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"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Dim 13 Oct - 22:00

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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L’incertitude quant à leur avenir ensemble ne cessait de subsister. Ce soir, ils étaient parvenus à surmonter l’un des nombreux obstacles qui n’avaient de cesse de joncher leur relation. Qu’en sera-t-il du prochain ?! Rien n’était certain, et pourtant, ils avaient fait le choix de poursuivre leur relation malgré cette précarité. Parce qu’un jour de vécu à ses côtés était toujours plus précieux qu’aucun. Toutefois, aucune histoire n’était assurée de connaître une issue comme dans les comtes de fée, pas même la leur. Dans quelques semaines, Edward saurait s’il serait le prochain sénateur de New York et il savait pertinemment que cela allait reprendre toute leur relation en perspective, quoi qu’elle pouvait en dire. Angelica semblait pourtant si certaine ce soir en lui confirmant qu’elle serait prête à le suivre où il irait. Or, la réalité serait toute autre. Toute sa vie était dans cette ville. L’appartement de sa grand-mère, ses souvenirs, ainsi que Flynn. C’était simple de prétendre qu’elle le suivrait jusqu’à la capitale s’il était élu, alors qu’ils étaient blottis l’un contre l’autre dans le canapé. Toutefois, le politicien décida d’esquisser un sourire « En effet » murmura-t-il, quelque peu songeur. Il se contenta d’acquiescer dans un premier temps, avant de poursuivre par un simple « Oui ». Edward ne prenait pas les paroles de sa moitié pour acquis. Pas ce soir. Parce qu’il avait souvenir de cet enthousiasme qui l’avait habité quelques semaines auparavant à la simple pensée de révéler leur relation au grand jour, et au contraste qui avait suivi face au fait accompli. Aujourd’hui, elle était prête à tout pour lui, alors qu’il y a quelques heures, leur relation avait bien failli voler en éclat pour préserver sa carrière. Demain serait un autre jour.

Angelica s’était finalement décidé à réinvestir son propre appartement afin de confirmer leur séparation. C’était donc le cœur lourd que le politicien l’avait accompagné jusqu’à chez elle, découvrant ainsi son univers qui détonait quelque peu avec le sien. À l’issue de cette visite, le constat était simple. Elle allait lui manquer, mais il allait veiller à libérer du temps dans son emploi du temps pour la retrouver à la nuit tombée, à l’abri des regards indiscrets « Ça va paraître présomptueux, voire également possessif, mais j’aime l’idée d’être le seul à avoir franchi les portes de cet appartement », exception faite de Flynn. Il était également séduit par l’idée d’emménager ici même, dans l’appartement de feu sa grand-mère, tant soit peu qu’ils parviennent à trouver de la place pour ses effets personnels. « Je suis dingue de toi, tu le sais » conclut-il avec un sourire, et noua ses bras autour de son corps chaud, le blottissant ainsi tout contre le sien, tout en prenant soin de lui rappeler qu’il l’aimait également. « Je sais » souffla-t-il et acquiesça « J’espère que ce sacrifice ne sera pas vain » et déposa ses lèvres sur son front.

Le retour à son appartement lui rappela que cela faisait des mois maintenant qu’il n’errait plus en âme solitaire en ces lieux. Les mains dans les poches, il arpenta chaque pièce du penthouse, et constata le cœur lourd que tous les effets personnels d’Angie avaient alors disparu. Et bien qu’il savait que rien n’était fini entre eux, il ne put s’empêcher d’éprouver une certaine mélancolie. Néanmoins, son quotidien l’empêcha de réfléchir davantage et croula bien vite sous le travail. Les élections approchaient à grand pas, ce qui impliquait un bon nombre d’obligations. Ce faisant, Edward ne parvint pas à trouver une minute pour gravir les quelques marches jusqu’à l’appartement de sa douce moitié au cours des jours qui suivirent. Seulement quelques messages pallia son absence à ses côtés. Il terminait de pianoter sur l’écran de son téléphone, ponctuant son message d’un : Je pense à toi, après avoir rédigé : J’aimerais parvenir à trouver le temps pour te voir, et seulement te serrer dans mes bras. Quand Ava fit irruption dans son bureau « Tu vas être en retard » « Où ça ? » demanda-t-il en envoyant le message à Angie, et laissa reposer son portable sur son bureau, tout en relevant ses prunelles azurées sur son assistante « À l'hôpital » « La voiture est là ? » « Oui, depuis plus d'une demi-heure ». Edward se hâta donc pour se saisir de son manteau, tandis que les températures chaudes laissaient peu à peu place à une brise d’automne dans les rues New-Yorkaise, et se rendit jusqu’à la berline où attendait patiemment son chauffeur.

En arrivant devant le bâtiment hospitalier qui abritait l'un des plus grands services pédiatriques de la ville, Edward ne fut aucunement surprit de constater la présence de toute la presse locale, du pigiste au grand média. Parmi les nombreuses interrogations posées concernant son intérêt soudain pour les associations et œuvre de bienfaisance, se glissaient de temps à autre des questions relatives à sa rupture avec Angie. Il se contenta de rester silencieux, et de se laisser conduire par quelques officiers de police jusqu’au bâtiment. Un sourire de convenance étira ses lèvres en apercevant la directrice des lieux « Monsieur Wyler » « Bonjour Madame Garner » « Holly » « Très bien, Holly. Les journalistes sont déjà présents » « J’ai pu le constater. Vous n’êtes pas seul, le maire est également arrivé, ainsi que … Eh bien… Angelica Gordon. On a besoin de fonds et on s’est dit qu’une influenceuse… ». Il leva la main pour l’interrompre poliment « Ne vous en faites pas Holly ». Il put constater le réel soulagement qu’elle ressentit à ses mots, et se laissa conduire jusqu’à l'étage du service pédiatrique. Le politicien salua le maire d’une poignée de main, puis réitéra son geste à l’encontre de sa moitié « Bonjour… » et mima silencieusement le « La Mia Luce , tout en prenant soin de caresser le dos de sa main de son pouce. Il se mordit la lèvre inférieure pour ne pas lui confier qu’il la trouvait toujours aussi belle, et prit place à ses côtés.


Charly
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Charly
Lun 14 Oct - 16:00

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Retrouver son appartement et la solitude des lieux n’avait pas été chose facile pour Angie. Cela faisait peut de temps en réalité qu’elle vivait chez Edward, avec lui, mais elle s’était rapidement habitué à ce mode de vie de couple. Surtout à vivre avec lui. Pouvoir l’embrasser chaque matin, dormir love dans ses bras, entendre sa respiration paisible durant la nuit… l’odeur du café matinal lui manquait également, même si elle n’en buvait pas. Le pire fut la distance des jours suivant. Elle savait qu’il était probablement noyer sous le travail, et elle prenait sur elle pour ne pas le noyer de message. De son côté, elle tentait de remettre son entreprise sur les rails avec l’aide de Flynn. Malgré leurs efforts et l’annonce de sa rupture avec Edward, cela n’avait pas vraiment changé grand-chose. Alors le soir, seule avec un verre de vin, elle dessinait les contours d’une reconversion. Angie cherchait des idées pour se réinventer tout en gardant pour objectif qu’elle voulait venir en aide aux femmes.

Elle avait sourit en voyant le prénom d’Edward apparaitre sur son téléphone. Sourit un peu plus encore en lisant son message. Elle était en train de répondre lorsqu’il avait ajouté quelques lignes. De nouveau ce sourire. Puis elle avait terminé son message et envoyé : On va trouver le temps. Ce soir ? Chez moi. Je m’occupe de tout. Tu aussi tu me manques. Elle espérait qu’il pourrait se libérer et qu’ils pourraient ainsi passer quelques heures en compagnie l’un de l’autre. Elle voulait savoir comment il allait, comment se déroulait la campagne. Recevoir uniquement des sms ne voulait rien dire. Ce n’était des mots et il était aisé de se cacher derrière. Surtout pour Edward. Elle avait glissé son téléphone dans son sac et avait quitté l’appartement pour se rendre à l’hôpital. On avait fait appel à elle et son image pour une demande assez singulière. Elle avait rapidement accepté mais lorsque son regard s’était posé sur la presse, elle avait jeté un regard à Flynn.

On lui avait demandé la raison de sa présence, et elle avait répondu que la santé mentale des femmes étaient un sujet pour lequel, elle s’investissait chaque jour. Les jeunes mamans étaient vulnérables, celles qui étaient mère d’enfants malades tout autant. Puis une question concernant Edward était tombée. Elle avait répondu avec tact que ce n’était pas le sujet. Etrangement lorsqu’elle le vit apparaitre dans le couloir, elle eut la sensation d’être une ado de 17ans… Elle le trouva tellement beau… Elle avait comme des papillons dans le ventre. Ça faisait du bien de le revoir. Il semblait en forme et cela la rassura. La poignée de main la surpris quelque peu, elle n’avait pas songé à la manière dont ils salueraient. Mais elle lui adressa un sourire en ajouta : « -Mr Wyler. » elle ne l’avait jamais appeler ainsi… ça sonnait vraiment étrange dans sa bouche. Elle n'était là qu'en second plan, alors elle le laissa prendre le devant de la scène, avec la directrice de l'hôpital, tentant au maximum de ne pas le regarder amoureusement.


Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Lun 14 Oct - 17:13

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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La solitude dans laquelle il s’était réfugié durant ces deux dernières décennies était dorénavant devenu un poids immense depuis le départ d’Angie de leur … de son appartement. Ce n’était pas seulement elle qui lui manquait, mais également tous les rituels qui s’étaient peu à peu instaurer au sein de leur relation. C’était le bruit de ses pieds nus sur le parquet au petit-matin, c’était l’écouter longuement lui partager les évènements qui avaient jalonné sa journée, le soir venu. C’était aussi la caresse de ses doigts dans ses cheveux après une journée difficile. La distance était difficile, et plus encore alors qu’il parvenait difficilement à trouver un instant à lui consacrer, aussi minime soit-il. Les messages ne comblaient pas le manque laissé par son absence, ils permettaient seulement de maintenir le contact. Donc quand Angie lui proposa une soirée en tête-à-tête à son appartement, Edward n’eut d’autres choix que de réprimer le sourire qui désirait tant étirer ses lèvres. La présence d’Ava face à lui le contraignait à contenir la moindre émotion, notamment celle du bonheur ressenti face à cette invitation inopinée. Il s’autorisa quelques secondes pour répondre par un : Je ramène le vin et les chocolats. Ce qui signifiait qu’il allait tout mettre en œuvre pour être présent ce soir.

Dans l’attente de ce moment tant désiré après des jours de distance, Edward était attendu à l’hôpital de New York, au service pédiatrique. Sans surprise, une horde de journaliste attendait sa venue devant l’imposant bâtiment. Sa venue avait pour objectif de faire grimper sa popularité auprès de l’opinion publique. Toutefois, il fut quelque peu surprit de constater qu’il n’était pas la seule personnalité présente. Le Maire de New York avait été convié, au même titre que quelques influenceurs et notamment Angelica. C’était tout aussi frustrant que grisant de se retrouver face à elle après ces derniers jours. Il se contenta de lui serrer la main, et un sourire espiègle étira ses lèvres sans parvenir à le retenir « En souvenir de notre histoire, continue de m’appeler Edward » et retira sa main de la sienne dans une caresse. Qu’est-ce qui lui tardait d’être ce soir, qu’elle soit de nouveau entièrement à lui.

Holly ne lui laissa guère le temps de s’attarder, et convia le maire et son adjoint à découvrir l’allée pédiatrique en sa compagnie, talonné par les autres convives, notamment Angie. Ils cessèrent leur marche devant la salle de jeu des enfants. Ces derniers s’amusaient de part et d’autres de la pièce, peu perturbé par la présence de quelques caméras et d’adultes. « Nous accueillons environ 80 enfants en permanence ici-même dans le service » précisa la directrice « Et votre objectif à long terme ? » interrogea Edward, réellement soucieux de cette cause « 120 lits seraient un premier pallier à atteindre ». Il acquiesça lentement de la tête quand une enfant de six ou sept tout au plus arriva à sa hauteur « Tu es qui ? ». Un sourire sincère étira ses lèvres tandis qu’il s’accroupit à sa hauteur, lui tendant la main « Je suis Edward, mais mes amis me surnomment Eddy », et adressa un discret regard à l’attention d’Angie, avant de reporter son attention sur l’enfant, probablement atteinte d’un cancer au vu de sa tête dénuée de cheveux « Et toi ? » « Je suis Alicia. Qu’est-ce que tu fais là ? » « On est venus vous rendre visite pour agrandir le service. Avoir d’autres lits pour les enfants malades comme toi, et financer la recherche pour tous vous soigner ». Elle porta ses toutes petites mains à ses lèvres, dissimulant son timide sourire derrière, et finit par lui tendre l’une d’elle « Tu veux jouer avec moi ? ». Edward adressa un regard à Holly « Vous n’y voyez pas d’inconvénients à ce que vous poursuiviez la visite sans moi un moment ? » « Non, allez-y. On ne sera pas bien loin ». Le politicien se laissa conduire jusqu’à une table de coloriage, à laquelle il prit place. La taille de la chaise lui donnait une apparence de géant au milieu de tous ces petits humains éparpillés partout. Il tourna la tête en direction d’Angie et l’invita silencieusement à le rejoindre « C’est ton amie ? » « Oui. Mais c’est un secret » confia-t-il en disposant son index sur ses propres lèvres « Alors, qu’est-ce que tu dessines ? ».



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Lun 14 Oct - 20:39

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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La réponse envoyée par Edward à son sms lui avait fait chaud au cœur et l’avait contrainte à ne cesser de sourire jusqu’à son arrivée à l’hôpital. Angie avait continué de sourire, mais ce n’était pas le même. Ce n’était pas ce sourire amoureux et pétillant. Même si elle dût faire des efforts sur humain pour ne rien laisser paraitre lorsqu’Edward arriva à son tour. Qu’est ce qu’il lui avait manqué. Et qu’est ce qu’il était beau dans son costume. La jolie rousse espérait presque que la journée allait passer à une vitesse folle afin qu’ils puissent enfin se retrouver chez elle. Mais avant que ça ne soit le cas, ils devaient faire bonne figure, l’un comme l’autre. « -d’accord… » souffla-t-elle alors qu’il la priait de toujours l’appeler par son prénom. Elle aurait aimé garder sa main dans la sienne. Mais hélas, c’était impossible.

La jeune femme écouta la conversation tout en marchant quelques pas derrières eux. Elle allait devoir sortir son téléphone et prendre la parole, pour ses followers. Mais cela allait attendre un peu. La scène qui se déroulait devant ses yeux était touchante et les journalistes qui suivaient n’en perdaient pas une miette. Heureusement, ils n’étaient pas trop nombreux. Ici, que des sérieux. Les autres avaient été contraint de rester de l’autre côté des portes. Et c’était tant mieux. Elle suivit des yeux le politicien qui prenait place sur cette petite chaise d’enfant. C’était touchant et amusant à la fois. La jeune femme vit le regard de la fillette se poser sur elle, puis le léger signe de tête d’Edward. Mais elle n’eut pas le temps d’avancer qu’une jeune fille qui devait avoir dans les dix sept ans s’approcha d’elle. « -je crois que je suis en train de rêver ! » annonça l’ado avant d’ajouter : « -tu es… tu es bien Angelica ? » Angie sourit et fit un oui de la tête en répondant un : « -c’est moi. Et toi ? Quel est ton prénom ? » elle se rapprocha, laissant Edward en compagnie de la fillette, sans pour autant disparaitre de sa vie grâce à grandes vitres de la salle de jeu. « -oh moi… je suis personne. Et de toute manière je serais bientôt plus de ce monde alors… » outch… quel discours. « -ils ont mit trop de morphine c’est ça ? » lança Angie avec humour. La jeune sourit et ajouta : « -même pas ! » répondit elle avec ce ton qu’on les ados. « -qu’est-ce que tu fais ici ? » « -l’hôpital a besoin d’argent pour améliorer le service, et ils m’ont gentiment convié à venir faire un petit tour parce qu’ils savaient que j’avais de supers followers ici. » un sourire de grande sœur et elle ajouta : « -c’est quoi ton prénom ? » L’ado décida de lui donner : « -Rory. » « -oh j’adore ! Tu me fais visiter ? On pourra continuer à discuter comme ça. » « -c’est trop cool de pouvoir te voir en vrai ! J’adore ce que tu fais ! Je suis tes cours des yoga dès que je peux, mais parfois avec les traitements, les nausées et je t’épargnes le glamour, c’est un peu compliqué. » elle jeta un coup d’œil dans la salle de jeu et ses yeux s’élargirent. « -non mais tu… c’est ton ex qui est juste là ? » Comment ne pas sourire devant cette franchise. « -c’est lui… » « -tu l’aimes toujours hein ? » Angie sourit de plus belle. « -mais tu es qui toi ? L’envoyé de cupidon ? » elle parvint à tirer un joli rire à Rory et cela lui fit chaud au cœur. Elle vit de loin le regard d’Holly se poser sur elles.


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Lun 14 Oct - 21:38

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Ce n’était que torture que de la savoir à proximité sans pour autant être autorisé à ne serait-ce que la contempler, de ce regard épris, qu’il aimait tant posé sur elle. Edward devait se résoudre à l’idée qu’aux yeux de tous, ici présent, ils étaient séparés. De ce fait, il devait agir en conséquence, et se réconforter à la pensée que ce soir, elle serait de nouveau entièrement à lui. Sans la venue inopinée de la petite fille jusqu’à ses souliers, il aurait probablement continué à songer à la jolie rousse quelques mètres derrière lui. La petite Alicia eut raison de toute son attention et se laissa conduire jusqu’à la petite table pour enfant, où il avait la sensation de mesurer au-delà de son habituel mètre quatre-vingt-dix. Il échangea quelques mots avec l’enfant qui lui semblait bien attentive malgré les lourds traitements que son corps frêle devait supporter au quotidien, car elle suivit son regard jusqu’à Angie qui se tenait à proximité. Edward se contenta d’un discret clin d’œil à son attention, et se languit de ce soir pour la retrouver. En attendant, il laissa son attention dévier sur le dessin de l’enfant « C’est ma maison, et mes parents. Là, c’est mon chien et ici, c’est mon petit-frère ». Comme si c’était soudainement un sujet d’une urgence capitale, le politicien acquiesça tout en esquissant un tendre sourire à l’enfant, qui n’était pas sans rappeler ses deux nièces « C’est un très joli dessin. Est-ce que tu veux m’en faire un pour ma maison ? ». La langue coincée dans l’angle de sa bouche, elle arbora une mine concentrée, tout en jonglant entre les différentes couleurs, et s’affaira à lui faire un dessin et lui et de son amie. Il pourrait reconnaître cette chevelure rousse parmi toute. « Une vraie artiste » la complimenta-t-il tout en adressant un regard à la jeune femme qui s’éclipsa à son tour avec une jeune adolescente.

« Alicia, tes parents sont arrivés » déclara une infirmière derrière eux, interrompant l’enfant dans son dessin. Elle délaissa ses crayons pour se ruer dans les bras de sa mère qui s’agenouilla pour l’accueillir. Edward récupéra ledit dessin qui lui était destiné, puis se leva de sa chaise pour venir à la rencontre des parents de la petite Alicia « Bonjour. Je suis Edward Wyler » « C’est mon nouvel ami » déclara la petite fille tout en levant sa tête jusqu’à lui, lui tirant un sourire « Oui » et releva son regard sur les deux parents « Vous avez une enfant exceptionnelle » « Vous êtes présent pour … » et la mère laissa sa question en suspens « Pour des raisons politiques et non personnelles », puis jeta un coup d’œil en direction de la baie vitrée « On m’attends, semble-t-il. Veuillez m’excuser » puis s’accroupit à hauteur d’Alicia « Je vais devoir te laisser ma puce. Encore merci pour le joli dessin » et posa sa main sur son foulard coloré, avant de s’éloigner après un dernier signe de main en sa direction. Il rejoignit d’un pas trainant le reste de l’assemblée, non sans un regard pour la jeune femme. « Je demanderais aux journalistes de quitter la pièce, je vous prie ». Devant l’hésitation marquée de chacun des convives, et plus particulièrement la presse, sa posture se fut plus imposante et son regard d’autant plus sombre « Je vous ai demandé de sortir ». Il entendit maugréer à demi-mots, tandis que chacun d’eux obéissait. La presse éloignée, il se retourna en direction de la directrice des lieux « De combien avez-vous besoin Holly pour faire fonctionner l’aile pédiatrique ? » « Euh… Monsieur Wyler… Je ne sais pas… Enfin si… Je dirais dix millions ». Il acquiesça, puis extirpa son chéquier de la poche intérieure de son manteau, qu’il disposa sur le rebord d’une table sous le regard interloqué des derniers convives présents, et griffonna sur le morceau de papier avant d’apposer sa signature « Voici 5 millions. Vous obtiendrez sans mal les cinq autre manquant lors du prochain gala que la mairie organisera à votre attention ». Un silence pesant enveloppa la pièce un instant, puis Holly se saisit fébrilement du chèque que lui tendit le candidat au Sénat « Monsieur Wyler … Vous… Vous êtes… » « Vous en avez besoin. Moi non ». Ses doigts finirent par se saisir du morceau de papier, et après avoir réalisé le chiffre indiqué, se rua dans ses bras, non sans empreint d’émotion. Il hésita un instant, et resserra ses bras autour de la taille de la directrice. Il se recula ensuite d’un pas, la laissant reprendre contenance, puis précisa « Nos entrepreneurs ci-présent se chargeront de faire la promotion du gala de charité à venir, afin de convier le plus grand nombre ».

Charly
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Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie s’était éloignée avec Rory et elles avaient commencé à discuter. Rory suivait sa page instagram avec intérêt et ce qu’elle raconta à Angie ne laissa pas l’influenceuse de marbre. « -j’aime beaucoup ce que tu m’expliques tu sais. Envoi moi un message les jours où c’est compliqué et je pourrais mettre en place une séance plus douce avec un peu de méditation. » « -tu ferai ça ? » demanda la jeune femme visiblement touchée. « -pour moi ? » Angie sourit : « -oui bien sûr. Je suis certaine que ça parlera à d’autres jeunes femme également. » Angelica n’avait jamais pensé que des personnes malades pouvaient être un public pour ce qu’elle proposait. Et elle avait à cœur d’apporter du bien-être à toutes. « -tu… enfin… » l’ado montra son téléphone avec un sourire gênée. « -bien-sur viens là ! » lança Angie en saisissant le téléphone avec délicatesse avant de rapprocher son visage de celui de l’adolescente. Elle fit plusieurs photos et elle adora le sourire radieux de la jeune femme à ses côtés. « -tu peux la poster sans souci. » ajouta la jolie rousse, voyant bien que Rory avait besoin de sa bénédiction.

Angélica n’avait pas la moindre envie de rejoindre les autres, même si Edward en faisait partie. Elle se décida donc à faire son job et lança une vidéo. « -coucou mes lapins ! Aujourd’hui je suis… » et elle expliqua où elle était, ce qu’elle faisait ici et lança également un appel au don, jouant sur la corde sensible. Chacun pouvoir avoir besoin de l’unité de pédiatrie un jour. Peut-être pas demain… mais ce lieu pouvait apporter une aide précieuse aux jeunes malades et à leurs familles. Elle coupa, posta et revint malgré tout vers les autres. La directrice venait de se jeter dans les bras d’Edward. Visiblement, il venait de faire un chèque… Elle trouva cela noble de sa part et ne pu que sourire. Avec sans doute un peu trop de tendresse.

Elle passa les deux heures suivantes avec les ados du service, qui avaient été prévenu par Rory qu’Angie se trouvaient dans les murs. Séance photo, moment de confidence… Angie apprécia vraiment ces instants, bien moins les journalistes qui s’étaient agglutinés autour d’elle lorsqu’elle était sortie de l’hôpital. « -est ce que votre relation avec Edward Wyler est vraiment terminée ? » demanda l’un d’eux avant de pencher son micro vers la jolie rousse. « -pourquoi ce genre de questions alors que vous avez déjà les réponses ? » demanda-t-elle d’un ton las. « -vous ne voulez pas répondre ? » insista le journaliste. « -trouvez mieux et je vous répondrais. Nous ne sommes pas ici aujourd’hui pour parler de moi ou de lui, mais bien de cet hôpital qui a besoin de financement. »


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Mar 15 Oct - 21:43

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Il ne faisait nul doute que la venue inopinée de l’enfant aujourd’hui avait joué un rôle déterminant dans sa décision de rédiger un chèque de plusieurs millions à l’attention de l’hôpital. Cette ville regorgeait de petite Alicia qui, malgré la maladie, continuait de sourire à la vie, et chacun d’entre eux avait besoin de financement pour permettre à la recherche d’avancer, et de les guérir, d’une manière ou d’une autre. Toutefois, Edward avait souhaité apposer sa signature sur le morceau de papier à l’abri des médias. Il n’avait aucunement besoin que son geste soit glorifié par la presse. C’était un accord qui devait rester dans l’intimité de ces murs, et l’exigea de chacun des convives, notamment de Holly dès qu’elle eut reprit contenance. Par la suite, il se laissa conduire dans les différentes allées du service, rencontrant ainsi médecins et infirmières. Après une dernière poignée de main et un remerciement chaleureux de la part de la directrice, encore impactée par le don que venait de faire le politicien, ce dernier s’éclipsa par la grande porte devant laquelle il retrouva Angie, qu’il n’avait que peu croisé au cours de la journée. L’influenceuse semblait se débattre contre une presse toujours intrusive. Aucun d’eux ne semblait convaincu par leur récente rupture, bien que la jeune femme s’évertuait à les persuader de la réalité des faits, ce qui irrita particulièrement le politicien qui s’approcha d’un pas trainant jusqu’à cette dernière.

La dominant de plus d’une dizaine de centimètres, il se positionna à ses côtés, faisant ainsi front à la presse locale contrainte de demeurer hors des murs durant ces dernières heures. Les mains profondément enfouies dans les poches de son long manteau sombre, il n’arborait pas pour autant une posture nonchalante face aux immixtion de la presse à leur égard. La mâchoire crispée, il arborait son habituel regard noir dès lors qu’il se confrontait aux journalistes New-yorkais. « Un souci ? » finit-il par demander d’une voix profonde, presque dangereuse, se réconciliant avec l’homme qu’il était avant sa rencontre avec Angie « Madame Gordon reste évasive quant à votre rupture. Qu’avez-vous à dire à ce sujet Monsieur Wyler ? ». Le micro tendu en sa direction, Edward le jaugea quelques instants, puis décida d’apporter les réponses tant attendues « Avez-vous déjà aimé dans votre vie ? ». Un petit rire ironique, et un banal « Oui, bien sûr. Pourquoi cette question ? » « Alors vous devez savoir que lorsqu’on aime quelqu’un de manière si intense, que vous vous demandez comment vous avez pu vivre toute votre vie sans jamais la connaître, alors les sentiments ne se dissipent pas d’un coup de baguette magique ». Il tenta un regard à l’égard d’Angie, mais se retint à moitié de parcours, pour reporter son attention sur le journaliste qui attendait patiemment la suite de sa déclaration « Les raisons de notre séparation sont sincères. Toutefois, cela ne signifie pas que je n’éprouve plus rien à son encontre, et je suppose sans me tromper que la réciproque est sûrement tout aussi vraie. Nous avons seulement besoin de temps pour s’oublier. Maintenant que vous avez vos réponses, j’apprécierais que vous respectiez notre vie privée à l’avenir et veuillez ne plus contrarier Mademoiselle Gordon à ce sujet ». Un long silence suivit, et Edward en tira profit pour s’éloigner de l’assemblée, enjoignant Angie de le suivre jusqu’à la berline où ils trouvèrent tous deux refuge « Tu rentres à l’appartement ou tu es attendue autre part ? » demanda-t-il afin de donner une adresse précise à son chauffeur qui démarra afin de s’éloigner des médias « À quelle heure est notre rendez-vous galant ce soir ? ».

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Mer 16 Oct - 21:21

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie s’était préparée psychologiquement à recevoir tout un tas de questions de la presse. Et forcement ce n’était pas des questions qui portaient sur sa profession ou sur sa venue aujourd’hui dans ces lieux. Non, il s’agissait bien de questions au sujet de sa relation avec Edward. Alors c’était avec professionnalisme qu’elle avait répondu, même si un certain soulagement l’avait envahit lorsqu’Edward s’était approcher pour prendre la parole à son tour. Elle afficha un sourire doux en entendant les mots d’Edward. Elle était surprise de le voir répondre de cette manière, mais cela lui allait droit au cœur. Il avait revêtu son regard sombre, et pourtant il était là, à parler d’amour. Lui l’éternel solitaire… Le journaliste ne trouva rien à redire, alors elle s’éclipsa également, suivant Edward jusque dans sa voiture personnelle. « -je rentre… » souffla la jeune femme en attachant sa ceinture. Un sourire et elle répondit à nouveau : « -il peut débuter tout de suite… sauf si tu as d’autres obligations… » ce qui était surement le cas. Edward avait toujours un planning surchargé.

Elle resta un instant silencieuse, avant d’ajouter : « -merci pour ton intervention. Ils ont une légère tendance à m’énerver avec leurs questions indiscrètes. » comme si c’était le plus important de la journée de savoir si ils étaient véritablement séparés… N’étaient ils pas censé faire des papiers pour parler de l’hôpital et du service de pédiatrie qui avait besoin d’argent ? Une fois devant chez elle, Angie sourit de nouveau à Edward, et n’osa pas lui demander un horaire précis pour leur soirée. Elle savait qu’il mettrait tout en œuvre pour parvenir à la voir.

Le soir venu, elle avait commandé à manger, pas la peine de faire croire à Edward qu’elle avait cuisiné. De plus, elle n’en avait surement pas eu le temps. Lorsqu’il frappa à la porte, elle retrouva cette sensation d’adolescente, cette excitation de savoir que c’était lui qui se tenait derrière la porte. Enfin ils allaient pouvoir passer quelques heures ensemble. Elle espérait qu’il resterait pour la nuit, mais il était trop tôt pour le dire. Quoi qu’il en soit, elle ouvrit la porte rapidement, et la referma tout aussi vite, une fois qu’il fut entré. Elle ne prit même pas la peine de prononcer un bonsoir, et se jeta à son cou pour l’embrasser avec envie. Une envie qui ne l’avait pas quitter depuis le début de la matinée. Lorsqu’elle détacha ses lèvres des siennes à contre cœur, elle lui souffla : « -tu m’as tellement manqué… »

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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Devant la horde de journaliste quelque peu hostile à l’encontre de la jeune femme, Edward aurait pu renouer pleinement avec sa personnalité d’antan, et ainsi mettre un terme à cet échange abruptement. Néanmoins, en agissant ainsi, il n’aurait fait que confirmer les élucubrations des médias en ce qui concernait leur rupture, et il ne le souhaitait pas. Angie ne l’avait pas quitté parce qu’il était lui, mais parce que leurs professions étaient incompatibles. Par ailleurs, il avait souvenir de cette conversation, un soir dans ce qui fut leur appartement l’espace de quelques mois. Il n’était pas réellement cet homme antipathique et hautain que tout le monde semblait croire. À son contact, il avait su se dévoiler tel qu’il était derrière le masque, et c’était celui-ci qu’il avait désiré montrer au monde en cette fin de journée. Crédulement, il espérait que ça permettrait à bon nombre de se rallier à leur cause, et de contrer les détracteurs qui avaient nuit à leur relation. Edward se retrouva donc à parler d’amour, et plus précisément de celui qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre malgré leur rupture. Peu loquace à son accoutumé, il laissa l’assemblée bien silencieuse et profita de cette accalmie pour s’éclipser en présence d’Angie qui le talonna jusqu’à la berline où ils trouvèrent tous deux refuges. Il tapota le siège de Jeffrey « À l’appartement d’Angelica, je vous prie » « Tout de suite Monsieur Wyler », et prit la direction de l’antre de la jolie rousse, tandis que le politicien reportait son attention sur cette dernière, l’interrogeant sur l’heure à laquelle était prévu leur tête-à-tête le soir venu. Le visage d’Edward se déforma dans une moue désolée « Malheureusement… » et posa sa main sur sa cuisse. Même à ses côtés, elle continuait de lui manquer…

Le politicien respecta le silence qui enveloppa l’habitacle, jusqu’à ce qu’Angie ne le brise en évoquant les médias qui l’avait pris à parti un peu plus tôt. Il resserra la pression sur sa cuisse en signe de soutien implicite « En leur apportant une réponse, j’espère que ça comblera leur curiosité malsaine et qu’on bénéficiera d’un peu de répit ». Le trajet fut plus bref que dans ses souvenirs, et le chauffeur leur indiqua être arrivé à destination. Il la laissa quitter l’habitacle à contrecœur, tout en prenant soin de ne pas l’imiter pour un dernier baiser sur le trottoir. À cette heure-ci, ils pourraient être rapidement surprit, et ce n’était pas l’objectif. Il ne s’empêcha pas pour autant de la contempler derrière les vites teintées de sa berline, jusqu’à ce qu’elle ne disparaisse derrière la porte de son immeuble, puis laissa Jeffrey reprendre la route. À son retour à la Mairie, il s’enferma à clef dans son propre bureau afin de ne pas être importuné par aucun collaborateur, s’évertuant ainsi à abattre la charge de travail en quelques heures à peine. Il n’envisageait pas un seul instant d’annuler leur tête-à-tête. Pas après tout ce temps sans elle à ses côtés.

C’était donc une bouteille de grand millésime à la main et une boite de chocolat issue de la boutique d’un artisan local, qu’Edward arriva devant la porte de l’appartement de la jolie rousse. Il avait en cet instant seize ans tout au plus, les mains moites et des papillons virevoltantes à tout va dans son estomac. Un sentiment qui ne fit que croître lorsque la porte s’ouvrit sur nulle autre qu’Angelica, aussi ravissante qu’à son habitude. Les mains chargées, le politicien passa toutefois ses bras autour de son corps, laissant ses lèvres savourer la chaleur des siennes dans un baiser plein d’envie. Dos contre la porte d’entrée, il la laissa reculer à contrecœur, non sans pour autant perdre leur proximité « Toi aussi, tu n’as pas idée à quel point… » lui avoua-t-il dans un murmure. Il déposa de nouveau ses lèvres sur les siennes dans un baiser plus doux, et lui tendit la boite de chocolat et la bouteille de vin « Pour toi et pour nous ». L’enveloppant avec tendresse de son regard azuréen, il ajouta « Tu es tellement belle… ». Un dernier baiser, puis précisa avec un sourire espiègle « Tes parents t'ont laissé la permission jusqu'à quelle heure ce soir ? ».


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Hier à 14:23

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie s’était appliquée à travailler tout le reste de la journée. Elle avait tournée quelques vidéos, rédigée des postes afin d’alimenter ses réseaux. Elle avait prélé de l’hôpital, de sa rencontre avec ces ados qui l’avait touché et bouleversé. En fin de journée, la jeune femme avait le temps de se faire belle, de choisir la tenue qu’il fallait pour son tête à tête avec Edward. Les dessous surtout… Elle était euphorique. Enfin, ils allaient pouvoir passer du temps ensemble. Edward lui manquait constamment. Mais elle trouvait cela presque rassurant. C’était une preuve d’amour d’une certaine manière. Si ses sentiments n’avaient pas été fort, elle ne serait pas en manque de lui à ce point. Ce n’était pas qu’une question de sexe. Non ! C’était lui entièrement qui lui manquait. Sa voix, ses regards, leurs conversations… à cette distance, elle ne pouvait pas savoir s’il allait bien et elle détestait ça. Vraiment. Alors ce soir, c’était quelques heures rien qu’à eux. Pour eux.

Et c’était pour tout cela qu’elle lui sauta au cou à peine fut il entré dans son appartement. Il avait les mains pleines, mais elle s’en foutait. L’envie de l’embrasser enfin, était trop forte. Elle lui caressa la joue avec douceur lorsqu’il avoua à son tour son manque. Angie observa ensuite la bouteille qu’il lui tendait et elle répondit en la prenant dans ses mains : « -très bon choix… » elle devait allé poser ça, mais elle n’avait pas la moindre envie de l’éloigner de lui. « -je me suis dis pareil en te voyant arriver ce matin… » confia la jolie rousse avant d’afficher un sourire amusé : « -j’emmerde mes parents depuis très longtemps… » elle recula de quelques pas et déposa la bouteille et les chocolats avant de revenir vers Edward. « -la vraie question est : est ce que toi tu vas rester cette nuit ? » ça pouvait être risqué, mais elle ne voulait pas le voir partir. « -dis oui, je t’en supplie… » souligna la jeune femme en passant ses bras autour de son cou, hissée sur la pointe des pieds. Puis elle ajouta : « -avant qu’on ne commence notre soirée, j’ai une demande à te faire. J’aimerais que tu coupes ton téléphone. » elle voulait qu’il soit uniquement avec elle ce soir. Le travail, Ava ou quoi que se soit d’autre allait devoir attendre, tout comme elle avait attendu une semaine pour avoir ce moment ensemble. « -je vais faire la même chose. » elle l’avait laissé en mode son jusqu’à son arrivé, ayant peur qu’il ne soit obligé d’annuler. Mais maintenant qu’il était là, elle n’avait plus aucune raison de laisser le petit appareil allumé.


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