“La neige ne brise jamais la branche du saule.” avec Gäa
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Univers fétiche : Crossover, fantasy, city, apocalypse, jeux vidéo etc...
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Gäa
Dim 26 Nov - 23:21
Jarod Solveig
J'ai 18 ans et je vis à Plano une ville du Texas, Amérique. Dans la vie, je suis Oméga et je m'en sors pas très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis fils de l'alpha et je le vis plutôt pas bien, on me cache quelque chose. - Jarod n'est pas doué à la chasse, mais c'est un très bon pêcheur -Son regard d'oméga et d'une couleur argentée -Il aime la nature, se promener en solitaire -Jarod a toujours eu peur de son père
C'était une toute nouvelle vie, et je ne voulais decevoir personne. Je savais que j'étais émotif, mais voir ma mère ainsi, disons que je n'avais jamais ressenti une aussi grande colère, d'ailleurs, je m'en serais jamais cru capable ... Certes Alpha avait chercher à m'endurcir, il m'avait fait participé à des entraînements assez intensif, des bagarres, je pouvais ressentir la puissance des alphas ainsi que des bêtas, mais entant que oméga, je ne pouvais que finir par courber l'échine, tout en me sentant misérable, par rapport aux loups de la meute. Dans ma tête, tout avait toujours été très clair, un oméga reste faible, un oméga peut être un poids pour la meute, puis j'avais retrouvé ma mère, celle-ci m'expliquant que ce n'était pas le cas ... J'avais un tout nouveau mode de vie, d'ailleurs, j'étais en train de le découvrir, et ressentir cette colère en voyant ma mère pleurer ainsi, je venais de m'effrayer. Gardant ce sentiment pour moi, je voulais poursuivre notre petit déjeuner en paix. M'assurant de voir ma mère s'apaiser, lui faisant ressentir tout mon amour ainsi que ma présence, je gardais au fond de moi, cette colère contre alpha. Heureusement, grand mère était présente, une louve oméga, celle-ci faisant partie de la meute depuis un moment, elle pouvait vivre pleinement entant que oméga, j'aurais sans doute des conseils à lui demander par la suite, comme la gestion des émotions, même si pour le moment, je voulais m'adapter petit à petit. Tout était si nouveau pour moi, j'avais encore besoin de réfléchir, de prendre mes marques, comme prendre un petit déjeuner. Tout en restant très proche de ma mère, ayant même déplacé mon assiette, pour lui faire ressentir sa présence, que j'en profitais pour découvrir le sirop d'érable, j'eu un sourire, comprenant que ce sirop était fabriqué par la meute. Ma grand mère avait le sourire contagieux, je pouvais ressentir son amour pour sa fille, ainsi que pour moi ... C'était immense, c'était même impossible à décrire, mais une chose était sur, c'était quelque chose de beau. "Grand père va aussi en forêt pour chercher de la sève ?" , j'en avais parlé hier avec ma mère, visiblement mon grand père, était celui qui s'occupait d'aller en forêt, il faisait courir les chiens, ainsi que les loups, faisant sans doute des visites pour les touristes ... Peut-être qu'il récolté aussi la sève ? Entre retrouver les jumeaux, pour apprendre à piloter, puis visiter le pays, j'avais encore tellement de chose à découvrir, que le louveteau en moi, ne pouvait que en bondir d'avance, tout comme j'avais besoin de rester dans mon cocon familial. Ma mère s'apaisant, lorsqu'elle me dit de faire une liste, de tout ce dont j'avais de découvrir, j'eu un léger sourire, tout en lui prenant la main. Je n'avais pas besoin de liste, j'allais découvrir ce dont j'aurais besoin au jour le jour, comme les disney par exemple, c'était un très bon début. Piscou vint avec une surprise pour ma mère, son chagrin avait du beaucoup se ressentir, ce qui me donné envie de serrer à nouveau ma mère dans mes bras, lorsque je découvris, le petit animal paniqué dans ses mains. Tout en regardant l'écureuil paniqué, je regardais ma grand mère, ainsi que ma mère, avant de le prendre doucement dans mes mains, il était urgent de l'apaiser. "J'ai déjà aider des animaux sauvages dans le passé, il a surtout eu peur et il a besoin de se remettre de ses émotions" , je le caressais doucement tout en chantonnant très doucement. De la paix, du calme et de la douceur, il ne craignait plus rien ... Il n'avait rien à craindre, tout irait bien, il était en sécurité et pourrait bientôt retrouver son chez lui. Petit à petit, je pouvais voir l'écureuil se détendre, avant de sentir sa fatigue, avec le choc, il aurait besoin d'un coin chaud pour se reposer. "Il aurait besoin d'un coin chaud pour se reposer, de quoi s'hydrater et se nourrir et il pourra retourner chez lui", j'avais toujours été très sensible envers les autres animaux, alors évidemment, pour alpha, je n'étais pas utile à la chasse ... Mais j'étais tout de même l'un des rares loups à savoir pêcher.
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anaphore
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Clionestra
Jeu 30 Nov - 20:54
Magdalene Solveig
J'ai 34 ans et je vis à Maniitsoq , Groenland. Dans la vie, je suis fille de l'alpha et je m'en sors bien. Je travaille aussi en tant que Musher. Sinon, grâce à ma malchance, on m'a volé mon fils et je compte bien le récupérer et l'aimer. → Fille de l'alpha. → Possède plus d'une centaine de chien avec sa famille → Travaille souvent pour faire des visites guidés → Adore les fraises → Déteste la langue anglaise, mais l'utilisera par amour.
Meute à demeure:
Les intrus : → Beethoven (gros Saint-Bernard mâle) → Or (labrador mâle et timide) → Argent (labrador femelle) → Minnie (Patou femelle et intrusive) → Mickey (Patou mâle)
Les huskys : Les pokémons → Pikachu (husky femelle) → Carapuce (husky femelle) → Salamèche (husky mâle) → Bulbizarre (husky mâle) La Quintette → Klaus (husky mâle) → Luther (husky mâle) → Diego (husky mâle) → Vanya (husky femelle) → Lila (hysky femelle)
La mère de Mag attendit qu’elle traduise la question, avec toutes les subtilités de langue, et commença à répondre dans un groenlandais moqueur. Mag attendit qu’elle finisse avec un petit sourire en biais avant de se retourner vers son fils.
- Elle dit que ton grand-père est plus un ours qu’un loup, alors certainement. Mais l’entreprise le fait toute seule. Elle dit qu’elle ira te chercher du sirop d’érable artisanale de son grand-père, mais que tu dois pour ça faire semblant d’apprécier le sucre-citron. Mag se penche et fait un clin d’œil, même si tout le monde sait que c’est une aberration.
Et elle rit doucement alors que la jeune femme lança un regard vers sa mère. Hallbora était en train de secouer la tête positivement comme si elle avait tout compris à la traduction. Elle faisait simplement confiance à sa fille pour passer les messages et les bons. Quand Picsou apporta son cadeau, elle ne fit pas cas du petit animal. Mag, comme la plupart des loups, était une personne chasseur avant tout. La panique du petit animal ne faisait que lui faire un peu plaisir alors que sa partie louve avait envie de le chasser à traverser la maison. Heureusement, son fils pris les devants. Sa mère aurait fait de même. Les deux omégas avaient un peu trop de cœur pour Mag qui était une louve. Elle regardait son casse-croûte partir avant de relever les yeux.
- Ce n’est pas cool, ça, fit-elle savoir doucement mais son petit sourire expliquer bien que ce n’était pas grave du tout, et qu’elle se doutait bien qu’elle n’aurait pas le droit de graille cette petite bête.
Elle fit un sourire à sa mère pour lui répéter les paroles alors que sa mère fit un regard à peine dédaigneux à sa propre fille pour répondre qu’il ne devrait pas rester ici. Mag fit une moue.
- Ma mère pense que tu devrais le garder dans ta chambre, sinon je vais essayer de le manger. Je ne suis pas autant un animal que ça, précisa-t-elle en envoyant une miette vers sa mère. - Toi être sauvage, affirma-t-elle. - Tu l’entends ? Jarod, défends-moi ! Je suis une douce et innocente petite louve ! Jamais je ne mangerais un délicieux petit animal pour m’amuser ! - Elle être sauvage, répéta sa mère en regardant Jarod. Tous, sauvage. Toi, Moi, Meilleur.
Et elle eut un petit rire de supériorité toute nouvelle. Cela l’amuse vraiment. Elle se laisse dire avant de faire une moue. Ouais, les meilleures. Magdalene était assez d’accord en fait. Elle regardait son fils avec un sentiment de fierté qui augmenté de plus en plus. Ce sentiment grossissait comme une bulle sauf qu’elle ne pouvait éclater. Ce sentiment était doux. Elle le regardait avec la fierté d’une mère alors qu’elle posa sa tête sur sa main et le regarde.
- Toi, reprit Mag, tu es le meilleur.
Et quand elle pense qu’il vient de ses entrailles. Malgré ses moitiés de chromosomes appartenant à l’autre connard, Jarod était un garçon sensible, doux, bon, pas malfaisant. Elle l’aime. Elle l’aime son petit garçon. Elle s’en voulait de l’avoir laisser aussi longtemps. Et cette bulle de fierté et d’amour, elle se déverse sur son visage. Il y avait plus d’amour pour lui que n’importe quoi / qui. Elle n’avait jamais aimé. Elle n’était jamais tombée réellement amoureuse. De l’amour avec le grand A que l’on dit souvent. Mais elle aimait. Oui. Elle aimait ses parents, son frère, son fils et elle aimait son pays, sa meute. Elle tendit la main vers lui et lui toucha la joue.
Une fois le petit déjeuner terminé, ils firent la vaisselle ensemble et chercha à savoir quoi faire dans la journée. C’était plus, en réalité, les deux blondes qui parlaient parce qu’elles avaient envie de tout faire. Et Hallbora n’avait aucune envie de quitter de quitter son fils. L’idée de la garder auprès de lui se faisait savoir, au moins trois ou quatre fois. Mag fini par expliquer cette subtilité à son fils.
- Ta grand-mère veut te garder que pour elle, et prévoir ensemble pour la fête de la semaine prochaine, elle veut aussi que tu dormes avec elle et que tu ailles vivre chez elle. Je lui ai dis que tu étais mon fils, elle argumente en disant que tu étais son petit-fils. - Oui. Mon petit-fils, répéta-t-elle. - Et je lui ai dis qu’on avait plein de chose à prévoir, encore des courses pour que tu te sentes bien dans ta chambre et un chien à te trouver pour que tu puisses t’entrainer, si tu en as toujours envie, à la SPA. - Lui, choisir. - Et elle veut donc que tu choisisses, comme quoi si tu me choisis, elle ne dira pas que je t’ai forcé en une quelconque manière. Et elle ne t’en voudra pas si tu l’as choisi, elle. Comme je ne t’en voudrais pas si tu préfère la suivre dans les préparatifs de la fête.
Sa mère dit quelque chose à nouveau avant que sa fille ne fasse un soupir.
- Et elle précise qu’elle pourra demander à Mia, une jolie fille qui travaille avec elle, de te faire la traduction instanta…., elle se bloque regarde sa mère, je crois qu’elle essaie de te caser avec Mia.
Sa mère sourit de toutes ses dents avant de faire un haussement d’épaule toute doucement. C’était ça. Elle essayait de trouver une copine à Jarod.
- Non, mais je rêve ! Elle se tourne vers Jarod, tu attends au moins … au moins un peu avant de tomber amoureux et de ne plus voir ta vieille mère, suis-je claire ? Non, mais je rêve ! Tu sais que ta grand-mère essaie de me marier à tous les hommes un peu intéressants qu’elle croise ? Elle n’arrête pas de faire des « repas » avec Pierre, Paul ou Jacques. C’était sa manière de … de me faire comprendre que tout aller bien. Un peu étrange, certes. Mais une méthode comme une autre.
Elle fit un sourire en lui pressent la main. C’était une méthode pour prouver son amour à sa fille, et que l’amour était encore permis… Même si Magdalene avait encore beaucoup de mal à l’idée d’être proche physiquement d’un homme qu’elle ne connait pas… Et encore plus à l’idée d’être intime. Quand les souvenirs affluent, elle se fige, se brise, se sent terriblement vulnérable et faible. Quand elle fait des cauchemars, ce qui arrive souvent, elle se sent à nouveau là-bas, et elle se sent mal. Et sa mère voulait lui présenter des hommes qui pourraient lui faire oublier tout ça. Elle avait même essayé de lui présenter des femmes. Mais ni l’un, ni l’autre n’avaient donné envie à Mag d’être intime. Elle ne le pouvait pas. Elle le refusait. Elle était bloquée à l’intérieur même de son esprit. Et sa mère pensait, innocemment, que quand Mag serait amoureuse et en couple, alors elle sera totalement guéris des sévices qu’elle avait subit. Magdalene ne le pense pas, elle … mais sa mère était une éternelle optimiste en plus d’être une cupidon. Elle y croyait vraiment.
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Gäa
Ven 1 Déc - 0:32
Jarod Solveig
J'ai 18 ans et je vis à Plano une ville du Texas, Amérique. Dans la vie, je suis Oméga et je m'en sors pas très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis fils de l'alpha et je le vis plutôt pas bien, on me cache quelque chose. - Jarod n'est pas doué à la chasse, mais c'est un très bon pêcheur -Son regard d'oméga et d'une couleur argentée -Il aime la nature, se promener en solitaire -Jarod a toujours eu peur de son père
Je penchais légèrement la tête sur le côté, en entendant le mot "ours", puis je plissais le nez, lorsque à la pensée de faire semblant d'aimer le citron sucre, ah non, se serait sans moi. "Je ne pourrais jamais faire semblant", de plus, j'étais du genre mauvais menteur, je le savais très bien, je ne voyais pas non plus, pourquoi j'irai mentir, j'étais sans aucun doute, bien trop honnête pour que se soit normal, mais faire semblant et mentir, non je n'y arrivais pas, je me contentais plutôt d'aller me cacher, et de faire comme ci je n'avais rien entendu, une bonne technique, lorsque alpha donner des ordres, et que je ne voulais pas l'écouter. Ce qui était tout de même incroyable, c'est que malgré mon amour pour ma mère, ma grand mère, la famille que j'étais en train de découvrir, j'avais encore peur, quelque chose en moi ne cessait de hurler méfiance, et c'était une lutte contre moi même, pour pouvoir m'abandonner à ma famille.
Lorsque Piscou vint avec un cadeau, mon attention vint se focaliser sur l'écureuil. D'ailleurs, en voyant la détresse de l'animal, je pris celui-ci dans mes mains, pour l'apaiser et le calmer, me perdant complètement dans mes pensées. Je fini par sortir de mes pensées aux paroles de ma mère, ainsi que de ma grand mère, j'eu un sourire entre l'échange mère et fille. Puis en observant ma mère, je voyais qu'il y avait un côté sauvage chez elle, d'ailleurs, se serait bien normal, c'était une battante, c'était une louve et c'était une mère qui était venu chercher son louveteau, rien que pour ça, j'avais une très grande admiration pour ma mère, j'en revins à la colère que j'avais ressenti un peu plus tôt, puis je choisi de ne plus y penser, pour sourire à ma grand mère, qui ne pouvait que affirmer, que nous étions les meilleurs. Par contre, étais je vraiment le meilleur ? Je ne voulais rien gâcher du tout, puis ce fut ma mère qui me l'affirma à nouveau, et cette fois-ci je baissé doucement la tête, tout en continuant de tenir le petit animal contre moi. On avait jamais employé ce mot, pour parler de moi, alors ça avait un côté déstabilisant. Me levant doucement, j'hochais doucement la tête "Je vais essayer ... Je vais le mettre au chaud, je reviens" dis je tout en désignant l'écureuil, ayant aussi besoin d'un peu de solitude, car je ne cessais d'avoir des pensées contradictoires. Etre le meilleur, pour alpha c'était savoir se battre, chasser, être fort .... Jamais alpha ne m'avait complimenter, j'avais toujours entendu, que ce n'était pas suffisant, que je devais être plus fort, plus impitoyable et voila que maintenant, je pouvais vivre en étant moi ... C'était contradictoire, j'en avais mal à la tête, alors je rejoignis ma chambre, tout en préparant un coin dans mon armoir, pour y installer le petit animal, qui avait bien besoin de dormir. M'occuper d'un animal, avait au moins ce don de m'occuper l'esprit, je n'avais pas trop de question à me poser, il était en train de se remettre de ses émotions, et moi aussi d'ailleurs. Me doutant qu'il devait rester hydrater, je disposais un petit bol d'eau, d'ici ce soir, il irait mieux.
Puis à mon tour, j'allais à la salle de bain, pour me passer de l'eau sur le visage, chassant mes peurs et mes pensées contradictoires, avant de rejoindre ma mère, ainsi que ma grand mère à la cuisine. Terminant mes pancakes, j'allais ensuite aider à débarasser la table et faire la vaisselle ... Ah oui, cette fameuse vaisselle, c'était pour les femelles comme le disait alpha, ou tout simplement, les loups qui ne savaient même pas chasser, et j'avais le droit à des regards lourd de sens. A nouveau perdu dans mes pensées, j'écoutais ma mère parler avec ma grand mère, tout en appréciant la langue maternelle. Puis je me figeais aux paroles de ma mère ... La fête, la semaine prochaine ... En gros ça voulait dire de la foule, j'en avais envie et en même temps j'avais peur ... Je crus que j'allais à nouveau pleurer, lorsque j'entendis ma grand mère, affirmer que j'étais son petit fils. J'allais offrir un câlin à ma grand mère "oui ton petit fils ... Mais ... Je reste avec maman". J'avais besoin de la présence de ma mère, je ne pourrais pas envisager qu'on me sépare d'elle, c'était bien trop tôt, j'avais peur. "Merci pour la fête je ... J'ai juste un peu peur et je veux encore apprendre" en faite, je ne voulais décevoir personne, même si on m'avait assurer que ce ne serait pas le cas, je ne pouvais m'empêcher de douter de moi. Puis j'eu un rire à la tête de ma mère, ah oui, ma grand mère n'avait pas les idées perdus. Alors comme ça, ma grand mère voulait me caser ? Puis elle voulait aussi caser ma mère ? Bon concernant sa fille, c'était normal, elle voulait son bonheur, en ce qui me concerné c'était du rapide. Je plissais le nez, tout en rejoignant ma mère, lui offrant un câlin "Oh non , pour le moment c'est ma maman je ne partage pas ... Pas tout de suite, et il faudra qu'il passe des tests" non je n'en faisais pas trop, je voulais juste quelqu'un de bien pour ma mère. En ce qui me concerné, je n'avais jamais vraiment chercher à tomber amoureux ... Sans doute, le fait d'avoir trop de confiance en moi, mais se serait quelque chose qui viendrait surement avec le temps, et j'étais encore trop louveteau sur les bords, pour penser amour.
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Clionestra
Lun 11 Déc - 22:16
Magdalene Solveig
J'ai 34 ans et je vis à Maniitsoq , Groenland. Dans la vie, je suis fille de l'alpha et je m'en sors bien. Je travaille aussi en tant que Musher. Sinon, grâce à ma malchance, on m'a volé mon fils et je compte bien le récupérer et l'aimer. → Fille de l'alpha. → Possède plus d'une centaine de chien avec sa famille → Travaille souvent pour faire des visites guidés → Adore les fraises → Déteste la langue anglaise, mais l'utilisera par amour.
Meute à demeure:
Les intrus : → Beethoven (gros Saint-Bernard mâle) → Or (labrador mâle et timide) → Argent (labrador femelle) → Minnie (Patou femelle et intrusive) → Mickey (Patou mâle)
Les huskys : Les pokémons → Pikachu (husky femelle) → Carapuce (husky femelle) → Salamèche (husky mâle) → Bulbizarre (husky mâle) La Quintette → Klaus (husky mâle) → Luther (husky mâle) → Diego (husky mâle) → Vanya (husky femelle) → Lila (hysky femelle)
- Oh, ne t’en fais pas mon chéri, personne ne te demande de faire réellement semblant. On va dire que beaucoup, même moi, je mens à mon père alors même qu’il sait que je mens.
C’était peut-être un concept un peu étrange pour un garçon qui n’avait pas l’habitude de tout ça … Mais en gros, tout le monde savait que le sucre au citron (//Que j’adore dans la vraie vie perso x’D) c’était une erreur de la nature. Vraiment pas quelque chose qu’il fallait ingérer. Et Mag aimait taquiner son père en faisant semblant d’en aimer le goût. Comme Odin et Hall, d’ailleurs. Tout le monde taquiner le vieux loup sur son goût pour le sucre. Qui pourrait dire en voyant sa tête que l’homme était un tel férue de sucre et d’acide comme un enfant ? Personne.
Elle l’avait laissé partir l’animal, bien qu’elle l’aurait bien croqué, et avait continué la journée ensemble. N’empêche, avoir un écureuil dans une meute de chien, avec une grande partie loups, c’était un peu comme mettre un sourire dans un vivarium à serpents… heureusement, Mag n’avait pas envie de rendre triste son fils et les autres chiens chasseurs avaient dû comprendre la même chose … Bien que Donatello fit plusieurs gémissements qui signifiaient clairement qu’il avait envie de jouer à manger l’animal.
Quand enfin, ils finirent la vaisselle, chose que Mag ne comprenait pas. Elle avait acheté un lave-vaisselle pour tout mettre à l’intérieur et ne plus avoir à supporter l’interminable travail de nettoyer, éponger, essuyer chaque chose qui avait été utilisé. Non, clairement, sans lave-vaisselle dans sa maison, la blonde aurait fini par tout manger à la main, sans la moindre hésitation. Elle tira la langue à sa mère.
- Il reste avec moi. Il l’a dit. Héhé.
Sa mère lui jeta quelque chose. Elle avait très bien compris l’anglais et savait reconnaître le rire narquois de sa fille quand elle l’entendait. Même si cela faisait longtemps qu’elle ne l’avait pas entendu comme ça. La grand-mère sourit.
- Pour la fête, ne le voit pas comme … … …, elle s’arrêta de parler de longues secondes avant de se tourner vers sa mère et de la regarder. La vielle femme fini par rougir et Mag reprit, j’ai rien dit. Attends-toi à quelque chose d’énorme. J’avais prévenu qu’on te ferait rencontrer tout le monde un peu avant, et donc à la fête tu seras plus à l’aise. Et ta grand-mère adore les célébrations.
Ouais … Si Halldora avait décidé de faire une fête à son petit fils, rien ne pourrait l’empêcher … Et donc, comme Magdalene avait prevenu qu’elle irait rencontrer des membres de la meute avec lui, sa mère en avait déduit qu’ils pouvaient faire UNE FÊTE. Cela allait donc avec, des stands de jeux pour les enfants, de la barbapapa, peut-être même des manèges –la grande roue allaient être reconstruite ?- , un concert sur la place publique de la ville et tout le touin touin. Elle ne le précisa pas à son fils. Il avait déjà une semaine pour se faire à un grand nombre, mais il n’était pas prêt à ce que pouvait préparer une famille possédant le pays tout entier. Elle sourit pour le rassurer.
- Et puis, je serais avec toi du début à la fin, alors tout se passera bien. Je suis d’accord pour les tests. On est bien tous les deux.
Elle répondit à son câlin en faisant comme si elle s’accrochait à lui.
- Et je n’ai besoin de personne d’autres dans ma vie. Mon fils et mes parents. - N’oublie pas ton frère, précisa sa mère dans leur langue avant de rajouter pour Jarod, Odin. - Ouais… Odin. S’il pouvait arrêter d’être bête, ça serait plus facile, rajouta-t-elle rien que pour Jarod dans un petit sourire, mais déjà rien que toi et moi, c’est bien.
Elle n’aimerait jamais. Elle n’avait jamais réellement aimé, Mag. Quand elle avait eu 16 ans, comme beaucoup d’adolescente, elle avait eu son lot de « crush », mais jamais d’amoureux. Jamais en couple. Jamais de relation sérieuse. Et elle n’en avait pas eu le temps. L’image de Gordon s’imposa à elle comme la seule relation sexuelle qu’elle n’aurait jamais et son cœur se met à battre la chamade sous la peur. Elle resserre son bras contre son fils et fait envolé cette peur en écoutant le cœur de Jarod, son odeur, leur lien qui était tissé entre eux. Elle avait souffert. Elle détestait chaque seconde passé aux USA … On lui avait arraché le cœur pour le souiller, pour le rendre plus sale que le pire des attrapes merdes du monde. On lui avait arraché dignité et force, courage et espoir. On lui avait arraché tout ça. Mais maintenant, Jarod était là. Et lui, il avait tout ça. Il était digne, il était fort, il était courageux et il était son espoir. Elle n’avait pas besoin d’homme pour avancer. Elle était très bien coincé entre sa colère et sa peur, tant qu’elle pouvait donner à son fils la vie qu’il mérite. Et il la mérite. Venir d’une mère comme elle, faible et victime, une personne qui s’était laissé faire (//Non, mais elle se voit ainsi ) et qui l’avait peut-être même mérité, et d’un connard de père sans cœur et sans âme. La génétique ne faisait partout. En ce qui la concerne, quand elle a accouché, un ange a du tomber du ciel. Elle se recule.
- Allons-nous préparer pour aller chercher ton chien alors. Je suis sûr qu’avoir deux petits animaux à défendre et à aider, ça pourrait te permettre de mieux t’habituer ici. Parce que comme ça, vous serez deux à devoir vous adapter. Ensemble. C’est le mieux.
Elle le laisse alors qu’elle embrassa sa mère sur la joue, laisse sa mère faire de même avec son petit fille alors qu’elle retourne pour aller chercher ses affaires, ses clés et rajouter un petit modules derrière la moto neige, qui permet de transporter les chiens avec eux.
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Gäa
Mar 2 Jan - 23:03
Jarod Solveig
J'ai 18 ans et je vis à Plano une ville du Texas, Amérique. Dans la vie, je suis Oméga et je m'en sors pas très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis fils de l'alpha et je le vis plutôt pas bien, on me cache quelque chose. - Jarod n'est pas doué à la chasse, mais c'est un très bon pêcheur -Son regard d'oméga et d'une couleur argentée -Il aime la nature, se promener en solitaire -Jarod a toujours eu peur de son père
J'avais encore peur de cette nouvelle, en faite, j'avais à la fois hâte, tout comme j'étais effrayé, et je voulais juste rester près de ma mère. Pourquoi cette peur ? Je ressentais de l'amour, je n'étais guère habitué, et j'aimais tellement ce sentiment d'amour, que j'avais peur que celui-ci ne disparaisse. J'avais toujours aussi peur de décevoir, malgré tout les encouragements, en faite, c'était plus fort que moi ... J'allais avoir un travail à faire sur moi même, je devais vraiment cesser de douter de moi, il était temps que je reprenne confiance, que je me batte davantage contre moi-même, car ma famille était bien la, il était temps d'avancer.
Depuis que j'étais redescendu de ma chambre, je n'arrêtais pas de coller ma mère, roooh ce comportement de louveteau, alors que je venais d'atteindre ma majorité, mais je voulais rester proche de ma maman, c'était rassurant. Aucun doute ma grand mère était un amour, seulement il y avait encore ce "mais", ça finirait bien par passer ... J'eu un petit gémissement plaintif, lorsque ma mère m'avoua, que se serait une immense fête. Tout en croisant le regard de ma grand mère, je la voyais rougir, en faite, on voulait ce qu'il y avait de mieux pour moi, c'était ... C'était incroyable d'avoir une fête, pour célébrer mon arrivée au pays ... Il y a une semaine, je n'aurais jamais cru ça possible, en faite, je ne me sentais pas important, d'ailleurs, je ne me sentais pas important, sauf lorsque j'étais proche de ma mère, la oui, je reprenais confiance en moi. L'aura d'oméga de ma grand mère, était aussi un baume au coeur, je pris une profonde inspiration, je devais faire confiance envers ma famille. Tout en posant la tête, contre l'épaule de ma mère je repris "Anaana, Aana, vous me gâtez trop" dis je mi-taquin mi-boudeur. "Je ferais des efforts, mais si je fuis à un moment donné, se sera normal" dis-je tout en rougissant, car d'un côté, je n'avais pas l'habitude d'être le centre de l'attention, mais en plus, je devais admettre, que j'avais la peur de la foule ... Certes se serait ma famille, ma meute, mais il y avait encore ce chaos dans ma tête, celui que Alpha m'avait bien mis en tête, un oméga n'a aucune valeur. Répondant au câlin que m'offrait ma mère, je continué de gémir comme un petit louveteau, c'était plus fort que moi, enfin au moins, les câlins avaient ce don de vraiment me rassurer, sans oublier, de me redonner confiance.
Lorsque j'entendis "Odin", je tendis l'oreille, puis réfléchissant, j'haussais des épaules "J'aimerais bien le rencontrer, ce n'est pas grave si il est grincheux", ça ne serait jamais pire que alpha. Puis après un long câlin, je bondis de joie, tout sourire, oh oui ! le refuge ! "Aana je pars adopter un chien !" dis je avec d'offrir une étreinte à ma grand mère, puis tout en filant me préparer pour la journée. Je ne fus pas trop long, j'avais tellement hâte d'avoir mon propre chien. Lorsque je descendis des escaliers, ma grand mère était parti ... Voyant qu'il n'y avait plus personne dans la maison, je rejoignis ma mère, qui venait de démarrer la moto-neige. "Ce soir je libère ce pauvre écureuil, et personne ne le mange, j'ai bien vue ton regard" dis je avec un sourire, avant de monter sur la moto-neige.
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Clionestra
Mar 9 Jan - 0:31
Magdalene Solveig
J'ai 34 ans et je vis à Maniitsoq , Groenland. Dans la vie, je suis fille de l'alpha et je m'en sors bien. Je travaille aussi en tant que Musher. Sinon, grâce à ma malchance, on m'a volé mon fils et je compte bien le récupérer et l'aimer. → Fille de l'alpha. → Possède plus d'une centaine de chien avec sa famille → Travaille souvent pour faire des visites guidés → Adore les fraises → Déteste la langue anglaise, mais l'utilisera par amour.
Meute à demeure:
Les intrus : → Beethoven (gros Saint-Bernard mâle) → Or (labrador mâle et timide) → Argent (labrador femelle) → Minnie (Patou femelle et intrusive) → Mickey (Patou mâle)
Les huskys : Les pokémons → Pikachu (husky femelle) → Carapuce (husky femelle) → Salamèche (husky mâle) → Bulbizarre (husky mâle) La Quintette → Klaus (husky mâle) → Luther (husky mâle) → Diego (husky mâle) → Vanya (husky femelle) → Lila (hysky femelle)
- Trop ? Oh, mon cher fils, tu n’as même pas idée de ce que nous pouvons faire de « trop », qu’elle rit avant de le regarder avec douceur et de mettre sa main sur sa joue et la caresser avec une douceur maternelle, n’oublie pas que nous sommes les propriétaires de ce bout de terre, et tu l’es aussi. Et si tu fuis, je te suivrais. Ne t’en fais pas.
Parce qu’elle ne comptait pas laisser son fils tout seul. S’il fui, elle le suivra. Tout simplement. Et personne dans sa famille ne lui en voudra. Si Jarod ne se sent pas bien, ils avaient le temps pour qu’il s’habitue. Il n’y avait pas de bile à se faire. La jeune mère, qui était tout de même jeune en plus d’être mère –chose plus difficile à accepter puisqu’elle a l’impression étrange de ne pas avoir le droit de prendre ce statut- savait qu’elle pouvait prendre le temps. Gordon n’était qu’un lointain souvenir. Il était une ombre sur son histoire mais elle préférait l’oublier. Alors, elle suivrait, aussi simplement que ça. Et sa famille n’en prendra pas ombrage.
- Il est … plus que grincheux. Odin est difficile à cerner. Parfois, il peut sembler méchant. Oh, il n’est pas méchant, il est tout simplement débile.
Elle l’avoue en haussant les épaules. Son frère était con. Il n’y avait pas d’autres mots à utiliser. Son frère voulait la mort de Gordon –qu’il prenne un ticket- parce qu’il s’était fait avoir. Et Odin avait un peu de mal à se faire à l’idée que sa sœur puisse « pardonner » à son enfant. Ou simplement vouloir devenir forte pour le protéger. Elle le fait monter sur la moto neige, ayant préparé de quoi mettre le nouveau chien à l’arrière en toute sécurité. Elle le tient contre lui, fait en sorte qu’il la tienne bien par la taille et elle conduit. Elle arrive rapidement devant un énorme refuge. Il avait fallu une bonne demi-heure alors qu’elle avait arrêté son véhicule. Elle sourit alors qu’elle enlève le tout et se lève.
- Le refuge … devine à qui il appartient ? Qu’elle dit avec un sourire alors que l’enseigne bien peinte était visible en arc de cercle au-dessus de leurs têtes.
« Pet & Sol ». Il n’y avait pas plus claire. Mag ne pouvait pas adopter tous les animaux de la Terre, et le refuge avait peu de résident. Il était rare que des animaux s’y trouvent. Les touristes, les braconniers ou la mort amenaient les animaux ici, mais il y en avait toujours peu. Elle arrive et tend la main à une jeune femme à l’entrée qui lui donnant un trousseau de clé. Après tout, tout le monde la connaissait. Elle présenta rapidement Jarod et la jeune femme lui sourit avant de parler dans leurs langues. Mag rigole et laisse la femme partir.
- Elle disait que tu ressembles à l’alpha, et elle nous laisse choisir ton nouvel ami, elle prépare les papiers en attendant, il suffira juste d’en renseigner ton choix.
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Gäa
Jeu 11 Jan - 23:06
Jarod Solveig
J'ai 18 ans et je vis à Plano une ville du Texas, Amérique. Dans la vie, je suis Oméga et je m'en sors pas très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis fils de l'alpha et je le vis plutôt pas bien, on me cache quelque chose. - Jarod n'est pas doué à la chasse, mais c'est un très bon pêcheur -Son regard d'oméga et d'une couleur argentée -Il aime la nature, se promener en solitaire -Jarod a toujours eu peur de son père
Lorsque ma mère repris la parole, pour parler de cette fameuse fête, me disant, que je n'avais aucune idée du "trop", je fis des gros yeux, lâchant instinctivement un "Anaana" boudeur. Heureusement, à la suite de ses paroles, j'eu un sourire. Au Texas, nous n'étions pas une grosse meute, de plus, je n'avais pas vraiment le droit d'aller en ville, puis on m'avait tellement fait peur, par rapport aux humains, que j'avais choisi les balades en solitaire. J'avais l'habitude de la solitude, non de la foule, à présent, je me retrouvais avec une famille, propriétaire d'un immense bout de terre, c'était juste ouahou ! je n'avais pas l'habitude d'avoir un tel entourage, encore moins, à ce que l'on me prête autant d'attention. Evidemment, il était clair que je n'allais pas m'en plaindre, beaucoup dans ma situation, serait heureux de retrouver une famille, seulement j'avais toujours ce petit côté sauvage, pas sur de moi ... Enfin, je verrais bien en temps voulut, ce matin, je venais de faire la connaissance ma grand mère, et je n'étais pas déçu, par contre, il y avait tout de même quelqu'un qui arrivé à m'intriguer, c'était Odin. "Tu sais Anaana, il est peut-être grincheux parce qu'il est trop seul ? Bon pour la débilité la par contre, je ne sais pas" dis je, tout en voulant tout de même en apprendre plus sur ma famille. On m'avait déjà parler de mon grand père, maintenant cette histoire avec mon oncle, avait le don d'attiser ma curiosité, peut-être que si je lui faisais une visite surprise avec un cadeau ? Après tout, un cadeau, c'était toujours bien vue ?
Vint le moment pour se rendre au refuge, et tout en profitant du vent dans mes cheveux, de l'odeur des sapins, de la nature, j'allais aussi devoir m'habituer au froid, j'étais très loin du climat, que j'avais connu au Texas. Malgré tout, je savourais d'être dans ce pays avec ma mère, je me sentais à ma place. Une fois arrivée, je regarde la refuge, tout en écoutant ma mère et j'eu de suite un sourire. "Par tout hasard, je dirais à la meute" , c'était évident, puis il n'y avait qu'à voir le nom du refuge, je pouvais être fier d'avoir une famille aussi investie. M'avançant jusqu'à l'entrée du refuge, j'hoche la tête, en direction de la femme à l'accueil, celle-ci me regardant, avant de prendre la parole. De nouveau en tête à tête avec ma mère, elle me traduit ce que la jeune femme venait de dire, et j'eu un frisson au mot "alpha", ne comprenant pas tout de suite, que nous étions en train de parler de mon grand père. Reprenant mon souffle, je cache mon léger malaise pour sourire "oh bien grand père m'intrigue de plus en plus" dis je avec un sourire, voulant vraiment faire sa connaissance, car la ressemblance semblait flagrante.
Il était temps de visiter ce refuge ! d'ailleurs tout en regardant celui-ci, je fini par me demander si il avait besoin d'aide, après tout pourquoi pas ? Il y avait des sections pour les animaux à soigner, avant d'être remis à la vie sauvage, puis les animaux à adopter, je choisi la deuxième, entendant déjà des aboiements. Mon regard se posa sur un spitz polaire de grande taille, lisant sa fiche, c'était une race de chien de traîneau, celui-ci avait été abandonné, car son maître ne pouvait pas gérer autant de chien de traîneau, en faite, il avait mal été placé très tôt au refuge, il avait au moins deux ans, à en regarder les dates. "Anaana, que pense tu de lui ? Il semble timide et malheureux la dedans ... Surtout qu'il y ait depuis un moment" , ça devait être horrible d'être enfermé dans un cage. .
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anaphore
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Clionestra
Lun 15 Jan - 13:37
Magdalene Solveig
J'ai 34 ans et je vis à Maniitsoq , Groenland. Dans la vie, je suis fille de l'alpha et je m'en sors bien. Je travaille aussi en tant que Musher. Sinon, grâce à ma malchance, on m'a volé mon fils et je compte bien le récupérer et l'aimer. → Fille de l'alpha. → Possède plus d'une centaine de chien avec sa famille → Travaille souvent pour faire des visites guidés → Adore les fraises → Déteste la langue anglaise, mais l'utilisera par amour.
Meute à demeure:
Les intrus : → Beethoven (gros Saint-Bernard mâle) → Or (labrador mâle et timide) → Argent (labrador femelle) → Minnie (Patou femelle et intrusive) → Mickey (Patou mâle)
Les huskys : Les pokémons → Pikachu (husky femelle) → Carapuce (husky femelle) → Salamèche (husky mâle) → Bulbizarre (husky mâle) La Quintette → Klaus (husky mâle) → Luther (husky mâle) → Diego (husky mâle) → Vanya (husky femelle) → Lila (hysky femelle)
Odin, seul ? Odin avait juste un pois chiche à la place de la cervelle. Et elle ne parle même pas parce qu’il avait eu un lien avec son traumatisme, mais simplement parce que justement, il continuait de se fustiger sur ça alors qu’il n’y avait pas de raison. Mag ne lui en voulait pas, et même si, elle savait que ce n’était que de la stupidité et un petit manque de clairvoyance qui avait amené Odin à croire qu’elle désirait réellement rester aux USA… Bref. Elle ne préférait plus en parler, que ça l’agaçait un peu. Odin était le seul qui voyait l’arriver de Jarod comme une menace et un risque. Mais c’était le choix de Mag, fait en tout âme et conscience alors… Le temps pour arriver au refuse l’avait aidé à ne plus penser à son frère.
- Exactement. Les animaux y sont très bien traités, plus que dans tous les autres pays. Et nous avons peu de refuge car nous n’en avons pas réellement le besoin.
Bon, elle éviterait de dire que parfois les chats étaient chassé par les loups… et que donc la quantité de chats errants étaient assez basses… Les chats n’aiment pas les loups. Et les loups adorent graillent des chats. Les chats arrivaient à se faire aux loups-garou, mais ça faisait un bon tri sélectif à chaque fois. Naturel… mais Mag se dit que son fils était bien trop pur pour cette vérité. Il suffisait de voir comment il avait réagit avec le casse-croûte de ce matin. Dans les allers, elle sourit doucement à ce qu’elle avait senti de son fils. Il ne ressemblait pas à Gordon. Il n’avait aucun rapport avec lui.
- Jarod, qu’elle murmure en se rapprochant pour mettre sa main sur son épaule, tu es indéniablement un Solveig. Personne ne pourrait l’ignorer même si tout le monde pourrait se demander qui est ta mère ou ton père.
Quand ils disent alpha, ils ne parlent pas de son géniteur. Mag ne l’avait pas vue trop souvent, elle fermait les yeux pendant les viols et le reste du temps, elle détournait les yeux. Alors, elle ne l’avait pas trop vue. Mais la dernière fois (la veille !, ce n’est que la veille dans la journée avec un décalage horaire) qu’elle avait retrouvée son fils et revue ce connard pour la première fois. Elle lui lâche l’épaule. Elle s’approche de la cage et se penche, elle lui ordonne en groenlandais de s’approcher. L’animal tourna la tête et elle ne voyait pas de méchanceté dans ses yeux. Elle ouvrit la cage pour laisser son fils y rentrer.
- Ce n’est pas à moi de penser quoi que ce soit, mais à toi.
Elle le trouvait bien. Le chien n’avait pas répondu à l’appel, mais parce qu’il ne le connaissait pas. Cependant, il avait identifié qu’elle lui avait parlé, ce qui prouve qu’il était attentif. Il n’avait pas attaqué et attendait simplement, ce qui marquait son contrôle et son intelligence. Pour le moment, elle ne voyait rien de mal. Sauf de la timidité et un manque de discipline… mais cela était normal pour un jeune chien abandonné tôt. Même si le refuge était bon, ils ne pouvaient pas éduquer tous les chiens. Tout comme ils ne pouvaient pas leur donner de l’amour et de la place pour tous. Mag ne pourrait pas faire ça. Chaque fois qu’elle venait au refuge, elle prenait un nouveau chien. Souvent un qui allait bientôt mourir pour lui donner de l’amour. Elle laisse son fils rentrer et elle remarqua un chien dans la niche qui la suivait du regard. Le chien, un malinois qui avait une grosse cicatrice sur le visage, le rendant borne, observait son fils avec méfiance. Elle se mit assis à côté de la niche et elle lui ordonna de ne rien faire, mais cette fois-ci en utilisant la puissance de son loup intérieur. Le malinois la grogna alors qu’il lorgnait toujours sur Jarod et son chien. Apparemment, il était là pour le défendre au cas où. Un chien de protection. Elle finit par lui gratter la tête le temps que Jarod se familiarise (ou pas) avec son nouvel ami.
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Gäa
Lun 15 Jan - 22:40
Jarod Solveig
J'ai 18 ans et je vis à Plano une ville du Texas, Amérique. Dans la vie, je suis Oméga et je m'en sors pas très bien. Sinon, grâce à ma malchance, je suis fils de l'alpha et je le vis plutôt pas bien, on me cache quelque chose. - Jarod n'est pas doué à la chasse, mais c'est un très bon pêcheur -Son regard d'oméga et d'une couleur argentée -Il aime la nature, se promener en solitaire -Jarod a toujours eu peur de son père
C'était la première fois que je venais dans un refuge, heureusement, comme ce refuge était diriger par la meute, je m'en sentais moins "touriste" , d'ailleurs j'avais même ma mère, pour me guider. Puis tout en parlant de alpha, je déglutis regardant ma mère "Je ne l'ai jamais vue comme un père ..." , en faite, je me voyais même comme orphelin, sauf depuis que j'avais retrouver ma mère, la, tout avait changer, même ma façon de penser, j'avais retrouver l'espoir d'avoir une véritable famille. A présent, j'avais hâte de rencontrer le véritable alpha de cette meute, je ne voulais plus de cette vision de mon paternel, ce n'était pas un alpha, c'était un tyran, voila tout ce qu'il était, et quand je voyais les réactions de ma mère, rien qu'en évoquant son nom, je devais refouler la colère qui ne faisait que grimper en moi.
Pour en revenir au refuge, je regarde la feuille d'identité du spitz polaire de grande taille, le genre de chien, qui pouvait aussi ressembler à un shiba, il était tout jeune, et semblait bien timide. Lorsque ma mère ouvrit la cage, pour que je puisse y entrer, j'eu un sourire, avant d'entrer doucement dans la cage, laissant le chien choisir de lui même. Si au début il avait reculer, de mon côté je mettais assis au sol, l'observant et lui montrant que je ne lui voulais aucun mal. Je senti une aura puissante pas loin de moi, détournant la tête, je voyais que ma mère était rentrer avec moi, et je compris pourquoi le spitz polaire avait reculer, de plus, il y avait un autre chien, et celui-ci était en train de nous surveiller ... Je ressentai de la peur, de la tristesse, mais aussi de la colère ... Après, c'était des chiens qui avaient fini en refuge, il était normal qu'il y ait autant de sentiments aussi forts et contradictoires.
Je tendis la main au spitz, tout en parlant doucement, lui montrant encore que je ne lui voulais aucun mal, avant qu'il ne commence à s'approcher de moi, la queue entre les jambes, la tête basse, puis il accepta de renifler ma main, avant d'accepter une première caresse. Souriant, je faisais tout pour le mettre en confiance, allant même jusqu'à regarder l'autre chien ... Tout deux n'était pas de la même race, pourtant, ce chien semblait avoir pris sous son aile le spitz, à nouveau j'eu un sourire, lui offrant de la gratitude, ainsi que de l'amour. Pourquoi avait-il une cicatrice ? J'eu un petit gémissement à cette pensée, et c'est une léchouille qui me sorti de mes pensées, le spitz venait de s'allonger contre moi, et j'eu un sourire, avant de faire signe à l'autre chien, que lui aussi avait le droit à de l'amour. "Anaana, que pense tu de lui, je dirais qu'il m'aime bien" dis je tout en le caressant, et cette fois-ci, je le voyais enfin reprendre confiance lui, alors que le malinois grogner. "Montre moi ton ami" dis je au spitz polaire, tout en m'approchant très doucement du malinois et prenant place. Le malinois me regarda avec une grande méfiance, alors que le spitz était coucher entre lui et moi, puis je repris la parole, tendant le doigt en direction de ma mère "Anaana" puis je tendis le doigt vers moi "Erneq ... Nutaaq una ... Ippassaq ajorpoq" , ce que je voulais dire, c'était que j'étais le fils de la femme alpha, que j'étais nouveau et que mon passé était triste, je ne savais pas encore dire grand chose, mais si je pouvais montrer à ce chien, qu'il n'avait pas à avoir peur de moi, j'en serais heureux. Tout en gardant patience, le malinois ne me regarder plus d'un oeil méfiant, mais plutôt d'un air curieux. "Anaana, tu viens ?" dis je tout en faisant les yeux de chiot.
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Clionestra
Sam 20 Jan - 23:30
Magdalene Solveig
J'ai 34 ans et je vis à Maniitsoq , Groenland. Dans la vie, je suis fille de l'alpha et je m'en sors bien. Je travaille aussi en tant que Musher. Sinon, grâce à ma malchance, on m'a volé mon fils et je compte bien le récupérer et l'aimer. → Fille de l'alpha. → Possède plus d'une centaine de chien avec sa famille → Travaille souvent pour faire des visites guidés → Adore les fraises → Déteste la langue anglaise, mais l'utilisera par amour.
Meute à demeure:
Les intrus : → Beethoven (gros Saint-Bernard mâle) → Or (labrador mâle et timide) → Argent (labrador femelle) → Minnie (Patou femelle et intrusive) → Mickey (Patou mâle)
Les huskys : Les pokémons → Pikachu (husky femelle) → Carapuce (husky femelle) → Salamèche (husky mâle) → Bulbizarre (husky mâle) La Quintette → Klaus (husky mâle) → Luther (husky mâle) → Diego (husky mâle) → Vanya (husky femelle) → Lila (hysky femelle)
Heureusement que Gordon n’était pas vue comme un père, elle aurait eu des scrupules à lui retirer son fils, se dit-elle une seconde avant qu’un gros « FAUX » se dessine dans son esprit. Elle était allée aux Texas dans l’idée de récupérer son fils. Elle l’aurait kidnappé s’il ne l’avait pas choisi. Et elle aurait certainement essayé de tuer Gordon par la même occasion. Le fait que son fils avait préféré la suivre avait été une libération, et un bonheur. Donc, ouais. Heureusement qu’il ne le voyait pas qu’un membre de sa famille. Sa famille, la véritable, c’était elle et les Solveig. Oui, même l’imbécile heureux d’Odin, c’était la famille de Jarod. Une famille soudait, un peu étrange, clairement riche de manière indécente, mais la sienne, tout de même. Elle lui pressa l’épaule pour lui dire de ne pas s’en faire. Même si parler de l’autre connard lui mettait toujours les nerfs à fleurs de peau, il n’était pas question que sa colère et son énervement déteigne sur son fils.
Dans la cage, elle s’occupait du malinois pendant que son fils s’occupait de l’autre. Elle déteste ne pas pouvoir être plus puissante, encore, dans son pays. Même si elle était, elle et sa famille en équipe, un bon gouvernement qui gérait la plupart des soucis, il y avait toujours des braconniers, des cons, des meurtres, des tarés. Ils ne pouvaient pas manipuler toutes les personnes existantes, juste en trier un grand nombre. Mais les chiens étaient souvent victimes de ce qu’elle ne pouvait pas faire. La cicatrice du malinois avait mal cicatrisé, il y avait des marques de douleur et son œil avait été pratiquement arraché. Si cela ne faisait plus très moche, il en restait que c’était douloureux. Le chien la regardait toujours avec méfiance et observait le moindre mouvement. Malgré sa stature, il était patient. Un chien de protection. Un chien de combat. Pas un chien de meute comme elle n’en avait l’habitude. Et elle regardait Jarod en faisant attention que le chien ne lui fasse pas de mal exactement comme le Malinois le faisait pour le chien. Elle continue de caresser le malinois, sans peur pour ses doigts bien qu’il lui grognait dessus, mais aussi pour avoir une prise sur sa nuque au cas où il essayera d’attaquer. Malgré sa grande empathie pour les canidés, si le malinois attaque son fils, elle n’aurait aucun mal à lui briser la nuque et à dormir sur ses deux oreilles ensuite. Elle se pousse pour laisser son fils faire son manège. Elle l’écoute et surveille, encore. Elle ne s’approche pas du petit chiot, pas plus qu’elle ne fait le moindre mouvement. Le malinois la regardait d’un air curieux, maintenant. C’était un effet Oméga, ça, ou elle ne s’y connait pas. Elle lâche un rire. Un rire non moqueur, un peu joyeux, un peu perdu. Le genre de rire que l’on faisait quand on était un peu insouciant du monde et qu’on n’avait pas eu le droit à des humiliations. Elle finit par secouer la tête et rejoins son fils au milieu de tout ça.
- Alors, tu prends le Splitz ?
Le malinois grogna, se relevant doucement. Il semblait fatigué. Mag l’avait remarqué. Si elle en croit l’état des deux chiens, le malinois doit avoir donné sa portion de croquette, et pas qu’une fois, à son compagnon. Ce n’était pas ce qu’il faut. Les animaux étaient bien nourris ici, et selon leur poids, leur taille et leur race. Mais les chiens ne comprenaient pas ce genre de chose. Il se relève donc, un peu menace mais aussi désespéré. Mag soupire.
- Et moi, je le prends lui. Cela te conviendrait-il Jarod ?
Non… parce que déjà, elle ne pourrait pas le laisser même si elle le voulait… ensuite, elle ne pourrait pas le laisser maintenant que Jarod avait certainement senti le désespoir et enfin, elle était faible face aux yeux de chien battu. Voilà ! Une raison pour laquelle elle demande souvent des nouvelles du refuge sans forcément y aller… parce qu’elle était faible. Et qu’elle aimait trop les chiens pour ne pas en avoir une centaine si elle s’écoute… et ce n’est pas pour rien qu’elle offre des chiens, souvent, à tout le monde. Odin en avait trois offert par elle. Sa mère en avait deux. Son père en avait dix-sept qu’il avait réparti dans les différentes maisons de surveillance du littoral. Et elle ne pensait qu’à ceux encore en vie.