant depuis leur rencontre, il aurait sans nul doute envisagé son entière responsabilité dans la crise qu’ils affrontaient aujourd’hui. Bien qu’une part de lui n’ignorait pas que ça soit bel et bien le cas, mais qu’Angie ignorait comme le lui faire entendre sans lui causer le moindre mal. Ce fut la raison pour laquelle il évoqua aussitôt leur séparation quand l’influenceuse partagea sa volonté d’accepter sa proposition. Malgré les difficultés qu’ils rencontraient, le politicien n’était pas encore prêt à la laisser partir. Il voulait croire qu’il était encore capable de la rendre heureuse … Contre toute attente, il s’était mépris sur la proposition mentionnée par l’influenceuse. « Tu es sûre ? » finit-il toutefois par répondre, quelque peu sceptique quant à cette affirmation.
Sans mot dire, Edward s’évertuait à rester concentré sur la route, tandis que sa moitié lui faisait part de son désir de devenir la porte-parole de sa campagne, ou plus précisément de leur projet relatif au cyberharcèlement dont bien des femmes étaient victimes sur les réseaux sociaux. Après un bref regard pour le tableau de bord, l’observant baisser le volume de la musique, il releva ses prunelles azurées sur cette dernière. Il ne s’attarda pas à la contempler outre-mesure, reportant son entière attention sur la route qu’ils arpentaient depuis maintenant plus d'une heure. Un accident n’était pas souhaitable. « Je n’ai pas changé d’avis » précisa-t-il dans un premier temps « Pourquoi désirer le faire maintenant ? », omettant de préciser plus précisément ce soir. Sa main toujours sur sa cuisse, Edward précisa « Qu’est-ce qui te fait penser que j’aurais pu changer d’avis ? ». Qu’avait-il fait ou dit qui aurait pu lui faire envisager une telle chose ?!
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Charly
Mer 30 Oct - 20:18
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie ouvrit la bouche, et plissa les yeux. « -pourquoi tu… » commença la jeune femme, agacée par le comportement d’Edward. Pourquoi cette question ?! Elle ferma les yeux, inspira et répondit sans que la colère ne la submerge. « -oui je suis sûr. Arrêtes avec tes questions. » questions débiles en plus de ça. Elle précisa donc qu’elle parlait de son idée de venir le visage de sa lutte contre le cyber harcèlement. Mais elle précisa bien vite qu’il avait peut-être changé d’avis. Après tout peut-être qu’il n’avait plus besoin d’elle pour cela. Ava ou encore l’autre… Bethany pouvaient s’en charger à sa place. « -ok… bien. » souligna la jeune femme. Elle avait voulu renouer la conversation, mais visiblement c’était loupé. Et il enchaina avec de nouvelles questions, ce qui l’énerva un peu plus encore. « -je voulais t’en parler durant notre soirée. » ce n’était pas une décision qu’elle venait de prendre là, soudainement. Encore moins parce qu’il avait évoqué Bethany comme remplaçante et que cela l’avait totalement fait vrillée. « -j’y ai longtemps réfléchit. » oui, elle avait prit le temps de méditer l’idée, et au vu de ce qu’elle recevait encore et encore sur sa page instagram, elle avait finit par se dire qu’Edward avait raison. Elle devait le faire. Elle pourrait témoigner, prendre la parole sur quelque chose qui lui arrivait réellement. « -mon temps de réponse. » répliqua Angie en tournant la tête pour le regarder.
« -tu penses vraiment que je viens de me décider simplement pour pouvoir te surveiller si tu prends… Bethany pour te remplacer ? » demanda Angie sans le quitter des yeux. « -regarde moi dans les yeux… non gare toi, et regarde moi dans les yeux en osant me dire que ce n’est pas le fond de ta pensée. » elle renchérit : « -gare toi ! » elle aurait mieux fait de laisser le silence les envahir ou bien encore de continuer de chanter. Mais comment est ce qu’ils en étaient arrivés là ? « -quand je pense qu’on était seulement censé passer une belle soirée, d’enfin passer du temps ensemble et s’envoyer en l’air… » ils en étaient bien loin. Il avait fallu qu’ils parlent de ce remplacement… comme s’il ne pouvait pas seulement dire : salut démerdez vous ! Angie serra les dents. Pourquoi est ce qu’ils se compliquaient la vie ainsi ? Pourquoi avait elle réagit de cette manière ? Parce qu’elle l’aimait ?! Oui, c’était simple comme réponse mais c’était pourtant la seule qui lui venait à l’esprit. Pourquoi ne pouvait-il pas comprendre que ce n’était pas une question de confiance en lui, mais une peur de cette autre femme. Après tout, il l’avait éprouvé cette peur, lorsqu’il avait cru qu’Adam éprouvait des sentiments pour elle.
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