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LE TEMPS D'UN RP

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate)

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Dim 15 Oct - 20:34

Phillip
Ford

J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate) - Page 8 A47633b0b8193bf0_5
J’essayais fort d’être le plus plaisant possible, à tout le moins de détendre l’tmosphère.Je fis donc la blague la plus nulle au monde espérant qu’elle rebondisse dessus.Elle avait une chance incroyable de dire justement comment j’étais gamin, bébé et idiot même si elle le voulait et…non. Il fallait vraiment qu’elle travaille son humour c’est pas possible être aussi sérieuse! Cependant à sa question je lui fis le plus grand sourire de gamin espiègle.

- J’ai un odorat fort développé ma chère dis-je en tapotant mon nez, flair de flic à ce qu’on dit.

A-Tu as surtout le flair pour te foutre le nez partout.


Cependant je ne dis rien de plus donnant la chance à Taylor de me chambrer bien comme il faut alors quand mes soeurs se tournèrent vers elle, elle semblait chercher quoi dire. Encore là rien.Ça ne faisait pas trop longtemps qu’on bossait ensemble? Je haussai un sourcil à sa réponse alors que ça faisait quelques mois. Elle aurait pu ramener n’importe quoi. non au lieu de ça elle dit qu’elle avait rien à ajouter. Ok… alors elle n’avait décidément pas d’humour. Prenant une bouchée elle répondit à ma soeur jetant un petit silence mis je fini par sourire et rire doucement après que mon beau-frère eut éclaté de rire. Même mon père riait doucement au bout de la table en disant simplement “Elle est bonne Taylor”. Finissant de mastiquer elle répondit franchement au pourquoi elle ne m’appelait pas par mon prénom. En entendant son explication je tournai lentement le regard vers elle partagé entre le rationnel de son explication et être touchée. Est-ce que c’était la vérité? C’était vraiment mettre une distance pour éviter de trop “s’attacher”? Pourquoi alors cette distance. Au vu de ce qu’elle m’avait confiée, je pouvais peut-être comprendre un peu. C’était à la fois gentil et perturbant. Est-ce que tout mes efforts pour tenter de me rapprocher et qui sait m’en faire une amie serait déjà voué à l’échec? Je n’eus pas le temps d’explorer la question un peu plus alors que mes sœurs la bombardaient de questions sur sa vie personnelle. Je me doutais que ça devait plaire moyen à la jeune femme mais elle répondit simplement et je pouffai de rire quand elle leur dit qu’elles auraient dû être flic.

- Ça va arrêtez, je vais avoir peur à mon poste…

A-Non on va te laisser ça. Et toi frangin? Tout va bien?

- Euh… ouais… Comme tu vois…

R- Non mais vu la réputation de tombeur que tu as on se demande…


Rachel me fit le grand sourire innocent et qui me fit rouler des yeux. Je poussai un soupir long comme ma vie et lui tirai la langue.

- Côté réputation ça va. Puis comme la plupart sont gros débiles, je les laisse parler. Comme ça, ça occupe leur vie. Tu as envie que je décrive plus ou…

R- Non! Ça va aller! Je n’ai pas envie de savoir ce que mon frère fait dans son lit.

- Rachel? Je vais te dire ce que je fais… je dors!


Je terminai mon assiette en posant mes ustensiles dedans. J’avais trop mangé mais c’était tellement bon!

- Mais ça dû faire jaser au poste non que vous soyez partenaires non? dis mon père

- Bah… ouais mais bon, comme j’ai dis à Taylor c’est de les laisser parler. Qu’elle faisait un bon boulot et se concentrer là-dessus. Pour les plus cons ça ne donne rien de dépenser de l’énergie pour tenter de leur faire entendre raison. Ils resteront stupides c’est tout. N’empêche qu’on a dû la jouer petit couple pour une enquête…

Ma mère débarrassant la table se figea devant moi et je croisai son regard. Ouais…dis comme ça, c’était assez bizarre. Ce n’est pas avec Bill que je faisais des trucs pareils. Quelques fois mais jamais rien de comparable. En même temps jouer au couple avec un partenaire grisonnant à la moustache digne de Tom Selleck non merci.

- Ouais mais c’était normal. On arrivait à rien puis on a été pro. C’était ennuyant,banal et aucun plaisir dis-je sur le ton moqueur, On ne c’est même pas amusé un petit peu.

A- Toi tu as joué au couple? Oh Taylor quel supplice ça dû être! C’est décidé, demain je vais te faire un trophée de celle qui ne l’a pas étranglé encore.

- Hé! J’ai été gentleman!


Ajoutais-je indigné en lui lançant un bout de pain à elle également.
Arthécate
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Lun 16 Oct - 8:14

Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien!

Informations supplémentaires ici.


J’ai un odorat fort développé ma chère répondit-il, fièrement en tapotant son nez, flair de flic à ce qu’on dit.
Tu te souviens qu'on bosse ensemble et que j'ai largement eu l'occasion de voir à quel point ton "flair" de flic pouvait s'avérer défaillant, n'est-ce pas ? rétorquais-je en haussant un sourcil moqueur.
– Ah ! Il y a donc des anecdotes à raconter ! s'écria Rachel en se frottant les mains.
Secret professionnel, la coupais-je en souriant. Je préfère garder ça sous le coude pour la prochaine fois où il me cassera les pieds… Donc pour lundi, 8 heures…

S'en suivirent d'autres questions… Une longue série de questions curieuses devenant de plus en plus personnelles. Décidément. Heureusement, après avoir évoqué la vie amoureuse parfaitement inexistante, les deux frangines décidèrent de s'intéresser à celle de leur frère. Ils évoquèrent brièvement les rumeurs et commentaires que l'on subissait au quotidien. Voyant que madame Ford se levait pour débarrasser, je décidais de l'imiter afin de l'aider un peu… Jusqu'à ce que mon collègue ne mentionne cette fichue histoire de couverture… A quoi il jouait à la fin ? Pourquoi toujours tout ramener à ce moment ? Je le dévisageais en plissant les yeux avant de simplement ramener les assiettes à la cuisine.

– Quelque chose me dit que ce n'était pas si ennuyeux que ça, petit frère, railla Rachel en croisant les bras pour l'analyser. Vous vous êtes embrassés ?
Il m'a embrassé, précisais-je en récupérant les plats vides. Il a cru que notre couverture allait être grillée, alors il a paniqué…
– Ooooh… Et aujourd'hui il t'invite à partager notre repas. Intéressant ça… Très intéressant…

Je ramenais les plats en cuisine avant d'aider madame Ford avec le dessert. Je n'avais aucune envie de me retrouver au milieu de la conversation qui se déroulait à côté. À la place, je répondais aux questions de la mère de famille concernant mes parents. Je lui expliquais notamment pourquoi nous ne fêtions pas Thanksgiving chez nous.

– Alors comme ça… Elle te plaît, chuchota Rachel à son frère.
– En même temps, elle est plutôt jolie et me semble très intéressante comme fille, renchérit Andy.
– Puis elle a du caractère… Je l'aime bien.




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Lun 16 Oct - 17:35

Phillip
Ford

J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate) - Page 8 A47633b0b8193bf0_5
ENFIN!! Elle se permettait de s’ouvrir un peu. Donc en l’entendant, je n’étais qu’encore plus ravi! Je lui servis un sourire moqueur en croisant les bras sur la table en la dévisageant trop content qu’elle se lâche un peu.

- Bah…. Lundi 8 heures ou si tu es patiente Rachel dans… je regardai ma montre, quelques heures…

Si les questions sur la vie personnelle de Taylor ne semblaient pas les ravir, du moins elles ne posèrent pas plus de questions que ça, la mienne en revanche semblait vachement les intéresser. En fait je les comprenais un peu. Après ma séparation je l’avais mal pris. Je m’étais jeté dans le boulot a ne plus voir personne. Je ne téléphonais plus a personne non plus leur disant un simple “Ça va” rien pour rassurer des parents inquiets et des soeurs protectrices. Donc que mon père s’inquiète de ce que les gens ont pu dire sur nous était légitime, il avait travaillé toute sa vie comme ambulancier alors il en avait entendu de toutes sortes. Mais j’était honnête, ne pas écouter les ragots. Faire notre boulot et Taylor était un bonne flic je ne voulais pas non plus que les gens s’acharnent sur elle pour des conneries. Aussi abrupte qu’elle peut être un moment ça joue sur le moral. Mais je parvins à glisser que nous avions joué au couple pour une infiltration et ajoutant, à la blague, que ça avait été moche moche, aucun plaisir. Ma mère se figea mais Taylor me regarda en plissant les yeux. Je pense que si elle aurait pu me les arracher en ce moment elle l’aurait fait. Je ne fis rien d’autre que de lui offrir mon sourire le plus espiègle qui soit.

- Non mais paniqué… grand mot. Mais non c’était moche moche. La preuve elle m’a même conseillé de prendre Bill mais comme sa barbe pique.. je ne sais pas trop. Mais elle a eut une bonne idée! Elle m’a conseillé Jensen, sa barbe est toute douce. Je pense que c’est lui que je vais prendre…

A- T’es con c’est pas possible… mais tu esquive la question.

- Je l’ai invité pour une immersion dans la fête de Thanksgiving et en ce moment… vous êtes pas trop mal pour une immersion.


Taylor disparu dans la cuisine avec ma mère alors que mes soeurs en profitèrent pour me demander si elle me plaisait et ajouter en prime qu’elle était jolie et qu’elle avait du caractère. Voilà… elles voulaient me caser à présent. Je relevai un regard vers la cuisine avant de le reporter sur mes frangines.

- Elle est jolie oui et elle a un sacré caractère mais non ça reste une collègue. Rien de plus.

R- Oh à d’autre Phil…

- Hé, j’ai déjà invité Bill plusieurs fois c’est la même chose. Elle ne connaissait pas Thanksgiving c’est un moyen pour qu’elle connaisse.

- N’empêche que tu t’amuse à la taquiner et dis ce que tu veux fils mais c’est comme ça que j’ai eu ta mère.


J’ouvris la bouche pour répliquer mais je ne trouvais rien à dire sauf un simple “N’importe quoi…” pour mieux me renfrogné. Oui bon le baiser j’avais bien aimé, enfin après quand se fut plus tendre, moins sauvage et elle semblait elle aussi avoir aimé mais je n’étais pas dans sa tête, je ne lisais pas les pensées non plus.

A- Tu lui a parlé de Sofia?

- Non. Juste un bref résumé qu’elle était partie avec un mot sur la table et depuis plus rien
.

Andy me regarda en fronçant les sourcils suspicieuse. Ce n’était pas une chose que j’aimais vraiment évoquer. Elle l’avait dit elle-même, elle m’appelait Ford pour ne pas trop étre proche donc à quoi bon lui dire tout ça? Ça apporterait quoi de plus sinon. Quand elle revinrent je souris à ma mère qui posait la fameuse tarte à la citrouille et coupa les parts pour les distribuer.

- Oh! J’ai oublié le café!

- Laisse maman, je m’en occupe. Tu en as fait beaucoup depuis ce matin.

- Prends le service de porcelaine!

- Je sais!
dis-je en regagnant la cuisine.

Je fouillai pour trouver le service de porcelaine en prenant de grande précautions pour éviter de le casser et versai le café dans la cafetière et revint avec le service en le posant sur la table avec autant de précaution. Le reste du repas se déroula somme toute bien, des questions pour mieux connaître Taylor que je laissai répondre mais elle n’en disait pas trop. Juste assez pour répondre et pas trop pour ne pas qu’on la bombarde de questions. Je buvais mon café lentement écoutant la conversation qui se déroulait sous mes yeux et ce que je me rendis compte c’est que je buvais carrément les paroles de Taylor. On parlait tellement peu de nous que chaque bribes que je pouvais savoir de sa petite vie m’intéressait. Enfin ça se fut jusqu’à ce que ma nièce et mon neveu viennent me demander de jouer au football avec eux dans la cour.

R- Laissez votre oncle tranquilles vous deux!

- Ça va Rachel. Juste quelques minutes.


Je me tournai vers Taylor et lui fit un sourire gentil avant d’enlever mon veston pour aller dans la cour.
**************************
Rachel sourit doucement en voyant son frère s’éloigner avec ses deux marmots. Ils le voyaient si peu souvent qu’à chaque fois c’était presque une fête pour eux quand il était là.

- Désolé si on a été déplacé Taylor, mais on voit si peu souvent Phil qu’on ne peut s’empêcher de le taquiner. Tu sais, tu es une fille très chouette. Je suis contente de faire ta connaissance.

A- Ça fait du bien de voir Phil un peu plus lui-même en fait.


M. Ford releva le regard sur ses deux filles les avertissant du regard de ne pas aller trop loin. Mais ce fut Mme. Ford qui se racla la gorge doucement.

- Ce qu’on essaie de te dire Taylor c’est que Philippe a été en couple longtemps avec une fille. Je ne dirais pas tout ce qui c’est passé mais il l’a aimé profondément et un soir il est revenu et il n’avait plus rien dans son appartement sauf son lit et une note qui lui disait qu’elle le quittait.

- Clara… je ne pense pas que Phil aimerait…


Elle balaya l’air de la main et se tourna vers la jeune femme et lui fit un sourire gentil et prit une voix douce pour que la jeune femme comprenne que ce qu’elle allait lui dire ce n’était pas méchant, juste un plus pour qu’elle comprenne son fils.

- Il n’aime pas en parler. Il survole à peine le sujet mais ça l’a vraiment affecté. Il ne venait plus nous voir, il n’appellait plus. Il se plongeait dans le boulot même Bill, son ancien partenaire, a eut du mal à le faire parler. Depuis disons… un an, il est lentement redevenu lui-même. Il n’en parle pas plus mais il rit plus. Il joue des tours, taquine ses soeurs et même nous deux. Alors s’il fait le gamin, s’il est casse-pied ne lui en tient pas rigueur. C’est un bébé de famille alors il a toujours eu ça comme trait de caractère.

A- En même temps… il peut vraiment être un gros casse-pied et un gros gamin. dit-elle en riant.

Un silence flotta quelques minutes. Ce silence qui arrive quand une confidence est faite. Ce fut M. Ford qui releva le regard vers la jeune femme et prit une inspiration.

- On est content de t’avoir à notre table Taylor. J’espère que tu as quand même apprécié ton immersion dans cette fête. Malgré ces trois loustics qui n’arrêtent pas de se tirer la pipe. dit-il avec un sourire. Sache Taylor que tu seras toujours la bienvenue ici, quand tu voudras. On est peut-être disons éclaté, mais on aime les gens. Donc si une autre fête se présente et que tu souhaites y participer, tu es la bienvenue.
*****************
Je jouais plusieurs minutes avec les petits et je profitais de chaque moments, chaque rires qui sortaient de leur bouche. Dieu que j’aimais ces gamins! Les manches roulées aux coudes, le souffle court après avoir couru, je leur dit que ça serait le temps de rentrer, surtout ne pas laisser mon invitée seule trop longtemps. Je fis passer les petits avant moi qui entrain au pas de course alors que je rejoignis la table soudainement plus silencieuse.

- Vous parliez de quoi?

R- Comment tu pues!

A- Non je pense que c’est comment il peut être vraiment chiant…

- Ah ah ah, vous êtes pas drôle,
me tournant vers la jeune femme je lui sourit doucement, désolé de t’avoir laissé avec eux mais je ne pouvais manquer une partie de foot.

Surtout profiter de ma nièce et mon neveu que je voyais trop peu souvent.
Arthécate
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Lun 16 Oct - 18:07

Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien!

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En réalité, je ne m'attendais pas à passer un aussi bon moment avec de parfaits inconnus. Je me laissais aller à répondre à leurs questions, même si je me contentais généralement de survoler les divers sujets évoqués. Je n'ai jamais vraiment aimé parler de moi et ce, depuis toujours. J'avais certes livré à Ford quelques détails très personnels et douloureux de ma vie, mais cela restait une exception. Le tout dans le but d'éviter de faire face à quelques maladresses de sa part, point.

Je pris donc un café tout en savourant la tarte à la citrouille que je trouvais succulente. Je n'en avais jamais mangé auparavant, je ne savais même pas que cela se cuisinait à dire vrai… Pour moi, elles servaient uniquement à décorer les maisons pour Halloween. Après cela, Ford nous abandonna pour jouer avec ses neveux dans le jardin.

Ce fut le moment que sa famille choisit pour évoquer un sujet plus que personnel… Je ne comprenais pas vraiment pourquoi ils me parlaient de tout cela. Pourquoi ils se permettaient de livrer ce que Ford lui-même avait décidé de garder pour lui. Pourtant, afin de rester polie, je me contentais d'écouter en serrant les dents. D'accord, ce qu'il avait vécu à ce moment-là était particulièrement moche et injuste, mais cela ne me regardait absolument pas. J'étais quand même contente d'apprendre qu'il s'en remettait, même si lentement. Je pouvais aisément comprendre que cela avait dû être difficile à vivre pour lui et je comprenais parfaitement son besoin d'éloignement. Moi-même, lorsque je me sens mal, j'ai la fâcheuse tendance à me renfermer sur moi.. Un peu comme une huître qui couve sa perle, je couve mon malheur et ma détresse. Et je ne pense pas être la seule à agir de la sorte. C'est quelque chose que je respecte et que je comprends…

La conversation s'acheva lorsque monsieur Ford déclara être heureux de m'avoir à leur table. Je lui souris, reconnaissante, avant de les remercier sincèrement pour leur accueil et pour ce merveilleux repas… J'avais d'ailleurs, un peu trop mangé.

Mon collègue revint à ce moment-là, visiblement très fatigué après avoir couru après deux enfants et un ballon. Je ne pus m'empêcher de sourire avant d'ajouter qu'il ferait peut-être mieux de les voir plus souvent afin de maintenir sa forme.

Les conversations reprirent de plus belle, mais ces dernières se concentraient uniquement sur les deux frangines. Je vécu cela comme une sorte de moment de repos, une accalmie qui me permettait de souffler un peu. Finalement, lorsque vint le moment de partir, j'eu droit à de nouvelles accolades amicales où l'on me fit promettre de revenir. Cette promesse, je n'étais pas certaine de pouvoir la tenir… Mais on ne me laissa pourtant pas partir sans…

Je remontais dans la voiture et attachais ma ceinture de sécurité sans réellement savoir qu'ajouter.

Je ne suis pas certaine d'en avoir beaucoup appris sur Thanksgiving, en revanche… J'en sais beaucoup plus sur toi, lui dis-je en souriant. Alors, dis-moi, est-ce que tu continues de porter des sous-vêtements féminins ou pas ?



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Mar 17 Oct - 8:16

Phillip
Ford

J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

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J’espérais sincérement queTaylor s’amuse et passe un bon moment malgré les taquineries et les rentre dedans qu’elle pouvait avoir. J‘avais conscience que pour elle ce devait être trop et tout en même temps.Je tentais le plus possible de ne pas la laisser seule trop longtemps pour éviter qu’elle se sente complètement délaissée. On avait mangé comme des porcs, j’étais repu comme jamais et la mini partie de foot, même si elle avait duré quelques minutes, m’avait tué. J’adorais mon neveu et ma nièce et je m'arracherait le coeur pour eux mais en ce moment je préférais aller rejoindre Taylor pour ne pas la laisser seule trop longtemps. Quand elle me dit que venir les voir plus souvent pour maintenir la forme je lui répliquais que j’étais entrain d’y songer. Les conversations se concentrant sur mes soeurs et leur vie personnelle et professionnelle. C’était plus tranquille, moins le bordel et on discuta simplement. Une fois le repas et le café terminé, on quitta non sans que ma mère me donne quelques plats, enfin à Taylor aussi, pour nos repas de la semaine. En nous disant que nous devions pas avoir le temps de cuisiner et de bien manger.

Je remerciai ma mère et embrassai celle-ci et mes soeurs, enfin tout le monde avant de regagner lentement la voiture. Un fois assis dans la voiture et mon veston jeté simplement derrière, je mis le contact et tournai mon regard vers la jeune femme en riant doucement.Je mis la marche arrière en secouant la tête lentement.

- Tu n’as pas idée comment on est bien dans les sous-vêtements féminins mais j’ai arrêté je n’avais pas envie de me faire juger. Tu crois que je devrais recommencer?

Dis-je moqueur en lui jetant un regard rapide pour le reporter sur la route.

- Puis tu as quand même appris qu’on ne mangeait pas de la dinde en regardant le football. C’est déjà ça. On mange à la table comme tout le monde.

Ajoutais-je avec un sourire le ton taquin. Pendant un moment un silence flotta,pas un silence de malaise, juste ce silence dont on profite après une soirée un peu bruyante et mouvementée.

- J’espère que tu n’as pas été trop déstabilisé par toutes ses accolades. Je suis désolé de ne pas t’avoir avisé avant. Ça m’a fait du bien de les revoir, je les vois pas beaucoup avec le boulot.

J’arrêtai à une lumière rouge et tournai le regard vers elle quelques secondes avant de le reporter sur la lumière devant moi. Je la trouvais vraiment jolie dans sa robe et malgré que je me sois fait boulé pour mon compliment je ne pouvais m’empêcher quand même de la trouver belle. Encore plus quand elle souriait et que son regard pétillait de joie.

- Puis tu as eu l’air de t’amuser aussi je me trompe?

Enfin entre le “Philou” de ma mère, et les conneries de mes soeurs, elle devait avoir matière à bien se foutre de moi. Pas que ça me dérange, j’étais quelque part plutôt content qu’elle ai pu s’amuser et juste se laisser aller. Si le trafic était moins dense qu’à notre départ, n’empêche qu’il y en avait quand même un peu et même les petites rues étaient pleines de gens. Peut-être que ce souper, adoucirait notre relation qui était disons… bizarre. En tout cas j’aimerais bien que se soit une relation plus que partenaires de travail.

- Je peux te demander quelque chose? dis-je doucement, Pour ce qui est de m’appeler Ford… tu le pensais vraiment? Je veux dire, pour éviter de ne pas t’attacher émotionnellement s’il m’arrive quelque chose? Parce que oui j’aimerais mieux que tu m’appelle Philippe ou Phil mais je pense que je peux comprendre pourquoi tu ne le fais pas.

Je lui fis un sourire rapide en tournant la tête vers elle et continuer la route. Ilme semblait que c’était interminable comme route, mais bon on était en fin de soirée, les gens bossait demain alors je comprenais que le retour à la maison soit moins rapide. Après de longues minutes je me garai au bas de chez-elle et me tournai vers elle.

- Merci d’avoir accepté de venir dans ma famille. J’apprécie vraiment et si en prime tu t’es amusé, je suis vraiment content. dis-je doucement
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Mar 17 Oct - 12:54

Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien!

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Tu n’as pas idée comment on est bien dans les sous-vêtements féminins, mais j’ai arrêté je n’avais pas envie de me faire juger. Tu crois que je devrais recommencer?

"Quel idiot", pouffais-je simplement…J'hésitais à lui répondre que, contrairement à lui, je n'avais pas arrêté de porter des sous-vêtements féminins. Et que, par conséquent, je connaissais plutôt bien la sensation. Néanmoins, je préférais garder cela pour moi…

Loin de moi l'idée de te juger, voyons . Tu peux bien faire ce que tu veux… Et puis je suis certaine que Jensen apprécierait, plaisantais-je en souriant à pleines dents.

Je pouffais à nouveau lorsqu'il me parla de la prise du repas, à table comme tout un chacun, avant de poursuivre la route en silence. J'appréciais ce moment de calme et manquais même de m'endormir bercée par les mouvements et les bruits du moteur. C'était presque apaisant.

J’espère que tu n’as pas été trop déstabilisé par toutes ses accolades. Je suis désolé de ne pas t’avoir avisé avant. Ça m’a fait du bien de les revoir, je les vois pas beaucoup avec le boulot.
Bof, j'aurais dû m'en douter vu que tu es toi-même très tactile. C'est sans doute de famille. Mais ça m'a plus surprise que réellement dérangé, ne t'en fais pas.

Ouais, on n'est pas très "câlins" dans la mienne. C'est pas vraiment le genre de la maison et puis… Je n'aimais pas vraiment être touchée de manière générale, encore une chose qui expliquait mon célibat. Je travaillais encore là-dessus avec ma psy et j'avais quand même bien progressé, mais ce n'était pas gagné.

Je peux te demander quelque chose? Pour ce qui est de m’appeler Ford… tu le pensais vraiment? Je veux dire, pour éviter de ne pas t’attacher émotionnellement s’il m’arrive quelque chose? Parce que oui j’aimerais mieux que tu m’appelle Philippe ou Phil mais je pense que je peux comprendre pourquoi tu ne le fais pas.
Le mensonge, c'est pas vraiment mon truc, Ford. Mais ce n'est pas uniquement "au cas où" il t'arrive un pépin, soufflais-je en cherchant les bons mots pour être parfaitement claire. Mais moi, ce que je ne comprends pas c'est pourquoi tu cherches à dépasser les limites. En quoi ça t'embête que nous ne soyons que de simples collègues de boulot ? On bosse bien ensemble, c'est pas suffisant pour toi?

En réalité, je peinais vraiment à le comprendre par moment. On passait énormément de temps à se disputer, même si l'on veillait tous deux à ce que cette mésentente n'affecte pas notre boulot. On s'en sortait plutôt bien, malgré ça et je trouvais cela parfaitement suffisant. Je n'avais pas besoin de m'en faire un ami. Peut-être aurais-je dû simplement refuser son invitation… C'était totalement illogique et probablement irresponsable de ma part… Plus particulièrement en l'écoutant me dire qu'il était content que je me sois amusée parmi les siens.

Merci de m'avoir invité. Ça m'a fait du bien même si… Si je dois être totalement franche avec toi, je suis au courant pour Sofia. Ne leur en veux pas, je suis certaine qu'ils avaient de très bonnes intentions pour m'en parler. Mais je crois qu'ils se font de fausses idées nous concernant… Ils pensent que l'on flirte, toi et moi, ou peut-être bien plus que ça.

Allez savoir pourquoi, je ne le regardais pas en disant cela. Mes yeux semblaient totalement absorbés par le tupperware posé sur mes genoux.

Enfin, voilà. Je préférais te le dire. Mais ne t'en fais pas, on n'est pas du tout obligés d'en parler. Cette histoire est la tienne et j'estime qu'elle n'appartient qu'à toi.




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Mar 17 Oct - 21:33

Phillip
Ford

J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

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Je sais que je pouvais être complètement idiot quand je voulais mais juste de l’entendre pouffer et rire c’était un petit cadeau, une petite fierté personnelle. Donc quand elle m’exposa l’idée, très débile, que Jensen apprécierait je fis mine de réfléchir en plissant les yeux.

- Hum… pas bête en plus ça irait super bien avec sa belle barbe douce. Je vais y penser tiens!

Et ce sourire! Ok elle n’aimait visiblement pas les compliments mais n’empêche que je la trouvais fort jolie quand elle souriait ainsi. Jusqu’à ce que le silence tombe et qu’on profite de ce petit moment jusqu’à ce que je m’excuse de ne pas l’avoir mis au courant pour ma famille. Cependant elle ne semblait pas m’en tenir rigueur et bien que moyennement à l’aise, elle avait quand même survécu à la vague de câlins. Mais une autre chose me tracassait. Ce “Ford” qu’elle employait pour me parler. Oui ça me dérangeait mais quelque part je voulais m’assurer que ce qu’elle avait dit c’était bien ce qu’elle pensait. Et on revenait encore sur la même question: Pourquoi je tenais tant à ce qu’elle m’appelle par mon prénom.

- Parce qu’un partenaire de boulot, c’est plus qu’un partenaire de boulot Taylor. C’est un peu comme ton autre famille. Celui sur qui tu peux compter en tout temps. Ça ne va pas, bien l’autre est là pour te supporter et vice versa. Je sais que tu n’as pas besoin de m’appeler Phil pour ça c’est juste que j’aimerais avoir l’impression d’être plus qu’un partenaire de travail… Enfin, tant que tu ne m’appelles pas Philou.

Terminais-je en blaguant doucement. En fait je n’aimais pas qu’on m’appelle par mon nom de famille. Je trouvais que ça faisait petit chien obéissant. Enfin je n’aimais pas, peut-être que je pourrais le dire tout simplement ça serait plus simple. Putin que j’ai du mal parfois! Une fois arrivé à son appartement je la remerciai d’être venue et qu’elle se soit amusée parmi nous même si ça n’a pas dû être évident par moment. Quand elle me dit qu’ils lui avaient parlés de Sofia je soupirais lentement en baissant le regard. C’est clair qu’ils allaient le faire, je savais qu’il le ferait peut-être pour cette raison que je ne me tenais jamais loin de peur qu’il accable la jeune femme.

- Je me doutais bien qu’ils allaient t’en parler tu sais. Peut-être pour cette raison que je ne me tenais jamais loin. Ce n’est pas une partie de ma vie dont je suis vraiment fier tu sais…

Je relevai le regard vers elle, penaud. Un peu comme un gamin pris en faute. Je me mordillais la lèvre quelques instants avant de prendre une grande inspiration.

- Je ne faisais pas que me jeter dans le boulot. Quand j’avais des congés je me jetais dans la bière et je buvais jusqu’à ce que je tombe. Je… je ne savais pas comment gérer tout ça et c’était le seul moyen que j’avais trouvé. Donc inévitablement, je ne voulais voir personne vu mon état, je ne téléphonais plus non plus. Ma réputation je ne me l’ai pas fait juste en regardant une paire de jambes. Je sais que je n’ai pas été le plus gentleman et que même j’ai dû être une putin d’ordure mais je n’étais pas moi-même non plus. C’est mon partenaire Bill qui m’a sortit de tout ça, qui sait ou je serais sans lui.

Pourquoi je lui disais tout ça? On avait passé une belle soirée non? Peut-être parce que je voulais qu’elle comprenne que j’étais un humain avec ses forces et ses faiblesse et que je n’étais pas si gamin après tout. Peut-être pour qu’elle comprenne aussi comment la force d’un partenaire pouvait être bénéfique aussi.

- Peut-être qu’ils ne se font pas de si fausses idées que tu crois…

Ok… là je voulais fondre. Là je voulais disparaître! Pourquoi soudainement ça sortait de ma bouche?? MERDEUUUH!!! Ferme-la Phil!!

- Je veux dire… je sais que tu n’aimes pas que je te dise que tu es jolie, belle et ravissante mais il n’y a pas que les qualités physique. Tu es brillante, allumé, intelligente, franche et honnête. Tu bosse comme une malade, tu es fonceuse, ambitieuse. Tu sais ce que tu veux et tu ne laisse personne aller au-delà de ce que tu veux, même pas moi. Oui on se prend la tête, oui on se dispute sur des conneries mais…

TA GUEULE!! FERME-LA!!!!

- Mais ce baiser, oui j’ai paniqué mais… j’ai aimé aussi. Pas le début… après quand… tu sais… ça été plus tendre…

Raaaaaah…. je me désespérais!! Je devais tellement avoir l’air d’un putin de débile!! J’avais envie de me sauver, de rétrécir si petit pour passer entre les fentes de la porte. Elle allait tellement me prendre pour le dernier des débiles!
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Mer 18 Oct - 9:19

Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien!

Informations supplémentaires ici.


Je l'écoutais m'exposer sa vision des choses qui, avouons-le, se trouvait diamétralement opposée à la mienne. Pour lui, le coéquipier se devait de devenir une deuxième famille, un confident, un appui. Cela semblait même essentiel… Concrètement, il mélangeait allègrement le privé et le professionnel, une chose que je me refusais tout bonnement.

Je t'ai expliqué ce que tu avais besoin de savoir pour comprendre. Je n'ai pas envie de faire de toi mon ami et encore moins ma deuxième famille.

Je soupirais en songeant que, d'une part, je n'avais pas vraiment d'ami et d'autre part, que ma famille était suffisamment défaillante pour me donner envie d'en avoir une seconde à supporter.

Nous étions arrivés devant mon immeuble à présent, et je décidais qu'il s'agissait du bon moment pour lui parler des révélations de sa famille. Je ne voulais pas savoir ça sans qu'il en ai conscience. Je ne voulais pas lui mentir, même par omission. Mais je ne m'attendais pas à ce qu'il se lance dans des explications plus poussées encore… Et il en profita pour placer sa complicité et le soutien offert par son précédent coéquipier.

Je n'ai pas à connaître toute l'histoire, tu sais ? lui dis-je en souriant gentiment. Tu as bien le droit de garder tes petits secrets. Je ne te jugerais certainement pas pour ça.

Face à la tristesse, nous adoptons tous des moyens plus ou moins destructeurs pour faire taire la douleur. Certains affrontent ça plus sereinement, d'autres essaient simplement d'oublier. Nous ne sommes pas tous égaux face à ce genre d'événement.

Ecoute… Si ça peut te rassurer, je t'apporterai tout mon soutien pour le bien d'une enquête. Sois certain que je ne te laisserai pas tomber, si c'est ce qui t'effraie. Je sais bien qu'avec Bill, tu avais une toute autre relation et je suis sincèrement heureuse qu'il ait pu t'aider à affronter une très mauvaise passe… Mais je suppose aussi que tu as bien compris que ce n'était pas mon fort.

Je baissais les yeux, triste de réaliser que malgré tous mes efforts, mon précédent partenaire avait choisi de se donner la mort. J'avais échoué, tout simplement… Et c'est également pour cette raison que je ne voulais plus m'impliquer dans la vie personnelle de qui que ce soit. Je suis… Une catastrophe ambulante. Je suis aimant à emmerdes. Je ne sais pas m'y prendre avec les autres, sans doute parce que j'ai été brisée il y a longtemps et que je ne tiens grâce qu'à quelques petits points de colle. Je ne suis pas un bon appui, c'est même plutôt l'inverse. Et ce détail, il est essentiel que Ford le comprenne.

Je l'avais remercié et nous nous étions expliqué, il était grand temps pour moi de partir. Je venais de poser ma main sur la manette d'ouverture de la portière lorsqu'il prononça une phrase qui m'arrêta net.

Peut-être qu’ils ne se font pas de si fausses idées que tu crois…

Je pouvais sentir mon cœur se recroqueviller sur lui-même, comme s'il cherchait à étouffer ses battements, les faire taire. Je me tournais vers lui, l'air probablement ahuri pour l'écouter énumérer… Énumérer quoi d'ailleurs ? C'était quoi tout ça ? Pourquoi ramenait-il cette histoire de baiser sur le tapis ? Comment ça, il avait "aimé" ça ?

Qu'est-ce que… tu racontes ?

Il était en train de me dire que je lui plaisais, c'est bien ça ?

Attends… T'es en train de me faire quoi là ?

Il parlait du baiser… Peut-être avait-il apprécié parce que cela faisait un moment qu'il n'avait pas embrassé une femme. Peut-être pensait-il avoir aimé ça sans que ce soit tout à fait juste. Il imaginait probablement tout ça… Ou alors, était-il simplement influencé par les blagues des collègues ou les remarques des uns et des autres. Non… Je ne pouvais pas lui plaire. Je l'énervais la plupart du temps… Je me sentais un peu conne, là tout de suite. Je ne savais pas vraiment comment réagir. Alors je fis la seule chose qui me parut intelligente sur l'instant en lui prouvant qu'il ne pensait rien de tout cela… En l'embrassant.

Peut-être qu'ainsi il réaliserait que c'était faux. Qu'il avait tout imaginé. Que l'instant et le contexte l'avaient tout simplement berné et que je ne lui plaisais pas autant qu'il le pensait.

Je posais délicatement mes lèvres sur les siennes, avec autant de tendresse que possible pour reproduire ce fameux instant. Sauf que… Je n'avais absolument pas imaginé que ce ne serait pas une chose difficile. Bien au contraire… Cela me semblait même un peu trop naturel. J'aimais la sensation de ses lèvres sur les miennes… Leur chaleur, leur douceur… J'avais envie de me rapprocher encore… de me coller à lui… Étrangement, ce baiser n'était plus aussi tendre... Il semblait les plus empressé, plus ... Passionné ? Et sitôt que je réalisais cela, je rompis le baiser…

Alors ? dis-je avant de me racler la gorge pour gagner un peu de contenance. Je suis sûre que tu as trouvé ça nul finalement.





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Mer 18 Oct - 17:32

Phillip
Ford

J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen.

Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.

Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate) - Page 8 A47633b0b8193bf0_5
Je savais pourquoi elle tenait à garder une distance. Je savais pourquoi elle tenait tant à ne pas se lier plus que nous étions en ce moment et je pouvais comprendre mais c’était avant, elle n’était pas la fautive dans le départ de son partenaire. La culpabilité parfois nous fait faire de drôle de choses et ça s’en était une. Même pour le fait que ma famille livre une partie de ma vie dont je n’étais pas trop fier. Je sais que je n’avais pas à tout lui dire, que je pouvais garder cette partie de moi secrète. Mais avant qu’elle entendre toute sorte de ragots et une vérité déformée, j’aimais mieux lui dire moi-même.

- Je sais que je n’ai pas à te le dire et tu sais parfaitement que si je ne le voulais pas, je ne le ferais pas. Mais avant que des trucs bien déformée arrivent, au moins tu le sauras de ma bouche. Puis pas besoin d’être excellente ou même être une deuxième mère si disons une situation semblable arrive, juste être là c’est déjà un plus Taylor.

Je l’avais dis doucement, sur un ton doux pas qu’elle sentes que c’est une reproche. Je n’avais pas besoin de me faire materner, une mère j’en avais une, des soeurs aussi. J’avais juste besoin qu’elle se comporte comme si j’étais plus que le collègue qui enquête avec elle. D’ailleurs, sans vraiment que je m’en rende compte, ce filtre que je gardais pour ne pas dire combien j’avais aimé se baiser sembla faire défaut. Je me mis alors à lui dire que… bien je la trouvais vachement attirante. Pas seulement parce qu’elle était belle, pas seulement parce qu’elle avait des courbes à faire damner un saint. Non parce qu’elle était également une femme ambitieuse et intelligente. Elle m’épatait par son aplomb, sa logique et cette manie d’être pince sans-rire alors que je n’étais jamais certain si elle était sérieuse ou non. Je me maudis en lui disant que ce baiser s’il avait été donné dans la panique, je ne l’avais pas détesté. Pas la suite du moins. Quand je la vis se redresser et se pencher vers moi je fronçai les sourcils une seconde et avant même que je lui demande ce qu’elle faisait, elle m’embrassa.

D’abord surpris, je ne répondis pas tout de suite mais sentir cette douceur. Ses lèvres encore sucrées, son souffle sur ma joue. Ma main se glissa sur sa joue, mes doigts glissant dans ses cheveux bruns et chatouillant ma main tel des fils de soie. Le baiser devint plus empressée, plus passionnée alors que ses lèvres, et les miennes, se pressèrent l’une sur l’autre. Mon coeur bondissait un peu plus rapidement contre mon torse, mon souffle un peu plus irrégulier et… tout se termina. Comme ça en un claquement de doigt alors que je me demandais encore ce qu’il venait de se passer. Je tournai un regard vers elle quand elle me dit que j’avais trouvé ça nul au final. Euh… non! On peut recommencer? Du bout de l’index de tournai son visage vers le mien mon regard bleu plongeant dans le sien et je le fouillai quelques petites secondes. Je lui fis un sourire gentil, tendre même.

- Non je n’ai pas trouvé ça nul. Surprenant, mais pas nul.

Machinalement, automatisme sans doute, je me penchai une nouvelle fois vers elle, ma main posé sur sa joue chaude et repris, comme elle, tout doucement, ce baiser qui c’était terminé un peu trop abruptement. Je ne m’éternisais pas, arrêtant justement là ou elle l’avait fait pour ne pas dépasser cette passion qui semblait s’allumer dans mon ventre. Oui bon, je ne cacherais pas que j’avais bien envie de découvrir ce qui se cachait sous sa robe mais je n’irais jamais au-delà de se qu’elle souhaitait… si ça arrivait un jour. Le baiser rompu, je gardais mon regard dans le sien en le scrutant longuement.

- J’étais sérieux Taylor. Tu me plais vraiment et si tu ne veux pas bien… je ne pousserais pas. Puis est-ce que c’était nul ça?

Je relâchais sa joue doucement et souris doucement toujours tourné vers elle.
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Mer 18 Oct - 18:07

Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien!

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Non je n’ai pas trouvé ça nul. Surprenant, mais pas nul, me dit-il, son regard plongé dans le mien.

À cet instant, je compris que nous avions un gros problème… Un problème qui s'amplifia un peu plus lorsque ses lèvres revinrent chercher les miennes. Honnêtement, je ne sais pas où j'avais la tête. J'étais responsable de tout cela… Je m'étais montrée trop confiante, trop convaincue du fait qu'il se trompait, qu'il ne m'appréciait pas tant que ça… Mais sa manière de m'embrasser, elle, elle ne mentait pas et affirmait tout le contraire. Et, intérieurement, je paniquais totalement. Ma tête hurlait de cesser tout cela maintenant… Mais mon cœur comme mon corps semblaient s'être lancés dans une sorte de rébellion sournoise et me trahissaient totalement.

Lorsqu'il me relâcha, je restais silencieuse un moment… J'essayais tant bien que mal de faire le tri dans ces dernières informations. Depuis quand était-ce si difficile ?

J’étais sérieux Taylor. Tu me plais vraiment et si tu ne veux pas bien… je ne pousserais pas. Puis est-ce que c’était nul ça?

Ce n'était pas nul, non… Et c'est bien ce qui m'embête, rétorquais-je en m'éloignant, allant même jusqu'à plaquer mon dos contre la portière pour être sûre de faire cesser tout ça. C'était ça pour toi, devenir "plus qu'un partenaire de travail"?

Je ne connaissais pas vraiment la politique du bureau à ce sujet, puisque je ne m'y suis jamais intéressée. Mais j'étais presque certaine que c'était mal vu voire même interdit par le règlement. Bonjour le foutoir.

C'est pas vraiment une bonne idée. Comment tu veux pouvoir bosser correctement dans ces conditions ? Attends demain, je suis sûre que je ne te plairais plus. Voilà… Faut juste attendre un peu pour ouvrir les yeux correctement.



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