"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Dim 21 Juil - 15:52
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Charly
Dim 21 Juil - 16:55
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Dim 21 Juil - 20:00
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Charly
Dim 21 Juil - 20:50
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Dim 21 Juil - 21:41
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Dim 21 Juil - 22:08
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Comment pourrait elle en avoir assez de lui ? ça semblait impossible. C’était réciproque… et cela la fit sourire amoureusement. « -on va se laisser porter par le moment… » certaines des idées qu’ils avaient formulé, demandait un minium d’équipement. Mais le feu de camps, la lune, les bois environnant… Cela donnait à Angie des envies de sexe bestial… elle l’imaginait la prendre en levrette, et pouvoir admirer leur ombre portées grâce aux flammes. Les lieux donnaient également une sorte d’ambiance tribal, une communion des corps et de la nature sauvage. « -alors non… ça fera bien trop d’envieuses dans le secteur… on se fera nos petites retraites spirituelles, régulièrement ici… » ajouta Angie avec un sourire en coin amusé. Et pourquoi pas… se retrouver seulement tous les deux, seul au monde. Passer deux ou trois jours seulement à se nourrir et se donner l’un à l’autre sans retenu… Oui, elle aimait beaucoup l’idée.
Tant que le sujet était encore chaud et ouvert, elle s’autorisa à lui poser quelques questions au sujet de la première idée qu’il avait évoqué. Oups… Edward semblait déjà un peu plus gêné. « -et tu comptais m’en parler ? » demanda la jeune femme en plissant les yeux, comme si elle pouvait lire dans son esprit. Elle s’imaginait qu’il aurait gardé cette envie tapis en lui, si elle n’avait pas ouvert le sujet de discussion. Un froncement de sourcils. Le carton ? Quel carton ? Oh oui le carton !« -change pas de sujet… » souffla Angie en caressant sa peau. Le sourire d’Angie s’élargit de plus en plus, à mesure que le rouge montait aux joues d’Edward. « -pourquoi tu rougis mon amour ? » s’amusa la jeune femme. « -attends tu viens de me dire que tu voulais mon cul et maintenant tu en rougis ? » elle rapprocha son visage : « -c’est moi… d’accord ? » comme si cela pouvait désamorcer n’importe quelle bombe. « -et pour te répondre, non ça ne me pose aucun problème. » il avait bien été le premier à la prendre avec autant de violence à moitié allongé sur un bureau… il y avait des débuts à tout. « -et c’est bien que tu te sois renseigné. J’espère seulement d’Ava ne peut pas consulter ton historique. » elle rit de nouveau avant de reprendre avec sérieux : « -je vais te guider… et puis je prendrais les choses en main au départ. Et lorsque ça sera ok… je te donnerais le feu vert… » et ça allait très bien se passer. Forcement, il faudrait un peu moins d’ardeur… mais techniquement c’était plus à elle d’appréhender qu’à lui. Or, elle avait déjà connu ce genre de pénétration. Elle connaissait son corps également… « -on pourrait… essayer demain… » ajouta Angie avant de préciser : « -personne pour nous déranger, on aura tout notre temps… le seul souci c’est que je n’ai pas de lubrifiant… » une légère grimace. Et il en fallait. Rien que d’en parler, d’y penser, elle avait très envie de faire cette expérience avec lui. « -et pour ce qui est du vibro… » elle souffla la mot à voix basse parce qu’elle savait qu’Edward allait de nouveau rougir : « -on choisira ensemble… » elle l'embrassa et sourit: "-tu sais que j'ai déjà eu pas mal de demande de collab' pour ce genre de produit. Mais j'ai jamais donné suite. ça pourrait être amusant. Ils font des trucs funs... télécommande à distance..." et voilà une nouvelle idée sur la liste. Ella ajouta toujours aussi enjouée: "-tu veux qu'on regarde les photos?" avec un petit haussement de sourcils coquin.
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Dim 21 Juil - 22:47
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward n’était plus certain d’être tout disposé à lui faire tendrement l’amour ce soir, sous le ciel étoilé et à la lueur du feu crépitant, à l’instar de la jeune femme qui semblait aspirer à une étreinte plus abrupte que ce qu’il avait pu lui promettre jusqu’alors aujourd’hui. Ce qui s’était déroulé entre eux quelques instants plus tôt avait su éveiller et attiser un désir qu’ils pensaient être parvenus à combler un peu plus tôt dans la journée. Il n’en était rien. Ce n’était pas seulement leur conversation sur les fantasmes qu’ils nourrissaient, mais également cette manière si particulière de se donner l’un à l’autre, ces photographies effectuées de leurs deux corps. Angelica avait raison. Ils se laisseraient porter par le moment, et confirma par un « Comme toujours ». Ces étreintes se raréfierait à leur retour à New York, tout autant qu’à l’issue de leur déménagement dans le New Jersey. La proximité du voisinage les entraverait dans l’expression de leur plaisir et nourrirait les ragots à leur sujet. Il constata également que la jeune femme n’était pas encline à faire des envieuses dans l’hypothétique quartier résidentiel dans lequel ils emménageraient à l’avenir. « Je saurais dire « non » à leurs avances » précisa-t-il avec amusement et acquiesça « L’idée est séduisante. D’autant plus que ce n’est pas l’unique propriété dont nous disposons aux États-Unis ». Une information méconnue jusqu’à aujourd’hui de la jeune femme. La famille Wyler avait su s’implanter au travers des États-Unis en acquérant des propriétés dans quelques États qui avaient su les séduire, généralement pour l’anonymat et la quiétude qu’offrait le lieu. Le chalet au Montana n’était que l’une des quatre, ou probablement cinq propriétés dont disposés sa famille. Toutefois, il devait souligner que la proposition de son amante était pour le moins séduisante. Disparaître quelques jours durant pour se donner l’un à l’autre sans la moindre retenue, explorant plus encore leurs fantasmes inavoués.
En attendant leur prochaine retraite spirituelle, ils profitaient pleinement des trois jours d’escales dans le Montana pour assouvir quelques-unes de leurs envies, notamment celle de s’aventurer plus intimement dans les fesses rebondies de son amante. Il baissa ses prunelles azurées sur Angelica qui lui adressa un regard pour le moins inquisiteur « Je l’ignore ». Il ne pouvait lui assurer que oui, parce que lui-même n’en était pas certain. Bien qu’expressif dans l’intimité, au cours de leurs ébats, il le devenait soudainement bien moins quand l’effervescence résultant du sexe s’était dissipée. Il redevenait alors le politicien réservé et timide, peu enclin à s’exprimer sur sa vie intime, même avec la femme qui la partageait. « Je ne change pas de sujet la mia luce. Je me souvenais juste ». Il le lui confirma en revenant sur le sujet principal de leur conversation, et plus il s’exprimait et plus le rouge recouvrait sa peau jusqu’à ses oreilles. Il émit un petit rire nerveux, déposant ses lèvres sur la chevelure rousse d’Angelica qui formula une remarque pour le moins pertinente. Quelques minutes plus tôt, il était moins avare de mots crus, et maintenant, il rougissait en évoquant son cul qu’il désirait pourtant tant « Je suis un homme complexe mon amour » et croisa ses prunelles émeraudes, répondant avec une douceur infinie « Je sais la mia luce que c’est toi… Mais c’est ancré en moi. Tu comprends ? » et déposa ses lèvres sur le bout de son nez, puis sur son front, la laissant poursuivre. « Je saurais faire attention » la rassura-t-il à ce sujet. Il avait suffisamment étudié le sujet pour être informé des risques, et il n’était pas envisageable de lui causer la moindre douleur. Un petit rire sous cape s’échappa d’entre ses lèvres « J’ai effectué mes recherches de mon ordinateur personnel ». Il avait été prévenant sur ce point également. « On le fera comme tu le désires » murmura-t-il à son oreille. Aucun empressement, aucune brutalité. Il attendrait qu’elle soit prête pour se donner à lieu de cette manière.
Une lueur de surprise éclaira soudainement le regard saphir du politicien qui haussa les sourcils « Demain ? », n’étant pas certain d’avoir compris qu’elle était d’ores et déjà prête à s’offrir ainsi à lui. « J’irais en ville demain matin » précisa-t-il avec une certaine réserve, rougissant de nouveau, et plus encore quand elle évoqua le choix du vibromasseur. Edward était soudainement moins en osmose avec ses propres fantasmes, bien qu’il désirait toujours remplir son amante de toute part grâce à ces jouets et son membre. Il répéta dans un murmure « Télécommande à distance… » et son regard s’illumina d’une lueur d’envie « Est-ce que ça signifie ce que je pense que ça signifie ? ». Si tel était le cas, il ne faisait nul doute qu’Edward allait prendre plaisir à jouer avec sa petite-amie et ce nouveau jouet qu’elle allait glisser entre ses cuisses, laissant son plaisir entièrement à sa merci. « On pourrait à regarder le catalogue à compter de notre retour à New York ? » proposa-t-il en dissimulant péniblement son soudain enthousiasme. Il se leva ensuite pour sortir les desserts du feu, puis récupéra son portable en chemin, et reprit place sur la couverture, se plaçant entre les cuisses d’Angie, ses lèvres posées sur son ventre, pendant qu’elle partait en quête de leur dernière séance photo. Il n’avait aucun secret pour elle et son portable était à son entière disposition. « Tu trouves ? ».
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Lun 22 Juil - 15:24
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -crois moi, le non, c’est comme pour les hommes, certaines femmes ne le comprennent pas. Et certaines redoublent d’idées… » Edward était un homme séduisant, avec un aura envoutante. Il avait ce je ne sais quoi d’inaccessible qui pouvait faire tourner la tête de plus d’une femme. Son regard sombre, le fait qu’il parlait peu, le fait qu’il soit autoritaire… Plus d’une femme devaient fantasmer sur lui… Angie en était convaincue. Elle proposa alors une retraite spirituelle à leur façon. « -on pourrait même le faire plusieurs fois dans l’année… » suggéra la jeune femme avec un grand sérieux. « -c’est vrai ? Où ça ? » son imagination n’allait avoir aucun souci à s’imaginer des weekends dans chacun de ses lieux… Et elle n’aurait aucun mal à manger sur la table du salon avec les parents d’Edward, tout en sachant qu’ils auraient baiser sur la dites table une mois plus tôt. Elle sourit pour elle-même à cette idée.
Avant qu’Edward ne se referme, elle revint sur ce qu’il lui avait confié. Il avait envie de son cul… elle aimait cette idée mais elle était peu convaincue qu’il aurait osé lui en parler. « -ça aurait été dommage… » lui répondit la jeune femme. « -d’accord d’accord, on regardera le colis en rentrant. » mais ce n’était pas le sujet là… C’était avec elle qu’il parlait. Il n’avait pas la moindre raison de rougir de ses fantasmes. « -oh ça je sais… » souligna Angie en se moquant avec ironie de lui. « -je comprends… dis le moi si tu ne veux plus en parler ou si j’insiste trop à ton gout. » elle ne tenait pas à ce qu’il se sente mal à l’aise. Mais elle voulait le rassurer sur son idée, sur le fait qu’elle était d’accord, qu’elle aimait l’idée. Et que tout se passerait bien. « -tu es un homme prudent… » s’amusa de nouveau Angie au sujet de l’historique de recherche. Angie le guiderait durant l’acte, mais elle savait que ça serait très bon. Et ce fut pour cette raison qu’elle émit l’idée de passer à l’acte le lendemain.
La tout de suite, elle ne sentait plus la fatigue. Elle était pleine d’énergie, et réfléchissait à mille à l’heure. Angie se mordit la lèvre inférieure en hochant la tête rapidement. Oui demain. « -je peux y aller si tu préfères… » elle s’en foutait du regard de la caissière. Elle était même capable de lui balancer un clin d’œil complice. Angie avait déjà été démarché pour tester des sex-toys, mais jusqu’à présent, elle ne s’y était jamais vraiment intéressée. Elle avait suivit l’évolution de ce secteur sur le plaisir féminin. Et elle sourit en voyant la lueur qui venait de s’allumer dans les yeux d’Edward. « -ça signifie que tu seras le maitre de mon plaisir… » énonça Angie avec un sourire coquin. « -on va faire ça oui… » conclue la jolie rousse, un sourire en coin, ravie d’être parvenu à raviver l’envie. « -j’achèterais peut-être de la lingerie en même temps… » avait elle ajouté d’un ton innocent.
Angie récupéra le téléphone qu’il lui tendit, et elle chercha le dossier des photos. Elle trouva sans mal et elle cligna des paupières en voyant la première image. « -oui… oui, j’ai trouvé… » elle fit défiler. « -oh mon dieu… » souffla-t-elle. « -je… » elle baissa le téléphone sur sa poitrine nue et termina sa phrase en regardant Edward : « -je crois que je me suis jamais trouvée aussi sexy… » un petit rire avant de se pincer les lèvres et de tourner l’écran du téléphone vers Edward. « -enfin toi, tu m’as vu en live… » en vérité, se voir ainsi l’excitait de nouveau.
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Lun 22 Juil - 21:17
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ces deux dernières décennies avaient conforté Edward dans l’idée qu’il était un homme séduisant, disposant d’un charisme certain que son air taciturne aggravait. Bien que cela pouvait paraître présomptueux de le souligner, peu de femmes osaient lui résister. Il les considérait comme un simple objet dédié à un plaisir momentané et acceptait sans la moindre difficulté. Toutefois, aucune d’elle n’avait su trouver grâce à ses yeux à l’exception d’Angelica. Elle était la seule et l’unique. Cela signifiait que ses mises en garde étaient pour le moins vaines le concernant « Tu me penses incapable de résister ? » osa-t-il la questionner avec un sourire amusé « Elles pourraient se trémousser lascivement contre une barre, entièrement nue, que ça me laisserait de marbre mon amour ». Probablement qu’elle n’en croirait pas le moindre mot, le considérant comme un baratineur, à l’instar de la plupart des hommes ayant tenus de tels propos avant de succomber à la première proposition. Toutefois, il lui appartenait corps et âme. Rien ne pourrait remédier à cela. Il était tout à elle, comme elle était tout à lui. Donc elle pouvait lui marteler que les femmes étaient capable de tout pour obtenir ce dont elles désiraient, Edward s’en contrefichait. Néanmoins, l’alternative que lui proposa Angelica était pour le moins séduisante. Des escales de quelques jours pour se donner l’un à l’autre sans retenue, à l’image de sa retraite spirituelle en Inde. « Que penses-tu d’une fois par mois ? ». Dès lors qu’il aurait mis un terme à sa carrière politique, il serait libre de disposer de temps selon son bon vouloir, et il souhaitait le dédier à sa relation avec Angelica, d’autant plus au regard de leurs débuts chaotiques. « Nous disposons d’un chalet dans le parc provincial Mount Seymour, au Canada, à proximité de Vancouver, d’un ranch à Beaver Creek dans le Montana et d’une maison à Newport Beach, en Californie », avant de justifier les différentes propriétés que détenaient sa famille « Lorsque mes parents aiment un endroit, ils achètent une propriété. Nous disposons également d’un pied à terre à Londres et en Italie », de par ses grands-parents.
Tout autant d’endroit pour explorer l’Amérique du Nord, mais également leur sexualité. Si Angelica n’avait pas amorcé la conversation un peu plus tôt dans la soirée, il ne faisait nul doute qu’il n’aurait jamais avoué de lui-même ses fantasmes. Vivre sa sexualité de manière plus libérée, ne signifiait pas pour autant qu’Edward était tout disposé à l’évoquer aussi librement au quotidien. Un nouveau contraste entre celui qu’il était capable d’être dans l’intimité, et celui qu’il était au quotidien. « Oui » fut sa seule réponse, tout en évoquant le carton qui n’avait jamais été déballé depuis deux semaines « Oui ». D’autant plus que le colis détenait des photographies d’eux deux qu’il avait pris soin de faire encadrer pour les offrir à sa moitié. Cela ne faisait lui rappeler à quel point leur relation pouvait être fragile à certains moments… Il baissa de nouveau ses prunelles azurées sur la jeune femme blottie confortablement dans ses bras, lui avouant être un homme plus complexe qu’il ne laissait paraître. Il émit un simple « Eh ! » d’objection tandis qu’elle se moquait gentiment de sa personne « On peut continuer pour le moment ». Sans pour autant pouvoir lui assurer qu’il en sera ainsi au quotidien. Mais dans l’intimité de leur résidence, au pied du feu de bois crépitant encore, entièrement nus, il était prêt à poursuivre leur conversation. « Quand tu évolues dans un monde de requin, tu apprends vite ». Le moindre détail pouvait ruiner sa carrière et mettre un terme à son ascension politique. Bien qu’aujourd’hui, cela n’avait plus réellement d’importance.
Contre toute attente, Angelica était prête à le laisser s’insinuer en elle d’une toute autre manière, dès le lendemain. Il en fut quelque peu surprit, mais ne s’y opposa pas la moins du monde. En réalité, il était prêt à se rendre dans le village avoisinant pour acheter le nécessaire. La jeune femme se portait également volontaire « Je ne peux pas mourir de gêne, la mia luce. Je survivrais ». Quant aux vibromasseurs, ils prendraient le temps nécessaire pour choisir les plus adéquate à leur attente. Entendre qu’Angelica disposait d’une proposition de collaboration l’intéressa tout particulièrement, une lueur éclairant soudainement ses prunelles azurées en apprenant également que certains disposaient d’une commande à distance « Je veux réserver ceux qui ont cette option ». Il s’imaginait sans mal activer le petit appareil à un moment qui ne s’y prêtait pas le moins du monde, dans l’unique but de la voir se débattre contre le plaisir qu’il pouvait lui accorder à distance. « Ou je peux aussi t’en offrir » proposa-t-il à son tour, plus qu’intéressait par son alternative.
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Mar 23 Juil - 10:48
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -ba peut-être que dans les voisines il y en aura une qui aura des plus gros seins, une autre qui aura un cul à tomber ou je ne sais quoi encore ! » renchérit Angie en riant. « -t’aime pas ça… je comprends… » souffla Angie avec le plus grand des sérieux, avant que son sourire ne la trahisse et révèle qu’elle se moquait. New Jersey ok, mais retraite couper du monde, rien que tous les deux, c’était une idée complémentaire qui semblait leur plaire à tous les deux. « -ouhhh… oui… ça me parait parfait… » murmura Angie qui adorait cela. « -cela nous fait plein d’endroit à visiter… » avant d’ajouter : « -Londres… j’adore… » elle n’avait aucun mal à les imaginer prendre des journées de congés, ensemble, pouvoir se balader main dans la main, avant de s’enfermer pendant deux jours pour faire l’amour.
Angie revint sur les sujets de leurs fantasmes, poussant quelque peu Edward à s’ouvrir de nouveau. Elle proposa d’assouvir l’une de ces idées dès le lendemain. Elle proposa également d’aller en ville, si cela gênait trop Edward. « d’accord… » avait elle répondu avec un sourire. Ils parlèrent achat de jouets et elle se mit à rire joyeusement : « -d’accord ! option télécommande ! » elle l’imaginait déjà rougir jusqu’aux oreilles en regardant les gammes de jouets qui existaient. « -hum… oui tu peux… aussi… » elle voulait en acheter elle, pour l’effet de surprise. Peut-être quelque chose d’osé, pas seulement un bel ensemble de dentelle…
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