"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
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Ven 1 Nov - 15:18
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Les disputes faisaient partie intégrante d’une relation. Cela ne signifiait pas que l’amour qu’ils se portaient s’effritait à chaque doute énoncé, ou parole dure prononcée. Cela voulait simplement dire qu’il arrivait des instants dans une vie à deux où des désaccords émergeaient, et qu’il était nécessaire de vibrer de nouveau à la même fréquence pour que le conflit s’apaise. Bien évidemment, l’altercation aurait pu être toute autre, et non sans conséquence, s’il s’était laissé emporter par la colère devant l’incompréhension significative d’Angelica. Mais il n’en avait rien fait. Edward avait pris le temps nécessaire pour appréhender ses appréhensions, et tenter de la rassurer tant bien que mal pour abattre une réalité qui n’avait d’existence que dans son esprit, façonnée par ses craintes. Ce fut pour cela qu’Edward n’éprouvait aucune rancœur à son encontre. Angie n’avait rien sabordé de leur soirée en tête-à-tête. Elle s’était exprimée librement vis-à-vis des angoisses éprouvées, et il n’avait aucunement le droit de la fustiger pour cela. Elle était libre, et il trouva opportun de le lui rappeler. Un sourire étira délicatement les lèvres du politicien quant elle le remercia. Il connaissait la signification de ce simple mot. Il s’exprimait tout autant que le regard avec lequel elle l’enveloppa en cet instant précis. Il n’était pas anodin, comme celui que l’on prononce au serveur après qu’il ait apporté le vin et le pain. Il avait bien plus de signification, et le politicien en appréciait chacune d’elle.
Ne renchérissant pas, Edward démarra la Bentley afin de rejoindre la résidence d’Edgar à New Bedford. Sa main se glissa instinctivement jusqu’à celle de la jolie rousse à ses côtés, et statua sur son remplaçant, tout en faisant part à Angie. Ce dernier osa un regard à son attention quand un léger rire s’extirpa du fond de sa gorge pour se répercuter dans l’habitacle de la berline. Muré dans son habituel mutisme, il se contenta de sourire tout en reportant son attention sur la route humide qui s’ouvrait devant eux. « Je viens seulement de me décider Angie » précisa-t-il non sans arborer un petit sourire amusé de la réaction de sa moitié à ses côtés « Bien que j’espère avoir su te convaincre de ma fidélité sans faille à ton égard » et lui adressa un regard en coin pour le moins taquin, avant de reporter son attention sur sa conduite « Je n’ai pas envie de te tenir à l’écart d’une telle décision. Tu es ma femme et ton opinion est importante à mes yeux ». Par conséquent, il n’était pas envisageable pour le politicien de mettre Angie dans une position délicate dans laquelle, elle n’aurait d’autres choix que de rester tapi dans l’ombre, pendant que Bethany brillerait sur le devant de la scène, pendu à son bras. « Tu n'es pas folle. J’avais besoin que tu exprimes ce que tu ressentais au fond de toi Angie ». C’était cette sincérité qui avait façonné leur relation. Il ne souhaitait pas qu’elle se perde sur le chemin.
Un petit rire résonna une fois encore dans l’habitacle, et celui-ci provenait de la gorge d’Edward alors qu’il se saisissait de nouveau de la main de la jeune femme « Je n’en doutais pas le moins du monde mi amore » et se pencha pour embrasser son cou, sans pour autant détourner les yeux de la route, avant de reprendre sa position initiale « Je peux te poser une dernière question Angie ? » tenta-t-il sans la moindre certitude, puis formula ladite interrogation « Pourquoi avoir si peur de me perdre ? » et reprit « Crois-tu sincèrement que je serais prêt à en aimer une autre que toi ? », avant de préciser « Finalement, je te pose deux dernières questions » dans un sourire.
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Charly
Ven 1 Nov - 17:53
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Retour dans la voiture, après la brillante idée d’Angy de sortir sous la pluie. Ils étaient trempés, de la tête aux pieds. Elle avait froid, Edward aussi sans doute. Le calme revenait enfin. Elle considérait avoir tout gâché, et elle était surtout convaincue qu’Edward devait lui en vouloir. Contre toute attente, il lui répondit exactement ce qu’elle lui avait dit quelques mois plus tôt. Cela lui gonfla le cœur d’amour. Cependant, elle se mit à rire nerveusement lorsqu’il lui expliqua la finalité de son plan. La réaction d’Angy ne se fit pas attendre. Pourquoi est ce qu’il ne l’avait pas dit plus tôt ! Elle aurait ainsi éviter de vriller durant presque deux heures ! « -ah. » ajouta la jolie rousse, comme prise en faute. Au moins tout ce cirque n’aurait pas servit à rien. Il avait comprit que choisir Bethany était impossible. Lorsqu’il appuya à nouveau sur sa fidélité dont elle avait soit disant douté, Angy se contenta de tourner la tête pour le regarder. Elle le détailla du regard. Le trouva beau. Esquissa un petit sourire, entre excuse et acquiescement.
« -j’aime tellement t’entendre dire ces mots… » murmura Angy. Ma femme… elle ne s’en lasserait jamais. Certain pouvait y voir une marque de possession. C’était le cas. Elle était sienne autant qu’il était sien. Et cela depuis le début. « -si je le suis un peu…» souligna-t-elle. Elle l’avait toujours été. C’était un peu sa marque de fabrique. Mais généralement ce n’était pas une folie tintée de peurs et de doutes. Elle serra les doigts d’Edward entre les siens, comme si elle désirait ne plus jamais les voir se délier. Elle ronronna presque lorsqu’il embrassa son cou, posant sa main libre sur le volant également. Autant éviter de terminer dans le décor, surtout après qu’il lui évité de se faire écraser deux ou trois fois de suite. « -je t’écoute… » souffla Angy, à moitié tourné vers lui.
Elle l’écouta avec attention, baissa les yeux quelques secondes, avant de regarder la route, sans que son corps ne se détourne de celui d’Edward. « -lorsqu’on tiens énormément à une personne, qu’elle devient presque essentielle à notre bonheur, j’imagine que c’est normal d’avoir peur de la perdre… » souligna Angy presque avec philosophie. Elle le regarda à nouveau, et elle répondit à la seconde question. « -avant moi tu ne pensais jamais aimé… et pourtant… aller savoir comment tu es tombée sous mon charme envoutant et légèrement fêlée… » elle lui sourit. « -un jour peut-être qu’une autre sera… plus que parfaite… » cela lui arrachait le cœur de dire cela. Elle caressa les doigts d’Edward, toujours liés aux siens. « -j’espère que si ce jour arrive, ça sera dans une autre vie… » elle sourit avec une douceur incroyable à Edward. « -je t’aime… je t’aime vraiment… et parfois cette amour intense me fait presque peur. Parce qu’il crée une sorte de dépendance… Un manque de toi… » il était presque devenu comme une drogue. Elle soupira et évoqua son constat : « -je suis en train de perdre peu à peu ce que j’ai construit… te perdre aussi… c’est haut dessus de mes forces… »
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Ven 1 Nov - 19:53
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Bien que Bethany Winthrop disposait du profil idéal pour lui succéder au poste de Sénateur de New York en raison de son parcours professionnel pour le moins exemplaire, Edward opta pour un choix moins évident en jetant son dévolu sur son assistante. Ava n’avait pas suivi de prestigieux cursus universitaire, mais connaissait néanmoins mieux que quiconque les rouages de la politique. Il ne faisait nul doute qu’elle saurait apporter une plus-value au parti qu’il représentait. Ce choix résultait exclusivement de l’altercation qui venait de s’achever il y a peu. Parce qu’au cours de ce différend, Edward avait ressenti toute la détresse éprouvée par la jeune femme à la simple pensée qu’il puisse collaborer avec la jeune diplômée en économie, mais plus encore, qu’il puisse succomber à ses charmes dont elle était dénuée, à son sens. Une torture éprouvante pour Angelica et de laquelle il souhaitait l’épargner. Si lui assurer qu’il serait un homme fidèle, tout autant du cœur que du corps, ne suffisait pas à apaiser ses craintes, alors rayer le nom de Bethany des prétendants au poste de sénateur devrait y parvenir. Edward aurait pu prétexter être le plus à même de choisir son successeur en raison de son expérience professionnelle, mais l’opinion de celle qui partageait à ce jour sa vie était primordiale. La contraindre à des mois de doute n'était pas envisageable. Elle était la seule et l’unique, et voulait le lui rappeler. Parce qu’elle était sa femme, comme il se plaisait à lui rappeler au quotidien. Des paroles qui plaisaient à Angie, assise à ses côtés, trempée jusqu’aux os et probablement frigorifiée. Il lui adressa un doux sourire, et réitéra « Tu es ma femme ». Elle n’avait aucunement besoin d’une alliance à son annulaire pour le confirmer. Ses sentiments à son encontre suffisamment amplement à lui octroyer ce statut. « Sinon tu ne serais pas tombée amoureuse de moi » rétorqua-t-il par la suite, faisant écho à une conversation passée.
Mais bien que les tensions se soient dissipées peu à peu, des interrogations restaient en suspens, et Edward avait un besoin viscérale de réponses. Il s’aventura donc à l’interroger de nouveau sur sa réaction et les peurs qui étaient la cause de ce grand chamboulement. Son cœur se gonfla d’amour pour Angie qui formulait une réelle déclaration d’amour, ici-même, dans l’habitacle de la Bentley qui les conduisait jusqu’à New Bedford. Mais le sourire tendre qu’il arborait se tari soudainement « Ça n’existe pas » l’interrompit-il avec assurance, tout en lui adressant un bref regard. À ses yeux, il n’existait pas plus parfaite que la femme qui se tenait à ses côtés, ses doigts enlacés aux siens. Quoi qu’elle en pense, ou qu’elle en dise. Sans mot dire, le politicien délaissa la main de sa moitié pour se saisir du collier qu’il lui avait offert au cours de leur escapade romantique dans le Montana. Il se saisit de la bague entre son pouce et son index, avant de préciser sa pensée « Ce pendentif, c’est pour te rappeler que tu es l’amour de ma vie Angie. Quand je suis tombé amoureux de toi, j’ai demandé à ce que tu me dois destiné pas seulement dans cette vie, mais aussi dans la prochaine, parce qu’une seule existence à tes côtés ne me suffit pas. », et délaissa l’anneau pour se saisir de nouveau de sa main « Alors ça n’arrivera pas, tu m’entends » conclut-il avec tendresse.
Quand Angie reprit parole, son cœur s’imprégna de la moindre de ses paroles, de cette déclaration d’amour qui n’était destiné qu’à lui seul. Elle l’aimait de cet amour intense qu’il créait une dépendance à l’autre. Ces mots ne pouvaient que le faire sourire « C’est ce que j’éprouve sans cesse pour toi La Mia Luce… Mais tu n’as aucune raison d’avoir peur. Tu en sécurité avec moi. Je suis tout à toi ». Pour autant, le soupir qui suivit n’était pas de bon augure et la jeune femme le conforta dans son appréhension. La gorge quelque peu nouée, Edward resserra son emprise sur sa main et souffla « Tu ne me perdras pas. Jamais. Je vais continuer de me battre pour nous, pour que tu sois heureuse et épanouie. On a des projets ensemble et on les réalisera tous les deux ». Edward inspira à plein poumons, quelque peu accablé par l’émotion et reprit, en réalisant brusquement sur les mots prononcés par sa moitié « Que veux-tu dire par tu es en train de perdre ce que tu as construit ? ».
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Ven 1 Nov - 21:32
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angy avait toujours eu un grain de folie en elle. C’est ce qui rendait sa personnalité si attrayante. Et elle ne put que sourire en entendant Edward souligné le fait que sans cela, elle ne serait jamais tombée amoureuse de lui. Ils avaient évoqué cela lors de leur première soirée à réellement communiqué. L’amour… A l’époque Eddy était certain que la femme qui tomberait amoureuse de lui devrait être folle. A l’époque, Angy ne se doutait pas encore elle était cette femme. Celle qui allait l’aimer de tout son être. Celle capable de faire ressortir le bon qu’il avait en lui et qu’il s’obstinait à cacher aux yeux du monde. Celle assez folle pour avoir envie de lier sa vie à la sienne. Même si rien n’était facile, elle n’avait aucun regret. A l’époque, elle voulait seulement qu’ils parviennent à cohabiter et à trouver un semblant d’équilibre pour établir une relation cordiale. L’amour avait décidé de s’inviter. Et aujourd’hui, malgré la peur et les doutes qui survenaient parfois, comme ce soir, Angelica était heureuse d’être tomber sous son charme. Elle n’imaginait plus sa vie sans lui à ses côtés.
Encore deux questions. Cette fois-ci, cela ne l’irrita pas. Elle l’écouta et prit le temps de répondre de manière posée. Elle sourit lorsqu’il la contre dit avec assurance. C’était tellement appréciable de se sentir aimer de cette manière. Lorsqu’il se saisit du collier dont elle ne séparait jamais, la jeune femme baissa légèrement les yeux sur le bijou. Elle ne pu que sourire avec une infinie douceur à cette déclaration. « -peut-être que lorsque nous serons vieux, tu en auras marre de moi… » souffla la jeune femme avec un sourire en coin. Mais elle ajouta : « -mais je partage ton vœux et ton envie. Nous nous retrouverons dans une autre vie… » elle caressa ses doigts qui avaient retrouvé le chemin de siens.
« -je le sais Eddy… j’en suis consciente mais… mais parfois c’est comme plus fort que moi. » elle resserra ses doigts. « -tu connais mon passé… tu connais mes blessures… » il avait parfaitement comprit son complexe d’infériorité, son besoin d’être aimée… et tant d’autres choses qui ressurgissaient parfois. « -je n’aspire qu’à ça Eddy… » elle avait tellement envie de le voir reprendre cette appareil photo tant aimé. Vivre heureux, comme il le souhaitait. Elle le sentait ému. Elle l’était aussi. Elle leva les yeux pour ravaler ses larmes et osa répondre : « -je perds des abonnées chaque jour… certaine collaboration ont été annulées…. D’autres reportées… » un haussement d’épaules. « -je ne suis pas stupide, je savais parfaitement que ça finirait pas s’arrêter un jour. Et certain jour je… je n’ai plus envie… alors je songe vraiment à de nouvelles choses. C’est douloureux parce que j’aime ce que je fais… ce n’est pas comme si c’était une décision qui venait de moi. Ça arrive, c’est tout. Et malgré mes efforts, j’ai la sensation d’être impuissantes. » elle soupira. « -et puis parfois, je tombe sur des messages ou je fais des rencontres de femmes qui me suivent, qui me disent tout le bien que mon travail leur fait… et j’ai envie de me battre à nouveau… »
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Ven 1 Nov - 22:12
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Ce collier représentait à la fois le lieu où ils s’étaient retrouvés après bon nombre de tumultes, et l’amour qu’ils se vouaient l’un à l’autre. Il était la promesse d’un amour sans faille, dans cette vie et la prochaine. Parce qu’aux yeux d’Edward, celle-ci n’était pas suffisante pour l’aimer pleinement. Il aspirait à davantage de temps à ses côtés, bien qu’elle envisageait d’ores et déjà qu’il soit lassé de sa compagnie lorsqu’ils seraient vieux et pris de rhumatismes lors des jours de pluie. Le politicien ne pouvait que sourire à cette pensée de se voir vieillir à ses côtés « Jamais » rétorqua-t-il avec légèreté, avant de renchérir sur le même ton « Et qu’est-ce qui m’assure que tu ne me quitteras pas pour un jeunot de soixante ans, sans arthrite dans les doigts ? ». Un regard pour leurs doigts enlacés, et releva ses prunelles azurées jusqu’à croiser le regard d’émeraude de celle qui deviendrait son épouse un jour, sans nul doute, et acquiesça « J’en suis certain ». Au cours de leur relation, le politicien avait éprouvé de nombreux doutes, nourris tout autant de peurs, n’étant jamais assuré d’être celui qui saurait la rendre heureuse. Mais ce soir, ce dont il était certain, c’était qu’elle était liée à lui pour cette vie et la prochaine. Un amour si intense ne pouvait perdurer que le temps d’une seule et unique vie sur Terre. Ce lien qui les unissait était unique et d’une intensité rare. Il était indéfectible. Edward saurait toujours présent à ses côtés, et ce, jusqu’à son dernier souffle de vie. Ce dont était assurée Angie, mais perdurait encore les stigmates de son passé. Comme ce soir. La jeune femme n’était pas encore pleinement guérie de cet homme qui l’avait détruit peu à peu. « Je les connais… » murmura-t-il avec une infinie douceur, resserrant son emprise sur ses doigts « Tu n’es pas seule pour les affronter. Je suis là. Tu peux m’en parler, même au beau milieu de la nuit si tu en sens le besoin vital Angie. Je veux que tu viennes me voir en me disant : Edward, je ne me sens pas bien, pas à la hauteur aujourd’hui… Ou un simple : Dis-moi que tu m’aimes, je t’en prie, j’ai besoin de l’entendre » et s’autorisa à détourner le regard de la route un instant pour le poser sur elle « Tu ne peux pas tout faire toute seule. Je suis là aussi ». Il n’était pas seulement son homme, son amant. Il voulait être son meilleur ami, son partenaire de vie, celui auquel elle se sentait libre de tout confier.
Parce que lui n’avait pas peur du lendemain, de ce qu’il allait advenir de leur relation. Edward ne portait pas les stigmates d’un passé compliqué. Il était prêt à se battre contre vents et marées pour eux deux, pour construire la vie qu’ils aspiraient tant à vivre ensemble, et peut-être qu’un jour, parviendrait-il à lui confier qu’il désirait également fonder la famille qu’elle n’avait jamais eu… Mais ça serait pour un autre jour. Ce soir, il lui accorda un sourire pour seule réponse, avant de se soucier de son entreprise dont le déclin ne s’était pas estompé avec leur séparation. « N’abandonne pas Angie » amorça-t-il avec assurance « Ne laisse pas quelques-uns bafoués le travail de toute une vie et qui aide au quotidien d’autres femmes ». Il caressa le dos de sa main d’un léger geste du pouce tout en poursuivant, tout en continuant de suivre les instructions du GPS devant lui « Tu pourrais enclencher de nouveaux projets et le partager sur tes réseaux. Tu regagnerais l’intérêt de ta communauté. Tes projets ne sont probablement pas incompatibles, si ? Pourquoi ne pas en faire un catalyseur ? ». Il désigna du menton la ville dans laquelle ils s’engouffraient « Nous arrivons » précisa-t-il dans un aparté et reprit « Créer une marque de vêtements de sport pour le yoga, fait témoigner des femmes tout aussi exceptionnelles et inspirantes que toi, démonte les idées préconçues selon lesquelles les femmes doivent suivre les diktats de la société, et rappelle-leur que tu es une femme libre et indépendante qui peut tout surmonter » déclara le politicien qui se laissait porter par son propre soutien qu’il apportait à Angie, avant de constater qu’il s’était laissé transporter par l’effervescence et se tut un court instant, avant de sourire timidement « Pardon… C’est juste que j’y ai longuement réfléchi… ». Il se gara devant la maison d’Edgar, actionna le frein à main et se tourna pour faire face à la jeune femme « S’ils ne prennent pas conscience de ta valeur, qu’ils aillent se faire foutre. Continue à lutter pour leur prouver qu’ils avaient tort » répliqua-t-il avec davantage de douceur. Se penchant légèrement pour mieux entrevoir la maison par le pare-brise, il ajouta « Voici notre résidence pour les deux prochains jours », bien qu’ils ne parvenaient qu’à discerner tout juste les contours de la résidence dans la pénombre.
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Sam 2 Nov - 10:08
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -pourquoi tu aurais de l’arthrite dans les doigts ? » demanda Angy comme si c’était le plus important de phrase. Angy savait qu’elle voulait vivre avec Edward le reste de sa vie. Même si finalement leur histoire était récente, c’était comme une évidence. C’était lui. Lui qui était fait pour elle, lui qui la complétait, lui qui lui était destiné. Elle ne chantait pas ses louanges à longueur de temps et ne qualifiait pas de parfait autant qu’il le faisait pour elle, pourtant il l’était. Aux yeux d’Angy, il était.
La jolie rousse se confia ensuite sur ce qui lui faisait peur. Encore une fois, son cœur se gonfla d’amour pour cet homme. Qu’est ce qu’elle aimait ces idées de phrases qu’il venait de lui suggérer. Elle les imaginait compléter par un câlin, blottissant son visage dans son torse, humant son odeur, s’imprégnant de sa force et de sa douceur. « -je t’aime Eddy… » souffla Angy avec douceur. « -et je sais que tu es présent, mais en ce moment… tu as déjà eu beaucoup à gérer de ton côté. » elle n’avait pas envisagé l’appeler pour lui dire : je ne vais pas bien, j’ai besoin de te voir. Alors qu’elle le savait sous l’eau avec un emploi du temps prenant et des obligation auxquelles ils ne pouvaient pas se soustraire.
Puis elle lui parla de son entreprise. De ses doutes, de sa motivation que flanchait parfois. De la douleur qu’elle ressentait à voir ses efforts partir en fumée. L’assurance qu’il mit dans ses mots lui allèrent droit au cœur. Elle l’écouta sans le quitter des yeux une seule seconde. Il était presque plus passionné quelle à cet instant. C’était un peu comme s’il était en train de soufflé sur les braises… pour raviver la flamme. « -non… non ne t’excuse pas… » elle ne voulait pas entendre ça. Sa motivation et son engouement lui faisait un bien fou. Lorsqu’on manque de confiance, entendre une personne qui crois en vous, est plus que bénéfique. C’était exactement ce qu’il venait de faire. Il croyait en elle. Il croyait encore et toujours en elle. Il balayait ses doutes et ses freins… mon dieu qu’est-ce qu’elle l’aimait ! Elle se mordit la lèvre inférieure en l’écoutant lancé sa dernière phrase de motivation. Là tout de suite, elle n’en avait rien à foutre de savoir si la maison était immense ou si c’était une cabane au fond des bois. Elle n’avait d’yeux que pour Edward. « -embrasse-moi… » demanda Angie, en posant sa main libre sur la joue d’Eddy pour qu’il la regarde. Elle vint coller ses lèvres aux siennes, avec passion, avec amour. Ce baiser c’était un pardon, un merci, un je t’aime, un je tiens tellement à toi… Elle entoura le visage d’Edward de ses deux mains, avant de reculer son visage et de plonger son regard dans le sien : « -le dernier arrivé à la maison, fait les pancakes demain matin ! » elle en avait marre de broyer du noir. Il avait raison, elle ne se laisserait pas faire. Et pour cela, elle devait raviver sa lumière et sa bonne humeur.
Elle ouvrit la portière avec précipitation, revint en arrière pour récupérer son sac à main en riant, la pluie tombant avec plus d’intensité que quelques minutes plus tôt. Edward avait déjà ouvert le coffre, elle récupéra sa valise, tira la poignée en lançant un regard rieur à Eddy. « -ne m’aide pas surtout ! » elle le laissa refermer le coffre. Mauvaise joueuse. Elle gagna la porte en première, mais n’ayant pas les clés, elle n’eut d’autre choix que d’y coller son dos, Edward la talonnant de prêt. Là sous la pluie battante, elle passa ses bras autour de son cou et l’embrassa de nouveau, avec un peu plus d’envie. « -j’ai pas les clés… » souffla la jeune femme entre deux baisers. « -mais j’ai gagné… » avant de rire joyeusement.
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Sam 2 Nov - 11:24
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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La question pour le moins inattendue de la jeune femme provoqua un joli rire chez Edward qui haussa les épaules nonchalamment « Je l’ignore mon amour » tout en lui adressant un regard en coin. Il n’avait pas réfléchi outre-mesure aux causes de son hypothétique douleur aux articulations dans un futur plus ou moins proche, parce qu’il n’avait tout simplement pas envisagé un instant que l’influenceuse puisse l’interroger à ce sujet. Mais qu’importe. Ce n’était pas ce qui était primordial dans leur échange. Ce qui l’était, c’était cette perception partagée de l’amour qu’ils se portaient et qui était d’une intensité rare. Si puissant qu’une seule vie l’un avec l’autre ne leur suffirait pas. Parce qu’elle était sa moitié, son âme sœur, sa destinée. Et qu’il voulait croire qu’il l’était tout autant à ses yeux. Edward ne souhaitait pas seulement être son conjoint, il aspirait à davantage à ses côtés. Il voulait être un soutien indéfectible, un point d’ancrage sur lequel Angie serait à même de se reposer lorsque la vie devenait soudainement bien trop pesante, ou que les blessures de son passé se ravivaient. Qu’importe qu’elle le réveille au beau milieu de la nuit pour partager ses peurs, ou qu’elle ne désire que la chaleur de ses bras le temps d’une brève étreinte au cours du dîner. Il était présent pour elle. Comme elle avait toujours su l’être pour lui, surmontant l’adversité et parfois son caractère difficile, pour lui rappeler qu’elle l’aimait lui. Comme en cet instant, quand elle lui souffla ces trois petits mots qui provoquaient ces petits battements d’ailes de papillon dans l’estomac « Moi aussi La Mia Luce ». Edward détourna que brièvement son regard de la route et rétorqua avec son habituelle assurance « Et alors ?! Qu’est-ce que ça peut faire ?! Ce n’est que du travail. Toi, tu es mon tout ». S’il devait quitter précipitamment une réunion parce qu’elle était à bout de nerfs, incapable d’apaiser ses ressentiments, il le ferait sans une once d’hésitation.
Lorsqu’Angelica lui fit part des difficultés rencontrées par son entreprise, malgré leur rupture, le politicien ne perçut pas un échec, mais une opportunité de pouvoir se renouveler. Elle avait des projets, et quels qu’ils soient, il ne faisait aucun doute qu’ils seraient sensationnels. Il en énuméra à son tour quelques-uns sur lesquels il avait réfléchi longuement au cours de ces dernières semaines pour pallier la déchéance de sa société. Enthousiaste, le politicien se laissa porter jusqu’à ce qu’il en prenne conscience et s’excusa de son soudain engouement. Des excuses que ne souhaitait pas entendre Angie. Il sourit pour seule réponse, et se gara devant la demeure d’Edgar dont les contours se percevaient à peine dans la pénombre qu’offrait la nuit noire. Il reporta son attention sur Angie, lui rappelant sa valeur. Personne n’était autorisée à émettre le moindre jugement la concernant. Elle devait le savoir. Edward se pencha ensuite légèrement pour entrevoir la résidence secondaire de son ami, mais la main de la jolie rousse l’interrompit dans son observation. Il ne put que sourire à sa demande, et approcha ses lèvres des siennes pour l’embrasser avec passion et sentiments. Il avait la sensation que ça faisait une éternité qu’il n’avait pas goûté ses lèvres. Quand il se recula, il souffla un « Ouah… » qui venait du cœur et qui exprimait son ressenti vis-à-vis de ce baiser qu’elle venait de lui offrir. Un joli rire résonna dans l’habitacle alors que sa moitié se précipitait hors de la berline, sous une pluie battante.
Edward l’imita aussitôt, sans se départir de son sourire, et se hâta jusqu’au coffre où elle récupéra sa valise « Chacun pour soi Mademoiselle Gordon » répliqua-t-il en sortant son propre bagage, et referma soigneusement la berline, pour talonner ensuite la jolie rousse qui parvint à la porte avant lui. Il gravit les quelques marches pour venir sceller de nouveau sa bouche à la sienne, puis extirpa les clefs de sa poche de costume, les remuant entre ses doigts, à hauteur d’yeux « Tu parles de celles-ci ? » répliqua-t-il avec satisfaction. Edward lui rendit de nouveau son baiser, avant de s’enivrer de son rire « Mon dieu, ce rire Angie… » et l’embrassa de nouveau avec plus d’avidité, tandis qu’il tentait difficilement de glisser la clef dans la serrure, puis poussa la porte, se délesta des bagages dans l’entrée, referma la porte d’un coup de pied et délaissa finalement ses lèvres pour la soulever sur son épaule, comme un vulgaire sac de farine, non sans un petit rire « À la douche maintenant Mademoiselle. Ensuite, j’irais nous trouver de la nourriture pour nous substanter ce soir » et s’aventura parmi les pièces « J’ignore où se trouve la salle de bain » finit-il par avouer après quelques minutes de vaines recherches, et désigna les marches de son autre main « Allons nous aventurer là-haut » et gravit les escaliers sans la moindre difficulté « Tu sens le chien mouillé mon amour, et je te dis ça avec toute la tendresse du monde ». Il finit par ouvrir une porte et s’exclama « Nous y voilà ! ». Par chance, Edgar et son épouse avaient laissé savon et shampoing dans la douche à l’italienne. Il déposa sa moitié au sol, et frotta ses bras « Tu es frigorifiée ».
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Charly
Sam 2 Nov - 14:46
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angy se foutait bien de voir la maison. Ce qu’elle voulait qu’il l’embrasse. Elle était tellement amoureuse de lui. Il lui apportait tellement. Qui avait la chance de trouver un homme tel que lui, capable de croire en elle ainsi, de lui redonner espoir, de la pousser à poursuivre ses rêves… et en même temps d’être compréhensif, de ce montrer patient et capable de contrôler sa colère afin de prendre soin d’elle. Il était tellement plus qu’un petit ami ou un amant. Cela faisait trop longtemps qu’ils étaient ensemble et qu’ils ne se touchaient pas. Elle avait besoin de conclure cette conversation réparatrice par un baiser à la hauteur de l’amour qu’elle ressentait pour lui. Elle pouffa d’un rire joyeux au commentaire qu’il fit en reculant son visage. Elle déclencha une course, telle une gamine qu’elle aimait parfois être encore. Remettre de la légèreté, de la magie et des rires dans tout ça. Raviver la lumière. Entendre rire Edward lui fit tellement de bien. Presque autant que de rire elle-même.
Elle récupéra sa valise, râla sur la galanterie inexistante d’Edward durant cette bataille, avant d’opter pour la mauvaise joueuse et le laisser fermer le coffre, direction la porte de la maison. Porte contre laquelle Angy colla son dos en riant toujours, avant d’embrasser Edward à pleine bouche. « -heureusement tu les as. » répondit la jeune femme en riant de nouveau. « -me dis pas que tu préfères quand je cris. » s’amusa la jeune femme amusée de son sous-entendu involontaire alors qu’il était en galère avec les clés. Lorsque la porte s’ouvrit, la jeune femme poussa un léger cri de surprise vu qu’elle y était adossé, avant de rire de nouveau. Enfin à l’abri.
« -ahh ! » cria Angy alors qu’Edward la juchait sur son épaule. « -Eddy ! » clama-t-elle alors qu’il entamait le tour du propriétaire. « -on va se faire livrer. » ajouta la jolie rousse. « -hors de question que tu quittes cette maison. » elle ne voulait pas passer une minute de plus sans lui. « -quoi ?! Non pas les escaliers ! ah ! » elle riait aux éclats « -je te retourne le compliment, mais tu es terriblement sexy dans ta chemise trempée. » oui, elle devait le souligner. Lorsqu’elle retrouva enfin le sol sous ses pieds, elle sourit à Edward et entreprit de lui retirer sa chemise. Assez rapidement. Elle ouvrit l’eau de la douche, puis leva les bras pour retirer sa robe. A nouveau elle se colla à lui pour l’embrasser, glissant ses doigts sur sa ceinture. « -tu es encore bien trop habillé… » lui susurra-t-elle.
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Manhattan Redlish
Sam 2 Nov - 15:29
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward avait la sensation qu’une éternité s’était écoulée depuis leur dernier baiser. Probablement parce que ces dernières heures avaient été pour le moins éprouvante émotionnellement. Mais maintenant, ils étaient bien décidé à faire table rase de cette soirée, et de profiter de ce temps qui leur était octroyé pour se retrouver. Cela débuta par un premier baiser passionné, et teinté des sentiments qu’ils partageaient, qu’Angie lui concéda et auquel il ne put que répondre. Cette étreinte de leurs lèvres avait une saveur singulière qu’il savoura jusqu’à son issue. Quand il se recula pour croiser de nouveau le regard d’émeraude de sa moitié, Edward ne put retenir ce simple mot, un commentaire qui trahissait le trouble qu’il venait de ressentir en cet instant. Elle seule était capable de mettre son corps en émoi avec autant d’aisance. Un baiser suffisait pour que le monde extérieur ne se dissipe derrière un écran de fumée, pour que n’existe qu’eux deux. Un sourire vint ensuite étirer lentement ses lèvres tandis qu’elle riait joyeusement… De nouveau. Il s’imprégnait de chaque seconde de ce son dont elle seule connaissait la mélodie. Peu à peu, le politicien retrouva la femme qui avait su le faire succomber, celle dont il était tombé éperdument amoureux. Celle-là même qui se précipita jusqu’à la porte de la résidence secondaire d’Edgar en clamant haut et fort sa victoire entre deux baisers. « On aurait passé la nuit sur la plage ». Puis de nouveau ce rire dont il se délecta une fois encore « Ça dépend du contexte » précisa-t-il ensuite, une lueur de désir voilant ses prunelles azurées le temps d’un instant, puis ouvrit la porte sur laquelle était appuyée sa dulcinée. Il émit un petit rire à sa réaction soudaine, et la souleva du sol pour la disposer sur son épaule sans le moindre effort.
Durant quelques minutes, Edward arpenta les couloirs et chaque des pièces du rez-de-chaussée en quête d’une salle de bain. En vain. « Ça me convient tout autant », parce que lui non plus ne désirait pas s’éloigner d’Angelica. Pas après ces dernières heures, pas après ces trois dernières semaines sans pouvoir la voir, et la serrer dans ses bras. Constatant qu’aucune salle de bain n’avait été construite à cette étage, il gravit les marches jusqu’à l’étage supérieur, tout en se délectant de retrouver peu à peu sa moitié. Son rire était une bénédiction après ce soir et leurs différends. Il se plu donc à la taquiner gentiment « Je sais » précisa-t-il avec assurance. Tout autant pour l’odeur que pour l’aura qu’il dégageait ainsi vêtu. Après une quête sans relâche, il parvint à trouver la pièce tant désirée et se délesta d’Angie sur le sol carrelé de la salle de bain. Elle ne patienta pas une minute de plus pour déboutonner sa chemise humide sous le regard gourmand de son propriétaire. Sa respiration devint plus profonde au fur et à mesure que sa moitié le déshabillait, tandis qu’il la dévorait de son sombre regard. Ses pupilles étaient dilatées par le désir qu’elle faisait germer en lui et qui le consumait de l’intérieur. Edward déglutit avec difficulté dès lors qu’elle ôta à son tour sa robe, et s’autorisa à la contempler de ses chevilles jusqu’à son cou, s’attardant sur sa féminité, puis son ventre, ainsi que sa poitrine galbée « Tu es … magnifique » murmura-t-il d’une voix déjà rauque, qui le surprit lui-même. Comment pouvait-elle songer un instant qu’il puisse en désirer une autre qu’elle ?! Lorsqu’elle disposa ses doigts sur sa ceinture encore scellée, bien décidée à le dénudé dans son entièreté, le politicien pouvait pratiquement compter chaque battement de son cœur qui tambourinait contre sa cage thoracique.
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Charly
Sam 2 Nov - 17:29
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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