Fire on fire would normally kill us but this much desire, together, we're winners [ft. Maddy'n & Patate douce]
Messages : 547
Date d'inscription : 10/10/2019
Région : IDF
Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Sam 23 Mai - 21:19
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. +Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
Jamie Dornan :copyright:️ Shiya
Le choix du film est pour la demoiselle, et je me retiens de tout commentaire sur ce choix. Ryan Reynold et sa carrière sur-côté et un film comique qu’on a déjà l’impression d’avoir vu mille fois, c’était pas ce que j’aurais choisi, mais bon, si c’est ce dont la demoiselle avait besoin, j’allais supporter pendant une heure et demi, afin de raviver sa bonne humeur. Ce qui semble fonctionner au fil des minutes. La jeune femme se laisser aller à rire, et nous aussi, échangeant quelques blagues sur le film quand l’occasion se présente. Un moment pas si déplaisant passé tous les trois dans le canapé. Un peu comme des amis. Bien que l’alcool et les sushis nous aient aidé à passer ce moment avec plus de facilité, il fallait bien admettre que c’était moi terrible que ce que j’avais imaginé.
Le film terminé, Alexandra nous remercie pour notre présence, nous donnant un peu plus de détails sur la boule de poil qui avait partagée sa vie pendant des années. Une tervueren, nul doute qu’elle devait être une boule de poil pleine d’amour vu sa race. Mais tout comme nous, les animaux n’étaient pas éternels, et on devait se résoudre un jour à leurs dire au revoir à eux aussi. Quand bien même ils étaient meilleurs que nous sur un certain nombre de points. Et qui sait, ils auraient peut-être été meilleur que nous également. C’était peut-être Jade que j’aurais dû emmener à la place de Loyd. Ca m’aurait évité des problèmes, et la jeune femme aurait pu se réfugier dans la douceur de sa fourrure.
Je commençais à doucement le penser. Plus encore quand la jeune femme parle de remettre ça. Pas particulièrement pour la consoler, mais juste pour profiter un moment agréable sans sexe. Je me mords la langue avec force pour garder une expression la plus neutre possible. Loyd allait me tuer après une remarque pareil, c’est sur. Passer du temps avec Alexandra, sans la sauter, c’était un concept qu’il n’allait pas comprendre. Et bien qu’il tente de masquer le choc que cette annonce peut créer dans son esprit, je me doute que l’idée ne lui plait pas. Même moi, je ne sais pas vraiment si c’était une bonne idée, ce que ça allait donner. « Il a raison, c’est normal d’être là si tu as besoin de nous. ». Je n’ose pas réagir non plus sur ses propos. Je ne sais pas ce qu’elle a en tête et j’ai peur que ça ne plaise pas à mon meilleur ami, foutant en l’air toute notre relation avec la jeune femme. Même si ce n’était que du sexe, je préférais quand même que ce soit avec quelqu’un avec qui on n’avait pas à s’engueuler. En même temps, sa compagnie n’était pas désagréable. Mais avec Loyd, ça allait pêcher. Et pas moyen de lui mettre à l’envers cette fois. « On pourra voir. Pourquoi pas. ». Ou comment ne pas se mouiller quand on est pas sur de soit.
HRP:
Messages : 4254
Date d'inscription : 13/09/2017
Crédits : Nobody
Univers fétiche : Vie réelle / HP / Twilight / University
Préférence de jeu : Femme
Elsy Lullaby
Dim 24 Mai - 11:23
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
Iga Wysocka
Alors qu'Alexandra propose de se revoir et de faire plus souvent ce genre de soirée semblables à des soirée entre potes, sa proposition ne semble pas réellement faire écho dans l'esprit des garçons. À peine a-t-elle parlé, que Loyd laisse échapper un long soupir, qui ne dit rien qui vaille à la jeune femme. En même temps, elle a parlé un peu vite, sans avoir réellement réfléchi ces mots, ne prenant pas le temps d'en évaluer l'impact possible sur les garçons. Elle avait parlé trop vite. dans un même temps, puisque Loyd répondait très rarement à la conversation sur leurs mobiles, qu'il n'avait jamais rien fait en dehors du sexe hormis cette soirée, il était peut-être un peu naïf de penser qu'il aurait pu dire oui. Le médecin ne s'intéressait pas à ce qu'ils faisaient ou à ce qui se disait. Avant ce soir, elle n'aurait jamais pensé qu'il ait retenu autant de choses la concernant, d'ailleurs. Il ne passait jamais de temps avec eux en dehors du sexe, ne prenait jamais un verre sans arrières pensées... ce n'était en bref pas comme avec Jay. Avec Jay, ils se voyaient un peu plus en dehors, même si ce n'était pas non plus comme une réelle amitié. Et même lui ne réagit pas vraiment, assurant simplement que c'était normal d'être là pour la soutenir. Si tous deux remarquent que c'était normal ce soir, aucun ne rebondit sur sa proposition de le faire plus régulièrement, lui laissant penser que ça ne les intéressait pas. La jeune femme n'insiste pas et le silence s'installe alors entre eux, jusqu'à ce que Jay fasse remarquer qu'ils pourraient voir, pourquoi pas. Des éventualités. C'est cela qu'on lui offrait. La jeune femme accuse un peu le coup et finit par se redresser.
"- Je... Non désolé... C'était stupide. Faites comme si je n'avais rien dit..." proposa-t-elle alors en se levant du canapé.
Alexandra quitte le salon, y revenait avec une bouteille à peine quelques secondes plus tard. Elle observe leurs verres et montre la bouteille. Un peu d'alcool encore pour détendre l'atmosphère et faire passer ça.
"- Quelqu'un a soif ?" demande la belle, pour noyer le poisson. Qu'ils boient ou pas, elle-même se prendrait un verre.
Messages : 727
Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Mar 9 Juin - 21:34
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
Heny Cavill :copyright:️ animals.
Le malaise s’installe dans son appartement. Ne fallait pas espérer mieux, de toute façon. Comme si on allait rouler notre bosse tous les trois. Manquerait plus que cela. Et l’idée se mue en un non catégorique dans mon esprit. Je tiens beaucoup trop à ma liberté et aux courbes féminines pour me contenter d’une seule femme. Monogamie, c’est pour les fragiles. Rien que d’y penser, je vois trouble. Coucher tous les trois, c’est déjà un sacré cadeau, pourquoi diable y rajouter d’inutiles sentiments amoureux. Je ne veux pas m’engager dans ce chemin sinueux.
J’ai eu le cœur brisé une fois. J’étais prêt à me marier, faire des gosses, m’endetter pour la maison. Une sulfureuse rousse, à faire bander les impuissants. Je lui ai tout donné, jusqu’à m’éloigner de ma famille, de mes potes. Je ne voyais que par elle. J’en étais fou. Pour finalement, la retrouver dans le lit d’un autre professeur. Comment dire, j’ai noyé haine et peine dans des cuisses et whisky. Je ne suis pas assez con pour recommencer une énième fois. Je dispose d’un capital confiance me permettant d’enchainer les conquêtes pour ne pas aller me terrer avec une unique demoiselle.
Dulcinée ramène de quoi s’enfoncer dans l’ivresse. Et je ne vais pas l’en empêcher. A sa place, j’aurais fait un bon feu de camp pour fêter la mort du petit chien. L’alcool aidant, on finit par jouer, à se lance des défis. On discute de banalités sur nos quotidiens. Première fois que je me livre autant sur moi-même alors que d’habitude, je me contente de lire leur conversation. Par pure vengeance, je balance des dossiers sur Jay ce gros enculé. Il allait me le payer. L’ambiance se détend, reléguant cette volonté de passer plus de temps à trois au fond des esprits et ne soit jamais déterrer. Du moins, je l’espère vraiment.
Pas de sexe, j’aurais l’impression d’avoir abusé d’un si joli corps. Mais on est quand même affalé sur le canapé, chacun ayant un bout de l’autre sur lui. Douceur au milieu de nous pour ne point faire de jaloux, ses jambes sur les mienne et mon bras hasardant quand même sur celui de mon prochain ennemi. Je mettrais ce moment de tendresse sur le compte de l’alcool pour me dédouaner de cette faiblesse.
Messages : 547
Date d'inscription : 10/10/2019
Région : IDF
Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Jeu 11 Juin - 19:15
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. +Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
Jamie Dornan :copyright:️ Shiya
Le silence s’installe entre nous, lourd, pesant. Tout le monde prends conscience que ce n’était pas la chose à dire. Même Alexandra. Surtout Alexandra. Elle répond, gênée, nous demandant d’oublier ça. Si tu savais, beauté, à quel point Loyd n’allait pas oublier… . Moi, je pourrais faire comme si elle n’avait rien dit, reprendre demain comme si cette soirée n’avait pas existé, ou du moins comme si elle n’avait pas eut ces propos. Loyd, par contre, ça risquait d’être une autre histoire. Et ça ne fait que renforcer dans ma tête l’idée qu’il allait me mettre très cher en sortant d’ici. Le léger piège que j’avais prévu s’était refermé sur lui, mais aussi sur moi, et je n’avais aucun échappatoire. Je devais repartir avec lui, et plus encore, préserver notre amitié, mais nul doute qu’il remettrait les pendules à l’heure. Je l’avais baisé une fois, mais je ne le ferais certainement pas une seconde fois si je voulais continuer à vivre. La deuxième fois, je rejoindrai surement la morgue de l’hôpital. Mais pour le moment, personne ne se laissait vraiment abattre. Alexandra revient, bouteille à la main. Une tentative de faire oublier la pillule avec plus de facilité, au moins pour les prochaines heures. Ce que nous acceptons tous.
Les verres se remplissent à nouveau, l’alcool gagne à nouveau notre sang, et la situation se détend. On rit, on joue, on plaisante. C’est une tout autre ambiance qui s’installe dans la pièce, qui nous enveloppe. En réalité, qui sait, je pourrais peut-être apprécier. J’en savais trop rien en fait. Mais la question n’avait pas besoin de trouver une réponse ce soir, et je mets rapidement ces pensées de côté. Sous les effets de l’alcool, Loyd devient bien plus loquace, et ce n’était pas forcément bon pour moi. Certes, il se confie, mais il balance aussi un certaine nombre de dossier sur ma personne. Je suppose que le début de sa vengeance commence à cet instant. Je me garde de faire pareil, on entrerait dans un cercle vicieux et un combat que je n’étais pas certain de gagner. Mais c’était le jeu, à vouloir baiser les potes.
Quoiqu’il en soit, l’ambiance s’allège fortement. A mesure des verres, on s’affale un peu plus sur le canapé, les uns légèrement sur les autres. Le seul contact physique et à peu près intime qu’on aurait. Mes doigts glissent doucement sur les bras de la jeune femme, mécaniquement, pendant qu’elle parle, juste pour un peu plus de douceur. A laquelle je prenais un peu trop goût, même alcoolisé. Puisque même si j’acceptais de la revoir plus souvent, notre relation serait-elle la même sans Loyd ? Aurait-on la même dynamique ? Rien n’était moins sûr. Notre relation, qu’importe sa nature, s’était construite à trois. Impossible de repasser à deux. Même si on le pouvait, je n’étais pas sûr de le vouloir. Il y avait ce petit je ne sais quoi avec Loyd quand Alexandra était là. Un petit truc en plus, qui me faisait apprécier que ce soit lui et pas un autre.
Les heures défilent, la nuit est déjà bien avancées et nous sommes toujours là, dans l’appartement de la jeune femme. Je lui poke gentiment la joue alors qu’elle semble être doucement gagnée par la fatigue. « Allez, au lit jeune fille ! Avant de t’endormir sur nous. ». Parce c’était pas tout ça, mais moi aussi je commençais à fatiguer, et il fallait bien rentrer et dormir un peu si je voulais assumer demain matin.
Messages : 4254
Date d'inscription : 13/09/2017
Crédits : Nobody
Univers fétiche : Vie réelle / HP / Twilight / University
Préférence de jeu : Femme
Elsy Lullaby
Ven 12 Juin - 0:46
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
Iga Wysocka
Elle doit oublier ce qu'elle a dit. Comme eux. La jeune femme a parlé plus vite qu'elle n'a réfléchit et au malaise qui semble être installé dans son appartement, elle devine que les deux hommes ne sont pas prêts de répondre favorablement à sa proposition. Et en même temps, qu'est-ce qu'elle espérait ? Qu'ils se fasse des soirées télé, tous les trois, affalé dans un canapé ? Non, non, cela ne collait absolument pas à l'état de leur relation. Et peut-être même que cela ne collerait jamais. Et en même temps, elle n'avait pas demandé la lune. Seulement de passer plus de temps ensemble, loin d'une couette. Était-ce donc trop demander ? Visiblement. Alors la demoiselle donne le change, leur demande d'oublier ça, de faire comme si elle n'avait rien dit, comme si elle n'avait pas envie de passer plus de temps avec eux, autrement. Pourtant ça aurait put être cool, de se voir en dehors du lit. Un peu comme elle faisait avec Jay parfois. Un peu comme des potes. Ça pourrait être sympa. Ça l'était ce soir. Enfin ça l'était pour elle. Mais peut-être que les garçons s'ennuyaient de leur côté. Peut-être qu'ils étaient juste trop polis pour le lui dire, mais qu'ils avaient hâte de filer.
La demoiselle disparaît, le cœur battant, revenant bientôt avec une bouteille d'alcool entre les mains. Boire leur permettrait à tous d'oublier ce moment gênant et comme elle demande qui en veut, la jeune femme se retrouve bientôt à remplir leurs trois verres. Elle vide le sien d'une traite, cul sec, sans même grimacer, avant de s'en servir encore un. Voilà. Ça pour oublier ce vent qu'elle a prit, c'est vraiment pas mal. Heureusement qu'elle a l'alcool joyeux.
Ils parlent. Tellement. De choses et d'autres. Et Loyd ne manque pas de raconter quelques affaires croustillantes sur le compte de son meilleur ami, les dévoilant devant la demoiselle, lui révélant sans vergogne quelques secrets enfui. De cette vengeance secrète que mène le trentenaire contre son meilleur ami, la demoiselle ne devine rien, laissant simplement le médecin parler, riant de ce qu'il raconte et des déboires du pauvre Jay, déballés sur la place publique. Mais il se confie aussi, le médecin, pour la première fois peut-être. Il faut dire que jusqu'à ce soir, la demoiselle n'en savait pas beaucoup à son sujet, mais il règle la question à présent. Au fur et à mesure de la soirée, la demoiselle le connaît un peu mieux.
Elle finit son verre. S'en sert encore un. C'est pas raisonnable. Mais elle s'en fou. Elle n'y pense même plus. Affalée dans le canapé entre les garçons, Alexandra ne veut plus penser à rien. Ni au chien décédé, ni au vent que les garçons lui ont mit, ni à sa solitude, ni à son manque de ses parents, si loin de sa Suède natale. Alors elle lâche prise, elle se laisse porter par le moment. Et Jay vient lui titiller la joue en lui faisant remarquer qu'elle devrait aller au lit, avant de s'endormir sur eux. Manqué. La demoiselle s'étale un peu plus sur lui encore.
"- Bah écoute, le matelas est plutôt sympa." affirme la demoiselle avant de se redresser.
Elle flanche un peu en se levant, grimaçant comme la tête lui tourne. Peut-être que finir les bouteilles n'est pas la meilleure idée qu'ils ont eut. Mais ça aurait put être pire. Leksie se sent encore bien. Un peu trop joviale peut-être, mais bien. Elle leur épargnera la fin de soirée à tenir ses cheveux au-dessus du lavabo. Pas comme s'ils l'auraient aidés cela dit.
"- Je ne suis pas du tout fatigué !" proteste la demoiselle avant d'attraper la bouteille - d'eau cette fois - pour s'en servir un verre et l'avaler d'un trait.
Et plutôt que d'écouter Jay et monter dormir, la jeune femme revient s'installer entre eux dans le canapé, s'allongeant exprès sur eux. En particulier sur Jay. C'est lui qui l'avait cherché après tout.
Messages : 727
Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Ven 26 Juin - 22:32
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
Heny Cavill by Angie on Bazzart
Jay tente d’inciter notre douce à aller dormir. Fiasco total. Ce qui m’étonne vu comment il était le pro de l’entourloupe, mais visiblement, il ne pouvait pas niquer les gens constamment. Sombre trou de balle. Elle tangue. Elle rit plus que raison. Faussement, pour masquer sa peine. On a tous connu ça. Sourire en coin, je la laisse s’épuiser sur place. Elle revient s’étaler sur nous.
Mais on avait de la route. Enfin, je n’étais pas certain de pouvoir être état de conduire vu tous les verres traites qu’on s’était enfilés. Je soupire. Que faire du coup ? Pas le choix de rester ici. Je hais mon meilleur ami. Pire situation. Je ne suis pas dans ma zone de confort. Je vais devoir dans un lieu inconnu. Quoi que dormir est vite dit, j’avais trop peur de faire une terreur nocturne. Et l’humain qui m’a trahi le savait bien. Mais ce con ne savait pas conduire. Un boulet que j’aime.
Je termine mon verre pour me préparer à une nuit au sommeil léger et la crainte de réveiller les habitant de l’appartement. On reste groggy de longues minutes sur le canapé puis je me décale et me lève d’un bond pour chopper la demoiselle … Et je réalise qu’elle s’est endormie. On dirait les petits à l’hôpital, jamais fatigué, premier à ronfler quand je fais mon tour de garde. Je chuchote.
« Regarde si le canapé peut s’ouvrir, je vais jeter notre fleur de peau dans son lit »
Je le libère de la naïade, tape doucement dans son tibia, pour le préparer mentalement à ce qu’il allait se passer par la suite. Je grimpe à l’étage, et prie pour ne pas la faire tomber ou me péter un truc puis dépose le mousquetaire dans son lit et remonte les couvertures. Pas de délire de film : regarder la demoiselle ou l’embrasser. Je voulais toujours autant fuir et j’avais trop peur de la réveiller et devoir dormir avec elle.
Quoi que ! Je pourrais laisser l’autre enculé se casser le dos sur le canapé low-cost. Et pourtant, j’aurais eu l’impression de le trahir. Nous trahir. A croire qu’on devait tout vivre à trois. Ça me donne la gerbe.
Je redescends à l’étage. Jay dormant. On y croit tous. Mais j’avais trop bu pour avoir la lucidité de l’embrouiller, ce n’était pas le lieu. Qui sait, comment ça aurait pu finir, vu comment je devais tactile, saoul et oublier qu’on pouvait devenir amant. Mais bon, à y réfléchir, je doute qu’on saute une inconnue dans l’équation. Contact trop franc pour moi-même sous l’ivresse. On ne pouvait pas péter notre amitié comme ça. Il n’y avait jamais de machine arrière quand on basculait d’amitié à autre chose.
« Je vais faire comme si tu dormirais vraiment, mais tu sais que je vais te déboulonner la tête dans les jours prochains. Bonne nuit connard. »
Je passe ma main dans ses cheveux, parce que je l’aimais quand même un peu. Ça m’arrachait la gueule de le dire après ce qu’on venait de vivre. Je me fous sur le ventre et sombre rapidement.
Pépiements qui me réveillent ainsi que les premiers rayons de soleil. Je baille sans pression. Un putain mal de crane. Je secoue Jay sans ménagement, ça commençait.
« Lève ton gros cul sale lâche, je ne fais pas le petit déj ici. T’as le temps que j’aille faire pleurer le colosse sinon, je me casse sans toi »
Et je comptais bien le faire. Le coup du, on prend le petit-déjeuner sans pression chez toi, je ne l’avais pas oublié aussi. Je me passe un coup d’eau, pisse, me lave les mains. Je vérifie que je n’ai pas trop une gueule de déterrer. Heureusement qu’on était Dimanche. Cinq minutes dans la salle de bain et je ressors, cherchant mes clés et mon manteau. Je fixe durement Jay, toujours en colère. Je déverrouille la porte et lui laisse le soin de refermer derrière nous. Je ne dis strictement rien, durant tout le temps du trajet, je n’avais pas envie de m’embrouiller avec une haleine à casser de la tôle et l’envie d’aller baiser Morphée. Et dire qu’on n’a rien fait. Ça me tue putain. Je dépose ce qui me servait de meilleur ami devant chez lui.
« Adieu Connard »
Je me retiens de lui rouler dessus quand je l’aperçois dans le rétroviseur et repars chez moi. Je m’affale dans mon lit, ayant mal dormi avec la peur d’hurler et réveiller les morts. Et je n’avais pas envie d’avouer ma phobie à mon plan cul.
Six heures de sommeil plus tard et j’enchaine avec une garde de 24h aux urgences. Deux cafés pour remettre mes yeux dans leur orbite. Et une petite coucherie avec une interne d’un autre medecin pour me rendre de meilleure humeur.
« On pourrait aller à un restaurant plus tard ? » J’arque un sourcil, étonné. J’ai une gueule de don Juan ? « Non. » Dis-je purement et simplement.
Je veux juste faire des galipettes moi. Pourquoi ce monde s’évertue à vouloir aller plus loin ? Un bon de coup de rein ne rend suffisamment pas heureux ou quoi ? Je sais qu’il n’y a pas que le sexe dans la vie. Rajouter un cigare et un cognac pour parfaire la notion de Bonheur.
« Sasha, c’est sympa entre nous mais je ne suis pas pour les relations sérieuses. Si tu veux quelque chose de plus spirituel, tourne-toi vers quelqu’un d’autre, parce que je ne compte pas me foutre en couple de ma vie. »
Elle se contente d’embrasser ma joue et de sourire. Espérons que le message soit passé, sinon, j’allais devoir faire le mort et lancer une partie de cache-cache jusqu’à qu’elle abandonne l’idée.
Elle est ma seconde conquête et ce n’est pas le petit poisson, j'étais en courses avec un collègue, mais ma franchise semblait lui avoir davantage plu. Je joue avec le feu avec cette sublime brune. Mais je n’ai pas su résister aux chants mélodieux qu’elle tisse à chaque fois qu’on se croise.
On a craqué au bout de trois mois à se charrier. La première fois, on s’est engueulé et j’étais resté sans voix qu’une interne monte au créneau puis une seconde fois, elle a fait irruption dans mon bureau. Je ne m’attendais pas qu’un simple fermer la porte puisse m’ouvrir les portes du paradis, mais bon, un homme reste faible. Aurais-je dû dire non, pour la déontologie ? Rien à branler, elle n’est pas dans mon équipe.
Messages : 547
Date d'inscription : 10/10/2019
Région : IDF
Crédits : Pop-Gun
Univers fétiche : Fantasy / Réel
Préférence de jeu : Les deux
Maddy'n
Dim 26 Juil - 23:45
Elijah "Jay" Anders
J'ai 30 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Coach de Sport et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt bien. + Il pratique l’escrime depuis tout petit. + Accro à l’adrénaline et aux sports extrême.+ Il a frôlé la mort dans l’accident qui a coûté la vie à sa mère. + Né à Copenhague. + Grand-frère de 2 petits monstres après le remariage de son père. + Enfant, il voulait devenir dresseur de chien de traineaux.
Jamie Dornan :copyright:️ Shiya
Je sens à la façon dont Alexandra s’étale un peu plus sur moi que ma tentative de l’envoyer au lit est un échec. Elle a beau se redresser et se lever, je vois bien à sa façon de tanguer qu’elle est plus fatiguée qu’elle ne veut bien l’admettre. Comme nous, elle payait les effets de l’alcool, mais en plus, la fatigue de cette journée, aussi bien physiquement que moralement. Un verre d’eau, pour tenter de remettre son esprit - et peut-être son foie - en place et elle revient s’allonger, à moitié sur Loyd et moi. Je ne dis rien et la laisse faire. De toute façon, c’est surement un combat que je ne pourrais pas gagner à ma façon. En l’attrapant pour aller la jeter dans son lit. Les minutes passent tandis que nous restons amorphes sur le canapé, vidés de toute énergie, jusqu’à ce que la demoiselle s’endorme. Pas fatiguée, hein. Même mes petits frères ne s’endormaient pas aussi rapidement après m’avoir dit ne pas être fatigués. Je réfléchis à comment me lever, sans trop la perturber, sa tête sur mes genoux quand Loyd mon ami me devance et l’attrape pour l’emmener dans son lit, m’ordonnant de déplier le canapé.
Regard froncé je le questionne silencieusement. On allait dormir ici ? Loyd allait dormir ici ? Je n’obtiens pas de réponse, mais en me levant, je revois les vestiges de notre soirée et comprends qu’on avait peut-être bien trop forcé sur l’alcool. Laisser le médecin prendre le volant dans cet état serait dangereux et irresponsable, et quand bien même il n’avait sûrement aucune envie de passer la nuit ici, ça semblait être la meilleure option pour préserver nos vies. Même si je venais de recocher une case qui pouvait justifier que Loyd m’assassine à la première occasion. Lentement, je me lève et m'exécute, dépliant le canapé pour nous laisser plus de place pour y dormir. Cela fait, je m’y allonge sans attendre le retour de mon ami fermant les yeux pour trouver le sommeil. Lorsqu’il redescend, je ne dors pas encore mais je fais comme si, pour me préserver de toute tentative d’engueulade pour ce traquenard absolu dans lequel Loyd avait été prit. D’ailleurs, il me le fait bien comprendre, j’allais me faire déchirer à la première occasion qu’il aurait. Des menaces qui sont vite effacées de mon esprit lorsque sa main passe dans mes cheveux. Un geste doux qui me fait du bien, et soulève à nouveau des questions sur pourquoi ce geste m’était si agréable. Questions qui s’envolent en quelques secondes, laissant place au néant alors que Morphée m’entraine avec lui.
***
La nuit me parait courte, trop courte, même pour moi qui ne suit pas un gros dormeur. D’une main ferme, Loyd me secoue pour me réveiller. Je grommèle fortement ouvrant difficilement les yeux. Je serais volontiers resté couché, malheureusement, je connaissais suffisamment Loyd pour savoir que si je n’étais pas debout à son retour dans la pièce, j’allais me faire abandonner ici. J’aurais pu rester, mais ça risquait d’être bizarre, pour tout le monde que je me retrouve seul à prendre le petit déjeuner avec la jeune femme. Et puis j’avais ma peluche qui risquait de me faire des bêtises dans l’appartement si je la laissais trop longtemps enfermée dans l’appartement. D’un pas mal assuré, je me lève donc et replie le canapé pour le remettre dans son état initial. Mes affaires rassemblées, je suis Loyd à l’extérieur pour rejoindre la voiture. Je referme les yeux aussitôt installé profitant du trajet pour continuer de me reposer. De toute façon, le médecin ne semblait pas plus loquace que moi ce matin. Je me doute que le sommeil n’avait pas vraiment été de qualité pour lui. Une fois devant chez moi, Loyd m’y jette avec le moins de sympathie possible. Mais étant toujours vivant, je n’allais pas m’en plaindre. Je le salue plus poliment, et monte chez moi, avec l’envie de m’effondrer dans mon lit. Mais comme je m’y attendais, ma boule de poil m’attends derrière la porte et me saute dessus à mon arrivée. J’attrape donc sa laisse et ressors aussitôt. Une demi-heure de promenade pour elle, de souffrance pour moi avant de rentrer et m’écrouler sur le canapé, récupérer mes heures de sommeil.
***
Le soleil est à son point culminant quand je rouvre les yeux. Mon corps et mon esprit semble déjà plus enclin à faire quelque chose de cette journée, même si il est tard. Je commence par prendre une douche, histoire de raviver mon être avant de manger un morceau, dont la composition s’associe plus facilement à un brunch malgré l’heure. Tout en mangeant, je repense à l’étrange soirée que nous venions de passer ensemble et la demande d’Alexandra. Etait-elle vraiment sérieux ? Attendait-elle plus de nous, de notre relation ? C’était étrange, ce n’est pas comme si nous pouvions devenir un couple classique. Quoique, il y avait bien cette loi qui était passée, il y a un an ou deux, autorisant le mariage à trois, faisant beaucoup grincer des dents dans le pays. Etait ce à ça qu’elle pensait ? Même sans qu’il soit question de mariage, juste de vivre quelque chose à trois. Je me laisse porter par mes interrogations, mais décide quand même de lui envoyer un message, juste pour que notre départ ne soit pas non plus associé à une fuite lâche et non assumée.
Salut ! J’espère que tu as bien dormi. Désolé, on a du partir tôt avec Loyd, ma peluche m’attendait à l’appartement. J’espère quand même que cette soirée t’as fait du bien. A la prochaine ! - Jay
Messages : 4254
Date d'inscription : 13/09/2017
Crédits : Nobody
Univers fétiche : Vie réelle / HP / Twilight / University
Préférence de jeu : Femme
Elsy Lullaby
Lun 27 Juil - 16:22
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
Iga Wysocka
En s'éveillant ce matin là, dans son lit, Alexandra porte une main à son crâne en grimaçant, reconnaissant volontiers qu'elle a «mal aux cheveux» comme on dit quand on ne veut pas vraiment assumer de dire qu'on a la gueule de bois et un sacré mal de tête. Mais c'est exactement l'état dans lequel la demoiselle se trouve aujourd'hui. Elle ne sait même pas comment elle a réussit à atteindre son lit alors qu'il lui semble pourtant qu'elle était au salon «l'instant d'avant», les souvenirs revenant péniblement à sa mémoire. Elle s'était à moitié endormi, pour ne pas dire totalement endormie, sur Jay et Loyd, non, en taquinant le sportif. C'est ce qu'il lui semblait. L'un d'eux avait dût la porter jusque dans son lit... La demoiselle porte une main à son front en soupirant. Qu'elle image allaient-ils avoir d'elle à présent ? Celle d'une fille qui boit plus qu'elle ne le devrait ? Celle d'une fille qui ne tiens pas l'alcool ? Est-ce qu'elle avait dit des choses gênantes, au cours de la soirée ? Le brouillard de son esprit s'estompant peu à peu lui fait comprendre que oui, comme elle se souvient de sa proposition de se voir d'avantage. Un peu comme hier soir, simplement, pour faire tout et rien, sans forcément finir sous une couette. La réaction des garçons – ou la non réaction – ne s'était pas fait attendre. Et la demoiselle pousse un grognement en réalisant ce qu'elle a dit, à contre-courant avec tout les conseils qu'ils vous donnent tous, dans les magasines pour filles. Est-ce qu'elle n'aurait pas put se taire, au lieu de parler ?
Poussant un nouveau soupir en se morigénant encore, la demoiselle quitte son lit, descendant à la cuisine pour prendre un doliprane, sans trouver la moindre trace de la présence des garçons. Se posant dans le salon, observant les vestiges de leur soirée et l'absence de Jay et Loyd dans un même temps, elle attrape son téléphone, inquiète, à la recherche d'un message, soucieuse de savoir quand ils étaient partis. Avaient-ils prit la route alcoolisés, l'un et l'autre, à cause d'elle ? Parce qu'elle n'avait pas été foutue de rester debout elle-même et leur proposer la chambre d'amis pour dormir, pouvoir rentrer en toute sécurité ce matin ? Elle en est là de ses réflexions quand, la devançant, un message apparaît sur son téléphone, expédié par Jay. Son cœur fait un bon dans sa poitrine et elle s'empresse de l'ouvrir. S'il envoie un message, c'est qu'il va bien, n'est-ce pas ?
Elle pousse un soupir de soulagement devant le contenu du message. Au moins, ils n'ont pas prit de risques inutiles, si elle comprend bien. Ils ont dormit là alors, chez elle, avant de partir au matin. S'il n'avait pas précisé qu'il devait rentrer pour Jade, la demoiselle aurait put croire qu'ils avaient surtout voulu fuir son propre réveil et un petit déjeuner en sa compagnie. Mais puisqu'il évoque son chien, rappelant les besoins de celui-ci, Alexandra accepte plus facilement de penser qu'elle n'a rien à voir avec cette fuite. Même si une part d'elle lui assure le contraire. Ils avaient passés une bonne soirée, tous les trois. Mais ça s'arrêtait là. Ça ne se reproduirait pas.
Pas de problème. Tant que vous n'êtes pas rentrés de nuit, c'est tout ce qui m'importe. J'espère que tu as bien dormi toi aussi. Merci d'avoir répondu présent. Alex.
A la prochaine. Il voulait vraiment la revoir après ce qu’elle avait dit, ou n'est-ce là qu'une marque de politesse ? Massant ses tempes, la jeune femme pousse un long soupir avant de s'allonger elle-même sur le canapé, fixant le plafond en perdant son esprit dans ses réflexions, avant d'attraper de nouveau son téléphone pour envoyer un message rapide à Loyd. Sobre. Clair.
Merci d'être venu hier. J'espère que tu as bien dormi. Bonne journée, Alex.
Se relevant finalement dans son canapé, la demoiselle s'étire, avant de se lever complètement, rejoignant sa chambre pour préparer rapidement son sac de sport. Elle avait une répétition de danse à 13:00 et l'impression d'être amorphe. Nul doute que le professeur allait râler et que la journée allait être compliquée. Heureusement qu'à être son propre patron et prévoyante qui plus est, elle avait assez peu souvent de gros impératifs de temps. Aujourd'hui, elle ne serait sûrement pas bonne à grand chose. Son sac sur l'épaule, elle prend la direction de sa répétition de danse, ressassant encore les événements de la veille. Stupide. Voilà ce qu'elle avait été, à ouvrir sa grande bouche et se donner en spectacle. Elle pourrait leur dire d'oublier ça, de faire comme si elle n'avait rien dit... Son regard glisse sur son écran et, plusieurs fois, elle menace d'écrire un tel message. Mais peut-être était-il préférable, justement, qu'elle ne revienne pas dessus ? Qu'elle fasse elle-même comme si elle n'avait rien dit, au lieu de leur rappeler ses mots ? Elle fixe son écran, dubitative, plantée sur leur conversation, sans trouver quoi dire. Connerie. Elle pousse un soupir – encore un – et laisse son téléphone et ses affaires dans son casier, rejoignant la scène pour se vider la tête, malgré son corps endolorie des affres de la veille.
Messages : 727
Date d'inscription : 25/10/2019
Région : Basse-Normandie
Crédits : idk
Univers fétiche : Réaliste, Fantastique.
Préférence de jeu : Homme
Patate Douce
Mer 29 Juil - 16:20
Loyd ANDREWS
J'ai 30 ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Médecin depuis dix ans et je m'en sors plus que bien . Sinon, grâce à ma chance , je suis à toutes les femmes et je le vis plutôt comme une liberté totale. Enfant unique des Andrews, mère avocate internationale, père chirurgien de renom. J'ai grandi avec ma nounou. Elle est ma figure paternelle, jusqu'à qu'elle soit renvoyé au Mexique. Je la cherche depuis. J'en ai terriblement voulu à ma mère pour cet abandon. D'ailleurs, nos relations sont tendues mais demeurent cordiales en apparence. Mon père est mon modèle.. Je me demande encore comment peut-il aimer ma mère aussi eperdument ? Je souffre de la peur de l'abandon. Impossible de terminer ma nuit avec quelqu'un, pas même mon meilleur ami Jay. J'enchaine les conquêtes, de peur de m'attacher et de finir seul.
Heny Cavill by Angie on Bazzart
Avec des potes, on décide d'aller manger dans ce bistrot aux allures industrielles, une partie bar et une partie restaurant. On commence par aller s'abreuver pour entamer les hostilités. Une bonne bière de leur cru ainsi qu'une plancha de charcuterie, tout ce que j'aime.
« On se ferait bien un petit weekend entre couilles, dans les semaines à venir, vous en pensez quoi ? » Questionne un des gars. Je regarde mes comparses et hochent la tête. « Je suis toujours partant pour aller découvrir d'autres herbes vertes. » Autrement dit, une ou deux demoiselles de la contrée voisines, je ne dis jamais non.
On trinque pour confirmer nos futures beuveries. Puis, je détourne le regarde pour voir qui traînait comme nous. Et mon regard bleuté s'arrête sur des courbes, que je commence à connaitre. Cela faisait trois semaines depuis la mort de son chien. Je n'avais pas oublié ses propos sur le ménage à trois. Et putain que j'ai failli faire une crise cardiaque cette nuit et les jours d'après, en y repensant. Malgré tout, on s'était revue et pas pour jouer aux perles. Était-ce suffisant pour faire oublier cette idée saugrenue ? Je ne sais pas trop, et je n’avais clairement pas envie de remettre cette infamie sur le tapis. Ni avec l'une ni avec l'autre. On devenait donc les meilleurs pour faire l'autruche. Ce qui m'énervait parce qu'on savait que ça allait bien nous exploser à la gueule. Et plus tôt que je ne l'aurais cru.
Cela faisait déjà deux fois que je la regardais déambuler dans le même espace que le mien. Un signe de tête, quand nos regards se sont croisés puis, l'agacement est monté doucement mais surement, quand un type est venu faire le coq sous ses yeux. Ecoutant la conversation des gars, je conserve un œil sur les deux. La beauté de Lexie n'était pas plus à prouver et je ne pouvais que comprendre qu'on veuille aussi obtenir sa part. Mais je n'étais pas prêteur, vraiment pas. Elle pouvait avoir d'autres partenaires, on n'était pas mariés mais pas sous mes yeux. C'était la pire idée à faire. Et la meilleure pour réveiller en moi, un sentiment que je ne connaissais plus. Je fronce le regard, oubliant totalement mes amis pour m’intéresser à la conversation de mon amante et son nuisible et cela ne semble pas être une partie de plaisir. Je n’entendais rien de là, mais Lexie n’avait pas l’air très ravie. L'homme attrape son bras et je dépose d'un geste sec mon verre sur la table. Ça va devenir plus intéressant pour l'un de nous deux.
« Appelez Jay, ça va chauffer »
Et s'il y avait bien un, qui pouvait être concerné, c'était lui, et le plus apte à calmer mes nerfs aussi. Lexie dégage son bras et je me lève, bien décidé à en découdre. Je pose mon index sur l'épaule du nuisible et tapote plusieurs fois jusqu'à qu'il se retourne. J'arme mon poing gauche pour aller effleurer ce petit visage. La douleur irradie dans mon poing mais je ne flanche pas. A aucun moment. Mon adversaire reprend ses esprits et tente de répliquer.
« La notion du consentement t'est égal mais je vais tâcher de te le rappeler. Cette femme, c'est la mienne. Ma. Femme. Je peux te le dire en trois langues différentes. » J'attrape ses épaules pour lui enfoncer mon genou dans son ventre. « Et, je ne tolère pas qu'on puisse la souiller de la sorte. » Bon, je me retiens de dire que je suis le seul à le faire mais je n'ai pas spécialement envie de me prendre une baffe par la demoiselle. « Maintenant, tu vas dégager, avant que je m’énerve vraiment » Et je me recule, pour éviter une éventuelle parade, me plaçant devant Lewis quand même.
Messages : 4254
Date d'inscription : 13/09/2017
Crédits : Nobody
Univers fétiche : Vie réelle / HP / Twilight / University
Préférence de jeu : Femme
Elsy Lullaby
Mer 29 Juil - 19:18
Alexandra Blomdahl
J'ai 28 ans ans et je vis à Oslo, Norvège. Dans la vie, je suis Créatrice de robe de mariée et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis célibataire. Je suis née en Suède Alexandra, de son nom complet Alexandra Viktoria Aurora Blomdahl, est née en suède, à Stockholm, dans une famille d'artistes. Son père est pianiste, sa mère est artiste peintre et la petite fille a grandie dans l'amour de l'art auprès de ses parents. C'est une romantique, sensible. Le genre de fille qui pleure devant le moindre film. Elle rêve de son mariage depuis toute petite et elle adore la mode. Elle a entreprit des études dans l'univers de la mode. Elle est devenue créatrice de robes de mariées en 2014.
Iga Wysocka
De temps à autre, la demoiselle aime bien traîner dans les bars, assise dans son coin à une table, son carnet de croquis devant elle. Attablée, dans cette ambiance festive, joyeuse, elle observe les petits couples qui se forment, ceux qui entretiennent la flamme qui brûle entre eux, ceux qui sont au bord du gouffre malheureusement et, du bout de son crayon à papier, elle laisse parler sa créativité sur les feuilles blanches étalées devant elles. Ce soir était un de ces soirs. Attablée du côté bar de l'établissement proposant également un espace de restauration aux allures de bistrot, la demoiselle observe les gens tout autour d'elle, occupés à se séduire, flirter ensemble... Un verre de cocktail à portée de main, elle dessine, gribouille, esquisse les lignes fines et délicates d'une robe de dentelle, somptueuse création pour la prochaine saison.
Se levant pour aller chercher un second verre, emportant avec elle son précieux carnet de peur de le perdre, la demoiselle a la surprise de croiser le regard de Loyd, sans que sa présence ici ne la surprenne particulièrement. Après tout, elle l'avait elle-même connu dans un bar et savait parfaitement que lui comme Jay en avaient l'habitude, quand ils le pouvaient. Ce soir cependant, aucune trace du sportif aux côtés de Loyd, installé avec une ribambelle d'amis à lui, qu'elle ne connaît pas le moins du monde. A vrai dire, de lui, elle en savait bien peu. Lui adressant un signe de la main, un léger pincement saisissant son cœur comme elle se souvient de la réaction qu'il avait eut, comme Jay, quand elle avait proposé de se voir d'avantage, hors d'une couette. S'ils faisaient les autruches depuis, s'ils faisaient comme si elle n'avait rien dit, aucun d'eux n'avait put oublier ce «moment d'égarement» où la demoiselle avait osé exprimer tout haut ce qu'elle songeait tout bas depuis plusieurs semaines.
Retournant à sa place, un nouveau cocktail en main, la jeune femme glisse un nouveau regard en direction de Loyd, avant de se replonger dans son travail, duquel elle est cependant rapidement sortie par un homme qui approche, tirant la chaise aux côtés de la demoiselle en désirant s'installer, sans même le lui demander, se lançant dans un monologue ennuyeux que la demoiselle n'écoute que d'une oreille polie, l'air passablement ennuyée par cette intermède. Un ennuie qui se teint d'agacement, à mesure que l'homme parle encore et la met mal à son aise, la draguant ouvertement, quand elle tâche de se montrer la plus distante possible, cherchant à lui faire comprendre son désintérêt. Un désintérêt qu'il ne semble pas saisir pourtant, attrapant le bras de la suédoise en lui proposant de le suivre, forçant quelque peu sa prise sur elle.
«- Lâchez-moi, vous me faites mal !» lance la demoiselle en suivant le mouvement, comme l'homme se lève.
Et la tête de Loyd surgit, par-dessus l'épaule du type. Une seconde, Alexandra croit rêver ce qui est en train de se passer. Mais ce n'est pas le cas. Le médecin les a bel et bien rejoint, collant son poing dans la figure de l'autre type sitôt que ce dernier se retourne, lui assénant par la suite une leçon de morale qui ne devrait pas faire de mal à l'importun. Des mots qui clouent Lexie sur place, même s'il ne dit ça que pour la tirer d'affaire. Que pour faire réaliser à l'autre que son comportement n'était pas acceptable. Un autre qui ne semble pas comprendre, alors que Loyd lui enfonce son genou dans le ventre, qu'il ferait mieux de se taire.
«- Bah faut pas les laisser toutes seules vos poulettes !» provoque l'autre, essayant de retourner un coup au médecin venu se placer devant la suédoise. «- Loyd !» Leksie pose une main sur le bras du docteur pour attirer son attention «Laisse le, il n'en vaut pas la peine !» souffle la demoiselle.
La créatrice s'interpose, essayant de temporiser les choses. Essayant surtout d'éviter que Loyd ne prenne un mauvais coup, ou de voir les vigiles ou les flics débarquer. Ça n'en valait pas la peine. Même s'il ne fallait pas accepter ce qui s'était passé, ce qui aurait put se passer, ce que ce type avait fait, malheureusement, comme beaucoup d'autres, Leksie en avait l'habitude. Ce n'était qu'une anecdote de plus, finalement, à la liste qu'elle avait déjà.
«- Calme toi... » souffle la suédoise tandis que l'autre type se barre, maugréant quelques mots entre ses dents.
Contenu sponsorisé
Fire on fire would normally kill us but this much desire, together, we're winners [ft. Maddy'n & Patate douce]