"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly
Messages : 4141
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Ven 9 Aoû - 21:19
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
Avatar : Fassylovergallery/ Gif : MyGifFactory
Des années durant, le comportement du politicien avait donné lieu à de nombreuses critiques virulentes à son encontre. Jusqu’alors, Edward n’avait fait que peu cas de tous ces blâmes, mais aujourd’hui faisait exception. Il n’était dorénavant plus la cible privilégiée de ses détracteurs, et il désapprouvait. Malgré la présence apaisante d’Angelica à ses côtés, il peinait à faire abstraction de l’attention qui se focalisait sur eux deux. La jeune femme le constata d’elle-même et tenta de le rappeler à l’instant présent qu’ils partageaient ensemble, non sans une once de possessivité qu’il trouva particulièrement charmante « Tu es inégalable mon amour ». Probablement que la jolie rousse n’en avait pas pleinement conscience, mais elle était la seule et l’unique à ses yeux. L’amour de sa vie. Les autres femmes lui semblait bien fade et digne de peu d’intérêt en comparaison. C’était la seule femme qu’il était tout disposé à courtiser, entre les tapis d’un grand magasin de décoration d’intérieur, et qui se laissait trahir par le rougissement soudain de sa peau, sans pour autant décider de s’interrompre. Il aurait probablement continué ainsi de longues heures durant, si les remarques désobligeantes à l’encontre de sa moitié n’avaient pas eu raison de sa jovialité. Dans un premier temps, il pensa à tort qu’Angelica avait été l’esclave des sentiments qu’elle avait finit par éprouver pour lui en raison de leur cohabitation. Toutefois, la jeune femme prit le temps de rétablir la vérité. Bien que son cœur avait jeté son dévolu sur sa personne, il n’en restait pas moins que la décision de l’aimer lui, lui revenait entièrement. Angie avait choisi de l’aimer, peu importe la dualité de sa personnalité, sa méconnaissance de l’amour ou bien encore de sa carrière politique, et de l’image publique dont il disposait et qui risquait de nuire à sa propre carrière. Elle avait fait le choix de rester et de l’aimer. Soudainement, le monde extérieur n’avait plus d’existence aux yeux d’Edward qui riva toute son attention sur la femme à ses côtés, et déclara avec une conviction à peine dissimulée « Tu n’as pas idée à quel point la mia luce ». Il laissa par la suite un petit rire sous cape s’échapper d’entre ses lèvres « Un jour… Comme ce soir, autour d’un verre de vin et d’un bon repas » proposa-t-il parce qu’il était particulièrement curieux d’en connaître les raisons.
La tension quelque peu dissipée, Edward était plus à même de se soucier de la douceur du tapis sur lequel il avait jeté son dévolu au cours de leur conversation. Ses lèvres à proximité de son oreille afin de s’assurer qu’elle seule serait témoin des paroles qu’il prononcerait, il répliqua dans un murmure « Imagine une cheminée, un soir d’hiver, et un tapis à ses pieds. Maintenant, pense à moi au-dessus de ton corps entièrement nu et frissonnant sous mes caresses… Te faisant tendrement l’amour toute la nuit, pour te rappeler à quel point je t’aime…Est-ce que ça te plaît ? » et embrassa délicatement son cou tout en se reculant, mettant un soupçon de distance entre leurs deux corps. « Tu as raison. C’est toi qui a fait tout le travail en me supportant de longs jours, en t’interrogeant sûrement sur ta santé mentale pour avoir accepté de venir vivre avec moi si soudainement » déclara-t-il tout en lui adressant un regard espiègle, et se laissa choir par la suite sur l’un des matelas. Une accalmie brève à laquelle Angie mit un terme en quelques mots. Il se redressa donc sur ses jambes, non sans arborer un petit sourire amusé « Contraire à l’ordre public et aux bonnes mœurs ». Ce qui n’était pas envisageable au vu de sa position actuelle. C’était dans ces moments-là qu’il aimerait n’être qu’un inconnu. Ses pas le menèrent jusqu’à la structure de lit que désigna la jeune femme. Une structure en métal doré qui féminiserait sans nul doute leur chambre à coucher. Bien que ce n’était pas l’idée première qui avait traversé l’esprit de sa lubrique petite-amie. Il se rapprocha donc de cette dernière, en évoquant ce qu’il désirait lui faire sur ce lit qui remplacerait d’ici peu celui qui stagnait au centre de la pièce depuis quelques années maintenant « Tu ne veux pas que j’arrête » souffla-t-il tout en posant sa main sur sa hanche « Je trouve aussi », et la laissa s’éloigner.
En cet instant, Edward n’était plus soucieux du moindre spectateur de leur échange frivole à peine voilé, alors qu’il posait sur elle ses prunelles azurées brillant d’une lueur taquine, qui ne laissait planer aucun doute sur les images qui traversaient son esprit. Il se mordit la lèvre inférieure alors qu’Angelica avait décidé de s’amuser, peu importe la frustration qui les accablerait d’ici peu en prenant conscience qu’ils ne pouvaient pas s’adonner au plaisir de la chair dans un tel lieu « C’est tout simplement exquis ». Le coussin qu’il reçut en plein visage quelques minutes plus tard eut pour effet de dissiper le désir qui lui étreignait le creux des reins et émit un joli rire sincère et insouciant, s’armant à son tour et frappa le visage de sa moitié « Et celui-ci ? » et finit par se délester de son fardeau, courant après la jolie rousse, jusqu’à nouer ses bras autour de sa taille dans un éclat de rire « Tu n’as plus de coussins pour te défendre maintenant Mademoiselle Gordon ! Comment tu vas faire ?! » et la souleva pour la poser sur son épaule, avant de se soulager de son poids sur un lit d’exposition. Au-dessus d’elle, il ne pouvait plus se départir de son sourire qu’elle avait réussi à étirer sur ses lèvres « Je ne veux pas louer de maison dans le New Jersey. Je veux qu’on en achète une » et déposa un baiser sur son nez, puis sa joue, ainsi que son menton « Il nous faut un nouveau matelas également » et continua de parsemer sa peau de baiser tout en riant.
Messages : 4017
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Sam 10 Aoû - 11:19
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr
Peu à peu, malgré les regards qui se posaient sur eux, malgré ce qui pouvait se dire, Angie parvenait à faire revenir Edward à elle, et à ce qu’il oublie le reste. « -peut-être… si tu es sage… » souffla Angie pour toute réponse, en lui adressant un sourire amusé. Oui, elle avait décidé de jouer, malgré le lieu. Malgré ce qui pourrait être vu ou dit. Ils passaient un moment ensemble, et ils en avaient entièrement le droit. Edward sembla apprécier la tournure de cette conversation et se plu à lui murmurer ses idées à l’oreille. Elle réprima un frisson alors qu’il entrainait son esprit dans des folles pensées. « -oui… j’aime beaucoup… » souffla Angie en ayant presque du mal à déglutir. Mais Il évoqua Ava et la fit revenir sur terre presque brutalement. Non, ce n’était pas grâce à Ava qu’ils étaient tombés amoureux l’un de l’autre. Elle les avait seulement mit dans la même pièce. Rien de plus. « -c’est vrai , attends quoi ? » demanda Angie qui s’était laissé emporter par le moment. « -je n’ai jamais douté de ma santé mentale… » grimaça la jolie rousse. « -je suis pas folle, seulement folle de toi. » ajouta la jeune femme d’un air innocent. « -et donc du coup, ils nous faut une cheminée. » rien avoir, elle revenait sur les idées d’Edward. Un tapis plus doux et une cheminée…
Elle lui demanda de ne pas s’allonger ainsi. C’était trop tentant et elle ne souhaitait pas déraper en public de cette façon. Alors, ils devaient l’aider un peu… Même si ce fut elle qui rajouta de l’huile sur le feu quelques minutes plus tard. Elle étendit ses mains le long du l’encadrement de lit, laissant l’imagination d’Edward faire le reste. « -non. » avait elle répondu avant de se mordre les lèvres. Elle ne voulait pas qu’il arrête. Elle aimait le voir repousser ses limites ainsi, se prenant au jeu. Un coussin dans le visage, avant qu’elle n’en reçoive un en retour. Ce qui la laissa scotchée sur place, stupéfaite qu’il ait osé faire cela. Mais elle se mit à rire bien rapidement, avant de tenter de lui échapper. Lorsqu’il la saisit dans ses bras, elle rit de plus belle : « -oh ! » s’étonna Angie alors qu’il l’embrassait en lui proposant cet achat de maison. « -d’accord. » oui, elle ne voyait pas d’objection. « -et il falloir qu’on rentre très vite à cette allure… » ajouta Angie en posant une main sur son torse. « -viens… on rentre. » elle avait d’autres plans pour eux. Elle lui saisit la main sans lui demander s’il était d’accord, et l’entraina avec elle à l’extérieur du magasin. Une fois dans la voiture, elle maudit la présence du chauffeur…
Messages : 4141
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Sam 10 Aoû - 19:49
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
Avatar : Fassylovergallery/ Gif : MyGifFactory
Progressivement, le monde extérieur avait cessé d’exister pour Edward qui était parvenu à faire abstraction des commérages environnants et des regards hostiles. C’était leur dernière journée d’accalmie avant qu’ils ne retournent réciproquement à leurs obligations professionnelles. La visite inopinée de sa jeune sœur avait suffisamment nuit à leur escapade romantique, pour qu’il tolère que de simples inconnus interfèrent à leur tour. Il prit donc la décision de se barricader dans une bulle aseptisée où n’avait d’existence qu’Angelica et lui-même. Il crut si profondément à cette réalité, qu’il se plut à évoquer à voix haute les idées érotiques qui assaillaient son esprit quand il posait son regard sur le doux tapis suspendu devant eux. Edward imaginait sans mal la lueur des flammes danser sur son corps entièrement nu et allongé à même l’épaisse carpette jonchant sur le parquet de leur maison, la dominant de toute sa taille et la faisant sienne en de lascives vas-et-viens. La savoir troublée à cet aveu le fit sourire, et déposa ses lèvres sensuellement dans son cou « Tu en frissonnes mon amour… » lui fit-il remarquer, plus que satisfait de sa réaction. Mais l’évocation de son assistante eut raison de leur échange. Angelica avait raison. Ava n’avait participé qu’à les faire se rencontrer à un moment donné. Pour ce qui était des sentiments qui avaient germé par la suite, ils en étaient les uniques responsables. Un petit rire sous cape s’échappa d’entre ses lèvres « C’est la plus jolie des folies ». « C’est même une condition sine qua none » précisa-t-il par la suite. Edward n’envisageait pas leur future demeure sans un parquet vieillissant et une cheminée imposante autour de laquelle serait aménagé leur salon.
La conversation amorçait une certaine exaltation chez l’un et l’autre, qui risquait d’être incessamment hors de leur contrôle. La sagesse de l’influenceuse les conduit à s’éloigner des lits, véritable tentation, pour se diriger vers les coussins qui habilleraient le canapé de la pièce de vie. Pas un instant, il ne se serait douté d’être assaillit par une attaque furtive de la part de la jeune femme qui lui assena un coup de coussin, qu’il lui rendit aussi promptement, avant de la poursuivre dans les allées du magasin jusqu’à enserrer son corps frêle de ses bras, dans un éclat de rire. Dans l’élan, ils se laissèrent choir l’un et l’autre sur l’un des lits d’exposition, et ce fut le moment qu’Edward jugea opportun pour lui annoncer qu’il désirait devenir le co-propriétaire de leur prochaine demeure. Il était certain de leur avenir à deux, et n’avait que de cesse de constamment douter. Le politicien était plus enclin que jamais à construire une vie dans laquelle Angelica serait la protagoniste à ses côtés. Ce qu’elle accepta sans objection « Vraiment ?! » osa-t-il toutefois formuler à voix haute, n’étant pas certain qu’elle ait conscience des enjeux d’une telle décision. « On devait faire d’autres boutiques » déclara-t-il faussement innocent, se laissant finalement conduire jusqu’à la berline dans la hâte.
Dès lors qu’ils eurent prit place sur la banquette arrière en cuir qui composait la voiture de maître dont il était propriétaire, Edward combla le bref espace entre leurs deux corps, et caressa la peau de son cou de sa langue, avec une sensualité certaine. Progressivement, il s’aventura jusqu’à son oreille, murmurant à sa seule attention « Je veux que tu me suces, puis que t’empales sur moi comme une amazone… Que tu me domines, que je sois ton objet de plaisir… » et lui mordilla le lobe de l’oreille, avant de s’adresser à son chauffeur qui faisait abstraction de la scène qui se déroulait à l’arrière du véhicule « Jeffrey, veuillez relever la cloison de séparation » « Est-ce que Monsieur Wyler désire de la musique également ? ». Il adressa un bref regard à Angie, et répondit par un « Oui » convaincu. « Qu’il en soit ainsi ». Aussitôt la requête formulée, une vitre sans tain se dressa entre eux et le chauffeur, tandis qu’un léger fond sonore enveloppa l’habitacle, dissimulant les derniers sons qui pouvaient transpercer au travers de la structure insonorisée. Ses doigts se posèrent ensuite sur le menton de l’influenceuse, l’obligeant à ancrer son regard au sien « Ne pense qu’à moi mon amour ».
Messages : 4017
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Dim 11 Aoû - 14:12
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr
Petit à petit Edward était en train de lâcher prise. Angie fut ravie de faire ce constat, ravie également qu’il rentre dans son petit jeu. Auquel, elle se retrouva petit à petit prise au piège. Rien que le son de la voix suave d’Edward à son oreille lui provoquait des frissons. Même s’il lui avait lu une recette de cuisine, son corps aurait réagi. Comme elle le confirma à l’oral, elle était folle, follement amoureuse de lui. Et c’était pour cette raison, qu’elle accepta sans prendre le temps de réfléchir à l’idée, de devenir propriétaire d’une maison ensemble. Là tout de suite, elle n’avait pas peur d’avancer. Elle avait assez confiance en eux pour savoir qu’ils seraient capables de surmonter les obstacles qui se dresseraient devant eux. Alors c’était un grand oui pour cette maison qui commençait à prendre vie dans son esprit. Oui pour le tapis moelleux, oui pour la cheminée, oui pour acheter ensemble et non louer. « -oui, vraiment. » avait elle confirmer, avant de prendre la décision de sortir d’ici, avant de faire un dérapage incontrôlé.
Messages : 4141
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Dim 11 Aoû - 14:51
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
Avatar : Fassylovergallery/ Gif : MyGifFactory
Messages : 4017
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Dim 11 Aoû - 15:34
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr
Messages : 4141
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Dim 11 Aoû - 16:42
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
Avatar : Fassylovergallery/ Gif : MyGifFactory
Messages : 4017
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Dim 11 Aoû - 17:09
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr
Messages : 4141
Date d'inscription : 26/04/2018
Crédits : Icon : Devientart
Univers fétiche : City
Préférence de jeu : Homme
Manhattan Redlish
Dim 11 Aoû - 19:41
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
Avatar : Fassylovergallery/ Gif : MyGifFactory
Messages : 4017
Date d'inscription : 24/04/2018
Région : Haut de France
Crédits : Bones_Obsessor
Univers fétiche : City, HP
Préférence de jeu : Femme
Charly
Lun 12 Aoû - 16:13
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors très très bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et je le vis, tellement bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
Avatar :Tennesse / Gif : Tumblr
Ils avaient poursuivit leur journée shopping, et s’était les bras chargés qu’ils rentrèrent à l’appartement en fin d’après-midi. Ils avaient trouvé ce qu’ils cherchaient, et avaient passé une belle journée ensemble, au grand jour. Angie avait soigneusement éviter de regarder Jeffrey en sortant de la voiture à chaque fois. La jolie rousse déposa ce qu’elle avait dans les bras, dans le salon, et retira ses talons en soupirant de plaisir de marcher pieds nus. « -j’ai adoré cette petite session shopping. » elle se dirigea vers le frigo pour sortir deux bouteilles d’eau. Elle prit une gorgée et ajouta : « -est ce que… est ce que c’est gênant si je te demande de décalé le restaurant ? » elle posa la bouteille et passa ses bras autour de son cou : « -j’ai envie de rester uniquement avec toi. » demain, ils devaient tous les deux reprendre le chemin du travail. Elle voulait profiter de chaque minute.
Contenu sponsorisé
"La séparation n'est pas la fin de l'amour ; La séparation crée l'amour" - Ft. Charly