Au clair de Lune les amitiés sont éprouvées [Ft Arthécate] TW +18
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Edward
Dim 28 Jan - 21:30
Roland
J'ai 28 ans et je vis au Chêneraie, un petit village coincé entre un bras de rivière et les collines forestières d’une baronnie d’un Royaume d’Europe de l’ouest. Dans la vie, je suis débrouillard et je m'en sors plutôt médiocrement. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.
Nos langues s’unissent, nous offrant de nous découvrir un peu plus et, même si je me sens gauche comme l’adolescent que j’étais à notre séparation, je sens mon corps réagir. Déja, une boule chaude commence à se former dans ma poitrine, venant apaiser mon cœur, le nourrissant de ce partage qui… Fût très bref. Interrompu, une fois de plus, par Alaïs qui se recula soudainement.
Essoufflée, elle me demande encore d’arrêter, disant que tout ceci, c’était n’importe quoi. Évidemment, cette phrase fait mal car comment ne pas la prendre pour ce que je ressens ? Pourtant, j’ai appris maintenant que, la portée de ses paroles n’est pas toujours là où elle le souhaite. Aussi, sans la lâcher, j’écoute la suite. Deux affirmations se suivent, aucune d’elle ne sonne cohérente avec le baiser que l’on vient de partager. J’ai encore l’arôme de ses lèvres sur les miennes.
Je ne vois rien d’impossible moi… Effrayant, peut-être, mais pas impossible. Dis-je dans un souffle pour tenter de calmer mon cœur.
Alors, poussé par un désir purement humain et personnel, je venais enfouir mon visage dans son cou, caressant ce dernier de mon nez, de ma joue avant de venir mordiller la peau fine qui s’y trouvait. Dès l’instant où mes dents rencontrèrent cette peau fine, Ulvar disparu comme jamais il n’avait disparu. Visiblement, il avait filé s’occuper de l’Autre pour que ce geste reste sous contrôle alors que je l’avais senti frémir en partant. Il semblait content, mais je ne m'occupais pas de lui.
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Arthécate
Dim 28 Jan - 22:35
Alaïs
J'ai 27 ans. Dans la vie, je suis chasseresse. Un métier difficile et dangereux d'ordinaire réservé aux hommes. Pourquoi ? Et bien, parce que le gibier qui m'intéresse ne correspond certainement pas à ce que vous pouvez imaginer. Aussi, mon travail me pousse à parcourir le monde, toujours accompagnée de quelques hommes appartenant tous à ma famille… C'est qu'on est chasseur de père en fils chez les miens…Vous devez vous en douter, mais je suis bien évidemment célibataire et je n'ai pas vraiment le temps de m'en soucier. Informations supplémentaires ici.
–Je ne vois rien d’impossible moi… Effrayant, peut-être, mais pas impossible.
Je ne sais plus quoi dire ou que faire pour le pousser à renoncer. Il semble si sûr… si confiant alors que pour moi tout ceci est tout simplement fou… Je me sens ridicule, honteuse. Et comment ne pas l'être lorsque le cœur et l'esprit agissent indépendamment l'un de l'autre. Mes paroles et actes ne vont pas de paire, j'en ai parfaitement conscience… Cette perpétuelle inconstance est incroyablement déroutante, pour moi, mais surtout pour lui qui y voit une faille non négligeable.
– Arrête… S'il te plaît.
Mais plutôt que de m'écouter, Roland se rapproche un peu plus. Le contact de sa peau sur la mienne ne manque pas de me faire frémir, mais ce n'est rien en comparaison de la sensation de ses dents qui s'accrochent doucement. Ce contact n'a rien de douloureux, mais il n'en reste pas moins perturbant. Je sens toutes mes défenses défaillir, mes barrières tomber, les unes à la suite des autres alors que la louve se met à hurler.
A l'intérieur, c'est une toute autre bataille qui se prépare. La louve et l'humaine se défient l'une l'autre sans que je ne puisse réagir. Le temps se suspend un instant tandis que tous mes instincts se mêlent et se mélangent … Les miens, les siens… Je ne sais plus vraiment. Tout ce que je sais, c'est que mes mains s'accrochent un peu plus à Roland, elles le pressent, le poussent à raffermir sa morsure. Ce n'est plus moi qui contrôle, en tout cas je n'en ai pas l'impression…
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Edward
Dim 28 Jan - 23:14
Roland
J'ai 28 ans et je vis au Chêneraie, un petit village coincé entre un bras de rivière et les collines forestières d’une baronnie d’un Royaume d’Europe de l’ouest. Dans la vie, je suis débrouillard et je m'en sors plutôt médiocrement. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.
Un frisson. Terrible. Puissant. Qui va jusqu’à me faire vibrer. Mon cœur accélère brusquement, se soulevant dans ma poitrine comme s’il cherchait à en jaillir. Je la sers contre moi, une main sur l’arrière de son crâne, l’autre dans son dos tandis que je donne ce premier coup de dents. Un second suit immédiatement, quelques millimètres plus loin.
Alors, à son tour, elle s’accroche à moi, me poussant à continuer. Je ne me fais pas prier et donne un troisième coup, mordillant toujours sa peau avec un mélange d’avidité, de désir et de contrôle. Tout en parcourant son cou de mes dents, je passe mon bras sous son séant, la soulevant alors de terre pour me mettre à marcher.
Sous ses impulsions, je glisse mes dents sur sa gorge, lui offrant le même supplice avant de remonter de l’autre côté, exerçant une pression un peu plus élevé qu’avant. Je m’attarde brièvement sur son oreille, la chatouillant de mes canines avant de l’embrasser pleinement pour revenir dans son cou.
Lorsque mon dos rencontre le mur de ma cabane, je suis toujours à la mordiller, un peu plus fortement encore, descendant cette fois vers la base et la jonction de son épaule. Je ne dois pas y aller plus fort, sans quoi ce ne seraient plus les morsures de Roland, mais celles d’Ulvar. Ce dernier, s’il ne peut empêcher l’Autre d’exprimer sa joie, veille à ce que les sensations que j’éprouve soit belle et bien les miennes, tout comme il aide l’Autre à éviter de trop s’épancher pour qu’Alaïs ressente les choses elle-même, et non à travers le filtre de la louve. Déjà que c’est le bordel dans leurs pensées, évitons que ça le soit aussi dans leurs ressentis ! Avait-il simplement grogné brièvement.
J’ouvrais la porte d’un coup de pied pour nous faire entrer, refermant en adossant la rouquine contre le battant. Ma mâchoire me faisait mal, mais je n’en avais que faire. Je caressais la base de son cou de mon nez, humant son parfum avant de reprendre sa peau entre mes dents, mon corps contre le sien, glissant ma main sur sa hanche en passant sous sa cape.
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Arthécate
Lun 29 Jan - 0:36
Alaïs
J'ai 27 ans. Dans la vie, je suis chasseresse. Un métier difficile et dangereux d'ordinaire réservé aux hommes. Pourquoi ? Et bien, parce que le gibier qui m'intéresse ne correspond certainement pas à ce que vous pouvez imaginer. Aussi, mon travail me pousse à parcourir le monde, toujours accompagnée de quelques hommes appartenant tous à ma famille… C'est qu'on est chasseur de père en fils chez les miens…Vous devez vous en douter, mais je suis bien évidemment célibataire et je n'ai pas vraiment le temps de m'en soucier. Informations supplémentaires ici.
Mon corps tout entier se perd dans cette myriade de sensations qui déferlent sous ma peau. Je n'ai que vaguement conscience du sol qui se dérobe sous mes pieds. Je ne remarque nullement le changement de décor et ce jusqu'à ce que mon dos rencontre une surface plane et rigide. Lorsque j'ouvre les yeux, je réalise que nous ne sommes plus à l'extérieur, nous ne sommes pas dans ma grotte non plus.
La cabane de Roland…
Pour autant, je ne cherche toujours pas à lutter contre lui. L'Autre s'est chargée d'étouffer un à un chacun de mes doutes. Sans doute reviendront-ils à la charge, mais plus tard.
Pour l'heure, je me concentre uniquement sur toutes ces sensations perturbantes. Mon sang boue dans mes veines tandis qu'une boule de chaleur prend doucement vie dans mon ventre. S'il me presse contre cette porte, je le maintiens contre moi. Mes mains se font plus aventurières et partent à la découverte de sa peau.
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Edward
Lun 29 Jan - 1:55
Roland
J'ai 28 ans et je vis au Chêneraie, un petit village coincé entre un bras de rivière et les collines forestières d’une baronnie d’un Royaume d’Europe de l’ouest. Dans la vie, je suis débrouillard et je m'en sors plutôt médiocrement. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.
J’ai un frisson foudroyant lorsque je sens ses doigts passer sous ma tunique. Je suis toujours perdu dans son cou alors que je fais choir sa cape au sol, la sentant me tirer contre elle autant que possible. A mon tour, mes doigts viennent chercher cette peau dont je suis complètement fou. J’ai envie d’en déguster chaque parcelle, mais, pour l’heure, je commence à caresser son flanc, subjugué par sa douceur.
Un brasier a pris naissance dans ma poitrine, s’étalant jusque dans mon ventre, irradiant tout mon être. Nos corps, l’un contre l’autre, mon bassin contre le sien, je quitte sa gorge un court instant pour retirer ma tunique avant de l’envoyer au loin, revenant taquiner cette peau radieuse. Ceci fait, toujours contre elle, j’ai une main sur chacun de ses flancs, caressant sa peau, remontant doucement les bras, découvrant lentement son ventre.
Je suis son cou, venant mordre son épaule avant de suivre sur la naissance de son buste, mais, son haut me gêne, d’autant plus que je le fais remonter avec mes mains. Aussi, je continue de faire remonter son vêtement de mes mains pour le lui retirer afin de venir découvrir une nouvelle zone à mordiller. Je jette mon dévolu sur son épaule musclée et tendre tandis que mes doigts repartent en promenade. Il y a encore cette bande, qui masque sa poitrine, mais pour l’heure, je parcours son épaule, remontant dans son cou, lui volant un baiser pour descendre de l’autre côté jusqu’à son autre épaule. Nos ventres, incandescents, se rencontrent et j’en frémis de désir.
Le brasier en moi me consume tandis qu’elle me presse contre elle, comme si elle cherchait ressentir mon désir le plus possible. Passant une main à sa jambe, je l’incite à l’enrouler à ma taille afin de pouvoir jouer de ses cuisses.
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Lun 29 Jan - 2:18
Alaïs
J'ai 27 ans. Dans la vie, je suis chasseresse. Un métier difficile et dangereux d'ordinaire réservé aux hommes. Pourquoi ? Et bien, parce que le gibier qui m'intéresse ne correspond certainement pas à ce que vous pouvez imaginer. Aussi, mon travail me pousse à parcourir le monde, toujours accompagnée de quelques hommes appartenant tous à ma famille… C'est qu'on est chasseur de père en fils chez les miens…Vous devez vous en douter, mais je suis bien évidemment célibataire et je n'ai pas vraiment le temps de m'en soucier. Informations supplémentaires ici.
Mon corps brûle au contact de ses lèvres et de ses dents qui ne cessent de parcourir ma peau lentement mise à nue. Mes lèvres curieuses, s'aventurent à leur tour à cette découverte jusqu'à venir doucement dévorer sa gorge. Son parfum boisé m'enivre et m'envoûte chaque seconde un peu plus …
Mes mains glissent avidement sur son torse taillé par des années de dur labeur. Sa peau brûle aussi intensément que la mienne et ce contact achève de briser ce qu'il me reste de retenue… J'ai chaud, le tournis. Quelque chose couve en moi et me consume…
À son invitation, j'enroule mes jambes autour de ses hanches. Je ne sais pas où tout cela nous mène mais… Je le suis.
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Lun 29 Jan - 7:24
Roland
J'ai 28 ans et je vis au Chêneraie, un petit village coincé entre un bras de rivière et les collines forestières d’une baronnie d’un Royaume d’Europe de l’ouest. Dans la vie, je suis débrouillard et je m'en sors plutôt médiocrement. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.
Je lâche un grognement de plaisir en sentant ses lèvres puis ses dents dans mon cou. Cela achève de m’enhardir alors que, débarrassés de nos encombrantes tuniques, nos ventres se côtoient pour la première fois. La braise qui s’étend en moi, répandant ses flammes dans chacune de mes cellules, faisant bouillonner mon sang. Ses doigts, sur ma peau, qui se baladent sans retenue, me font vibrer alors que je les imagine découvrant plus encore.
Suivant mon invitation, elle vient enlacer mon bassin de ses jambes athlétiques, pressant plus encore mon bas-ventre contre le sien. Alors, torse contre torse, se mordant mutuellement le cou, je viens placer une main sur ses fesses, la décollant de la porte pour accéder à l’attache de la bande qui lui entoure le buste. Tout en défaisant l’attache, je l’amène vers le lit, alternant entre quelques morsures dans le cou et un baiser avide.
Ainsi, je finis par la déposer sur le lit, toujours entravé par ses jambes, je joue des hanches pour me dégager un peu, faisant onduler la preuve de mon désir entre ses cuisses. Alors, je venais m’attaquer à son ventre, l’embrassant avant de le mordre à son tour, une main remontant pour doucement écarter la bande de tissu qui toujours couvrait son buste. Sa chaleur, sa douceur, son parfum me rendaient ivre de désir.
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Lun 29 Jan - 8:25
Alaïs
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Lun 29 Jan - 9:10
Roland
J'ai 28 ans et je vis au Chêneraie, un petit village coincé entre un bras de rivière et les collines forestières d’une baronnie d’un Royaume d’Europe de l’ouest. Dans la vie, je suis débrouillard et je m'en sors plutôt médiocrement. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.
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Lun 29 Jan - 9:54
Alaïs
J'ai 27 ans. Dans la vie, je suis chasseresse. Un métier difficile et dangereux d'ordinaire réservé aux hommes. Pourquoi ? Et bien, parce que le gibier qui m'intéresse ne correspond certainement pas à ce que vous pouvez imaginer. Aussi, mon travail me pousse à parcourir le monde, toujours accompagnée de quelques hommes appartenant tous à ma famille… C'est qu'on est chasseur de père en fils chez les miens…Vous devez vous en douter, mais je suis bien évidemment célibataire et je n'ai pas vraiment le temps de m'en soucier. Informations supplémentaires ici.
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