"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Dim 16 Juin - 15:53
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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L’individu que lui avait décrit Angelica ne correspondait aucunement à l’image de l’homme idéal. C’était à ses yeux un prédateur qui avait su percevoir en la jeune femme, une proie facile pour asseoir sa domination. Il avait jeté son dévolu sur une femme bienveillante et douce, et avait tout mis en œuvre pour anéantir toute confiance en elle, afin de mieux resserrer son emprise sur elle, et la manipuler à son aise. À l’image d’une marionnette et de son marionnettiste. « Je ne veux pas y songer une seconde ». Parce qu’il tenait à cette femme telle qu’elle était aujourd’hui, et qu’elle méritait d’être aimée de la plus belle des manières, sans avoir à craindre son prétendant. En entendant sa demande, Edward arbora un sourire satisfait en remarquant l’effet que ses mots avaient produit sur elle « Pourquoi arrêter ?! Tu aimes entendre ces mots, et j’aime les prononcer pour toi » lui fit-il observer en portant lentement sa tasse de café à ses lèvres. Avec la même lenteur dans ses gestes, il reposa le récipient sur le bord de table « Je veux t’aimer comme ça » déclara-t-il en reposant son dos contre la chaise. Il ne voyait pas une autre manière de l’aimer au quotidien, que telle qu’elle était. Il n’était peut-être pas prêt à prononcer ces trois petits mots à son attention, mais cela ne signifiait pas pour autant qu’il n’en éprouvait pas l’envie. C’était pour cela que le comportement du dénommé Travis le mettait hors de lui. Bien qu’en apparence, il restait pour le moins impassible. « Je commence à comprendre ce qui te plait chez Flynn ». Ce dernier avait su la protéger mieux que quiconque, et sans lui, elle ne serait pas à prendre le petit-déjeuner avec lui, sur leur terrasse ensoleillée.
Il ne serait pas non plus en train de la convaincre de ne pas faire la vaisselle le soir venu, lui rappelant qu’il disposait à la fois d’un personnel compétent et d’un lave-vaisselle, mais rien ne pouvait combattre l’obstination de sa petit-amie. Il abdiqua donc, préférant porter son dévolu sur la préparation du thé. Il profita de quelques minutes d’accalmie pour venir jusqu’à elle, et l’embrasser. Ce qui aurait dû être initialement un simple baiser pour patienter, devint une véritable étreinte. Il l’embrassa avec une envie à peine dissimulée et peina à reculer pour y mettre un terme. Le thé. Il passa sa langue sur ses lèvres avec lenteur, sans parvenir à détacher son regard de la jeune femme qui l’attira de nouveau à lui pour l’embrasser de nouveau. Qu’est-ce qu’il aimait ses lèvres. Son corps moulé au sien, il effectua à léger pas en arrière au moment où Angelica interrompit leur étreinte pour troquer sa robe pour un pyjama. Il ne parvint à articuler qu’un simple « Ok » alors qu’il l’observait s’éloigner jusqu’à ce qu’elle disparaisse à l’embranchement du couloir. Ses deux mains se posèrent à plat sur le comptoir en marbre et étira son dos. Qu’est-ce que tu es en train de faire Edward ? Il tourna sa tête pour regarder au-dessus de son épaule et ainsi discerner le couloir, et décida de délaisser leur tasse de thé. Le politicien ne prit pas la peine de frapper, ouvrant lentement la porte de sa chambre pour la refermer derrière lui, déposant brièvement son dos tout contre. Il se rapprocha d’un pas trainant jusqu’à elle, ses mains se posant sur ses hanches et ses lèvres dans son cou, remontant lentement jusqu’à son oreille « Je n’ai jamais autant désiré une femme avant toi… J’ai envie de toi, de découvrir chaque parcelle de ta peau, connaître le son de ta voix lorsque tu gémis… » et déposa à nouveau ses lèvres dans son cou « Je te veux » lui susurra-t-il d’une voix si rauque qu’elle le surprit lui-même. « Je te veux maintenant ».
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Charly
Dim 16 Juin - 16:19
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Ça n’était jamais évident de se voir comme les autres vous percevait. Alors oui, lorsqu’il la décrivait ainsi, Angie avait le rouge qui lui montait aux joues et elle lui demandait de ralentir sur les compliments. Bien qu’elle les aimait. Elle enveloppa Edward d’un regard doux, alors qu’il insistait. Il n’arrêterait pas. Parce qu’il aimait ça, et qu’il était convaincu que c’était également le cas pour Angie. « -c’est tout ce que je souhaite… » avait elle ajouté. Être aimé pour qui elle était vraiment. Garder sa liberté, pouvoir mener sa vie comme elle le voulait tout en conjuguant cela à une vie de couple saine et épanouie. Un paramètre qu’elle n’avait jamais ajouté à l’équation depuis plus de quatre années. Mais avec l’arrivé d’Edward, elle avait changé de regard sur tout ça. Elle voulait de cette nouvelle relation, elle voulait lui faire confiance et avancer avec lui. Même si ça ne serait pas facile tous les jours, même si ils n’avaient aucune certitude. « -vous allez vous appréciez aussi j’en suis certaine. » malgré les débuts compliqués, si Edward acceptait de se montrer réellement, de laisser tomber l’armure et l’image de l’homme froid et distant, Flynn ne pourrait que l’apprécier à sa juste valeur. En tout cas, elle souhaitait qu’il en soit ainsi parce qu’ils comptaient beaucoup pour elle, l’un comme l’autre.
Le soir venu, la vaisselle fut une sorte de refuge ou d’excuse pour Angie. Encore un moyen de contrôler ce qu’elle éprouvait, ce qu’elle voulait. Elle avait dit vouloir respecté le souhait d’Edward, alors c’était à lui de faire le premier pas. A elle de contenir son envie de lui, si ce n’était pas le bon moment. Pourtant, il semblait en avoir envie lui aussi. Ça avait été le cas durant la préparation, ça l’était de nouveau alors qu’il collait son corps contre le sien et l’embrassait avec délice. La jolie rousse décida de s’éloigner pour éviter tout dérapage s’il n’était pas prêt à franchir cette étape. Elle s’éclipsa dans sa propre chambre afin de se mettre en pyjama. Et aussi de faire redescendre doucement le feu qui lui brûlait les reins.
Elle n’avait pas encore retirer sa robe qu’elle entendit la porte de sa chambre se refermer. Un léger froncement de sourcils, avant de lever les yeux sur le miroir. Edward était là. Il avait fermé la porte derrière lui. Elle sentit directement son cœur se mettre à battre plus fort. Mais elle le laissa s’approcher sans rien dire, sans pour autant le quitter des yeux. Un délicieux frisson couvrit sa peau lorsqu’il posa ses lèvres dans son cou. « -oh… Edward… » souffla la jeune femme presque dans un gémissement. Il n’avait pas conscience de ce que ces mots provoquait chez elle. Avec lenteur, elle se tourna pour lui faire face, puis elle détailla son visage quelques secondes, avant de caressa sa joue et de venir l’embrasser. Baiser qu’elle approfondit peu à peu, avant de glisser ses mains sous le t-shirt d’Edward. Non, elle n’allait pas lui demander s’il était sûr. Ce qu’il venait de dire le prouvait. Ils avaient assez parlé.
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Dim 16 Juin - 17:03
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Probablement qu’elle ne voulait pas le croire ou qu’elle ne souhaitait pas l’entendre, mais Angelica était véritablement la plus belle et la plus précieuse à ses yeux. Il aspirait à l’aimer comme elle désirait l’être. Pour elle. Bien qu’il se promettait de lui offrir une histoire imparfaite, parsemée de haut et de bas, de disputes et de réconciliations, il savait qu’en ce qui concernait les sentiments qu’il lui portait, ils ne cesseraient de grandir pour elle « Je ferais tout pour la mia luce ». Si toutefois, il ne venait pas à lui faire regretter un jour leur union… Angelica semblait si confiante au quotidien que ç’en était parfois décontenançant. L’influenceuse le lui prouva une fois en évoquant sa potentielle affection à l’encontre de son meilleur ami. Il ne pouvait qu’en sourire, pour ne pas le contredire. Toutefois, le politicien avait conscience qu’il ne se dévoilait pas davantage face à Flynn, ce dernier continuerait de le considérer assurément comme une potentielle menace pour le cœur de la jeune femme. Ce qui était plus que plausible, bien qu’il mettait tout en œuvre pour la rendre heureuse au quotidien, parce que c’était tout ce qu’il aspirait pour elle. La savoir heureuse. Tout simplement parce qu’Angelica faisait preuve d’une bienveillance, d’une douceur et d’une patience à rude épreuve. Elle était tout bonnement parfaite à ses yeux. Elle le lui prouva une fois encore à l’issue de ce baiser qui trahissait pourtant toute l’envie qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Toutefois, Edward était prêt. Il l’était depuis son retour de son voyage en Italie.
Le politicien ignorait de ce qui adviendrait de cette première étreinte, et il décida de laisser de côté ses appréhensions et ses craintes sur le pas de la porte lorsqu’il se décida à franchir celle de la chambre d’Angelica. Son dos contre l’entrée de la pièce, il s’était délectée de la vue qu’elle lui offrit ainsi vêtue de sa simple robe, puis d’un pas trainant, s’était avancé jusqu’à elle. Ses mains reposant sur sa taille, il avait prit la décision de lui avouer tout ce qu’elle était capable de faire naître en lui rien que pour elle. Il la désirait plus que quiconque, et voulait la faire sienne ce soir. Les mots qu’elle prononça ensuite, dans ce semblant de gémissement, le fit vibrer. Sa virilité était plus qu’à l’étroit dans son boxer et pourtant, il ne désirait pas se hâter pour se déshabiller. Edward tenait à ce que cette première fois avec Angelica soit aussi spéciale que possible. Familier du sexe rapide et abrupte avec des femmes dont il ignorait tout, jusqu’au prénom, il aspirait à une première étreinte différente avec la jolie rousse. Ils avaient toute la nuit pour se découvrir l’un et l’autre, et il souhaitait la mettre à profit. Chaque seconde. Le politicien effleura sa joue du bout de ses doigts tout en l’observant avec le même intérêt que cette dernière et lui rendit son baiser, soupirant tout contre ses lèvres. Son cœur battait à tout rompt dans sa poitrine, sa peau était électrisée sous la moindre caresse d’Angelica, comme si tout son corps était en émoi à son seul contact. Edward lui retira sa robe qu’il laissa retomber avec lenteur au sol, et autorisa son regard à la contempler, de ses chevilles jusqu’à rencontrer les prunelles émeraudes d’Angelica « Parfaite » et se rapprocha d’elle, effleurant sa peau du bout de ses doigts, de son cou, jusqu’à la vallée entre ses deux seins, et reposa sa main jusqu’à sa joue pour l’attirer à lui et l’embrassa de nouveau. Ses mains s’agrippèrent à l’arrière de ses cuisses pour la soulever du sol et la déposa sur le lit. Edward la domina de tout son corps, son genou entre ses cuisses et ses mains de chaque côté de sa taille. Il ne quittait plus ses lèvres.
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Charly
Dim 16 Juin - 21:09
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Entendre Edward lui dire durant la journée qu’il avait envie de l’aimer pour ce qu’elle était, qu’il désirait la rendre heureuse, aurait pu causer des questions dans l’esprit d’Angie. Mais elle avait décidé de vivre l’instant présent, de se laisser porter par cette belle journée et de se laisser surprendre par l’avenir. A quoi bon se prendre la tête et se faire des films à l’avance. Ils ne savaient pas de quoi demain serait fait. Elle avait seulement passé sa journée à tenter de réprimer son envie de lui. Et plus les heures défilaient, plus c’était compliqué. Edward voulait du temps, il voulait que leur première fois soit parfaite… alors elle s’était employée à garder ses distances, parce que c’était le mieux qu’elle pouvait faire pour respecter son choix. Mais il jouait avec elle, et il en était conscient. Elle avait tenté de lui faire comprendre avec douceur que ça devenait une véritable torture.
Alors après avoir terminé la vaisselle, Angie avait décidé de remettre un peu de distance en trouvant refuge dans sa propre chambre. Se mettre en pyjama, la pire excuse du monde. La seule qu’elle avait été capable d’imaginer. Mais contre toute attente, alors qu’elle l’imaginait verser de l’eau chaude dans deux tasses pour ce thé qu’elle n’avait pas moindre envie de boire, Edward l’avait rejoint. Il avait fermé la porte et s’était approché pour lui murmurer de délicieuses choses à l’oreille. Elle ne posa pas de questions, se tourna pour le regarder, avant de l’attirer à lui pour l’embrasser d’abord avec douceur, puis avec plus d’envie. Ses mains partirent à l’aventure de ce torse qui lui créait des fantasmes. Puis elle le laissa faire glisser sa robe sur le sol. Lorsqu’il la complimenta, son regard lui souffla des : arrête… ça la mettait mal à l’aise de l’entendre dire qu’elle était parfaite. Parce que ce n’était pas le cas.
Elle ne le quitta pas du regard alors qu’il caressait sa peau, laissant glisser ses doigts sur des endroits encore inexplorés. Dans sa poitrine, son cœur battait à une vitesse folle. Elle l’embrassa en passant ses bras autour de son cou, avant qu’il ne la soulève comme si elle était aussi légère qu’une plume. Allongée ensuite sur les draps froids, sa langue se mêla à la sienne, avant qu’elle ne lui retire son t-shirt. Elle embrassa ses lèvres, descendit sur son menton, pour rejoindre ensuite son cou. Plus bas, ses mains ouvrait avec lenteur son pantalon, afin qu’il le retire. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas été dans un lit avec un homme, bien longtemps qu’elle n’avait pas ressentit cette envie. Elle avait envie de lui, envie de le sentir entrer en elle. Elle voulait de nouveau ressentir ce plaisir de la chaire en se donnant à lui. Angie le laissa reculer pour qu’il retire son pantalon, se redressant sur les coudes pour ne rien perdre du spectacle. Puis elle se glissa sur le côté, l’invitant à prendre place à côté d’elle. A nouveau elle l’embrassa avec envie, remontant une jambe sur sa hanche, glissant ses doigts dans ses cheveux.
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Dim 16 Juin - 21:44
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Son cœur battait à tout rompt dans sa poitrine, comme si son cœur menaçait de s’extirper de sa cage thoracique à chaque battement. Il avait connu bien des femmes au cours de son existence, mais pas une seule était parvenue à mettre son corps en émoi comme Angelica. Sa peau était si sensible que chaque caresse était semblable à une délicieuse décharge électrique qui parcourait chaque grain de sa peau. Tous ses sens étaient en éveils rien que pour elle. Edward aurait pu rester tapi dans la cuisine, terminant de verser l’eau chaude dans les deux tasses, jusqu’à ce qu’elle lui revienne, vêtu d’un de ses habituels pyjamas qu’il aurait dissimulé sous un épais plaid afin qu’elle n’attrape pas froid, et ils se seraient étreints devant la suite de leur série TV. Au lieu de ça, le politicien lui retirait sa robe pour la laisser tomber dans un geste lent à leurs pieds, et s’autorisa à la contempler alors qu’elle se tenait devant lui, pratiquement nue. Il s’attarda sur chacune de ses courbes et ne souffla qu’un mot – parfaite – au moment où leurs regards se rencontrèrent de nouveau. Un sourire étira les lèvres d’Edward qui reprit parole « Tu es la plus belle à mes yeux, peu importe ce que tu en penses » et se rapprocha d’un pas. Ses doigts effleurèrent sa peau, de son cou jusqu’à la vallée entre ses deux seins, pour se saisir de sa joue et attirer sa boucher contre la sienne.
D’un geste habile, Edward la souleva du sol comme si elle était légère que le sac de farine qu’elle avait utilisé le matin même pour leur préparer des pancakes, et la déposa sur le lit, la dominant de tout son être. Sa langue caressant la sienne, il n’interrompit leur baiser que pour se délester de son t-shirt. Un soupir de plaisir lui échappa en sentant les lèvres d’Angelica s’aventurer jusqu’à son cou, tandis qu’elle s’affairait à déboutonner son jean. Lorsque le dernier bouton sauta sous la pression des doigts de la jeune femme, Edward posa les deux pieds au sol, sans que ces prunelles azurées ne parviennent à se détourner d’elle. Elle était si belle ainsi, à l’observer et à savourer la vue qu’il lui offrait alors qu’il ôtait chaque morceau de tissu, découvrant ainsi sa nudité. Il revint vers elle sans empressement, et prit place à ses côtés, ses lèvres de nouveau contre les siennes. Ses doigts s’aventurèrent le long de sa cuisse qu’elle venait de remonter le long de sa hanche comme pour l’envelopper, puis continua son ascension jusqu’à sa taille et dégrafa son soutien-gorge pour libérer enfin sa poitrine. Il ne saurait dire où il venait de jeter le morceau de tissu, et s’en contrefichait. Son corps était en émoi sous les caresses de son amante dont il caressait actuellement l’un des seins. Il délaissa sa bouche pour s’aventurer jusqu’à son cou, alternant la caresse de sa bouche et de sa langue sur sa peau.
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Dim 16 Juin - 22:10
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Voilà… c’était le moment. Ils étaient en train de sauter le pas. C’était pour ce soir. Pour là tout de suite, maintenant. Adieu le thé, adieu les barrières et la distance infligée pour ne pas succomber. Edward avait passé la porte de sa chambre avec une idée bien précise en tête. Il la voulait… maintenant. Elle. Et aucune autre. Chacun de ses regards, chacun de ses baisers étaient électrisant. Elle se lisait belle et désirable dans ses yeux. Unique aussi… parfaite comme il le souligna. Angie se laissa porter jusqu’au lit, ses lèvres jointent à celles d’Edward. Ne pas se poser de question. Ne pas envisager quoi que se soit. Juste vivre ce moment unique de leurs corps qui se désiraient et se trouvaient enfin. Savourer ses caresses, son souffle sur sa peau. Tout comme la vue qu’il lui offrait de son corps musclé alors qui retirait pantalon et boxer.
Allongée sur le côté, lui faisant face, elle chercha de nouveau ses lèvres, remontant une jambe sur sa hanche. Elle sentit là, entre eux, tout le désir qu’il avait pour elle. Ce membre tendu par l’envie. Angie se délecta du frisson qui couvrit sa peau alors qu’il remontait sa main le long de son corps, avant de libérer sa poitrine menue de son soutien-gorge. Plus jeune, elle avait toujours été complexée par ce petit bonnet A… aujourd’hui, elle aimait son corps tel qu’il était. Elle en prenait soin, l’entretenait et veillait à mettre en avant l’idée qu’il était une sorte de temple et qu’il devait être respecté. C’était un des points essentielles de sa communication sur les réseaux. S’accepter et s’aimer. Chérir son corps malgré ses imperfections.
Lorsqu’Edward nicha son visage entre ses seins, elle laissa échapper un soupire de bien-être, glissant ses mains dans ses cheveux pour l’inviter à poursuivre. Ils s’embrassèrent ainsi de longues minutes, laissant leurs mains et leurs bouches se découvrir lentement. Angie ne savait pas ce qu’il aimait. Il en était de même pour lui. Elle savait qu’il avait peur de ne pas être capable de la satisfaire. Elle s’en contre fichait. Ce qui se déroulait ici, dans cette chambre, sur ce lit, prouvait d’avance qu’Edward avait tord d’avoir nourrit de pareil crainte. Ils se désiraient et leurs répondaient parfaitement l’un à l’autre. Avec lenteur, elle aventura sa main plus bas sur le corps d’Edward, caressant tout d’abord du bout des doigts sa virilité tendue. Puis elle glissa ses doigts autour, et imprima un lent mouvement de va et vient. Elle voulait le sentir en elle… Toujours avec cette même lenteur, elle le fit reculer lentement à l’aide d’un baiser, tout en passant ses cuisses de part et d’autre de ses hanches. Ses lèvres glissèrent dans son cou, alors qu’elle guidait son membre dans son intimité. Là aussi, elle le fit entrer en elle avec lenteur, savourant cette sensation d’être pénétrée, laissant s’échapper un soupire de plaisir.
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Dim 16 Juin - 22:49
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J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ces appréhensions étaient restées sur le pas de la porte de la chambre d’Angelica. Il la désirait plus qu’il n’avait jamais désiré quiconque avant elle. Cette femme avait su faire éclore des sensations, des émotions, des sentiments qu’il n’avait jamais éprouvé avant de la rencontrer elle. Edward ne ressentait plus aucune crainte. Il ignorait de ce qu’il adviendrait de cette première fois, s’il parviendrait à la satisfaire comme il le désirait et de la manière qu’elle méritait. Cela lui importait soudainement bien peu. C’était ce moment qu’ils partageaient l’un avec l’autre qui était primordial et dont il en savourait chaque instant. Chaque baiser, chaque caresse était électrisant. Edward ne s’était jamais donné ainsi à une femme, avec une telle lenteur et une telle tendresse dans les gestes, et il pouvait confirmer que lorsque les sentiments s’entrelaçaient à l’acte en lui-même, tout semblait décuplé. Angelica était une amante tout aussi douce dans l’intimité que dans la vie quotidienne, et savourait le regard qu’elle posait sur lui tandis qu’il était entièrement nu. Edward n’avait jamais douté qu’il était un homme attirant, aussi bien habillé qu’entièrement nu. Il avait conscience de sa plastique attrayante, mais il aimait le lire dans le regard de la jeune femme tandis qu’il prenait place à ses côtés et qu’il terminait de lui ôter son soutien-gorge pour libérer sa poitrine. Il aimait sentir son sein sous sa main, mais plus encore sous l’habilité de ses lèvres et de sa langue qui descendirent de son cou jusqu’à sa poitrine, la prenant en bouche.
Ses lèvres remontèrent pour reprendre possession de sa bouche avec envie, laissant leurs mains se découvrirent mutuellement, sans se douter un instant qu’Angelica aurait l’initiative de s’aventurer jusqu’à sa virilité qui était gonflée et tendue rien que pour elle. Il délaissa sa bouche pour baisser ses prunelles azurées sur son intimité enfermée entre ses doigts qui imprimaient un mouvement de vas-et-viens tout contre, et releva la tête en direction de son visage, rencontrant son regard émeraude, et reprit possession de sa bouche avec envie. Un « Angie… » lui échappa dans un gémissement, tout en obéissant à la demande silencieuse de la jolie rousse qui se mouva au-dessus de lui afin de le dominer de tout son corps. Ses mains se posèrent sur ses cuisses qui entouraient ses hanches, et ne put retenir un long soupir de plaisir en se sentant entrer en son sein avec une lenteur certaine, appréciant de la sentir si serrée autour de son sexe. Pendant qu’Angelica enclenchait un vas-et-viens contre lui, le politicien se redressa afin de guider sa bouche contre sa poitrine, titillant son téton alternant entre sa langue et ses dents. Et alors que l’une de ses mains tenait sa fesse, l’autre s’approcha de sa féminité pour venir la caresser.
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Lun 17 Juin - 9:23
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Depuis une semaine, Angie avait largement eut le temps de penser à Edward. Ace qu’il pouvait aimer ou non. A quel genre d’homme il pouvait être au lit. Il lui avait confié ne jamais avoir été en couple, avoir seulement consommé le sexe. Elle l’imaginait sans mal faire cela rapidement, sans tendresse, simplement parce que ces femmes étaient des inconnus et qu’il était enfermé dans son rôle de mâle alpha, puissant et dominateur. Il n’y avait jamais eut de sentiments dans ses rapports charnels. Sauf que ce soir, c’était différent. Ils apprenaient à se connaitre peu à peu. Et des sentiments étaient nés entre eux, sans qu’ils ne s’en rendent vraiment compte. Ils avaient envie l’un comme l’autre d’avancer ensemble, de tenter ce couple qu’ils pouvaient former. Aujourd’hui, Edward savait qu’il était en confiance, elle le connaissait, elle le connaissait vraiment. Pas besoin de jouer de rôle. Elle savait que c’était pour ça aussi qu’il avait demandé du temps avant de se retrouver dans ce lit avec elle.
Angie n’était pas une experte en histoire de couple. Après sa rupture avec Travis, elle était passée par une période sans rien. Ni alcool, ni mec, ni sexe… Puis elle était passée par une période de trop. Elle avait expérimenté des choses, et comme elle l’avait dit à Edward, elle ne regrettait pas. Aujourd’hui, elle connaissait son corps, elle savait ce qui lui plaisait ou non. Aujourd’hui, elle avait envie de montrer à Edward qu’il pouvait lâcher prise. Qu’il n’était pas le seul à gérer les choses, que toutes les responsabilités ne lui revenait pas à lui. Elle voulait aussi prendre soin de lui. Il sembla dérouté et surpris qu’elle ose se saisir de son membre. Lorsqu’il releva ses yeux sur elle, Angie lui sourit, une pointe de malice dans les yeux, avant de lui rendre son baiser. « -c’est moi… » murmura la jeune femme, sourire radieux aux lèvres. Elle l’invita silencieusement à se mettre sur le dos. Elle prenait les initiatives.
Elle le guida en elle, et soupira de plaisir en le sentant l’envahir. Assise sur lui, elle redressa le buste, posa ses deux mains sur son torse, et imprima un mouvement de va et vient langoureux, sans le perdre une seule seconde des yeux. Elle aimait ce qu’elle voyait. Elle le laissa se redresser, passant ses mains sur ses épaules, l’invitant à rejoindre ses seins, penchant la tête en arrière pour savourer tout cela. C’était bon… tellement bon… Ses baisers, ses lèvres, sa langue… Et puis ses doigts… Lorsqu’il commença à la caresser Angie murmura un « -oh oui… » dans un soupire de plaisir avant de chercher de nouveau ses lèvres. Quelques minutes plus tard, elle encrait son regard dans le sien, ses mains sur ses épaules, accélérant ses va et viens. « -je… je vais jouir… » gémit-elle d’une voix pleine de plaisir, toujours dans un murmure, comme si c’était un secret entre eux.
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Lun 17 Juin - 13:31
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Jusqu’alors, Edward n’avait que connu le sexe puissant et abrupte, celui qui se consommait en quelques minutes, sur le rebord d’un bureau, le pantalon sur les chevilles. Jamais il ne les avait laissé déposer ses lèvres sur les siennes, ou bien encore sur sa peau, pas de préliminaires, et encore de caresses. Tous ces gestes avaient toujours été proscrits, et ne leur laissait pas le choix d’obéir à ses consignes préétablies. Aucune conquête n’avait franchi le seuil de sa résidence. Seul son bureau à l’Elyisum renfermait le secret de ses aventures momentanées et sans saveurs. Mais ce qui était en train de se dérouler actuellement avec Angelica n’était en rien comparable. Chaque baiser, chaque caresse, mettait son corps en émoi. C’était comme si chacun de ses sens étaient décuplés. Edward était tout à elle, entièrement à sa merci. Pour la première fois de sa vie, il ne contrôlait plus rien et laissait son corps entre les mains habiles de son amante. Lui qui avait toujours trouvé le sexe peu satisfaisant, le réduisant à un simple besoin physiologique… Ce soir, dans l’intimité de leur chambre, le politicien découvrait à quel point cet instant pouvait être particulièrement sensationnel. Si délectable qu’il peinait à prononcer un autre mot que son prénom lorsqu’Angelica prit l’initiative de caresser sa virilité dans des lents vas-et-viens. Ses dents s’enfonçant dans sa lèvre inférieure, il souffla « Ne t’arrête pas … » le supplia-t-il presque. Durant ces deux décennies, Edward n’avait jamais laissé l’une de ses conquête le caresser ou le prendre en bouche, considérant ce geste bien trop intime pour être partagée avec une femme dont il ignorait même le nom. Pourtant, ce soir, il prenait conscience qu’il affectionnait ce mouvement de vas-et-viens autour de sa queue.
Un long soupir de plaisir s’échappa d’entre ses lèvres en se sentant plonger en elle avec une lenteur certaine, mais plus encore en la voyant dressée devant lui, en Amazone. Ça n’avait pas de prix d’être ainsi à sa merci. Il était tout à elle et il aimait ça. Il aimait se sentir sous elle, et plus encore en elle. Edward se redressa pour prendre en bouche sa poitrine, tandis qu’il caressa sa féminité. Un sourire étira discrètement ses lèvres en l’entendant apprécier ce qu’il lui donnait en retour. Il accepta de délaisser ses seins pour ses lèvres, et ce, durant quelques minutes, avant que leurs regards ne s’accrochent. Elle était si belle ainsi, à le chevaucher ainsi, ses mains sur ses épaules robustes. Il était avide de son corps, de leur étreinte. Peu à peu, ses ondulations de reins se firent plus rapide et sourit à ces mots. Ses doigts suivant le mouvement de son bassin, il continuait de la caresser et ne put retenir un sourire à ces mots « Jouis pour moi… », tandis qu’il énumérait tous les joueurs de l’équipe de Basket-ball des Lakers dans son esprit. Edward n’en avait pas finit par avec elle. Il ne voulait pas se vider en elle maintenant. Pourtant, lorsqu’elle se contracta autour de son sexe sous l’effet de l’orgasme, il avait seulement envie de conclure avec elle… Edward la bascula sur le dos, restant toujours profondément en elle, son regard ancré dans le sien « Je veux te faire jouir encore… » et glissa sa langue dans sa bouche dans un baiser ardent, tandis qu’il roulait lascivement du bassin. Sa main rejoignit sa féminité sensibilisée après le premier orgasme pour venir la caresser à nouveau. Le politicien délaissa ses lèvres pour ancrer son regard dans le sien, accélérant ses vas-et-viens avec sensualité « Je ne vais pas tenir … » et laissa échapper un « Mon dieu… » tout en continuant précipiter ses coups de reins, ses doigts n’abandonnant pas la féminité d’Angelica pour autant. Tout son corps se contracta sous l’effet de l’orgasme qui l’assaillit de plein fouet, laissant échapper un « Oh Angie… Oui … ».
Sa peau brillée sous la sueur qui avait finit par recouvrir tout son corps nu. Le souffle saccadé et le cœur battant à tout rompt, Edward se laissa retomber contre les seins d’Angelica, le temps de reprendre ses esprits. Il se redressa ensuite pour embrasser ses lèvres et se laissa glisser sur le côté, invitant silencieusement la jeune femme à se blottir au creux de ses bras. Son regard rivé sur le plafond blanc de la pièce, il ne parvenait pas à se départir de son sourire « Angie… » et baissa ses prunelles azurées sur cette dernière. Ses pupilles avaient repris forme, laissant le bleu de son iris dominer dorénavant son regard qui se fit plus doux maintenant qu’il l’observait « Tu es parfaite. Tu… » et émit un petit rire de bien-être « Tu me fais aimer le sexe ... Tu ... maintenant que je t’ai goûté, je vais être insatiable ». Il dégagea une mèche de cheveux derrière son oreille « Je … » mais retint les mots qui suivirent, et préféra déposer ses lèvres tout contre son front, se limitant à murmurer un « Je tiens tellement à toi… ». Ses doigts dansant le long de la taille d’Angelica, il reprit « Tu en avais envie depuis longtemps ? ».
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Charly
Lun 17 Juin - 17:04
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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La chaleur de son corps, la douceur de ses lèvres et la caresses de ses doigts sur sa peau… Angie s’enivrait de tout cela. Elle aimait chaque sensation que cela lui procurait, tout comme de sentir contre elle, le membre tendu d’Edward. Elle ne se posa pas de question, descendit ses doigts et répondit seulement à l’envie de la toucher, de la caresser, de le sentir grossir un peu plus encore sous ses doigts. Edward sembla surpris de son initiative, avant de l’apprécier. Angie sourit contre sa peau alors qu’il lui la suppliait presque de ne pas cesser ce mouvement de va et vient. Au bout de plusieurs longues minutes, ne tenant plus, elle passa haut dessus de lui et le guida en elle. Une pénétration lente et délicieuse. Le plaisir de le sentir entrer en elle… Elle aima ce qu’elle pu lire sur les visages d’Edward, avant de se laisser aller sous ses caresses intimes, l’invitant à poursuivre afin d’accroitre son plaisir.
Entre les caresses d’Edward et le mouvement de va et vient, Angie sentit la jouissance grimper peu à peu en elle. Ce furent sans doute les mots qu’il prononça autant que son regard braqué sur elle qui lui firent perdre pieds. Elle se laissa aller à la jouissance, gémissant entre ses lèvres, fermant légèrement les paupières sous cette sensation délicieuse. Son corps se contracta, sa peau se couvrit de frissons, alors que son souffle se coupait. Cependant cette jouissance avait été uniquement pour elle. Angie se demanda quelques secondes pourquoi, avant qu’Edward n’échange leur place, toujours figé en elle. La belle rousse lui rendit son baiser avec toujours autant d’envie. Lorsqu’il reprit ses caresses, elle gémit à nouveau. Ce n’était pas des caresses expertes, mais c’était suffisant pour faire remonter son plaisir. Ils devaient encore apprendre à connaitre leur corps et ce qu’ils aimaient l’un comme l’autre. Angie remonta ses cuisses autour de la taille d’Edward, l’invitant ainsi à venir plus profondément en elle. « -va s’y… » lui souffla-t-elle, pourquoi se retenir… Ils avaient toute la nuit… Elle le sentit accélérer et ne le quitta pas des yeux, posant ses mains sur ses épaules musclées. Elle sourit en l’entendant jouir, en sentant son corps se raidir sur le sien.
Lorsqu’il s’écroula entre ses seins, elle glissa ses doigts dans ses cheveux, le laissant reprendre son souffle avec lenteur. Son visage était illuminé d’un sourire. Là tout de suite, elle était pleinement heureuse. La jeune femme vint ensuite se blottir dans ses bras, embrassant son torse au passage, laissant un silence les envelopper. Lorsqu’il prononça son nom, elle releva les yeux pour le regarder « -hum… » petit mot signifiant un qu’est ce qu’il y a, je t’écoute… Il la fit rire avec son constat. Puis elle sourit en voyant qu’il essayait de lui dire qu’il l’aimait, sans y parvenir. Elle embrassa sa peau, avant de caresser son torse du bout des doigts. « -non… pas du tout. » répondit la jeune femme avec humour. Puis osa lui donner une vraie réponse. « -depuis notre premier baiser… cette semaine loin de toi n’a pas aider. » elle ajouta un : « -tu viens de me dire que je te fais aimer le sexe, tu n’aimais pas ça avant ? » demanda-t-elle avec légèreté.
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"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly