J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis mon puppy et les courbes feminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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« Juste une, ton frère et ta soeur, tu les vois encore ? » J'aurais pu me contenter de dire oui. Mais je ne suis pas certain qu'il apprécie mon humour douteux. « Tous les Dimanches, nous mangeons ensemble. Le seul jour, qui me permet de rappeler à quel point, je ne veux pas d’enfants. » Je cesse de manger. Est-ce que je venais de gaffer ? Etait-ce même légitime de penser aux enfants ?
HORRRRRRRRRRRRRRRRRRRREUR !
Je bois une rasade du vin. Sully, ne fais pas le con. Putain je vais suffoquer. Ce n’est pas ton destin. « Tu l’auras compris, les enfants, ce n’est pas mon grand souhait » Raison de plus pour ne pas rester avec moi, mon Puppy ! « Le mariage aussi, je trouve que ça retire tout le charme d’un couple » Deuxième rasade. Y’a quoi d’autre que je peux évoquer pour le dégouter de moi ? « Et toi, sinon ? » Légèrement batard quand tu dis non, à tous les engagements plus ou moins durables que peuvent espérer deux êtres ensemble.
Bulle d'oxygène. Avait-il un radar "Sully en PLS" ?
« C'est si bon. Tu m'apprendras ... à ne pas tout faire cramer pour commencer, puis transformer un aliment en bon repas ? » Je ris doucement, préférant ce sujet bien moins casse-gueule. « Tu sais, tu as déjà bon nombre de talents, personne ne t’en voudras. Et un sourire dont tu as le secret et on se précipitera pour te faire à manger. As-tu des passions dans la vie ? » C’est là, que je prie pour qu’il ne me les jamais dites parce que je ne l’écoute pas souvent, quand on est au boulot. Puppy, tu fous quoi avec moi ? Trouve-toi une petite nana, qui te méritera.
Pourquoi pas un homme ? AHAHAH, hors de questions !
Je n’hésiterais pas à rajouter un cadavre sur la pile qui git dans l’ombre de ma Vie. Je soupire. C'était impensable qu'un autre brute puisse croiser son chemin. Je comptais bien y veiller. Je me trouvais tellement hypocrite. Qui veiller sur lui ? Qui le protégeait de la brute que j'étais ? Je me fais plus sérieux, comme un rappel, sur nous deux.
« Si tu attends une vie trépidante, tu vas être déçu. Spoil Alert, je vais tout faire pour que tu es une vie des plus normales. Y’aura pas d’entrainement de corps à corps, pas de maniement des armes où je ne sais quoi. La seule chose de fou, c’est te réveiller aux aurores pour aller faire un footing. Sommes-nous d’accord Louis ? » Je le regarde droit dans les yeux. Je n’ai pas oublié les premiers mots qu’il m’avait sorti à notre première rencontre. « Me promets-tu d'être le seul à me tuer si jamais il devait m'arriver quelque chose ? Et je te promets de t'être utile, et je te promets que tu peux avoir confiance en moi. » Lui qui voulait m’être utile, je ne lui avais même pas rendu la pareille. Non, je le remerciait en le mettant en danger.
Deux mois que j’ai bousculé sa tranquille vie. Il avait tellement changé. Ni de peur ni d’attente dans son regard. Je n’arrivais pas à le définir. Un brin d’adoration et peut-être de l’amour ? Encore une notion qui me dépasse, tiens. Je vais devoir ma marteler son histoire d’âmes qui se touchent. D’habitude, la mienne tripote celle des femmes. Elle ne s’arrête pas sur un homme, dont j’apprends à connaître, à être séduit.
« Veux-tu faire un gâteau ? » Que je puisse arrêter de me rendre compte qu’il me tient sacrément par les couilles.
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Lojzo
Ven 28 Fév - 21:18
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis developper web et je m'en sors correctement. Sinon, je suis perdu, paumé et accroc à lui.
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« Et toi, sinon ? »
On parle d'enfant ou de mariage ? Je le regarde d'un air de poisson durant quelques secondes. À la longue, il va finir pour me prendre pour un gars complètement débile, mais parfois ses remarques partent si loin que je suis perdu. J'ai déjà dit que j'avais prévu de vivre au jour le jour non ? Comment parler mariage et enfant ? D'un côté ça me ferait presque peur qu'il évoque le sujet. De l'autre, comme c'est pour dire que ça n'arrivera jamais, je comprends qu'il préfère mettre les points sur les i. Le soucis, c'est que je n'ai jamais songé à tout ça. Avec Sophie c'était même pas au programme, alors avec Sullyvan.
Je me racle la gorge, parce que je ne sais pas comment lui dire. Est-ce que j'ai envie d'avoir des enfants ? Peut être un jour, lointain. Est-ce que je vais vivre vieux aux côtés de Sullyvan ? Je le souhaite, mais j'ai peur que ça n'arrive jamais. Est-ce que j'avais prévu de me marier un jour avec la personne la plus incroyable qui partagerait ma vie pour toujours ? Bof. Indécis, je finis par hausser les épaules.
« Mariage nan, le divorce de mes parents m'a guéri. » Comme si avant 12 ans j'avais songé au mariage. « Les enfants j'ai jamais songé aussi loin et je pense que la responsabilité me fait peur, mais clairement je ne m'étais pas posé la question. » Malaise. Pourquoi je parle toujours trop ?
S'ensuit un discours des plus terre-a-terre. J'ai envie d'acquiescer purement et simplement, mais je me mentirai à moi-même. Je veux un vie trépidante. Je veux foncer dans l'inconnu, je ne veux pas être un poids pour lui. Sauf que je ne peux clairement pas le contredire, il me planterait sur le champ. Alors je reste immobile en le regardant. Pas de trace de défi dans les yeux non plus, juste j'ai l'air d'attendre la suite.
« Somme-nous d’accord Louis ? »
Ma voix risque de trahir, alors je hoche la tête. Faire des footings c'est sympa aussi. Un fin sourire sur mes lèvres qu'il peut prendre pour un assentiment, alors que clairement je crois en mon pouvoir de le changer peu à peu. En fait, je dois même m'accrocher à cette idée, sinon je ne sais pas dans quoi je me lance.
« Veux-tu faire un gâteau ? »
Je relève la tête vers lui et, sans que je ne l'ai prévu, mes yeux brillent. Apprendre avec lui, choisir un sujet léger, une activité manuelle à deux. Oui. C'est ce dont j'ai besoin. Je n'ai même pas besoin de lui répondre, s'il n'a pas compris à mon regard, ni à mon hochement de tête frénétique, ni à mon corps qui se levé vers lui, alors je ne peux plus rien pour lui.
Patiemment, il m'explique la recette, m'envoie chercher les ingrédients, me corrige quand je prends le gingembre au lieu de la cannelle, m'apprend à casser un oeuf sans mettre des coquille absolument partout, bref, il me montre comment faire un bon gâteau. Je bois évidemment ses paroles, je frissonne quand son corps -nu je rappelle qu'il n'a pas de tee-shirt !- vient se coller à moi pour qu'il me montre chaque geste précisément.
« Tout à l'air plus simple avec toi. »
Les mots sont sortis seuls, je parlais du gâteau au début, mais ma phrase va bien plus loin en réalité. J'espère qu'il ne l'a pas ressenti. Alors, comme un idiot je fixe le four.
« Ne t'énerve pas, mais tu n'as jamais songé à prendre sous ton aile un gamin perdu qui aurait besoin de tes conseils pour survivre ? Malgré tout ce que tu m'as dit, je te vois bien dans le rôle. »
Les mots sont encore une fois parti trop vite. Oh, je ne parle pas d'enfants à nous d'eux, pas même d'adoption, mais lui, je le vois tellement père.
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Patate Douce
Dim 1 Mar - 10:23
Sullyvan Andrews
J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes feminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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Suis-je ravi de voir que les questions épineuses Mariage et Enfant, le laissent sans voix. Ou alors, son cerveau est entrain de chauffer pour élaborer une réponse adéquate à me sortir. Du genre, que lui, c’est son rêve et qu’il espère le vivre un jour. Espoir qui m’étrangle. Ça sera sans moi, Puppy. Je ne suis pas le bon candidat !! M’imaginer attacher à la même personne juridiquement et par le sang, me file de l’urticaire. Je me resserre un second verre pour nettoyer ces tortures de mon esprit. La réponse se fit.
« Mariage nan, le divorce de mes parents m'a guéri. Les enfants j'ai jamais songé aussi loin et je pense que la responsabilité me fait peur, mais clairement je ne m'étais pas posé la question. » Oh Joie ! Il a dit non ! Un micro s’il vous plait, qu’on entende bien ce qu’il dit ! Deux non pour l’équipe ! Adieu les étapes de la vie commune.
Ah ! Que je l’aime mon Puppy .. ! Quoi ?! Oh putain !
Rougeur sur mon épiderme. J’espère que je ne l’ai pas dit trop fort. Je scrute son visage, ouf, je n’ai pas pensé à haute voix. Il semble approuver la vision d’une vie des plus calmes. Enfin, je comptais bien le préserver du monde chaotique qu’était la partie Face de ma Vie.
Proposition de gateau, plus qu’approuvé. Je ris doucement, je le reconnaissais bien là. Cette candeur, qui j’espère préserver aussi longtemps que possible.
« Tout à l'air plus simple avec toi. » Je le scrute en coin. Je me contente de hausser les épaules. Car il n’en était strictement rien. Mais c’était mon métier de faciliter les choses pour les autres, non ? Et je puiserais dans mon énergie pour mettre des barrièresentre les deux mondes pour le protéger. Plus jamais, il allait avoir un aperçu comme dans la ruelle. C’était hors de question.
La peur qu’on s’en prenne de nouveau à lui, me torpille l’estomac. Je ne me le pardonnerais jamais qu’on se serve, encore une fois, de lui pour m’atteindre. Il va falloir que j’en parle à ma brigade. Quoi que, cela signifierait que Puppy a une valeur pour moi ? Suis-je prêt à le dire plus concrètement ? Je me pince l’arête du nez. Puppy me sort de ma torpeur : encore une question.
« Ne t'énerve pas, mais tu n'as jamais songé à prendre sous ton aile un gamin perdu qui aurait besoin de tes conseils pour survivre ? Malgré tout ce que tu m'as dit, je te vois bien dans le rôle. » Ce gamin se drogue. Comment peut-il songer à cela ? Avoir un môme sur le dos ? M’assurer qu’il ne fasse pas de conneries, le remettre dans le droit chemin, lui expliquer le bien et le mal, calmer ses ardeurs d’aventures … J’éclate de rire.
« J’ai toi, ça me suffit » Ce n’était pas ce que nous faisions ? Enfin, c’est assez prétentieux à dire de la sorte. Je secoue la tête, amusé. Je m’offre une bouffé d’oxygène en allant vérifier quel fruit, j’avais à ma disposition pour réaliser le gâteau. Je cueille des fraises et retourne en cuisine.
« Une petite charlotte, ça te va ? » Sans vraiment attendre de réponse de sa part, je lis la recette à haute voix. « Quand tu veux confectionner une recette, lis la entièrement car parfois des indications cruciales sont vers la fin. Du style, préchauffer le four » Je poursuis la lecture. « Ensuite, disposer tous les ingrédients et outils à disposition » J’en profite pour lui dire où se trouve chaque chose. « Comme ça, si un jour, tu veux revenir sans moi, tu ne seras pas perdu »
Je ne réalise pas sur le moment, que je venais de lui tendre les clefs de mon havre de paix.
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Lojzo
Lun 2 Mar - 13:18
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis developper web et je m'en sors correctement. Sinon, je suis perdu, paumé et accroc à lui.
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« J’ai toi, ça me suffit »
Le sourire gêné qui s'installe sur mes lèvres me rappelle qu'en effet, je suis sûrement un poids pour lui. Il doit m'apprendre à survivre et même s'il me veut éloigné de toutes ses activités, il sait que je suis incapable. Quand ils sont venus me récupérer à l'arrière de leur camionnette pour me suspendre en haut de cette poutre, je n'ai été capable de rien faire. Je rougis encore une fois à son regard. Il voulait sûrement dire autre chose, mais ces petits mots me font mal. Je suis un boulet pour lui. C'est clair, net et précis. Je l'ai compris.
« Une petite charlotte, ça te va ? »
Soudain, sa joyeuseté me tire de mes sombres pensées. Charlotte. Gâteau. Sourire. La musique jazz qui s'écoule toujours des hauts-parleurs, m'entraîne et j'essaie de ne plus songer à ce qu'il s'est passé ces jours-ci. L'instant présent uniquement. Avec lui en plus. Je souris. Et plus je me force à sourire, plus je ressens cet élan de joie. La joie c'est vraiment contagieux.
« J'adore les charlottes. » Ma voix est claire, j'ai l'air réellement heureux, l'instant de doute est passé. Je suis avec lui. Je ne dois retenir que cela.
J'écoute ses instructions avec patience, je note dans mon esprit ses conseils, je regarde et retiens où il range chaque objet de cuisine -et il y en a tellement bien plus que dans la cuisine de ma mère !-.
J'écrase les fraises, pose la gélatine dans l'eau pour la faire gonfler, je fais chauffer l'eau, le sucre, puis les fraises. Avec son aide, je branche le batteur pour faire monter la chantilly. Tout cela est amusant. Est-ce sa présence ? Ou n'avais-je jamais compris à quel point la cuisine c'est sympa ? Je souris, puis, pris d'une folie, je trempe mon doigt dans la chantilly et lui touche le nez.
« Ouups » mes yeux pétillent et sans plus réfléchir je lui lèche le bout du nez pour enlever la chantilly. Je suis débile, j'aurai du lui en mettre sur la bouche pour pouvoir l'embrasser. Mes sourcils se haussent et mon regard se fait moqueur. Va-t-il se venger ? Pour éviter tout risque de représaille, j'attrape le bol de chantilly, le rapproche de moi, et met la main dedans. S'il veut m'asperger de chantilly il devra me passer sur le corps. Alors, dans un geste totalement inconscient d'enfant heureux, je lui lance de la chantilly. Une bataille de boule de chantilly peut commencer...
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Patate Douce
Dim 22 Mar - 9:32
Sullyvan Andrews
J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes feminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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Je souris en coin, voyant que ma proposition semble lui plaire. Moment de légèreté alors que la tempête gronde hors de notre dôme. Profiter de chaque moment de cette douce accalmie. Même pour moi, et ma santé mentale, cette pause forcée me faisait un grand bien. Dans mon havre de paix, ma vie était au ralentie. Savoir qu’il était le premier à poser les pieds ici, voire y dormir, et faire sa vie, cela me faisait étrange. Pour autant, c’était ce genre de personne – innocente à souhait – que j’acceptais pleinement ici. A dire vrai, il sera le seul. Faut pas abuser non plus. Et comme on aura jamais d'enfants, rien ne sera saccager.
J'aime ma Vie !
Je n’avais aucun regret, il avait clairement sa place sous les voûtes. Pas comme un meuble, ne vous méprenez pas. Comme .. Un partenaire de vie. Comment ai-je pu virer aussi vite ? Il m’affaiblissait. J’ai trouvé ma kryptonite. Je le regarde s’exécuter, étonné qu’il ait tout retenu en une traite. Et il le fait avec enthousiasme. Je prends le temps de l’observer pendant qu’il travaille. Je n’étais pas CEO pour un rien. Je donne les consignes et on les applique. Ne me regardez pas avec ces yeux effarés, ceci était une boutade. Je n’avais besoin de rien dire à Puppy, c’était l’employé exemplaire. En une phrase, il savait d’office quels étaient les attendus. Cela va me faire bizarre de n’avoir que lui à mes côtés pour les prochains jours.
Pendant que je m’extasie telle une pucelle sur ses prouesses culinaires, Monsieur dévie de sa mission et je louche sur la chantilly sur mon bout de nez et avant même que je puisse objecter ..
Heu .. Pause ! Il vient de faire quoi là ? C’est DEGUEULASSE !
« Puppy, prochaine fois, je t’arrache la langue avec mes dents » Je gronde alors qu’intérieurement, je ris de son audace. Mais pas question, de le montrer qu’il m’attendrie. Pas folle la guêpe ! Je me presse de me nettoyer le nez avec un chiffon.
« Concentre toi, si tu ne veux pas dormir dehors et pas dans mon le lit. » Visiblement mon autorité hierarchique n'avait aucun effet sur lui, dans ces lieux. Sourire en coin, l’insolent poursuit son œuvre en m’aspergeant de chantilly, j’en profite pour gouter, plutôt bonne.
Tour d’horizon dans la cuisine et j’attrape une carafe d’eau pour la vider sur mon agresseur. Mouvement trop brusque en voulant reposer le contenant vide sur le plan de travail et je glisse embarquant Puppy avec moi. Assaillant sur mon torse et cela n’arrange strictement ma douleur aux cotes.
« Je ne vais pas t’embaucher comme commis » Et je viens prendre un bout de chantilly, sur son nez pour gouter avec mon doigt. Je ne fais que vérifier une énième fois, si elle était réussie.
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Lojzo
Sam 4 Avr - 19:12
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis developper web et je m'en sors correctement. Sinon, je suis perdu, paumé et accroc à lui.
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Être et agir tel un gamin c'est ma passion. Je ne le fais même pas exprès en réalité, j'adore oublier les règles et les codes tout en profitant d'une position d'adulte. Sérieusement, dans mon premier chez-moi, pour mes premières courses, j'avais rempli mes placards d'apéro. Uniquement de l'apéro. Pendant une semaine, j'ai vécu ma meilleure vie. J'inviter des amis, des voisins, des collègues, qu'importe et on se faisait des apéros. C'est clairement un fantasme dont tous les ados rêvent ! J'étais adulte, j'avais pu le réaliser.
Et là, jeter de la chantilly sur Sullivan avant de lui lécher le nez... Maah, quel bonheur. Voir son visage paniqué, voit son air si sérieux qui ne demande qu'à se fissurer. J'ai un doute, un mini doute sur sa façon de réagir, mais je vais tenter de prendre le chemin de l'innocence. Oublier qu'il pourrait être un tueur à gage et péter un câble. Sullivan là est chez lui, dans son havre de paix dont il m'a ouvert les portes. Ce n'est pas pour me buter trois minutes après, si ?
Non, évidemment, il ne peut pas. Je souris et prend lèche -sûrement ridiculement- mon doigt plein de chantilly.
« Puppy, prochaine fois, je t’arrache la langue avec mes dents »
Oups, ça je sais qu'il en est capable, mais osera-t-il ? Je lui réponds par un sourire. Oh, j'aurai voulu en faire un innocent, mais mes lèvres s'étirent, moqueuses. Il comprend que je joue et que je continuerai. Quand aurons-nous encore cette occasion de jouer comme des gamins en toute insouciance ? Il ne se fera pas avoir deux fois, bien sûr, alors il faut en profiter. Ici. Maintenant.
« Concentre toi, si tu ne veux pas dormir dehors et pas dans mon le lit. »
Merde, c'est normal ces palpitations ? Mon ventre qui se tortille ? Ces images de sa peau contre la mienne ? Pendant un instant je suis touché, il a gagné, je m'incline. Je ne peux pas lutter, il est bien trop fort.
Je me retrouve trempé avant d'avoir pu répondre. Deux secondes plus tard, je suis au sol. Dans ses bras. Sûrement pas intentionnel, mais il n'est absolument pas énervé, il sourit presque. Ses yeux en tout cas sourient. Qu'est-ce qu'il est beau.
« Je ne vais pas t’embaucher comme commis »
« Oh. S'il te plaît, je m'améliorerai. »
Sourire espiègle. Puis avec une tête d'ange, tel un enfant puni, je récite tout penaud.
« Promis, je ne recommencerai pas, je serais sage, j'écouterai les consignes. »
Mes paupières papillonnent, sûrement trop vite. Je n'ai jamais réussi à attendrir quelqu'un, est-ce que je vais commencer directement par le haut du panier ? Ne pas attendrir ma mère, mais que ça marche sur le sexy Sullivan ?
Son doigt se perd sur ma peau pour récupérer un peu de chantilly et il le lèche. Bon sang, ça me donne des frissons. Il est si beau, si sensuel... Pour la deuxième fois je prends les devants, mais ce n'est même pas réfléchi ou calculé, on pourrait presque parler de réflexe.
Quand mes lèvres se posent sur les siennes, je me sens bien. Je me sens mieux.
« Désolée tu avais un peu de » encore tout retourné par la douceur de ce baiser je cherche mes mots « chantilly. » C'est faux évidemment, c'est moi qui en suit recouvert, pas lui.
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Mer 8 Avr - 16:19
Sullyvan Andrews
J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes feminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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Enième baiser qui affole mon myocarde déraisonnablement. Je vous passe le pitch du « je n’ai jamais ressenti cela avant » mais considérez que c’est tout comme. Gout sucré en prime. Je me sentais béni des Dieux. Comment la Clarté pouvait côtoyer la Noirceur ? Je songe encore à nous séparer. Rester professionnel. Mais chaque contact et temps à ses côtés, me rendent faible. Il me fait disjoncter. Les connectiques ne transmettent plus. Raison de plus de l’éloigner de moi.
Mais comment appliquer la raison quand le cœur s’impose ?
Baiser qui se rompt quand on devient étourdi par l’ivresse de cette secrete et naissante Passion. Il me sort son excuse à dormir dans les caniveaux mais pucelle enamourée que je suis, se contente de rire. Non vraiment, je vais finir gâteux avec lui.
Deux jours s’écoulent quand on doit reprendre le travail. Ecran géant divisé en deux. Tactile et intuitif. Connexion sécurisée pour ne pas être repérer. La partie gauche pour Puppy et l’autre partie pour moi.
Ce matin, j’ai pris le temps de mettre une tenue plus solennelle que de rester en pantalon. C’était plaisant mais j’ai une réputation à tenir. Un baiser sur son front. Et je redeviens son supérieur. Ecran activé, je peux voir l’ensemble de mon bâtiment entrain de travailler. Je clique sur celui où se trouve ma secrétaire. Demande de communication qu’elle accepte.
« Bonjour Alexandra, pouvez-vous me donner mon planning du jour. » Blonde au cerveau bien rempli – contrairement à la légende. Agenda qui s’affiche à ma droite. Je lis ce qui m’attend. « Annulez le repas d’affaire. Je ne reviens que la semaine prochaine en office. » Elle supprime en direct et le recale à la semaine prochaine, si faisaible pour les autres participants.
Validation du budget pour l’équipe de l’application. « A ce propos ? » J’hausse un sourcil. « Louis Dumas est noté absent depuis un moment. Il risque une retenue sur salaire Monsieur. » Je grimace. « Non, je l’ai envoyé en France, pour assister à une convention. C’est de ma faute, tout s’est fait à la dernière minute. Rectifier son statut, je vous prie. » Je regarde Puppy en coin. Mensonge, il était hors de question qu’on apprenne qu’on roucoulait dans la maison des Anges. « C’est fait Monsieur Andrews. » Je la remercie du chef.
« Mettez-moi en lien avec notre première réunion. » Je me racle la gorge et la réunion débute, je discute comme un poisson dans l’eau, faisant les cent pas, pour mener ma réflexion. Je réponds aux questions, bois pour marquer des silences. Orateur dans son milieu. Midi arrive et je coupe ma partie d’écran.
« Si tu as des réunions, aussi, je décalerais les miennes pour éviter de se faire prendre. »
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Lojzo
Mer 22 Avr - 21:30
Louis Dumas
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Olivier Dion (c) Gajah
Nous vivons deux jours de pur bonheur.
Je ne pourrais pas les décrire autrement. De toute manière, c'est impossible d'expliquer l'intensité avec laquelle je les ai vécus. Chaque seconde était unique, belle, vivante. Chaque moment partagé était au-delà du rêve. Chaque caresse de sa part était électrisante.
Au début de notre rencontre, j'ai cru que Sullyvan était quelqu'un d'affreusement froid et calculateur, ici je découvre -ou crois découvrir- un aspect de sa personnalité si doux, si gratuit. Il me donne tout. Et mon coeur bat constamment à deux cent à l'heure. Cette impression d'être amoureux, fou amoureux, consumé de passion. Ces sentiments sont trop forts pour traverser mon pauvre petit corps, pourtant je les accueille à bras ouverts, prêt à les revivre cent fois. Je rêve que ces instants ne s'arrêtent jamais.
Et pourtant il faut retourner bosser. Sullyvan nous accorde une semaine de plus, dans son cocoon, chez lui. Je ne pose aucune question, je ne demande pas à repartir, je ne demande pas à quitter ce lieu, je veux rester avec lui pour toujours.
Quand Sullyvan fait quelque chose, c'est en grand. Tout est impressionnant, il contrôle tout, il voit tout, il sait tout. Je reste un instant impressionné, la bouche ouverte, à admirer ce qu'il fait, puis je me recentre sur mon boulot et dieu sait que j'en ai.
« Si tu as des réunions, aussi, je décalerais les miennes pour éviter de se faire prendre. » « Oh euh, sinon je peux me mettre sur un ordi portable dans la salle de bain ? En règle générale j'interviens pas trop dans les réunions, j'écoute juste. Je ne veux pas modifier ton planning. »
Tout gêné, je ne sais quoi dire.
« Enfin euh, si je suis en France, j'aurai un décalage horaire de toute manière. » marmonai-je. « Et puis suffit que je mette un casque et avec un micro, on ne devrait pas entendre les bruits de fonds. »
Les bruits de fonds, comme si Sullyvan pouvait se résumer à des bruits de fonds. Sa présence est entière et réelle, mais comment décrire ça ? Comment lui dire combien mon coeur bat pour lui si fort, alors qu'il déteste ma mièvrerie ?
Pour éviter de me poser trop de questions, je me plonge dans mes lignes de codes. C'est plus simple, des lettres, des couleurs, un langage universelle, quelques mots d'anglais, des actions qui sont ratées ou effectuées. Aucune émotions parasite, aucun risque de se faire prendre, oui, c'est bien plus facile ce monde-là.
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Patate Douce
Ven 1 Mai - 16:09
Sullyvan Andrews
J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes feminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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« Oh euh, sinon je peux me mettre sur un ordi portable dans la salle de bain ? En règle générale je n’interviens pas trop dans les réunions, j'écoute juste. Je ne veux pas modifier ton planning. Enfin euh, si je suis en France, j'aurai un décalage horaire de toute manière. Et puis suffit que je mette un casque et avec un micro, on ne devrait pas entendre les bruits de fonds. »
Je le regarde, en souriant. Toujours aussi consciencieux. J’embrasse le haut de sa tête et retourne à mes occupations. Comme prévu, l’un et l’autre, assurons que les horaires correspondent à l’heure française quand il a une réunion. Moi, je poursuis mon show d’orateur. Dans moins d'un mois, on va lancer notre application. Le stress grimpe en flèche chaque jour. La troisième que je tente de mettre sur les rails.
Midi vient. Et je coupe tout, pour s’assurer que nous retournons dans notre confidentiel espace. Je file dans la cuisine, ouvrant le frigo, ne sachant que manger. Et hors de question, de commander. Je ne me suis pas fait chier à faire un verger pour me taper du fast-food. Je soupire me massant les tempes. Le néant total et je referme le frigo.
« Puppy, tu veux manger quoi ? »
Autant questionner le principal intéressé. En attendant, je pars prendre des fruits et légumes pour quand même avancer, sachant que nous avions que deux heures devant nous pour manger. Et que les dernières trente minutes, je fais une mise au point avec mon assistante. « Pas trop dure cette matinée ? Des points bloquants ? Ça se passe bien avec ton équipe ? Personne ne t’embête ? Tu bosses sur quel projet déjà ? »
Je lui lourde des questions, parce qu’au final, je ne sais rien de sa vie professionnelle. Je suis un mauvais patron compagnon. Enfin, en soi, je m’en fouterais, en temps normal, faut l’avouer. Mais mon Puppy, c’est chasse gardée. Je crois. Qui sait, d’autres ont des vues sur lui. Vague de jalousie qui me prend. Detends toi Sully, tu vas finir en fiotte.
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Date d'inscription : 19/09/2017
Région : ardèche
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Univers fétiche : fantasy, science-fi, réel.
Préférence de jeu : Les deux
Lojzo
Mar 5 Mai - 23:13
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je vis à New York, USA. Dans la vie, je suis developper web et je m'en sors correctement. Sinon, je suis perdu, paumé et accroc à lui.
Olivier Dion (c) Gajah
La pause repas, l'instant que j'aime le plus de la journée parce que je le passe avec lui. Je me colle à son genoux, ne cesse de toucher son bras. J'ai découvert que j'étais dépendant à sa présence, or nous sommes éloignés toute la matinée parce qu'il est souvent en visio, alors je me rattrape à ce moment-là.
« Pas trop dure cette matinée ? Des points bloquants ? Ça se passe bien avec ton équipe ? Personne ne t’embête ? Tu bosses sur quel projet déjà ? »
Il est doux, tendre et semble intéressé. Il ne pose pas des questions pour meubler la conversation, on dirait que ce que je fais l'intéresse vraiment. Et ça, ça réchauffe mon petit coeur. Est-ce que j'ai face à moi le vrai Sullyvan ? Celui que personne ne peut voir parce qu'il a une carapace de gros dur ? Personnellement, je choisis de croire que je l'ai touché profondément. Comme il a traversé mes états-d'âme et ma petite vie morne et tranquille. Il m'a transformé, est-ce que j'ai réussi à le percer à jour ?
Je secoue la tête pour m'éviter de sourire d'un air trop fier. Je ne dois pas me juger supérieur aux autres, j'ai juste eu de la chance, il m'a laissé venir à lui, je n'y suis pour lui.
« Non, en vrai j'aime beaucoup ce que je fais. Je codais sur du python avant, mais le produit n'était pas très intéressant. Ici, l'appli est codée en ruby et j'aime mieux ce langage.. Oh, ça ne te parle peut être pas... »
Je marmonne pour moi, comment expliquer ?
« Je bosse sur résolution des bugs, on a fait plusieurs faces tests et pour l'instant, on n'est pas encore arrivés au zéros bug, mais d'ici demain ce sera parfait, ne t'inquiète pas ! »
Je souris pour lui faire passer la pilule, son appli est censée être parfaite, si le moindre bug passe...
« Les collègues sont sympa, mais ils parlent trop vite avec leur fort accent... » Je lève les yeux au ciel, comment un même accent peut-il être sexy sur Sullyvan et détestable chez les autres ? « Du coup j'écoute pas trop leurs conversations et m'y mêle rarement, mais j'ai toujours préféré être solitaire que la tête de turc. » Mon visage s'empourpre. C'est faux, avant j'avais choisi les humiliations plutôt que la solitude un nombre incalculable de fois. Aujourd'hui pourtant, je préfère être seul. Ou mieux, être seul avec Sullyvan.
« Par contre quand j'ai un soucis, ils sont au taquet et m'aiguillent super bien, tu as engagés des bons travailleurs, je te l'assure ! » Un compliment pour lui ou je tente de le rassurer ? Pourquoi aurais-je besoin de le rassurer en fait ?
Je souris et me lève, je m'approche de lui, il est en train de couper des aubergines. Je me mets derrière-lui et passer mes bras sur les siens avant d'embrasser sa nuque. Je suis plus petit et moins costaud, j'ai plutôt l'habitude -parle-t-on déjà d'habitude au bout de quelques jours ?- d'être dans ses bras plutôt que l'inverse.
Bien vite je me décale, il faut tout de même activer et lancer le repas, j'ai bien compris que c'était important pour lui, les câlins ce sera après. On ne gâche pas la bouffe, message reçu.
« Aubergine farcies c'est ça ? » tentai-je de deviner au vu des ingrédients. Je prends les tomates que je commence à couper en dé. Auprès de lui j'apprends vite. Je ne savais pas cuisiner et je pensais ne pas aimer ça, mais lui dégage une telle joie à être en cuisine que ça me donne envie.
Au bout d'une minute trente de coupage, j'en ai déjà marre. Je le regarde évider soigneusement les aubergines. Je me mords la lèvre pour éviter d'aller embrasser chaque partie de son corps. Est-ce normal qu'il me fasse cet effet-là constamment ?