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Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Ven 14 Juin - 14:05

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Le précédent homme dont Angelica était tombée amoureuse l’avait détruit, anéantissant toute confiance en elle. Elle se pensait guérie. Il n’en était rien. Parce que la femme qui lui contait précisément ce qui la troublait de telle sorte qu’elle en avait perdu sa joie de vivre, n’était pas guérie de son passé. Angelica portait encore les stigmates de son histoire d’amour avec cet … individu, et certaines automatismes de sa vie passée ressurgissaient peu à peu en sa présence. Edward aurait pu la serrer dans ses bras, trouver les mots réconfortants qui pourraient apaiser ses angoisses, mais n’en fit rien. Il l’aida seulement à descendre de l’ilot central, en exigeant d’elle qu’aille se vêtir, sans fournir davantage d’explications. Il lui accorda uniquement un « S’il te plaît » lorsqu’Angelica prononça son prénom. Probablement que son comportement soudainement froid et distant ne participeraient pas à apaiser ses angoisses, mais il luttait entre retrouver cet homme qui avait brisé la jeune femme, et l’inquiétude qui l’accablait de la voir ainsi. Son arrivée mit un terme à ses pensées et glissa promptement sa main dans la sienne afin de rejoindre la berline qui les attendait patiemment en bas de leur immeuble. En se sachant à proximité de la destination, Edward brisa le silence qu’il avait participé à instaurer entre eux, portant sa main à ses lèvres, avant de s’intéresser à sa migraine. Elle s’était dissipée. « Bien » fut la seule réponse qu’il lui octroya, et observa de nouveau le paysage urbain qui défilait derrière les vitres teintées de la berline.

En arrivant devant le jardin botanique, Edward la laissa apprécier l’endroit sans mot dire. Lorsqu’elle lui avait conté son histoire d’amour passée, il avait envisagé cet endroit comme une solution pour apaiser tous ses maux. Il l’entraina à l’intérieur, maintenant toujours sa main dans la sienne, comme s’il s’inquiétait qu’elle ne se dérobe à lui s’ils n’étaient pas liés physiquement l’un à l’autre. Ce ne fut qu’à l’intérieur de la serre, entourée de plantes tropicales, qu’Edward reprit la parole en exigeant deux fait de la part de l’influenceuse. Le premier, était qu’il ne désirait plus entendre la moindre excuse parce qu’elle vivait sa vie telle qu’elle l’entendait. Quant à la seconde, il aspirait à ne plus l’entendre se déprécier elle et ses actes. Angelica ne semblait pas avoir conscience de la manière dont il la percevait au quotidien. Elle était parfaite telle qu’elle était, avec ses qualités et ses imperfections. Il lui adressa un sourire à sa réponse, et s’intéressa ensuite à sa soirée avec Flynn. Une conversation qu’elle ne souhaitait pas aborder dans l’immédiat, lui tirant un petit rire silencieux « Si tu le souhaites » et la suivit à sa demande, observant ce qu’elle désignait et apprécia le spectacle. L’endroit était magnifique, avec sa faune et sa flore. Cet endroit était un voyage au plus près de la nature, et ce, sans quitter New York. « Tu t’imaginais en aventureuse perdue dans la jungle ? » émit Edward, le regard rieur. Ses prunelles azures se posèrent sur leurs deux mains jointes, et son cœur se gonfla à ses mots. Il se pencha pour venir déposer ses lèvres sur les siennes avec douceur, et reprirent leurs marches dans les allées du jardin botanique « J’ai une soudaine envie d’acheter des plantes pour notre appartement » tandis qu’il se laissait éblouir tout autant par la multitude de couleurs, que par les fragrances qu’elles dégageaient. « Tu n’as rien de prévu pour aujourd’hui princesse ? » demanda-t-il tout en s’approchant de temps à autre de l’une ou l’autre fleurs « Parce que j’ai pensé que je pourrais peut-être t’offrir un massage après le petit-déjeuner, suivit d’une baignade dans la piscine. En maillot de bain cette fois-ci » et esquissa un sourire « Puis profiter de la chaleur sur les transat. Ensuite, j’avas dans l’idée de t’apprendre à cuisiner les gnocchis de Nonna et on les aurait dégustés devant la télévision ». Edward voulait prendre soin de la jeune femme, pour que la suite de la journée lui soit plus douce que la manière dont elle avait commencée.



Charly
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Ven 14 Juin - 14:49

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Le jardin botanique… Edward l’avait emmené au jardin botanique. Il s’était souvenu qu’elle affectionnait cet endroit qui regorgeait de souvenirs d’enfances. Il s’était rappelé qu’elle aimait ce lieu et qu’il avait une sorte de pouvoir apaisant sur elle. Elle aurait pu lui crier des je t’aime, au lieu de ça, elle décida de l’entrainer avec elle pour lui faire découvrir un recoin de la serre qu’elle avait toujours adoré. Les colibris étaient de minuscules oiseaux qu’elle avait toujours admiré. Lentement, elle le sentait, elle retrouvait le sourire. L’ancienne Angie s’effaçait face à la tendresse et l’attention qu’Edward avait pour elle. « -exactement… une fois je me suis retrouvée coincé de l’autre côté du point d’eau juste là… A force, le gardien connaissait mon prénom. Il était même devenu mon copain. » elle émit un léger rire face à ces souvenirs d’enfances solitaire. Puis elle décida de remercier Edward. Lui dire merci d’enchanter sa vie de cette manière. D’être capable de lui laisser de la place, de l’aider à remonter la pente, de rallumer les étoiles dans ses yeux et raviver son sourire. Elle lui rendit son baiser avec tout autant de douceur, comme si ses lèvres pouvaient lui témoigner toute son affection.

Main dans la main, ils avancèrent dans les allées, et elle laissa Edward découvrir ce qu’elle considérait égoïstement comme son jardin secret. « -c’est vrai qu’il y en a peu… » commenta Angie. « -non… enfin techniquement si. J’avais prévu de venir te chercher à l’aéroport. Sans te le dire. J’avais tout arrangé avec Jeffrey. » une idée qu’elle avait médité et finalement prise en décidant de se foutre royalement du regard que pourrait porter les parents d’Edward en la voyant lui sauter au cou. « -mais comme tu es déjà là… je n’ai plus de projet. Tout ce que je veux c’est passer du temps en ta compagnie. » Elle écouta ce qu’il proposa et petit à petit son sourire s’étira. « -pourquoi j’étais pas en… » elle baissa le ton en voyant passer une mère avec ses enfants : « -je me suis baignée nue hier soir ? » demanda la jeune femme qui avait un gros doute, mais que cela amusait. Oui, c’était passé. Tout allait bien. Angie lâcha la main d’Edward pour venir glisser son bras autour de sa taille, et blottir sa tête contre son épaule. Elle leva la tête vers lui et répondit en souriant : « -mais dites-moi, vous avez paramétré la moindre minute de notre journée. » elle ajouta : « -j’adore ce planning… »

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Ven 14 Juin - 15:46

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Pour Edward, il n’était pas nécessaire de parler pour écouter. Il semblait parfois distrait ou peu intéressé par les conversations environnantes, ce qui était relativement le cas au quotidien. Toutefois, il prêtait une oreille attentive à la moindre des futilités, bien que peu intéressante, parce que la connaissance, c’était le pouvoir dans son monde. Une nuance néanmoins en ce qui concernait Angelica. Quand elle parlait, il restait pendu à ses lèvres jusqu’au dernier mot. Il était la seule pour laquelle il éprouvait un intérêt certain à tout ce qu’elle pouvait lui dire, même si ça devait concerner sa couleur de vernis préférée ou encore pourquoi elle préférait la farine de blé complet que la farine blanche pour faire les pancakes. C’était la raison pour laquelle, en la sentant si éprouvée par son propre changement de comportement, il avait décidé de la conduire dans le seul endroit qui saurait l’apaiser, tout en lui remémorant les plus exquis de ses souvenirs d’antan. Comme celui qu’elle lui conta actuellement, tandis qu’ils déambulaient main dans la main dans le jardin botanique. Il ne put réprimer un sourire amusé en imaginant l’enfant qu’elle était, se laissant bercée par son imagination, jusqu’à se retrouver coincée « Il ne travaille plus ici maintenant ? » Probablement qu’il était à la retraite aujourd’hui. Angelica interrompit momentanément leur marche pour se saisir de ses deux mains et le remercier seulement d’être lui. Que répondre à cela ?! Il déposa alors ses lèvres dans les siennes, espérant que ce simple baiser serait suffisant à lui faire comprendre qu’il tenait tout autant à elle, qu’elle tenait à lui.

Leurs mains toujours liées, ils reprirent la découverte du lieu. Il ne s’était jamais rendu au jardin Botanique par le passé, et appréciait chaque couleur, chaque senteur, chaque chant d’oiseaux qui battait des ailes au-dessus d’eux. Il constata ainsi que la décoration de son appartement était probablement trop épurée et manquait de plantes vertes pour égayer tout cela « Rien ne nous empêche d’y remédier ». Pas aujourd’hui, car Edward avait d’autres projets pour eux deux. Il souhaitait octroyer chaque minute de son temps à Angelica, rendre cette journée plus douce qu’elle n’a commencé, en prenant soin d’elle avec une attention toute particulière. Mais pour cela, il devait connaître ses projets de la journée. Après tout, une influenceuse n’avait pas d’emploi du temps bureaucratique. Le politicien ne put retenir l’étonnement s’afficher sur son visage en apprenant que la jeune femme avait organisé leurs retrouvailles avec Jeffrey. La surprise dissipée, il arbora cette fois-ci un sourire attendri, touché par l’attention d’Angelica « Et tu te serais précipitée jusqu’à moi pour m’embrasser ». Il n’avait aucun mal à imaginer la scène, car c’était à l’identique ce qui s’était produit hier soir lorsqu’elle le reconnut dans la pénombre. Le regard d’Edward dévia sur la mère et ses enfants qui passèrent à proximité, puis reporta son attention sur l’influenceuse, se pencha pour lui répondre un « Non. En sous-vêtement » et se redressa. De nouveau, il fixa leurs mains qui venaient de se détacher, puis apprécia qu’elle veuille se sentir plus proche de lui. Il l’imita donc, son bras autour de sa taille, tout en poursuivant leur découverte des lieux « Oui. J’ai très envie de prendre soin de vous Mademoiselle Gordon » et se mit à chanter discrètement « Ma princesse, celle que je veux prendre dans mes bras » en se moquant gentiment d’elle. Ils continuèrent de visiter le jardin botanique, jusqu’à la sonnerie de notification l’avertissant de la présence de Jeffrey.

De retour à l’appartement, Edward se dirigea jusqu’à la cuisine afin de poursuivre la préparation du petit-déjeuner. Son estomac n’avait eu de cesse de gargouiller sous la faim cette dernière heure. Il remua légèrement la pâte, et reprit la préparation des pancakes, tout en lançant en parallèle la bouilloire et la machine à café « Angie, tu en désires combien ? » alors qu’il sortait deux assiettes du meuble au-dessus de sa tête pour les disposer à proximité des feux.


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Ven 14 Juin - 16:13

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -non, il est retraité mais il me suis sur les réseaux. » elle avait toujours trouvé cela attendrissant. Ce jardin renfermait tant de souvenirs pour Angie. Edward n’aurait pas pu trouver meilleure idée que de l’emmener ici pour désamorcer la bombe qui s’était mise en route dans son esprit au petit matin. C’était également une merveilleuse preuve qu’il était en tout point différent de Travis. En apparence, quand on ne le connaissait pas, c’était autre chose… elle avait douté au départ. Mais plus elle apprenait à le connaitre, et plus elle savait que cet homme méritait d’être réellement aimé à sa juste valeur. Qu’il méritait aussi d’être heureux. Elle n’aurait jamais imaginée tomber amoureuse aussi rapidement… parce que c’était clairement le cas. Elle était amoureuse de l’homme qui lui tenait la main au milieu des allées du jardin.

« -alors oui, par contre je te le dis tout de suite, je n’ai pas la main verte. » il ne fallait pas compter sur elle pour penser à mettre de l’eau aux plantes… les bichonner ou tout simplement les maintenir en vie. Elle était plutôt du genre à les oublier dans un coin et à leur souffler des encouragement le jour où elle avait capté qu’elles avaient besoin d’attention. Pour ce qui était du planning de la journée, elle avait abandonné les siens vu qu’Edward l’avait devancé niveau surprise. « -hum… oui, c’était ce que j’avais prévu… après je me suis dis que ta mère allait peut-être faire un malaise, ton père une attaque et ensuite… je me suis dis que j’avais vraiment, vraiment envie de faire ça… » chose qu’elle avait faite de manière légèrement ivre la veille.

Lorsqu’il évoqua la piscine et les maillots de bain, Angie fut prise d’un gros doute. Elle n’avait tout de même pas fait ça… Elle grimaça amusée : « -je suis désolée… » elle avait tout de même le droit de prononcer ces mots. C’était plus en lien avec le côté honteux de la chose. « -ça va, je portais des jolies… » elle murmura en riant légèrement : « -sous-vêtements… » et non pas une culotte en coton ! Il lui avait dit avec des mots bien à lui. Chaude comme la braise… Et lui, il avait été capable de résister. Peut-être qu’Angie devrait féliciter sa mère quand elle la rencontrerait. Son fils était un parfum gentleman. Edward semblait tout avoir prévu pour leur journée. « -ouh… » souffla Angie avec une étincelle malicieuse dans le regard. « -d’où tu sors cette chanson ? » demanda la jeune femme qui n’avait pas souvenir d’avoir chanter ces paroles.

Une fois de retour à l’appartement, elle retira ses chaussures et se rendit dans sa jambe pour passer autre chose qu’un jean. Elle revint en robe plus décontracté, après tout c’était un lendemain de soirée, et une journée détente. Elle observa Edward qui était déjà dans la cuisine. Lorsqu’il lui demanda combien elle voulait de pancakes, elle répondit : « -je t’aime… » avec une infinie tendresse et beaucoup de sincérité. « -et je crois que trois c’est bien parce que je meurs de faim. Tu veux de l’aide ? » comme si elle ne venait pas de balancer une bombe en plein milieu de la cuisine. C’était venu naturellement. Et elle savait que c’était la vérité.

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Ven 14 Juin - 16:55

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward était né et avait grandi à New York, et pourtant, c’était la première fois qu’il se rendait au jardin botanique. Sans Angelica, probablement qu’il ne s’y serait jamais rendu. Mais maintenant qu’il était présent au milieu de toute cette nature, il aurait commis une erreur de ne jamais découvrir ce lieu. C’était à l’image de sa relation avec la jeune femme. Durant deux décennies, le politicien n’avait jamais envisagé de partager sa vie avec quiconque d’autre que lui-même, et maintenant que l’influenceuse était entrée dans sa vie, il n’imaginait plus une existence sans elle. Il se plaisait à l’écouter partager ses souvenirs d’enfance, évoquer cet homme qui était devenu son ami et qui aujourd’hui, même retraité, n’avait pas oublié sa plus fidèle visiteuse « Il ne t’oublie pas ». Poursuivant leur découverte des lieux, main dans la main, Edward constata que son appartement était dénuée de nature en son sein, et que c’était probablement une bonne idée que d’ajouter quelques plantes vertes à la décoration. Une mauvaise idée, selon la jolie rousse, qui lui confia ne pas être disposée à s’en occuper. C’était aussi étrange qu’agréable d’évoquer la décoration de leur intérieur comme si l’appartement était devenu le leur par la force des choses. Il aimait cette sensation qui naissant dans le creux de son ventre à cette pensée. « En plastique, sinon » proposa-t-il avec légèreté. Il n’était pas certain que Yuma apprécie qu’il lui affecte une nouvelle mission à son agenda particulièrement chargé. Rien ne pressé. Aujourd’hui, Edward n’avait pas pour projet d’acquérir des plantes vertes pour son intérieur. Il avait prévu un emploi du temps différent, et s’assura que la jeune femme était à son entière disposition pour cela. Ce fut ainsi qu’il apprit que l’influenceuse avait initialement prévue de le surprendre à l’aéroport. Le politicien ne put réprimer un rire sincère « D’assassiner mes parents ? » et renchérit « Tu m’as sauté au cou cette nuit quand tu t’es rendu compte que j’étais rentré plus tôt ». Un souvenir qu’il chérissait, tout autant que le reste de la soirée qui avait suivi.

La preuve en était, il envisageait de se baigner de nouveau cet après-midi, mais vêtu d’un maillot de bain cette fois-ci. Bien qu’il ne déplorait aucunement le spectacle, pour le moins séduisant, qu’Angelica lui avait concédé cette nuit. Au contraire. Il en savourait encore l’image enracinée dans son esprit. Le regard qu’il lui portait en cet instant pouvait en témoigner. « Oh Angie, chérie, ne sois jamais désolée d’être sexy pour moi » lui conseilla-t-il d’une voix plus profonde qu’il ne l’aurait soupçonné « Très jolies sous-vêtements. Oui » confirma-t-il avec quelques octaves en moins. Angelica savait comment mettre tout son corps en émoi, même en étant entièrement ivre. Il suffisait seulement qu’elle retire sa robe et qu’elle plonge en sous-vêtement dans la piscine. Si elle n’avait pas été soule, il ne faisait aucun doute qu’il l’aurait fait sienne durant la nuit. Au diable sa patience ! En attendant, il voulait dorénavant prendre soin d’Angelica, d’une manière différente qu’en lui faisant l’amour et cela commença en la taquinant sur la chanson qu’elle avait chanté à tue-tête la veille « De toi la mia luce. Tu l’as chanté en rentrant, puis quand je t’ai sortie de la piscine ». C’était la raison pour laquelle il l’avait surnommé ainsi aujourd’hui. Ma princesse.

Ils finirent de visiter le jardin botanique avant de rentrer à leur appartement. Edward laissa la jeune femme se changer tandis qu’il termina de préparer le petit-déjeuner. Il mourrait de faim. Sans se retourner, il l’interrogea sur son appétit, et contre toute attente, il obtint pour réponse ces trois petits mots qui libéra une nuée de papillons dans l’estomac. Ses gestes s’étaient subitement interrompus, et déglutit avec lenteur, sans parvenir à se départir de ce sourire qui s’était dessiné sur ses lèvres. Elle l’aimait. Angelica venait de lui dire qu’elle l’aimait. Était-ce réel ou une vue de l’esprit ?! Il murmura un « Trois pancakes » et renchérit par un « Tu peux seulement me sortir deux tasses s’il te plaît » et osa lui adresser un long regard en direction de la jolie rousse « Angie… » commença-t-il « Est-ce que tu viens de me dire que tu m’aimais ? » et lorsqu’il eut confirmation, il ajouta « Rapproche-toi s’il te plait. Encore. Oui, comme ça » et alors que ses mains se chargèrent de retourner le pancake en tenant fermement la poêle, il se pencha pour déposer ses lèvres sur les siennes, souriant tout contre sa bouche, et se recula « Flynn va en tomber de sa chaise » et fit glisser le dernier pancake dans l’assiette. Il s’en saisit pour les déposer sur la table de la terrasse, puis fit un dernier aller-retour pour récupérer deux verres de jus d’orange, et s’installa face à la jeune femme « La mia luce, est-ce que tu … Je ne... » comment lui dire qu’il n’était pas encore prêt à prononcer ces trois petits mots pour la première fois de sa vie, alors que pourtant, il était certain que c’était son cœur n’avait de cesse de lui marteler. Il émit un petit rire nerveux « Tu m’aie si précieuse » finit-il par lâcher dans une sincérité déconcertante, puis fit couler le sirop d’érable sur les pancakes, avant d’en prendre une bouchée « J’adore les pancakes. Quand as-tu appris à en faire ?».


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« en plastique ? Oh non… Et en même temps Yuma va mettre du sel à la place du sucre si on lui demande de s’occuper de ça en plus. Bon à réfléchir. Peut-être qu’il en existe des supers robustes qui sont capables de vivre sans eau ! » elle accompagna cela d’un petit rire. Elle allait déjà beaucoup mieux. L’épisode de ce matin n’avait été qu’une mise en garde ou un rappel de ce qu’elle avait vécu, de ce qu’elle avait été et qu’elle ne voulait plus jamais être. En se promenant ici, main dans la main avec Edward, elle avait la conviction que ça n’arriverait plus jamais. Pas avec lui. Il avait réagit vite, avait voulu comprendre, s’était inquiété de son comportement et de son sourire absent. Jamais il n’accepterait de la voir devenir l’ombre d’elle-même.

« -non ! » répondit Angie en riant. « -de te sauter au cou ! » elle souriant de nouveau, les yeux pleins de lumière. « -je me suis dis qu’ils s’en remettraient. Que le présent c’est maintenant… » elle sourit de nouveau : « -je m’en souviens de ça ! et j’en avais terriblement envie, surtout après une semaine sans toi à seule regarder une photo… » et pas n’importe quelle photo… « -t’es trop… » elle baissa la voix. « -sexy. » elle sourit : « -dessus, j’ose pas la mettre en fond d’écran… » elle en riait mais c’était la vérité. Edward lui détailla le programme qu’il avait élaboré pour la journée dans son esprit. Elle tiqua sur l’histoire des maillots de bain. Angie se pinça les lèvres et lui murmura : « -ne commence pas… » son regard plongé dans le sien. « -s’il te plait… » ce n’était ni le moment, ni l’endroit pour mettre le feu aux poudres. Elle fut surprise de l’entendre chantonné cette petite chanson qui venait d’elle. « -en rentrant… je m’en souviens… après… » elle plissa les yeux. Non, elle n’avait pas souvenir d’être sortie de la piscine…

Une fois à l’appartement, à le regarder préparer le petit déjeuner à sa place, ce qu’elle ressentait lui échappa. Ce je t’aime était sorti de ses lèvres et de son cœur. Le plus naturellement du monde. Avant qu’elle ne précise que trois pancakes c’était très bien. Elle sourit jusqu’aux oreilles avec une douceur folle en l’entendant répondre. « -pas de souci, je fais ça. » elle approcha, se hissa sur le pointe des pieds et saisit deux tasses, comme il l’avait demandé. Elle lui adressa un sourire doux alors qu’il ne la quittait pas des yeux. Elle répondit à sa question par un : hum hum accompagné d’un hochement de tête, toujours aussi souriante. Elle se rapprocha à sa demande, et lui rendit son baiser. « -je crois qu’il avait compris avant moi… » répondit Angie d’un ton détaché, en déposant les deux tasses sur l’ilot centrale.

Elle s’installa, le remercia pour les pancakes et prit son verre de jus d’orange pour en prendre une gorgée. « -Edward… » souffla la jeune femme en le couvant du regard. « -t’es pas obligé de répondre… » Angie avait un sourire emplie de douceur sur le visage. « D’accord ? » elle déposa ses lèvres dans son cou avant de prendre ses couverts. Elle répondit la bouche pleine : « -quand j’étais ados. Avant de partir à la fac. Ma grand-mère tenait absolument que je puisse au moins de faire ça à manger quand je serais noyé sous les devoirs. » ce qui était ridicule. « -elle m’a donné son fameux livre de recette le veille de mon départ. Elle avait peur que je meurs de faim… » elle reprit un morceau et ajouta : « -tu déjeunes quoi d’ailleurs le matin ? Café café café, ça je sais… le reste… » un haussement d’épaules. Elle n’en avait pas le moindre idée.


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Manhattan Redlish
Ven 14 Juin - 19:43

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Comment cet homme avait pu l’anéantir de telle sorte que sourire à la vie n’était plus envisageable pour elle, alors qu’en ce qui le concernait, il avait la sensation de tomber un peu plus amoureux d’elle à chaque fois qu’il l’entendait rire. Il avait envie de vouer sa vie à la rendre heureuse, même si c’était par l’usage d’idée saugrenue comme celle d’arborait leur intérieur de plantes en plastique « On peut aussi se contenter de venir ici dès qu’on a besoin de verdure. Je pense que Yuma appréciera » proposa-t-il finalement. Sa femme de ménage avait suffisamment de travail pour qu’il ne l’accable pas d’une mission supplémentaire qui consistait à l’entretien des plantes. Après tout, Angelica aimait tout particulièrement cet endroit, il apaisait ses maux. Quant à lui, il se prenait d’affection pour ce lieu également, plus encore lorsqu’il arpentait les allées main dans la main avec l’influenceuse, en évoquant leur retrouvaille. Il émit un « Ooooh ! » quand cette dernière le rassura que le meurtre de ses parents ne faisaient pas partie de ses projets futurs, bien qu’il ait dit cela dans l’unique objectif de la faire rire ainsi. Se délectant toujours autant de ce son. « C’est précisément le constat auquel je suis parvenu ces derniers jours ». Le politicien préférait écouter la voix de sagesse qui résonnait en Nonna. Il tenait à cette femme et leur relation lui importait plus encore que l’opinion de leur entourage. Il se battrait pour eux deux. Parce qu’en la surprenant la veille au soir, il avait su aussitôt qu’il lui avait manqué, qu’il avait occupé ses pensées, qu’elle tenait à lui. Ce fut de sa propre gorge que jaillit le rire suivant lorsqu’elle évoqua la photo qu’il avait envoyé de lui, au petit matin « Elle n’est rien que pour toi celle-ci » et précisa ensuite « Si tu en désires une pour ton fond d’écran, je pense qu’on peut y remédier ». En fait, il trouvait l’idée même séduisante que s’octroyer quelques minutes pour obtenir une photo de l’un et de l’autre afin d’habiller le fond d’écran de leur téléphone respectif. Bien qu’il en avait certaine, et que son esprit en détenait d’autres. Il se mordit la lèvre inférieure au moment où Angelica le reprit « Bien » et reprit contenance, mais il avait conscience que ses prunelles trahissaient l’objet de ses pensées. Pour éviter qu’ils ne succombent l’un à l’autre dans le jardin botanique, Edward décida de chantonner les paroles d’Angelica « Lorsque je t’ai portée pour te sortir de l’eau » précisa-t-il, comme si ça pouvait lui permettre de s’en souvenir.

Je t’aime. Tels furent les mots que prononça la jeune femme à son attention une fois qu’ils furent rentrés à l’appartement. Jamais, ô grand jamais, Edward n’aurait pensé qu’il les entendrait un jour, et encore moins de la bouche d’une femme à laquelle il tenait tant. Pourtant, il était incapable de lui répondre ces trois petits mots en retour. Bien qu’il avait la sensation que c’était ce qu’il éprouvait pour elle. Au lieu de ça, il lui demanda de lui sortir deux tasses du placard, et lorsque ce fut chose faite, il lui adressa un long regard, jusqu’à se décider de lui demander si ces mots avaient été bel et bien réel. Elle confirma. Le sourire aux lèvres, il l’imita en émettant ce même « Humhum », puis demanda à l’influenceuse de se rapprocher, jusqu’à ce qu’il puisse atteindre sa bouche et l’embrassa. Son regard se fit plus inquisiteur aux mots prononcés par Angelica « Que dois-je comprendre ? ». Comment son meilleur ami avait pu éprouver des doutes vis-à-vis de leurs sentiments, alors qu’il n’était que rarement présent. Il déposa les pancakes dans les deux assiettes qu’il apporta sur la terrasse, accompagnée d’un café pour lui, d’une tasse de thé pour elles, et de deux verres de jus d’orange. Le petit-déjeuner idéal pour un dimanche matin. Toutefois, avant de déguster les pancakes de sa moitié, il voulait lui confier qu’il n’était pas encore prêt à lui dire qu’il l’aimait lui aussi, bien que son cœur semblait être en paix avec cette idée. La douceur qu’elle mit dans ses mots, dans son regard, ne faisait que tenir un peu plus à elle à chaque seconde. « D’accord » répondit-il simplement, en sentant ses lèvres dans son cou, puis ajouta aussitôt après « Qu’ai-je fait d’aussi bien dans ma vie pour te mériter la mia luce ? » et porta sa fourchette à ses lèvres, complimentant sa cuisine matinale. Il se mit à sourire, amusé par l’anecdote « Je constate que ça a fonctionné vu que tu es toujours en vie » observa-t-il tout en portant sa fourchette à nouveau à ses lèvres. Il se rinça le gosier à coup de café, comme elle le précisa si bien, et laissa reposer son dos contre la chaise « Je bois deux cafés. Trois si je veux rester plus longtemps avec toi. Un verre de jus d’orange, des bagels au fromage blanc et une petite salade de fruits. Et toi ? Pourquoi tu ne fait plus de pancakes le matin ? ». Il tendit ensuite l’oreille en entendant la sonnerie de son portable résonner. Un soupir et se leva de table pour le récupérer. Le maire. Un dimanche. Il jeta un coup d’œil à la terrasse, et plus précisément à Angelica. Il raccrocha d’un geste du pouce, puis éteignit le petit appareil avant de revenir auprès de la jeune femme « Nous ne serons plus dérangé. Tu disais ? ».

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Ven 14 Juin - 21:09

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -oui, on peut faire ça… je suis contente que l’endroit te plaise… » c’était son petit coin de paradis et elle était heureuse qu’il ait décidé de l’emmener ici. Heureuse aussi de pouvoir lui faire découvrir. Angie évoqua ses plans de la journée qui avaient été totalement annulés vu qu’Edward était rentré la veille. Elle sourit avec tendresse et une pointe de malice en l’écoutant. Malgré le temps passé en compagnie de sa famille, ce qu’ils avaient pu dire, Edward voulait toujours de leur histoire et souhaitait en profiter. « -tu as raison… on fera une petite séance photo, peut-être dans l’après-midi. » ce n’était pas grand-chose un fond d’écran de téléphone, mais elle avait envie de l’avoir sous les yeux lorsqu’il serait loin. Elle lui demanda ensuite d’arrêter de chercher à l’allumer. Parce que c’était précisément ce qu’il faisait. Il en avait bien conscience en plus. « -tu m’as porté pour sortir de l’eau ? » elle n’en n’avait pas souvenir… Encore moins d’avoir chanté… Visiblement, elle avait oublié la fin de soirée, sans doute à cause de la fatigue.

Elle venait de lui dire qu’elle l’aimait. C’était sortie naturellement, sans qu’elle se demande si c’était le bon moment. Ne pas réfléchir et seulement vivre l’instant… c’était sa manière de vivre. Et là tout de suite, elle voulait seulement qu’il ait conscience des sentiments qu’elle avait pour lui. Même si c’était peut-être trop tôt pour le dire… Angie ne doutait pas. Elle était tombée amoureuse de lui, et chaque journée avec lui ne faisait que renforcer ces sentiments. Elle s’amusa de voir la surprise d’Edward. Il était totalement déstabilisé par ce qu’elle venait d’avouer. Il lui demanda même confirmation. Elle n’osa pas répéter les mots, mais hocha la tête pour confirmer, prenant cela avec légèreté. « -et bien qu’il est moins aveugle que nous… » avait elle répondu au sujet de son meilleur ami. « -il était là, à la plage… » pour rappel, Flynn avait vu de ses yeux ce qu’ils n’avaient découvert que sur les photos. Et il connaissait Angie par cœur. Mieux qu’elle-même sans doute. C’était pour cela qu’il l’avait mise en garde au départ, qu’il lui avait demandé de faire attention à elle au début de sa relation avec Edward.

Angie voulu rassurer Edward qui semblait avoir du mal à se remettre de sa déclaration. Il n’était en rien obligé de lui répondre. « -tu as engagé Ava. » après tout, c’était grâce à elle que leurs chemins s’étaient croisés. Sans son intervention, leur relation n’aurait jamais vu le jour. Angie parla des pancakes, et du livre de recette de sa grand-mère. « -il y a eut des périodes où je ne mangeais presque que ça. Parce que la recette est simple et peu couteuse aussi. » elle s’était débrouillée par elle-même pour financer ses études. Alors elle avait passé des années à faire des économies sur tout, à avoir deux jobs en plus de ses cours. C’était un choix. Elle avait refusé l’argent de ses parents parce que cela entrainait encore des disputes. Elle ne voulait rien leur devoir, et s’en était sortie seule. Avec Flynn. « -ouh… donc si tu n’en bois pas trois, c’est que tu ne veux pas me voir… » précisa Angie avec un sourire moqueur. Elle prit note du menu du petit déjeuner d’Edward, et répondit à son tour : « -je sais pas trop. Par flemme ou parce que j’en ai trop mangé plus jeune. » cette déclaration fut suivit d’un rire avant qu’elle n’ouvre la bouche et de la referme. Elle resta silencieuse et reprit un morceau de pancake, avant de regarder Edward. Est-ce que cet appel était important ? : « -hum… sinon, c’est flocon d’avoine, graine de chia, avec des amandes pilées et une fruit. Et du thé. » préparation qu’elle faisait la veille avec du lait végétal. Le petit déjeuner terminé, ils enfilèrent leur maillot, direction la piscine. Le soleil était là, et sa chaleur faisait du bien.



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Ven 14 Juin - 21:42

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Pour seule réponse, il lui adressa un sourire. Edward ne saurait dire si c’était l’endroit en lui-même qui le charmait, ou bien le fait qu’il le visitait en compagnie d’Angelica. Mais la conclusion était semblable, l’endroit lui plaisait et il désirait y revenir régulièrement en compagnie de la jeune femme, en constatant les bienfaits que ce lieu produisait sur elle. La matinée avait été particulièrement éprouvante pour l’influenceuse, et il ne désirait plus que prendre soin d’elle pour le restant de la journée. « Tout ce dont tu désires Angie » avait-il ainsi répondu à la jeune femme quand elle proposa d’inclure une séance photo dans leur emploi du temps de ce dimanche. Ils n’auraient aucun mal à trouver un moment pour se photographier afin d’agrémenter leurs portables respectifs de clichés de l’un et l’autre, afin de leur tenir chaud en cas d’absence. De fil en aiguille, les souvenirs de cette nuit furent ravivés et Edward peinait à garder contenance face à Angelica qui lui demanda de s’interrompre dans son entreprise. Ce n’était ni le moment, et encore moins le lieu pour attiser le désir entre eux deux. Qu’il en soit ainsi, et le politicien opta pour une chanson que l’influenceuse peinait à se remémorer jusqu’à ce qu’il la place dans le contexte de la soirée. Toutefois, les quelques margaritas avalées au cours de la soirée d’anniversaire de Flynn, ajouté à la fatigue qui avait fini par l’assaillir au milieu de la nuit avaient eu raison des derniers souvenirs de la soirée « Oui. Je t’ai séché et je t’ai mise ensuite au lit » énuméra Edward qui souriait avec douceur. Il avait réellement apprécié leurs retrouvailles.

Néanmoins, si on lui demandait à choisir entre cette nuit et ce moment précis dans la cuisine, alors qu’Angelica venait de lui dire qu’elle aimait avec une sincérité et une douceur déconcertante, son choix se porterait sans une once d’hésitation sur maintenant. Le politicien fut si décontenancé d’entendre ces trois petits mots s’échapper de la bouche de l’influenceuse qui lui demanda confirmation lorsqu’elle arriva à sa hauteur. Elle l’aimait. Chaque jour, il se demandait s’il était possible d’être encore plus heureux à ses côtés, et chaque jour, elle lui prouvait que c’était possible. Et s’il devait se fier aux dires de cette dernière, ils étaient les seuls à ne pas s’en rendre compte. Flynn avait perçu cette petite étincelle dans son regard lorsqu’ils s’étaient retrouvés tous les deux sur cette plage « Il n’a pas eu peur pour toi ? ». Après tout, leur rencontre avait été particulièrement tendue, et ce dernier avait émis plus que des doutes à son égard afin de protéger la jeune femme. Qu’en était-il maintenant ?! Ils poursuivirent la conversation sur la terrasse du penthouse, tandis que le quadragénaire peinait à trouver les mots pour lui confier qu’il n’était pas encore prêt à prononcer ces trois mots en retour. Une fois encore, la jolie rousse fit preuve d’une compréhension et d’une patience sans faille. Un sourire étira ses lèvres quand elle apporta l’explication rationnelle qui lui permettait de la mériter aujourd’hui « Rappelle-moi de lui offrir un magnifique cadeau ». Ava et ses idées saugrenues le méritait.

« Pourquoi je n’ai aucun mal à t’imaginer dévorer des piles de pancakes tout en étudiant en même temps, tâchant tes cahiers de sucre ? ». Il l’imaginait également avec une épaisse paire de lunette posée sur le nez, les cheveux en bataille et des vêtements de seconde main car le neuf était trop onéreux pour une étudiante. Pourquoi trouvait-il cette image si attendrissante et furieusement attirante également ?! Un petit rire lui échappa « Je n’ai pas dit ça » rétorqua-t-il, telle une vieille rengaine à chaque fois qu’elle interprétait ses propos à sa manière, bien qu’aujourd’hui, c’était dans l’unique but de le taquiner. « De temps à autre, c’est agréable » déclara-t-il avant d’être dérangé par un appel du Maire. Il raccrocha sans répondre et éteignit son portable, pour revenir auprès de la jeune femme. Elle seule comptait aujourd’hui. Le travail attendrait son retour au petit matin demain « Est-ce que c’est bon ? » en étant peu convaincu à l’énonciation du petit-déjeuner. Ils terminèrent leur petit-déjeuner, et Edward lui demanda d’enfiler son maillot de bain pendant qu’il débarrassait la table, et l’imita par la suite. Avant qu’elle ne plonge dans la piscine, le quadragénaire saisit la bouteille de crème solaire et l’attira à lui de son autre main pour la conduire jusqu’à la chaise longue sur laquelle il prit place à califourchon derrière elle « Je t’ai promis un massage » et étala la crème solaire sur la peau claire d’Angelica dans des gestes lents, et en profondeur, partant de son cou, jusqu’à ses reins, prenant soin de démontrer l’habilité de ses doigts sur chaque parcelle de sa peau, longeant sa colonne vertébrale de ses pouces. Il s’attarda sur ses côtes, sa taille, et revint jusqu’à ses épaules « Tu es détendue maintenant ? » murmura-t-il à son oreille, et lui tendit la crème « Je te laisse faire le reste de ton corps ».

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Sam 15 Juin - 12:21

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Avec son aveu, elle l’avait déstabilisé. Elle adora cette sensation. Jour à après jour, elle voulait lui faire comprendre qu’il méritait d’être aimé, que le bonheur était un droit pour chacun et qu’il avait lui aussi le droit d’y accéder. Et ce bonheur passait par être ensemble. Réellement ensemble. Angie était amoureuse. Même si de base elle n’avait pas chercher à séduire ou être séduite par Edward. C’était arrivé et elle l’acceptait. Elle avait repoussé ses craintes au sujet des proches du politicien. Elle avait sa place à ses côtés. Et elle ferait tout pour la garder. Parce qu’avec lui, elle était heureuse et comblée. Derrière son armure se cachait un homme tendre, compréhensif et attentionné. Un homme qui cherchait à la comprendre mais surtout un homme capable de l’accepter telle qu’elle était. Avec sa lumière, ses rires et sa folie. Mais aussi avec sa partie sombre, dont il avait été témoin le matin même. Il ne l’avait pas jugé, n’avait pas chercher à lui donner des conseils ou voulu savoir le pourquoi du comment. Il l’avait simplement rassuré à sa manière. Il avait su prendre le temps pour désamorcer ce qui se tramait dans son esprit. Et c’était un cadeau merveilleux qu’il lui avait fait. Accepter l’autre tel qu’il était, n’êtes ce pas ça le véritable amour finalement ?

« -au départ oui, comme je te l’ai dit. Mais lorsqu’il m’a ramené le jour du shooting, il m’a parlé de toi. D’après lui, je te plaisais déjà. Il me connait par cœur. Il nous a vu… il a comprit qu’il y avait déjà quelque chose. Même si je ne voulais pas forcement le voir à ce moment-là. » Celle qui avait de l’importance également, c’était Ava. Ava et son idée folle de les faire se rencontrer, et surtout cohabiter. Ava qui pourtant aujourd’hui avait beaucoup de doutes sur son projet et sur les résultats qu’il donnait. Elles en avait vaguement parler. Du point de vu d’Angie, l’assistante avait peur de perdre celui qui était son plus proche ami, malgré le fait qu’il soit son patron. Il y avait une relation solide et forte entre eux. L’arrivée d’Angie bouleversait cela. Elle n’avait rien avoué de leur nouvelle relation, ce n’était pas à elle d’en parler à Ava. Edward le ferait quand il serait prêt à cela.

Angie se mit à rire joyeusement : « -c’était à peu près ça oui. » Elle évita de souligné les cernes et la fatigue qu’elle avait à l’époque à cause de ses deux jobs. Elle avait bien galéré pour financer tout ça… mais elle était fière aussi de ça, de s’être détaché de ses parents financièrement. Aujourd’hui, l’héritage que lui avait laissé sa grand-mère lui permettait de vivre sereinement, comme elle le voulait. Mais cela ne l’empêchait pas de vouloir gagner sa vie, sans la ruiner ou passer à côté. « -je sais, je te taquine. » rétorqua Angie qui avait compris pour le troisième café. Un appel coupa la conversation, mais Edward fit le choix de délaisser son portable. Angie réalisa qu’elle n’avait pas touché au sien depuis la veille… « -oh non, c’est horrible mais je me force à manger ça tous les matins… » s’amusa la jeune femme. « -je te ferais gouté un matin si tu veux. Tu seras fixé comme ça. » ça pourrait peut-être le changer. Parfois c’était monotone de manger toujours la même chose.

Maillot de bain, piscine, soleil… la journée avait mal commencé, mais finalement, elle allait être bonne. Angie était restée quelques secondes figée sur place en regardant Edward au loin, torse nu dans son maillot. Pfff… elle s’allongea comme il lui demanda, contrôlant son esprit au maximum. Comment ne pas se laisser envahir par l’envie et le désir alors qu’il caressait son corps. Elle ferma les yeux, savoura l’instant. « -plus que détendu… » souffla Angie dans un murmure de bien-être. Elle se redressa et récupéra la crème, avant de se mettre à genou derrière Edward, assis sur le bord de la chaise longue : « -à ton tour… » elle posa ses mains sur ses épaules larges. Elle se faisait du mal toute seule… « -t’es tendus au niveau des trapèzes… » souffla la jeune femme. Elle retira lentement ses mains et ajouta avec un sourire : « -on va se baigner ? » alors que dans sa tête, elle se hurlait des : éloignes toi ! Sinon tu contrôlera plus rien ! Et sans attendre la réponse d’Edward, elle quitta la chaise longue pour se diriger vers les marches qui descendait dans l’eau.

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