J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes féminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
Tom Hardy by idk
« Ne jure pas, tu ne l’es pas. » Voix tranchante. Je le réalise. Je me racle la gorge pour me faire plus doux. « Ta santé est encore instable. Alors tu vas tenir le lit. C’est moi qui ait manqué de discernement. Alors on va attendre que tu t’en remettes véritablement. Et c’est tout à fait normal. » Je voulais faire les choses vite. Mais heureusement son corps nous a rappelé a l’ordre. « Tout va très bien se passer, je gère » Et pour de bon. J’avais été bien trop docile dans le monde sombre. Et on s’était pris a ce que j’ai de plus cher, mon Innocent. J’étais la porte qui avait invité à entacher son monde. Je le regrettais cuisamment. Mais maintenant, j’allais être le gardien devant sa porte. Bruler chaque personne ayant oser le blesser. De près comme de loin. Je vais les broyer un a un. Ils vont souffrir.
Je me sens secoué. Retour a la réalité. « Pardon j’étais perdu dans ce que j’avais a faire pour le travail. » Je pose une main chaleureuse sur sa joue. Sourire triste. Il n’aurait jamais dû avoir sa place dans ce sanguinaire monde. Il était bien trop lumineux. « Je vais te faire a manger. Et tu me répéteras ce que tu disais. Dors en attendant. » J’embrasse son front. Et je file a la cuisine. J’attrape une basse cote de bœuf, un oignon, et deux trois légumes. Je coupe tout en lamelles. Sors un wok avec une huile bien chaude et j’y mets le tout. Je lave mon riz et le mets dans l’auto cuiseur. Je fais bien retourner le wok. J’y ajoute des épices, un peu d’eau pour attendrir le tout. Je couvre quelques minutes baissant le feu. J’attrape une germe de ciboulette sur le balcon, une tomate coupée. Je sors deux assiettes creuses. Je retire le couvert, mets le feu au max, je fais bien revenir avec une peu de soja et je dépose le tout dans la première assiette. J’émiette un bouillon et y verse de l’eau. Un peu de citron, je racle bien les sucs et verse dans le bol. Je sors mon riz le mélange avec un peu de beurre et de crème fraiche. Faut nourrir ses bourrelets qu’il n’a pas. Je dépose ciboulette et tomate. Je prépare un plateau repas et lui apporte. Je le regarde et souris. « Le Roi est servi. »
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Lojzo
Mar 23 Nov - 20:33
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je me trouve dans un hopital, des USA. Dans la vie, je suis sans emploi puisque je viens de démissioner. Sinon, je suis fou amoureux.
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« Ne jure pas, tu ne l’es pas. » Il balaie tout en un seul mot et ça me frappe. Il adoucit sa voix, me caresse le visage, me parle doucement, mais c'est trop tard. Je l'ai déçu et il va devoir prendre sur lui, il va devoir me protéger. Il a compris combien j'étais faible. Puppy. C'était pas un nom pour rien, il l'avait vu, dès le début. Je me retiens à la chaise pour ne pas tomber. J'ai tout gâché, je le sais. Et il n'a pas le temps de s'occuper de moi. Si j'en avais la force, je partirai, pour le laisser tranquille, je suis sûr qu'il est mieux sans moi. « D'accord. » Je mens et ça me laisse un goût amer dans la bouche. J'ai envie de hurler, de tempêter, de lui montrer que je ne vaux pas tous les tracas que je lui apporte. Sauf que c'est plus simple de m'allonger et de l'écouter. « Dors. » me dit-il mais j'en suis incapable. J'admire tout ce qu'il fait, tout ce qu'il est. Ses muscles seyant, ses mains qui travaillent et coupent avec efficacité, son visage concentré, son sourire invisible qu'il me réserve.
Et mon coeur se brise d'avantage. Il fait tout ça pour moi. Je ne le mérite pas. J'ai découvert cette part de lui, cette part si pure, si belle. Mais elle n'existe pas grâce à moi, je ne lui ai donc rien apporté à part des emmerdes. Il faut que je prenne une décision.
« Le Roi est servi. » Il m'apporte l'assiette et je pose mes lèvres sur ses mains. « Merci. » dis-je avant de déposer un nouveau baiser sur sa paume. J'ai envie d'embrasser ses bras et de remonter jusqu'à son visage. J'ai envie de poser mes lèvres sur les siennes. Je retourne à mon assiette. Et me force à mâcher, il m'a fait comprendre que ce n'était pas maintenant, qu'on avait autre chose à faire. Enfin qu'il voulait que je me repose.
A la première bouchée je fonds. « C'est si bon. » Je savais qu'il était un cuisinier hors paire, mais tout de même, je ne peux m'empêcher d'être surpris à chaque fois. Je dévore mon assiette en silence et une fois vide, je n'y tiens plus. « Tu t'en veux ? Parce que je t'interdis de t'en vouloir de ma faiblesse. » Je plonge mes yeux quelconques dans les siens, magnifiques. « J'suis pas taillé pour ça, on le savait et je comprends si tu m'en veux, mais toi, t'as rien fait de mal. » Je secoue la tête avec un sourire. « Fin ok, ton boulot est discutable, mais j'étais au courant. » Dès notre rencontre, j'ai su qu'il était dangereux, je ne savais pas vraiment jusqu'à quel point, mais... « Sully, t'as pris un engagement pour moi si sérieux, j'ai envie que tu comprennes combien je suis prêt à tout pour toi. Et je ne veux pas te compliquer la vie. » Il va pas être d'accord, mais tant pis. Je lui laisse pas le choix, il faut qu'il l'accepte.
Puis je me relève et, pour la deuxième fois, je l'embrasse. Avec douceur, comme si je lui demandais la permission. Avec ce baiser, je lui fais comprendre que j'ai besoin d'oublier ce que je viens de vivre et, dans ses bras, c'est la meilleure façon pour moi de le faire.
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Patate Douce
Mar 7 Déc - 11:11
Sullyvan Andrews
J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes féminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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Je m'installe à côté de lui et commence à manger. Un peu de chaleur à ingurgiter, ça ne pouvait que nous faire du bien. Il complimente ma cuisine et je lui souris en retour. S'il savait à quel point, il en était privilégié. Je m'attelle rarement pour d'autres. Juste mon entourage. Mais faut croire que ce n'était pas l'heure de se récompenser.
Je redresse la tête pour le regarder. Hein ? Sa question me laisse perplexe. Je le laisse s'expliquer. Je ne suis pas certain de bien savoir comment répondre et réagir. Encore moins quand il finit par s'installer sur moi et m'embrasser. Ce n'est pas déplaisant, de le voir prendre les devants. Depuis quand le sexe est devenu une stratégie pour faire diversion ? Avant de te donner ce que tu souhaite, je veux que tu m'écoutes et que tu enregistres.
Mes mains s'ancrent dans le creux de ses hanches. Oui je m'en veux. Mais pas parce que tu te crois faible. Tu es loin de l'être vraiment. Après tout ce que tu as enduré, tu ne l'es vraiment pas. Je suis extrêmement admiratif pour tout le chemin que tu as parcouru. J'ai la rage contre moi de t'emmener dans l'illégalité. Parce que tu vas devoir tenir ta langue constamment alors que tu mérites une vie des plus banales. Parce que tu es rayonnant, intelligent et qu'à cause de moi, tu peux finir en prison alors que tu n'as rien demandé. Oui, je m'en veux terriblement. La seule chose que je vais te demander est de continuer ton travail, d'être grandiose comme tu l'es déjà. Je te solliciterais le moins possible. Tu en sauras très peu. Et si un jour, c'est trop, tu auras juste à ne jamais rien révélé et tu seras libre. Etre prêt à tout, c'est juste travailler dans ma boite, rentrer le soir me faire des câlins, te faire beau pour les soirées mondaines et c'est tout. Alors cesse d'imaginer le pire ou autre, tu n'es pas faible, tu es fantastique. J'attrape ses joues entre mes doigts et l'embrasse plus fougueusement, à plusieurs reprises. Ca va être froid King Puppy. Ca va aller ?
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Lojzo
Mar 11 Jan - 14:09
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je me trouve dans un hopital, des USA. Dans la vie, je suis sans emploi puisque je viens de démissioner. Sinon, je suis fou amoureux.
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Depuis quand le sexe est devenu une stratégie pour faire diversion ? Avant de te donner ce que tu souhaite, je veux que tu m'écoutes et que tu enregistres. Eh merde. Il me connait trop bien et maîtrise toutes mes techniques. Je ne pourrais donc pas échapper à cette conversation et à ce que j'ai en tête. A toutes ces horreurs subies que j'essaie d'éloigne loin de mon esprit, mais qui ne font que surgir. Je ne suis pas taillé pour son boulot, c'est clair, mais je ne peux plus faire semblant. Parce que maintenant, j'ai peur. Pour lui, pour moi, pour nous. Et je ne dois jamais montrer mes peurs car sinon, seul le diable sait ce que Sullyvan pourrait faire.
Et là pourtant je l'entends. Et chacun de ses mots me réchauffent le coeur. Ses compliments me font me sentir bien, si bien que j'ai envie de pleurer. Il n'est pas objectif, mais j'entends dans chacun de ses mots "je t'aime" , ces deux petits mots si fort qu'il est sûrement incapable de prononcer mais qui me font un bien fou. Parce qu'il tient à moi. Même si j'en doute chaque jour, même si je n'arrive pas à mesurer ma chance et à y croire pleinement, il m'aime. Et cette tirade me l'affirme une fois de plus. Deux larmes roulent sur mes joues et je souris. Et si un jour, c'est trop, tu auras juste à ne jamais rien révélé et tu seras libre. Et cette fois-ci, mon coeur se brise. Parce qu'il m'aime à l'infini pour pouvoir me laisser partir aussi simplement. Ou alors il ment, mais je refuse d'y croire. Il me protégera jusqu'à son dernier souffle. Je baisse les yeux, car je sais que je ne mérite pas tant. Puis je relève la tête et sourit en acquiesçant, incapable de lui répondre avec des mots.
A cet instant, il pose ses lèvres contre les miennes et l'explosion de sensation me faire perdre la tête. Je m'accroche avidement à lui, fermant les yeux pour savourer chaque seconde de ce baiser.
« Oui. » Lachai-je simplement en me relevant. Manger. Comme si j'avais juste faim après tout ça. Je m'assieds et dévore ce qu'il me propose. En plus d'être incroyablement sexy il cuisine comme un dieu, je ne suis pas digne. Mais je ne dis rien à voix haute, ça va l'énerver. « Comment tu fais pour me faire croire que je vais cesser de désirer ta compagnie avant toi ? » lui demandai-je soudain entre deux bouchées. « C'est délicieux au passage, comme toujours, merci. » Sourire. Puis je reprends, comme si je m'étais jamais arrêté. « J'veux dire, bien sûr que c'est trop pour moi, mais j'vais m'y faire tu vois. Parce que j'ai pas le choix. » Mes paroles sont sûrement bancales et floues pour lui, il faut que je m'explique mieux. « Même quand on est dans la même pièce mais qu'on fait deux choses différentes tu me manques. J'ai un besoin de ta présence qui me fait peur, mais je ne peux pas faire autrement. J'ai les putains de papillon dans le ventre quand tu me regardes, j'imagine des catastrophes quand tu t'éloignes de moi et je ne peux m'empêcher de renifler tes fringues quand tu t'es endormi. » Je lève les yeux au ciel, désolé de moi-même. « Ouais bref j'ai 12 ans et je suis complètement piqué par toi, mais tu vois, le soucis, c'est que j'imagine pas une seule seconde que ça va s'arrêter. Donc même si ça me fait peur, je préfère avoir peur qu'être loin. » Je soupire et le regarde droit dans les yeux. « Donc arrête de croire que je vais partir parce que j'serais pire qu'une moule sur son rocher, ok ? » Je ne veux pas faire de compétition, je ne veux pas qu'il en ait marre de moi le premier, mais par contre, je me sens incapable de partir. Même si j'ai peur, même si je cauchemarde toutes les nuits et même si je risque de mourir. Tant pis. Au moins j'aurai vécu avec lui.
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Patate Douce
Jeu 27 Jan - 22:19
Sullyvan Andrews
J'ai 38 ans ans et je vis à New York, Etats-Unis. Dans la vie, je suis à la tête d'un empire Com' et tueur à gages et je m'en sors très bien. Sinon, grâce à ma chance, je crois que je suis à mon puppy et les courbes féminines et je le vis plutôt bien. Tu veux apprendre à me connaître ? Viens donc me chatouiller et tu retiendras mon nom.
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C'est effrayant. Il devient cette personne que je ne voulais pas dans ma Vie : la moitié. Celle qui vous fera faire des dingueries, parce que son bien-être est une priorité. Et même si je suis encore un peu dans mon déni, je ferais mon possible. Il est celui qui hante mes pensées. Qui est capable de me faire avoir un thermomètre dans mon sac pour s'assurer qu'il va bien. Il va me rendre bête et amoureux. J'ai peur. Etre sage. Etre aveuglé par sa beauté d'âme. Et pourtant, je ne peux m'empêcher de me dire que je serais heureux parce qu'il est là, il est resté. Ca m'assagie, quelle angoisse.
Mes pouces sèchent ses larmes, un sourire - destiné qu'à lui - nait sur la tronche, un baiser pour me raccrocher à sa volonté. Merde, je vais devenir dépendant. Sauvez-moi. Il mange enfin, signe de vouloir reprendre du poil de la bestiole ? Bruits des couverts qui fendent le silence puis sa première question me laisse pantois. Je hausse les épaules dans un premier temps. Des réponses, il y en avait, comme le fait de tuer de sang-froid, d'aimer être en danger, d'être nous en monogamie .. M'enfin là, c'est plutôt avec lui que je voulais passer mon temps dans un pieu .. Heum, parce que je ronfle ? Je refuse d'entrer des sujets sérieux. Il a assez subi comme ça. Tu voudrais que je fasse en sorte que tu deviennes accro à moi ?Comme tu es entrain de le faire avec moi. Et pire, il ne doit même pas le remarquer. Il reprend et éclaircit ses propos. Ca le travaille le petiot. L'image de lui reniflant mes calbutes me fait froncer les sourcils et je me retiens de rire. Je hoche la tête à sa dernière question et eclate de rire finalement. Je me penche vers lui, doigts se posant sur sa nuque et l'embrasse. D'accord petite moule mais je vais prendre le côté chiot et vieux chien, c'est plus joli. Allez finis ton assiette, tu dois encore choisir notre gala. Et si tu es sage, je te laisserais même allumer la télé qui prend la poussière. En tout cas, tu es chez toi ici.
Je me lève quand les assiettes sont vides et entame la vaisselle. Il y a de la glace dans le congelo, sers-toi. J'entreprends de tout rendre propre, un brin maniaque et je reviens me poser près de lui, piquant une cuillère. Sans réfléchir, que veux-tu faire maintenant ?
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Lojzo
Ven 28 Jan - 9:10
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je me trouve dans un hopital, des USA. Dans la vie, je suis sans emploi puisque je viens de démissioner. Sinon, je suis fou amoureux.
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Ma déclaration d'amour n'a pas l'air de l'émouvoir plus que ça, mais je m'y attendais. Sully il a plusieurs carapaces par-dessus son petit coeur humide. Seulement, j'ai vu et je connais le vrai Sully, alors je ne me laisserai plus jamais prendre au jeu, quand il joue les hommes froids, c'est pour se protéger, rien de plus. Et avec moi, il peut - un peu plus - lâcher la garde et ça me rend heureux. Pour l'instant, ça me suffit complètement. Et je souris en le voyant réagir. « Tu ronfles même pas et tu le sais. » lâchais-je en levant les yeux au ciel. S'il ne veut pas réagir plus, très bien. Vieux chien et chiot, j'ai encore envie de faire la grimace, mais je me retiens. Dans son image, il ne me voit que comme un être faible à protéger, mais c'est ok si ça l'est pour lui. Petit à petit. Je sais qu'un jour il me fera une belle déclaration. Ouais, plutôt, j'ai envie d'y croire. « Choisir le gala ça veut dire quoi ? La date, la tenue, le lieu ? » Je fronce les sourcils, je ne suis pas très au fait de ce qu'il faut faire.
Je me lève pour aller chercher de la glace, mais c'est surtout pour lui faire plaisir, je n'ai plus vraiment faim. Je m'assieds dans le canapé et réfléchit quelques secondes à sa question. « Voir un film. » L'entendre parler de télé m'a donné envie. « Une comédie romantique, tu as des dvd ? » Là, j'avoue, ce n'est que pour le voir lui. Voir comment il réagit, je suis persuadé qu'il risque d'avoir des mimiques absolument fantastiques et ça me comblera. « Genre Orgueil et Préjugé ou Raiponce... Quoique j'ai jamais vu Le Secret de Brokeback Mountain, t'en dis quoi ? » Je n'entends pas une seule seconde rester seul devant mon film. « Choisis pour moi. » lançai-je en allant chercher le plaid bien plié pour l'étaler tout en tapotant la place pour qu'il pose ses magnifiques fesses à côté des miennes.
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Patate Douce
Dim 6 Mar - 17:11
Sullyvan Andrews
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J'actionne un bouton qui fait sortir la télé du mur. Toujours aux faits des récentes technologies.. Ce qui est .. mon métier. Je passe quand même un chiffon dessus, et l'allume ensuite. Je dois m'en servir deux ou trois fois dans l'année, tellement, je l'oublie. Il me cite des noms de films que je ne connais pas.. Mais rien que de savoir qu'il veut regarder du romantisme, ça me fait grimacer. Mais bon, il a vécu pire, je peux survivre une bonne heure trente.. Je crois. Au mieux, je m'endormirais et on en parle plus. Rituel d'aller chauffer du popcorn caramélisés que je benne dans un saladier et je le pose entre nous une fois bien installé sur le plaid.
Avant de le lancer ta torture .. Je rigole, me regarde pas comme ça .. Pour le gala, tu as à choisir parmi cinq six dans le tas que je pointe du menton, jonché sur la table du salon. Ensuite, faudra trouver des tenues coordonnées, te faire apprendre le nom et fonction des gens importants et y assister. Il faut aussi que tu gardes en tête, que durant ce gala, il y a des gens comme .. moi. Et qu'ils vont découvrir que je suis plus solo.. Ca envoie le message de .. Touchez pas ou on vous bute sale. Est-ce que tu me suis ? J'aurais peut-être dû adoucir mes propos. Trop tard. Sinon, c'est un ballet d'hypocrites mais on y mange très bien. Je veux que tu choisisses parce qu'on va faire don à une association qu'on va suivre durant un an et je veux que ça te tienne à cœur. Tu pourras être amené à t'y déplacer avec ou sans moi. Alors choisis bien.
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Lojzo
Dim 6 Mar - 17:46
Louis Dumas
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La télé sort du mur et je ne peux m'empêcher de sourire d'un air approbateur. Evidemment. Cela n'aurait pas dû me surprendre, Sullyvan est comme ça. Je le regarde pendant qu'il prépare les pop-corn et ça me touche, parce que je comprends à cet instant que je dois être la seule personne à l'avoir déjà vu comme ça. Sullyvan est un ganster, un mec qui n'a pas froid aux yeux et en plus il gère une grosse boîte. Bref, c'est un mec hors du commun qui ne ressemble à personne d'autre. Et voilà qu'il me prépare des pop-corn pour regarder un film que j'aurai choisi ? Dans quel monde vis-je ? Comment puis-je mesurer ma chance ?
Avant de choisir le film, il me parle du gala. J'aurais voulu repousser, oublier l'extérieur un instant, mais je ne peux pas. J'écoute ses consignes jusqu'au bout et je fouille dans mes différents choix. Je ne pratique pas de musique, je suis très mauvais danseur, je n'ai pas vraiment de hobby particulier et les animaux, c'est mignon, mais... je pointe du doigt vers l'Academies des Sciences. « Les sciences, j'en ai fait beaucoup à l'école, j'adorais ça et je pense que c'est important pour le futur de notre monde. » Je souris tendrement. Je suis sûrement naïf, mais les génies scientifiques ont fait beaucoup pour que la vie soit plus confortable ou pour éviter des désastres. Genre l'écologie, mais ils ne sont pas écoutés. « Tant que la bouffe est bonne. » Je plaisante pour me raccrocher à ce que je connais, ce que je sais. Apprendre tous ces noms, ne pas me pisser dessus devant les regards des autres, et survivre à cette soirée... ça risque d'être pas mal compliqué, alors autant se concentrer uniquement sur la seule partie réjouissante : il sera à mes bras et la bouffe sera excellente.
Puis j'attrape la télécommande. « Maintenant ne parlons plus de boulot et concentrons-nous sur la vie d'Elizabeth Bennet. » Je souris, je n'ai pas vu ce film depuis des années, mais c'est complètement parfait pour laisser de côté la réalité et se plonger dans l'histoire d'amour qui nous tend les bras. Et puis j'ai hâte de voir Sully devant ce chef d'oeuvre.
Au bout d'une heure, je me rends compte que je connais encore toutes les répliques et que je suis totalement à fond dans le film. J'ai oublié même de regarder comment Sullyvan le vit, alors je me réinstalle confortablement dans ses bras et savoure chaque seconde du film.
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Mar 29 Mar - 21:57
Sullyvan Andrews
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Il choisit les sciences. Ma foi, je suis surpris. Je pensais qu'il allait nous embarquer pour les animaux, ou les gosses mais non, ce sont les calculs et autres découvertes, plus ou moins douteuses qu'il veut. Et oui, il y a certaines recherches qui me laissent perplexes parce qu'on peut faire dire n'importe quoi aux chiffres mais bon, la moitié veut, la moitié aura.
Je hoche la tête pour confirmer son choix, souriant quand même un peu. Je veux pas qu'il panique ou change d'avis. Super important pour l'avenir alors allons-y gaiement. Parfait, va pour les sciences et les volcans explosifs ! Je demanderais au tailleur de nous caler un rdv.. Le gala est dans deux semaines. J'ai bien fait de regarder maintenant. Préparation mentale intensive à venir. Je le connais, il va finir en loque, et c'est son nom qu'on verra dans le dico à côté d'angoissé. Je le regarde en coin mais bien vite, il décroche mentionnant je ne sais pas qui. Alors je me mets en face de la télé prêt à tout supporter.
Le film se déroule et c'est d'une niaiserie sans nom. Et ça ne me surprend pas de Puppy.. La fragilité, c'est aussi un synonyme chez lui. Par deux fois, je me suis endormi avec lui jouant au lipsync, jusqu'à le sentir se poser contre moi. Et ça y est, j'estime avoir jouer les parfaits petits amis, je peux l'emmerder maintenant. Mains luxueuses venant se balader sur son torse, c'est bon, je veux faire un autre film plus intéressant moi. Alors, gentiment, je tente de capter son attention sur mes intentions, rien de chaste. Ma bouche vient attraper le cartilage de son oreille.
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Lojzo
Mar 29 Mar - 23:11
Louis Dumas
J'ai 28 ans et je me trouve dans un hopital, des USA. Dans la vie, je suis sans emploi puisque je viens de démissioner. Sinon, je suis fou amoureux.
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Je ne sais pas ce qu'il pense de notre gala, mais il approuve verbalement, alors ça doit le faire. De toute manière, il n'aurait rien dit, qu'il apprécie ou pas, c'était mon choix. J'essaie de sonder ses prunelles, mais je ne capte rien. Je souris. Et bien vite, mon sourire s'efface et je me tends. Deux semaines. Tailleur. Cela fait trop. Je ne suis clairement pas prêt. Il s'approche et son contact me calme. Je tente un sourire, mais on parlera de tout ça, plus tard. Une autre fois. Là, nous avons rendez-vous avec les Bennet, les Bingley et les Darcy.
Je voulais regarder comment Sullyvan réagit au film, mais il s'endort et moi je suis beaucoup trop à fond. Tant mieux, au moins il ne voit pas mes larmes qui coulent, ni mes lèvres qui bougent seule lors de mes répliques préférées.
Pour la fin du film, je m'allonge en me lovant contre lui. Juste comme ça, pour me consoler, réconforter, sans arrières pensées pour une fois. Sauf que ses mains viennent contre mon torse et ses doigts me font frissonner. Sa bouche contre ma peau me fait oublier le film. Totalement, je ne l'aurais pas cru possible. Je ferme les yeux pour savourer chacune de ses caresses. Et mes mains se mettent à bouger par elles-mêmes, comme attirer par le magnétisme de son corps contre le mien. Et, alors que Darcy déclame une fois de plus son amour, je pose mes lèvres contre les siennes. Dans un baiser ardent et passionné. Un baiser qui me semble aussi urgent que nécessaire, ce baiser traduit tout ce que je suis incapable de lui dire. Un geste vaut mille mots. Et mes lèvres contre les siennes en valent des milliers.
Je soupire en rouvrant les yeux pour admirer son visage. J'embrasse le coin de sa bouche, puis l'angle de la mâchoire jusqu'à son oreille. « Déshabille-moi » soufflai-je dans le creux de son oreille avant de m'attaquer à son cou. Mes lèvres se posent presque sans s'appuyer et je continue mon trajet. Jusqu'à son torse. Son tee-shirt me gêne et je le lui hôte. Mes mains continuent leurs caressent tout comme mes lèvres. Mon esprit est entièrement tourné vers lui et plus rien d'autre n'a de sens.