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"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Jeu 13 Juin - 15:06

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Pour une raison qui le dépassait, Angelica semblait éprouver le besoin de justifier sa consommation excessive d’alcool ce soir, tentant probablement de le rassurer sur son exceptionnelle ivresse. Excepté que le politicien ne voulait pas l’entendre se justifier. Elle pouvait s’alcooliser ainsi autant qu’elle le désirait, tant qu’elle arborait toujours ce magnifique sourire, et qu’elle rentrait saine et sauve à l’appartement. Donc pour toute réponse, il lui demanda d’arrêter et l’embrassa, savourant le goût sucré de ses lèvres contre les siennes. Lorsqu’il se recula, elle reprit parole et murmura un « Je m’en fiche » pour prendre de nouveau possession de sa bouche. Il mit lentement fin à ce dernier baiser et se rendit jusqu’à la cuisine pour préparer deux tasses de thé chaudes, à seule fin de l’endormir. Toutefois, Angelica avait d’autres procédés pour bien dormir, et il n’avait pas besoin de l’interroger à ce sujet, car il avait quelques idées qui germaient dans son esprit, et qui le faisait frémir d’une toute autre manière que perspective d’une tasse de thé dans la cuisine « Je sais ». Or, elle était sous l’influence de l’alcool, et il ne comptait pas répondre à ses avances, aussi délectables et grisantes puissent-elles être. Angelica était particulièrement persévérante dans l’intention de le faire succomber. Si ce n’étaient pas ses mains sur sa peau, c’étaient ses hanches qui se moulaient parfaitement aux siennes, dans une danse lascive qui le mettait plus qu’en émoi. La perspective de rejoindre le lit ne l’enthousiasmait pas particulièrement, et un éclat de rire jaillit de sa gorge quand il tenta de l’amadouer en lui proposant de dormir à ses côtés cette nuit.

Toutefois, l’influenceuse lui assena le coup de grâce au moment de faire glisser sa robe le long de sa silhouette pour le moins affriolante. Comme une seule femme pouvait perturber autant un homme ?! Elle le troublait de la plus délicieuse des manières, et pourtant, il devait résister à l’appel de son étreinte charnelle. Que Dieu lui en soit témoin, il faisait preuve d’un contrôle à toute épreuve, en cet instant précis. Il se rapprocha d’un pas trainant jusqu’au rebord de la piscine et l’interrogea sur la chaleur de l’eau qui, au vu des émanations de fumée, devait être agréable « Je suis tout habillé mon amour » déclara-t-il comme si cet argument pourrait la convaincre de délaisser l’eau chlorée pour les draps de soie qui recouvrait actuellement son lit. « Je n’ai pas envie de me baigner ce soir » précisa-t-il en prétextant ne pas comprendre son sous-entendu. Contre toute attente, la jeune femme lui saisit la main pour l’entrainer dans l’eau. Entièrement trempé, il émergea la tête hors de l’eau. Il plaqua ses cheveux bruns en arrière tout en souriant « Elle est bonne » et la laissa se rapprocher, ses bras se nouant autour de sa taille, pendant qu’elle entourait sa nuque de ses bras, et lui rendit son baiser avec tout autant d’envie, sa langue s’aventurant jusqu’à la sienne pour la caresser. Si elle n’avait pas été soule, il l’aurait fait sienne probablement dans cette piscine, à la lueur des étoiles. Toutefois, elle n’était pas dans son état normal, bien que son envie de lui ne faisait aucun doute maintenant qu’il se retrouvait torse nu devant elle « Tu crois ?! » rétorqua-t-il avec évidence. Comment lui résister ?! Il lui rendit chacun de ses baisers, savourant ses mots, alors que sa virilité ne perdait pas en vigueur, bien au contraire. Elle ne faisait que durcir à ces mots « Tu es ivre… Je ne veux pas que tu te donnes à moi dans cet état. Tu peux attendre encore un peu ? » lui demanda-t-il en écartant une mèche de cheveux de son visage, puis déposa ses lèvres dans un baiser plus doux « Tu me plais vraiment et je veux faire les choses correctement ». Sur ces mots, il se laissa sombrer dans le fond de la piscine, pour ressurgir un peu plus loin et l’éclabousser. Ils jouèrent ainsi quelques temps, jusqu’à ce qu’il sente que la fatigue accablait peu à peu Angelica. « Viens, on va dormir la mia luce » et passa un bras sous ses cuisses et l’autre dans son dos, la sortant de la piscine pour la conduire jusqu’à la chambre.

Il la déposa sur ses pieds, et s’éclipsa le temps de récupérer une serviette, et l’enroula autour de ses épaules pour qu’elle ne prenne pas froid, et utilisa la seconde pour essuyer chaque parcelle de sa peau « Tout va bien Angie ? » lui demanda-t-il quelque peu soucieux. Il termina par ses cheveux roux, et déposa les deux morceaux de tissus à leurs pieds, pour la conduire jusqu’au lit. Il la recouvrit de la couverture et caressa son visage du bout des doigts « Je reviens dans une minute ». Edward s’éclipsa jusque dans la salle de bain pour retirer son jean humide, s’essuya à son tour et rejoignit, comme promis la jolie rousse dans son propre lit. Aussitôt glissé sous les draps qu’il se blottit contre elle, nichant son visage dans son cou, appréciant la chaleur de son corps contre le sien. Elle lui avait tellement manqué.

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Charly
Jeu 13 Juin - 15:38

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -justement… le problème est là ! » argumenta Angie. Il était encore habillé. Elle ne lui laissa pas le choix et l’aida rapidement à chuter dans l’eau avec elle. Bien vite, elle se colla à lui, et l’embrassa avec une envie certaine. Lorsqu’elle lui retira son t-shirt, son désir monta encore d’un cran. « -mais c’est ta faute… » gémit la jeune femme pour se dédouaner avant de revenir l’embrasser et de lui souffler la stricte vérité. Qu’elle avait envie de lui tout simplement, même si elle était consciente de sa fatigue. Il y avait également son envie d’attendre encore. Pourtant, elle pouvait sentir contre son ventre, toute l’envie qu’Edward avait pour elle. « -je sais… » souffla Angie en souriant. Oui, elle était ivre. « -promis j’arrête ! » annonça la jeune femme en lavant une main comme pour prêter serment avant de rire joyeusement. Elle lui rendit son baiser en souriant, avant de le laisser couler au fond de la piscine. Elle lui renvoya de l’eau à la figue et la demi-heure qui suivit fut faite de rire et de plouf.  Peu à peu, Angie fatiguait et Edward s’en rendit compte. « -je suis ta princesse… tu veux me prendre dans tes bras… tu me veux que pour toi… » chantonna la jeune femme avant bien moins d’énergie que tout à l’heure, nichant son visage dans le cou de son prince charmant. Une fois hors de l’eau, elle grelottait et apprécia la serviette sur ses épaules. Elle ne le quitta pas des yeux alors qu’il séchait sa peau à sa place. Elle hocha la tête alors que son cerveau lui criait des je t’aime.

La jolie rousse le suivit, main dans la main jusqu’à la chambre. Elle ne se fit pas prier pour se glisser sous les draps. Lorsqu’Edward revint dans le lit, elle avait déjà fermé les yeux. Quand elle le sentit se blottir contre elle, Angie soupira de bien-être avant de glisser rapidement dans un sommeil profond. Au petit matin, elle ouvrit difficilement les yeux. Elle avait mal à la tête, la bouche pâteuse… Sur le moment, elle maudit Flynn et les margarita. Puis elle posa son regard sur Edward qui dormait à point fermé juste à côté d’elle, son bras autour de sa taille. Elle sourit avec tendresse. Lentement, elle chercha dans ses souvenirs. Il était torse nu, elle en sous vêtement. Est-ce qu’ils… non… elle s’en souviendrait…

La jolie rousse décida de s’éclipser jusque dans sa propre chambre, sans faire le moindre bruit pour le laisser dormir encore un peu. Elle se glissa sous une douche chaude, tentant toujours de remettre ses souvenirs dans l’ordre. Lorsqu’elle sorti, il semblait toujours dormir, alors elle s’aventura jusqu’à la cuisine dans le but de faire le petit déjeuner. Aujourd’hui, pas de Yuma dans les parages. On était dimanche. La jeune femme tenta d’étudier la machine à café, grimaçant en réalisant qu’elle ne savait pas comment la faire fonctionner. Elle laissa tomber pour éviter de casser quoi que se soit et opta pour un comprimé pour la migraine. Puis elle chercha les ingrédients pour faire des pancakes. Histoire de se faire pardonner la soirée de la veille, qu'elle avait sans nul doute gâchée. Elle mélangea farine, lait, œufs, lança une musique douce pour son cerveau et commença à cuisiner.


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Manhattan Redlish
Jeu 13 Juin - 16:25

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Un petit rire silencieux s’échappa de sa gorge, alors qu’il répliquait un « J’en ai bien conscience ». Edward ne s’était pas leurré sur les intentions de la jeune femme à son encontre, bien qu’il mettrait tout en œuvre pour ne pas céder à la tentation, aussi enivrante soit-elle. Toutefois, c’était sans compter sur l’obstination d’Angelica qui l’attira à elle dans l’eau chlorée, se contrefichant de le savoir habillé ou non. Elle noua aussitôt ses bras autour de son cou, tandis que le politicien l’imitait en enserrant sa taille, lui rendant son baiser avec tout autant d’envie qu’elle, n’y mettant un terme que pour qu’elle puisse lui retirer son t-shirt qui était l’unique barrage à son torse sculpté, pour lequel, elle semblait avoir développé une certaine appétence ces derniers jours. Il se limita à un « Bien sûr » pour seule réponse, ne cherchant pas à engager une quelconque conversation ce soir sur les responsabilités des uns et des autres. Parce que si ça ne tenait qu’à lui, il considérerait que les torts étaient partagés. Angelica était particulièrement séduisante, et plus encore lorsque son corps était pratiquement dénudé entre ses bras, et qu’elle lui avait envie de lui. Le politicien était dans l’impossibilité de la contredire, sa virilité durcie contre le bas ventre de la jeune femme trahissait tout le désir qu’il ressentait pour elle. Pour autant, il ne capitulerait pas à ses avances. Pas cette nuit. Elle était ivre, et il souhaitait que leur première fois soit unique, à l’instar de leur relation. Contre toute attente, la jeune femme abdiqua en promettant d’arrêter ses tentatives de séduction « Merci » et déposa ses lèvres sur les siennes. L’ambiance fut diamétralement différente les minutes qui suivirent, tandis qu’ils s’amusaient tels deux adolescents prenant un bain de minuit. Mais peu à peu, il constatait qu’Angelica se laissait accabler par la fatigue, et décida de la porter pour la sortir de l’eau. Un sourire étira ses lèvres en l’entendant chanter les paroles de cette chanson dont il ignorait tout, et la déposa sur ses pieds le moment venu. Il prit le temps d’essuyer chaque parcelle de sa peau avant de la conduire jusqu’à son lit et se glissa dans son dos peu de temps après, moulant son corps au sien, son bras autour d’elle, comme par crainte qu’elle ne lui échappe au cours de la nuit, puis rejoignit les bras de Morphée sans mal. La journée avait été particulièrement exténuante.

Un petit soupir lui échappa en s’extirpant de ses rêves pour renouer avec le monde réel. Sans ouvrir les paupières, il tendit le bras, tâtonnant les draps à la recherche d’Angelica. Mais en ne sentant qu’une place froide à ses côtés, il ouvrit aussitôt les yeux, pour constater à contrecœur qu’il était de nouveau seul entre ces murs. Il tourna la tête en direction du radio-réveil posté sur la table de chevet et qui indiquait qu’il était dix heures passé. Il se frotta les yeux dans l’espoir de retirer les derniers grains du Marchand de Sable, et s’extirpa des draps de soie qui recouvrait son lit. Il se rendit jusque dans la salle dans la salle de bain pour retirer l’odeur chlorée qui s’était incrustée dans sa peau, et enfila un simple jean clair et un t-shirt. En sortant de la chambre à coucher, il tendit l’oreille pour écouter la légère musique qui provenait de la pièce de vie. Ses pieds nus foulèrent le parquet jusqu’à la cuisine, et marqua un arrêt en pénétrant dans la cuisine. Un tendre sourire étira aussitôt ses lèvres en observant Angelica s’affairait derrière les fourneaux afin de préparer le petit-déjeuner. Elle était en train de le faire tomber amoureux d’elle de la plus douce des manières qui soit. Il s’avança d’un pas trainant jusqu’à cette dernière, glissa ses bras autour de sa taille et embrassa son cou « Bonjour princesse » en faisant écho à la chanson qu’elle avait chantonné au cours de la nuit. « Hum… Tu sens bon » et blottit sa mâchoire contre sa chevelure rousse « Qu’est-ce que tu nous prépares ? » demanda-t-il d’une voix encore endormie. Il se recula pour se servir un café, actionnant le moulin à moudre les grains, puis plaça la petite tasse afin de réceptionner le liquide brun dont les effluves lui chatouillaient l’odorat. « Comment tu te sens ce matin la mia luce ? » tout en prenant place à ses côtés, glissant une mèche derrière son oreille.


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Jeu 13 Juin - 17:36

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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En ouvrant les yeux, Angie était totalement reposée. Le seul hic était le mal de crâne qui pressait ses tempes. Putain de margarita… pensa la jeune femme. Ce genre de lendemain de soirée lui rappelait pourquoi elle ne buvait pas à chaque fête. Elle n’avait pas totalement les idées claires et lorsqu’elle constata qu’Edward était allongée à ses côté, à demi nu, elle se demanda s’ils avaient franchi une étape et qu’elle était incapable de s’en souvenir. Elle se souvenait lui avoir dit qu’elle avait envie de lui… avoir promis quelque chose mais quoi… pff c’était assez embrumé pour le moment. Alors avant qu’Edward ouvre les yeux, elle décida de quitta sa chambre pour rejoindre la sienne et prendre une douche. Se laver les dents par la même occasion.

Elle le laissa dormir, il en avait besoin. Il y avait sans doute aussi le décalage horaire là au milieu. Angie gagna la cuisine et chercha à faire du café. Mais elle n’osa pas trifouiller la machine au risque de la casser. Oui, elle ne savait pas faire du café… Mais des pancakes oui. Alors après avoir balancé un comprimé dans un verre d’eau, elle s’employa à préparer de la pâte et à commencer à faire cuir le petit déjeuner. Elle avait comme un besoin de se faire pardonner, sans vraiment savoir exactement pourquoi. Si seulement Edward l’avait prévenu de son retour… elle serait rentrée plus tôt… N’aurait pas bu autant… Malgré la musique, elle cru entendre la douche… elle sourit pour elle-même, avant de retourner le pancake sur la plaque.

Quelques minutes plus tard, elle se mit presque à ronronner en sentant les bras d’Edward passer autour de sa taille. « -coucou toi… » souffla la jeune femme en penchant légèrement la tête en sentant ses lèvres dans son cou, comme pour l’inviter à poursuivre. Elle se demanda d’où venait le surnom… espérant que ce n’était pas en rapport à cette métaphore sur la belle et la bête qu’il aimait employer. « -le petit déjeuner. » répondit la jeune femme avant de préciser : « -enfin des pancakes. » c’était surement plus précis et ce qu’il demandait en réalité. Elle jeta un regard à la machine à café et avoua : « -j’ai pas osé te préparer un café… j’ai pas osé touché la machine en fait. » et puis s’il s’était réveillé encore plus tard et que le café était froid… Elle sourit en regardant les pancakes qui cuisaient tranquillement, spatule à la main. « -le mal de crâne passe doucement… » elle lui adressa un léger sourire, avant de déposer les pancakes dans une assiette. Puis elle remit de la pâte et demanda : « -et toi ça va ? » oui, elle était mal à l’aise. Et elle détestait ça. Alors elle prit la décision de s’excuser : « -je suis désolée pour hier soir, enfin cette nuit… »

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Manhattan Redlish
Jeu 13 Juin - 19:30

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Après un détour indispensable sous la douche, Edward s’était rendu jusque dans la cuisine où il avait interrompu sa marche pour seulement l’observer s’affairer en cuisine en ce début de journée. La musique résonner en fond sonore, tandis qu’une agréable odeur sucrée s’élevait dans l’air. Il décida d’arpenter les derniers mètres qui se séparaient d’Angelica, nouant ses bras autour de sa taille, déposant ses lèvres dans son cou. C’était pour pouvoir l’étreindre au petit matin, pour savourer la chaleur de son corps dans son bras, qu’il avait anticipé son retour à New York. Un peu plus de trois auparavant, il ignorait tout de cette femme, et aujourd’hui, il n’envisageait plus sa vie sans elle à ses côtés. Ça paraissait presque surréaliste en y songeant. Sans se départir de son sourire, il lorgna sur les pancakes qui prenaient peu à peu forme au fond de la poêle « Ça fait une éternité que je n’en ai pas mangé ». La dernière fois qu’il s’était autorisé à manger des pancakes pour le petit-déjeuner, cela devait remonter à plus d’un an. Probablement une envie soudaine qu’il avait à souhait de combler. Depuis, il n’en avait jamais refait. Pourtant, ce n’était pas faute d’aimer cela, et plus encore après les avoir recouvert de sirop d’érable. Il se détacha lentement du dos d’Angelica pour se préparer un café et lui adressa un sourire amusé « Tu fais déjà le petit-déjeuner » précisa-t-il avec douceur, tout en manipulant la machine comme si c’était devenu aussi naturel que de parler ou bien de respirer. Edward appréciait le bruit des grains qui s’écrasaient sous la pression, pour ensuite s’incorporer à l’eau chaude, afin de livrer un délicieux breuvage au fond de la tasse, dont il humait toujours l’odeur avant d’avaler la première gorgée. En attendant, il était plus soucieux des conséquences de son état d’ébriété de la vielle au soir. « Tu as pris de l’aspirine ? » en se doutant d’ores et déjà de sa réponse. C’était souvent le premier réflexe un lendemain de fête.

Edward récupéra sa tasse, s’octroyant une seconde pour humer cette nuance chocolatée qui se mêlait admirablement au petit parfum fleuri et aux fragrances de café dégagées par les graines, puis se délecta de la première gorgée qui amorçait sa journée. « Oui » répondit-il en retirant lentement sa tasse de ses lèvres, arborant de nouveau ce doux sourire qui n’était destinée à nulle autre qu’à Angelica. Il s’autorisa une nouvelle gorgée, puis abaissa lentement son bras en entendant les excuses de la jeune femme. Tandis que son sourire se fit plus espiègle, Edward avala une dernière gorgée avant de prendre la parole pour ôter tout doute sur le déroulé de cette nuit « Tu veux t’excuser pour quelles raisons princesse ? Parce que tu étais impatiente que je rentre que tu l’as chanté à tue-tête dans l’appartement en rentrant ? Ou bien parce que la somme des Margarita ajouté à mon retour inopiné à la maison t’a rendu plus chaude que la braise ? ». Il émit un petit rire, tandis qu’il se tourna légèrement en sa direction, prenant appui sur sa main reposant sur le rebord de l’établi, dans une posture nonchalante « Tu as raison de t’excuser. Quel homme apprécierait de voir sa copine impatiente de le retrouver afin de lui faire l’amour ? Billevesée ». Il désigna le pancake dans la poêle d’un coup d’œil « Attention, il va noircir », et reprit « J’ai passé une excellente soirée, pour ma part. La Angelica bourrée est particulièrement entreprenante, drôle également et obstinée ». Il termina sa tasse de café, et la délaissa un instant à ses côtés « J’ai refusé uniquement parce que tu étais ivre, la mia luce. Je voulais que tu sois pleinement consentante, et que tu te souviennes de notre première fois ensemble ». Il se détacha de l’établit pour se resservir un second café et reprit « Tu n’as souvenir de rien ? ».

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Jeu 13 Juin - 20:00

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie avait oublié… Elle avait chassé tous souvenirs d’une vie commune avec un homme. Sa dernière relation datait de plus de quatre ans. Elle s’était très mal terminée. Elle avait voulu oublier. Elle avait encré dans son esprit qu’elle était bien mieux seule. Mais ce genre de matin… avec son ex, ils n’avaient pas duré longtemps… Avec Edward, c’était différent. Vraiment différent. Elle avait envie de vivre ça chaque matin. Même si elle aimait leur petit rituel déjà instauré, les bras d’Edward autour de sa taille, ses lèvres dans son cou… c’était si agréable, si doux. Malgré cela, elle ressentait intérieurement comme un malaise. Quelque chose qu’elle n’avait pas éprouvé depuis plus de quatre ans. Quelque chose qui ternissait cette matinée. Elle fut heureuse d’apprendre qu’Edward aimait les pancakes, réalisant qu’elle s’était lancée là-dedans alors qu’il aurait peut-être préféré du bacon et des œufs… « -mais ça te va ? » demanda-t-elle en proie aux doutes. Elle avoua pour le café, se disant qu’il devait la trouver bien gourde maintenant.

Alors qu’elle fixait les pancakes, elle eut l’amer sensation de se revoir des années plus tôt. D’être redevenu en une fraction de seconde, la femme brisée et apeurée que son ex avait d’elle. La jeune femme qui doutait, qui avait toujours peur de faire un faux pas et de subir des remontrances. « -oui, juste après ma douche… » elle ne tenait pas à subir ce mal de crâne le restant de la journée. Elle lui retourna sa question, espérant qu’il avait tout de même pu se reposer malgré ce qu’elle lui avait imposé. La nouvelle Angie décida de faire parler l’ancienne qui avait refait surface ce matin. Elle présenta des excuses à Edward, s’imaginant lui avoir fait subir une soirée horrible alors qu’il désirait seulement rentrer chez lui et se reposer. Elle ouvrit la bouche mais elle baissa les yeux avec un léger sourire en coin. Roh elle avait presque honte. Face à la cuisinière, elle regarda Edward avant de baisser les yeux sur les pancakes et de s’exclamer : « -oh mince ! » le pancake fut sauvé, et elle regarda de nouveau Edward.

Il avait passé une excellente soirée ? Elle ouvrit de grands yeux. « -roh non… » marmonna la jeune femme, honteuse, fermant les yeux avec force. Doucement, elle comprenait qu’il ne lui en voulait pas. Il n’était pas en colère ou mécontent de cette soirée, malgré l’attitude qu’elle avait eu. Elle fut fixée, ils n’avaient pas couché ensemble. Tant mieux. « -je… je me souviens surtout de mes émotions je crois… » commença la jeune femme en retirant le pancake du feu. « -la peur, la surprise, la joie. » elle plissa les yeux en cherchant dans sa mémoire. « -la danse, la piscine… ensuite… » elle grimaça. « -d’accord ce matin, je… j’étais pas sûr… » elle se passa la main libre sur la nuque avant de baisser le feu. « -Edward, je suis désolée. J’imagine bien que tu voulais un autre type de soirée. Ça se reproduira plus. » est ce qu’elle était vraiment en train de se soumettre à lui ? De borner sa vie à ce qu’il pouvait penser alors qu’elle s’était jurée que ça n’arriverait plus jamais ?!


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Manhattan Redlish
Jeu 13 Juin - 20:41

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward n’était jamais tombé amoureux, et moins encore, il n’avait partagé son appartement avec une femme. Pour ainsi dire, il ignorait tout de la vie à deux. Et pourtant, il se laissa uniquement guider par son envie d’être auprès d’elle, de la blottir dans ses bras, de déposer ses lèvres sur sa peau. Il constata qu’elle s’était levée avant lui et que malgré sa probable migraine, elle prenait le temps de préparer le petit-déjeuner pour eux deux. Cela faisait une éternité qu’il n’avait pas déguster de pancakes au petit-déjeuner, et apprécia l’attention d’Angelica. La nuit avait été assurément trop brève pour la jeune femme qui aurait pu rester pelotonner sous les draps le reste de la journée, le temps de se remettre de sa soirée d’ivresse, au lieu de s’afférait en cuisine. Toutefois, il fut accablé par un ressentiment étrange en entendant sa question, ou bien était-ce le ton qu’elle employa qui eut cet effet sur lui. Il ne saurait exprimer clairement ce qu’il venait d’éprouver, mais pouvait confirmer sans hésitation que ça lui déplaisait. Edward tenta de réprimer ce ressentiment, arborant de nouveau ce doux sourire qu’il ne destinait qu’à elle en répondant « Oui. Bien sûr », puis s’occupa de faire couler sa première tasse de café. Il passa ses doigts dans ses cheveux avec délicatesse « Si tu sens que la douleur ne se dissipe pas, tu iras te reposer un peu ». De nouveau, il tenta de ne pas prêter attention à cette étrange impression qui l’assenait et contesta les excuses d’Angelica, les considérant pour le moins infondées. Edward avait savouré chaque seconde de cette soirée, et avait tout autant apprécier faire la rencontre de la jeune femme sous l’emprise de l’alcool, tout comme il avait aimé l’entendre chanter à tue-tête parce qu’il lui manquait. Pourtant, alors que lui arborait un large sourire en évoquant la soirée qu’ils avaient passé, Angelica n’était pas plus enthousiaste que cela face à son récit. Elle ne lui adressa qu’un maigre sourire, les yeux baissés. Elle le lui avait dit. Il s’inquiéterait le jour où elle cesserait de sourire. Il décida donc de s’inquiéter…

Angelica énuméra tour à tour les émotions qu’elle avait éprouvé cette nuit, puis les principaux évènements qui avaient jonché leurs retrouvailles, sans la moindre euphorie, la moindre frénésie en se souvenant de ces moments qu’ils avaient partagé. La femme qui se trouvait devant lui en cet instant n’était pas celle à laquelle il tenait tant. Où était passée sa lumière ?! Cette main dans sa nuque… Ses excuses qui faisaient écho à celles qu’elle avait prononcé cette nuit. Sans compter cette sensation étrange et désagréable qui l’accablait de nouveau. Edward n’arborait soudainement plus le moindre sourire. Son visage était devenu impassible et son regard trahissait la soudaine préoccupation qui le tourmentait. D’un geste, il délaissa la tasse sur le rebord de l’établi, puis se pencha pour éteindre le feu et déplacé la poêle d’un feu à l’autre, et glissa ensuite sa main dans celle d’Angelica et l’attira à lui. De son autre main, il glissa ses doigts sous son menton afin de pouvoir entrevoir ses prunelles émeraudes « Parle-moi Angie », réellement soucieux. « Ce n’est pas la première fois que tu t’excuses depuis que je suis rentré parce que tu es sortie faire la fête » et laissa glisser sa main jusqu’à sa joue « Cette nuit, tu t’excusais d’avoir trop bu, maintenant tu t’excuses pour cette nuit, et pour t’être rendue à la fête d’anniversaire de Flynn. Que se passe-t-il Angie ? Parle-moi » lui demanda-t-il avec une infinie douceur, tandis qu’il caressait sa peau de son pouce « Tu m’as dit la fois dernière de m’inquiéter le jour où tu cesseras de sourire… Tu as cessé de sourire la mia luce, et je veux savoir pourquoi ». Lui qui ne se souciait jamais d’autrui, il était plus inquiet que jamais en cet instant.


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Jeu 13 Juin - 21:13

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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En lui posant cette question au sujet des pancakes, Angie eut la sensation d’être catapulté des années en arrières. Lorsqu’elle vivait avec son ex, sans qu’elle ne s’en rende compte au départ, il y avait des allusions. Des tu devrais faire comme si, tu as mal fait cela. Petit à petit, elle s’était mise à vivre dans l’incertitude et l’angoisse constante de ne jamais faire assez bien. Exactement comme avec ses parents durant son enfance. Son esprit était plein de oh mince, zut, et s’il n’aime pas ça, et s’il réponds ça pour me faire plaisir… Alors que c’était Edward qui était en face d’elle. Edward et non Travis. « -je pense ça ira… » avait elle répondu en ayant la sensation de ne pas mériter la tendresse qu’elle pouvait lire dans ses yeux. Edward prenait tout cela en souriant, en riant presque. Il n’était pas fâché, rancunier… Rien de tout cela. Alors pourquoi est ce qu’elle ressentait tout cela ? Après lui avoir affirmé que son comportement de la veille ne se reproduirait plus, elle se massa le front quelques instants.

Puis elle recula d’un pas alors qu’il coupait le gaz. Elle eut du mal à lever le visage vers lui. « -je… je sais pas… » elle était totalement perdue face à sa propre attitude. Elle avait visiblement déjà formulée des excuses durant la nuit. Elle plissa les yeux, regardant ailleurs, tentant de comprendre pourquoi tout cela refaisait surface maintenant. Elle pensait être guérit, avoir travaillé sur elle pour ne plus revivre ça, refaire les mêmes erreurs. Et pourtant, elle formulait des excuses, promettait de se tenir à carreau… Angie recula d’un pas. « -j’ai besoin de m’asseoir. » souffla la jolie rousse. C’était presque comme un coup de massue. Comment expliquer cela à Edward sans le blesser ? Sans qu’il pense qu’elle avait peur de lui ou qu’il se compare à Travis ? « -je… je pensais être guérit de lui… » commença Angie avec une sorte de dégout dans la voix. Elle ferma les yeux avec force. Elle était totalement en train de gâcher leur petit déjeuner.

Elle déglutit avec lenteur et releva les yeux sur Edward. Puis elle décida de lui expliquer du mieux qu’elle pouvait. « -je t’ai… je t’ai dis que ma dernière relation s’était très mal terminé. Qu’il… qu’il m’avait fait beaucoup de mal. » oui, ça il était au courant. « -durant les deux dernières années de notre relation, je… je vivais dans une sorte d’angoisse permanente de ne jamais faire les choses comme il le désirait. De ne jamais être à la hauteur de ses exigences. Et en réalité, peut importe ce que je faisais, même si j’anticipais, que je faisais exactement comme il avait aimé la fois précédente, il trouvait quelque chose à redire, pour me rabaisser, pour me faire douter… » elle eut soudainement la sensation de manquer d’air. « -je pensais avoir surmonté tout ça, en être sortie plus forte, plus indépendante… » elle regarda de nouveau Edward et passa ses deux mains autour de son visage : « -pourtant je sais que t’es pas comme lui. Je sais pas… je… mon cerveau c’est comme emballé. Mon dieu tu vas me croire cinglée… » elle était véritablement en train de ruiner leur matinée. Elle laissa glisser ses mains, libérant ainsi Edward « -ce je viens de te dire là… que ça ne se reproduirait pas… je m’étais jurée de ne plus jamais le dire à un homme. Oh mon dieu… mais pourquoi j’ai bu ces margarita putain… » si elle n’avait pas bu, elle n’en serait pas là à se torturer l’esprit…    



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Jeu 13 Juin - 21:54

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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L’angoissante sensation qui l’avait assaillit un peu plus tôt et qu’il avait tenté de réprimer par la suite, n’était pas si anodine qu’il l’aurait espéré. Si la succession d’excuses depuis la veille au soir n’avait pas intégralement éveillée son inquiétude, constater qu’Angelica avait perdu de son éclat ce matin, y était parfaitement parvenu. Edward se pencha pour mettre un terme à la préparation des pancakes, éteignant le gaz et déplaçant la poêle de la source de chaleur, puis l’attira à lui. Il voulait savoir. Il voulait qu’elle lui parle de ce qui oppressait son cœur et son esprit. « Je n’en crois rien » rétorqua le politicien avec aplomb. Elle ne dépérissait pas ainsi sans raison. Toute réaction avait une cause, et il voulait connaître la sienne. Dans une caresse, il retira sa main de sa joue, l’accompagnant tandis qu’elle reculait. Edward se saisit de ses hanches et la souleva pour qu’elle prenne place sur le rebord de l’ilot, comme si elle n’était pas plus lourde qu’un ballon remplit d’air, et se glissa ensuite entre ses cuisses, ses doigts se posant sur ses cuisses. Son regard azuréen l’enveloppait de telle manière à créer entre eux, un endroit sûr pour elle et ses mots. Les premiers mots percèrent le silence qui avait prit possession de ces murs. Edward n’eut pas besoin de réfléchir davantage pour savoir de qui elle parlait en ces termes. Son ex-petit-ami l’avait tout simplement détruit. Autant la femme qu’elle était que la confiance qu’elle avait en elle. Sans mot dire, le politicien la laissa exploiter les silences pour trouver la force de se confier à lui, tout autant qu’il resta silencieux lorsqu’elle prit parole. Seules ses mains parlaient pour lui alors qu’elles avaient enclenché de légère caresses sur sa peau, lui rappelant ainsi qu’il était présent et qu’il n’irait nulle part ailleurs.

Bien qu’impassible, Edward ne pouvait s’empêcher de réprimer une colère d’une rare violence à l’encontre de cet individu qui avait détruit cette femme qui méritait pourtant que d’être choyée et aimée de la plus belle des manières. Il n’avait eu de cesse de la détruire un peu plus chaque jour, piétinant sa confiance en elle, jusqu’à ce qu’il n’en reste que des miettes… Peu à peu, certains évènements de leurs vies à deux trouvaient une justification. Cette manière de continuellement se déprécier, de ne pas prendre conscience qu’elle pouvait lui plaire, en tant que femme, en tant qu’elle-même. La douceur des mains sur ses joues le tira de ses réflexions et lui sourit avec une infinie douceur « Pas plus que d’habitude mon amour ». et la laissa retirer ses mains de ses joues mal rasée « L’abus d’alcool ne fait pas ressurgir des traumatismes causés par un … » et serra la mâchoire « Un tel individu ». Il se recula d’un pas, aidant Angelica à descendre de l’ilot central « Va t’habiller. Le petit-déjeuner peut attendre ». Le politicien profita de l’absence momentanée de la jeune femme pour envoyer un message à son chauffeur qui se gara en bas de l’immeuble quelques minutes plus tard, l’informant de sa présence par un simple message. Comme à son habitude. Entre-temps, il avait récupéré le blazer que la jolie rousse lui avait ôté durant la nuit, non sans un petit sourire nostalgique et avait enfilé une paire de Stan Smith. Patientant dans l’entrée, lunette de soleil sur le nez, il glissa sa main dans celle de l’influenceuse lorsqu’elle arriva à sa hauteur. Il n’y eut aucunement utilité de communiquer l’adresse de leur destination à Jeffrey qui en avait prit connaissance au cours de leur échange téléphonique. Renfermé dans son habituel mutisme, Edward n’avait pas relâché sa pression sur les doigts d’Angelica, portant le dos de sa main à ses lèvres, et finit par lui demander simplement « Comment va ta migraine ? ».

« Nous arrivés à destination Monsieur Wyler » « Venez nous récupérer pour le déjeuner » « Bien Monsieur Wyler. Madame ». Edward quitta l’habitacle en premier et vint ouvrir la portière à la jeune femme, dont il saisit aussitôt la main, puis l’entraina jusqu’au jardin botanique où elle avait l’habitude de se rendre avec sa grand-mère de son vivant, puis seule par la suite, lorsqu’elle en ressentait le besoin. Il paya leurs deux entrées au guichet, récupéra les tickets qu’il glissa dans la poche arrière de son jean, puis s’avança jusqu’à rejoindre la serre de type Victorienne où sont abritées les plantes tropicales, ainsi que le bassin aquatique. « Angie ? » osa-t-il, avant de poser ses prunelles azures sur elle « Ne t’excuse plus jamais de vivre ta vie », puis s’approcha d’un panneau d’information sur les plantes exposées, lisant en transversales les informations, puis reprit sa marche aux côtés d’Angelica. Il entrelaça délicatement les doigts aux siens et reprit d’une voix trainante « J’aime que tu fasses les choses comme tu l’entends, comme tu aimes les faires. Elles seront toujours parfaites à mes yeux, mais elles doivent avant tout, l’être aux tiens ». Il lui adressa le premier sourire depuis leur départ de l’appartement « Je comprends pourquoi tu aimes cet endroit. C’est apaisant » et précisa « Comment s’est passé l’anniversaire de Flynn, tu t’es amusée ? Raconte-moi ».


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Ven 14 Juin - 13:27

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Malgré l’ivresse de la veille et le mal de crâne, cette matinée aurait dû être parfaite. Même si Angie n’avait pas sept heures de sommeil au compteur. Edward était rentré d’Italie, plus tôt, juste pour lui faire la surprise. Elle devrait être heureuse de lui faire le petit déjeuner, être impatiente qu’il se lève… Au lieu de ça, lentement l’ancienne Angie avait refait surface. D’abord à cause de la machine à café qu’elle avait eut peur de casser si elle la manipulait. Et puis elle avait décidé de faire ces pancakes non pas pour faire plaisir à Edward, mais pour se faire pardonner. Ensuite elle avait douté de ce choix face à lui, espérant qu’il aimait cela. Et voilà qu’elle s’excusait, elle promettait de ne plus faire d’écart de conduite. Lentement et sournoisement, Angie sentait monter comme une crise d’angoisse… Il demanda à ce savoir. Il lui demanda de lui expliquer ce qui était en train de se passer dans cette cuisine, mais surtout dans sa tête. Dans d’autres circonstances, elle aurait pu trouver adorable, qu’il lui ressorte ses propres mots. Mais là tout de suite, elle était pétrifiée par son propre esprit, son propre comportement.

Edward n’avait rien avoir avec Travis. Alors pourquoi le cerveau d’Angie restait conditionné ainsi ? Était-ce parce qu’elle s’engageait à nouveau dans une relation ? Un froncement de sourcils alors qu’il lui demandait d’aller s’habiller. « -Edward… » elle ferma les yeux et se mordit les lèvres. Elle allait de nouveau dire qu’elle était désolée. « -j’arrive… » souffla-t-elle ensuite en quittant la cuisine pour aller se réfugier rapidement dans sa chambre. Angie enfila rapidement un jean, un t-shirt ainsi qu’une paire de basket. Puis elle retrouva Edward dans le hall et l’avait accompagné sans rien de demander, sa main dans la sienne. Dans la voiture, elle s’en voulait toujours de gâcher la journée, son regard vers l’extérieur, sa main toujours dans celle d’Edward. Lorsqu’il embrassa sa peau, elle tourna la tête pour le regarder. « -ça va… le comprimé a fonctionné… » ce n’était pas les résidus possible d’alcool qui lui faisait mal au crâne. C’était ce qui était en train de se passer là. Pourquoi ?! Pourquoi est ce qu’elle réagissait ainsi.

Lorsque la voiture s’arrêta et qu’elle retrouva seule quelques secondes, Angie inspira et expira avec lenteur. « -vous allez bien madame ? » demanda le chauffeur. « -oui, oui… ne vous faites pas de souci pour moi. » elle lui sourit et sortie de la voiture. Elle resta stupéfaite en levant les yeux sur le lieu. Ils étaient devant le jardin botanique… Angie ferma les yeux. Elle avait soudainement une envie folle de pleurer. Pas de tristesse, de reconnaissance. Comment ne pas tomber amoureuse de l’homme qui avait entrelacer ses doigts aux siens. Elle le suivit, le laissa payer et lorsqu’elle entra dans la serre, elle se sentait automatiquement moins oppressée. Elle avait tant de beaux souvenirs ici. Lorsqu’Edward prit la parole, elle sourit timidement en regardant ses pieds qui foulaient le sol. Elle l’écouta jusqu’au bout et finit par répondre : « -ça n’arrivera plus. » non, elle ne douterait plus, elle ne ferait pas plus ce genre d’excuse. Elle voulait croire en eux et cela commençait par faire comprendre à son esprit qu’Edward était un homme bien.

Un sourire doux, puis elle souffla un : « -on s’en fou… » vraiment là tout de suite, elle ne voulait pas parler de Flynn ou de la soirée. Elle resserra ses doigts sur les siens et souffla un : « -viens… » puis elle l’entraina avec elle un peu plus loin. « -regardes… ce sont des colibris… » souffla Angie regardant la spectacle qui était toujours aussi magique à ses yeux. « -je pouvais passer des heures ici quand j’étais petite. » ajouta la jeune femme. Elle se rapprocha d’Edward glissa ses deux mains dans les siennes et souffla un : « -merci… merci d’être toi… »

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