"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Mar 9 Juil - 22:44
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Cohabiter avec Angelica au quotidien avait contraint le politicien à endiguer ses aprioris sur sa profession. Ainsi, il s’était prit d’intérêt pour le métier qu’exerçait la jeune femme et se plaisait à l’interroger à ce sujet. Il aimait l’écouter parler de ses projets passés ou à venir, de ses journées, de la manière dont elle concevait ses collaborations. Probablement que l’amour qu’il portait à la jolie rousse n’était pas innocent dans sa perception du monde de l’influence. Pour autant, il appréciait qu’elle réponde à chacune de ses interrogations et partage son univers avec lui. « Tu vas probablement dire que je m’inquiète pour un rien, mais j’aime assez l’idée que Flynn soit toujours du voyage ». Angelica était une femme d’affaire libre et il mettrait tout en œuvre pour ne jamais être un obstacle à son épanouissement professionnel. Toutefois, il tenait à ce que la jolie rousse ne soit jamais seule au cours de ses excursions. Le monde était parsemé de prédateur, et la simple pensée qu’il pouvait lui arriver malheur au cours de l’une de ses escales … Non, il ne souhaitait pas y penser aujourd’hui. Néanmoins, Edward comprit le sous-entendu que formula sa moitié et ne s’en offusqua pas le moins du monde. Angie ne s’était jamais caché de désirer son bonheur et avait toujours œuvré en ce sens. « Je sais. J’y songe de plus en plus avec le temps » finit-il par lui avouer. Ce qu’elle ignorait, c’était que ces derniers jours loin d’Angelica l’avait fait réfléchir sur la vie qu’il désirait pour eux deux, et la politique n’en faisait nullement partie. Cependant, il ne désirait pas aborder un tel sujet maintenant. Leur arrivée au chalet était récente et ils avaient tout le temps pour entreprendre une telle conversation. De toute manière, il n’était pas le sujet de leur échange. C’était elle et sa carrière. Le politicien se chargea donc de reconcentrer toute l’attention sur Angelica et ses projets actuels « Je pourrais te photographier » proposa-t-il simplement « Ne crois pas que cela résulte uniquement que l’idée qu’un autre homme puisse profiter de la vue de ton corps parfaitement moulé dans une tenue de sport me déplaise, bien que ça soit le cas » devait-il avouer « Ça me permettrait de savoir si j’ai perdu ou non la main ». Une fois encore, la jolie rousse était libre d’accepter ou non. Sa carrière, ses choix.
Un petit rire résonna tout contre sa chevelure de feu « Me voilà donc rassuré pour ta prochaine escapade ». En réalité, il ne s’inquiétait pas outre-mesure lorsque la jeune femme s’aventurait au-delà de la ville. Angelica n’avait jamais eu besoin de lui pour mener sa vie jusqu’alors, il n’en serait pas autrement maintenant qu’ils étaient ensembles. Tant qu’elle lui revenait après chaque aventure, c’était tout ce qui importait au politicien. Pour autant, bien qu’Edward aurait apprécié de l’accompagner au cours de ses voyages, il n’était pas pour autant prêt à s’afficher sur les réseaux sociaux en sa compagnie. Il n’éprouvait aucun doute quant à la durabilité de leur relation, et au sérieux qu’elle revêtait. Toutefois, il connaissait ses détracteurs, et il ne souhaitait pas qu’Angelica soit une cible de choix pour ces derniers. Elle avait mis tant de temps et d’énergie pour développer sa carrière, il ne serait aucunement un obstacle à cela. L’ombre lui convenait parfaitement. C’était devenue presque une seconde nature pour lui. « Je me contrefiche de ma carrière Angelica » rétorqua-t-il avec plus d’aplomb qu’il ne l’aurait soupçonné « Tout ce qui m’importe aujourd’hui, c’est toi. Et je ne veux pas que les gens te prennent pour cible parce que tu as eu le malheur de tomber amoureuse de moi ». Le Sénat n’était plus une priorité. Peu à peu, Edward remettait toute sa vie professionnelle en perspective, et avançait dans la découverte de soi, de ce qu’il désirait pour l’avenir. « Est-ce que tu es prête à l’accepter ? » de s’éloigner ainsi des réseaux sociaux lorsqu’elle était avec lui, de mettre tout un pan de sa vie entre parenthèses en sa présence.
« C’est très sexy de te voir réfléchir en femme d’affaire » rétorqua-t-il en souriant tout contre sa peau humide, non sans un coup d’œil pour la boite de chocolat posté à leurs côtés. Sans vraiment connaître le cheminement, Edward évoqua Flynn et sa volonté de le voir venir à l’appartement plus souvent. Il était le meilleur ami d’Angelica. Il était libre d’aller-venir selon son bon vouloir maintenant qu’ils étaient ensemble et que cet appartement était devenu dorénavant le leur « Nos débuts n’ont pas été faciles… » constata-t-il « Il veut apprendre à me connaître ? » ou voulait-il s’assurer qu’il n’était pas seulement l’antipathique politicien qui l’avait tout juste salué lors de leur première rencontre ?! Pour ce qui était de l’appartement, Edward lui proposa de faire les boutiques, si cela pouvait lui permettre de se sentir chez elle. Son idée n’enclencha pas l’enthousiasme auquel il s’attendait « Je veux juste que tu sentes chez toi » souffla-t-il et reprit « Mais si ça te rassure, tu peux garder ton appartement ». Peut-être que ça la rassurerait de garder une part d’indépendance, une issue si jamais leur relation venait à péricliter. Un sourire étira ensuite les lèvres du quadragénaire qui s’était attendu à une telle demande de la part d’Angelica. Un refuge. Un endroit rien qu’à elle. C’était la seconde raison qui l’avait encouragé à quitter New York les trois prochains jours. « Seulement deux ou trois » et glissa sa main sur sa joue, déposant ses lèvres sur les siennes « C’est une surprise, Angie » et l’embrassa une dernière fois « Si tu n’aimes pas l’issue, Louisa fera les modifications que tu désires ». Il baissa les yeux sur son estomac qui décida de gargouiller, et grimaça légèrement « Tu as faim ? ».
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Charly
Mer 10 Juil - 15:35
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -non, tu as parfaitement raison. J’aime voyager, mais je ne suis pas non plus une aventurière dans l’âme. Partir seule, en tant que femme… je n’aurai pas le courage ou la folie pour faire ça. » Flynn était toujours avec elle lors de ses voyages. Parce qu’ils étaient associé, travaillaient ensemble, parce qu’il était la gestion d’arrière l’image de la jeune femme, mais aussi parce qu’il était plus qu’un ami pour elle. Un ami, un frère, un confident… Second sujet délicat. Le job qu’occupait Edward et qui accaparait son emploi du temps. Angie le voyait comme une prison. Il avait été enfermé la dedans contre sa volonté. Ce n’était pas quelque chose qui le faisait vibré. Au contraire, cela n’avait sans doute fait que développer cette partie sombre qu’il affichait au grand public. Angie se mordit la lèvre inférieure en écoutant la confidence d’Edward, comme pour essayer de cacher le sourire qui venait d’apparaitre sur son visage. Elle caressa son bras et répondit avec douceur : « -je suis contente d’entendre ça… » oui, c’était la vérité, elle était véritablement heureuse qu’il réfléchisse sur le sujet. C’était à lui de prendre des décisions, non à elle d’en imposer.
Pour le moment, aucune date n’était fixée pour la séance photo dont elle lui avait parlé. Elle fut d’ailleurs surprise qu’il se souvienne de cela. Ce n’était qu’un détail finalement. Angie baissa les yeux en écoutant la proposition qu’il lui fit, comme si cela lui permettait de le voir même si elle était dos à lui. Lorsqu’il se justifia, elle décida de se tourner vers lui. « -tu es réellement en train de justifier ce que tu viens de me proposer ? » elle embrassa son menton, incapable de tourner plus la tête. « -j’adorerais que tu fasses ces photos ! » ça sortait du cœur, avec un enthousiasme fou. Comment pouvait il imaginer qu’elle réponde non ? Même si elle n’avait toujours pas vu de quoi Edward était capable avec un appareil photo, elle avait comme la certitude qu’il avait du talent et que non, il n’avait pas perdu la main. « -j’ai déjà hâte. » ajouta Angie. « -on est pas forcement besoin d’attendre cette collection de vêtement pour faire des photos, tu sais. » oui, elle avait déjà hâte.
Nouveau sujet délicat : leur image médiatique… Edward n’était pas prêt à apparaitre sur les réseaux d’Angie. Pour la protéger de son image. De son côté, elle voyait exactement le même souci. Son métier pouvait être mal vu. Serait mal perçu, à coup sûr. Soudainement, elle eut envie de sortir du bain afin qu’ils puissent se parler face à face. « -ne dit pas ça de cette façon. » ça sonnait presque comme un ordre. « -j’ai déjà un paquet de haters tu sais… je sais ce que ça fait de ne pas plaire à tout le monde. Mais d’accord… on affiche rien. » elle respecterait son choix. « -bien sûr que oui enfin ! Quand je suis avec toi, je n’ai pas besoin de passer du temps sur mon téléphone. Je ne peux pas partir en vacances en emmenant du travail avec moi ! » parce que c’était ça. S’ils partaient en voyage ensemble, ça serait pour des vacances. Des moments de pauses et de déconnexion.
« -tu me trouves sexy tout le temps… » s’amusa Angie. La jolie rousse n’avait pas encore prit le temps de réfléchir à tout ce que son oui allait déclencher dans leurs vies. Est-ce qu’elle se sentait chez elle alors que c’était chez lui ? Elle se sentait chez elle un peu partout… « -oui… j’imagine qu’il veut également comprendre ce qui m’a séduit chez toi… » elle sourit : « -je suis certaine que vous vous entendrez bien. » malgré une première rencontre étrange, le courant allait passer entre Edward et Flynn. Elle ne se faisait pas de souci là-dessus. « -je crois que tu penses trop… » elle lui sourit à nouveau : « -ou que je n’ai pas encore assez pensé de mon côté… j’ai la sensation que tu te projette beaucoup, et moi pas assez. » un léger rire : « -tu vois, je n’ai pas penser trois secondes à ça. Garder ou non mon appartement… » elle haussa les épaules. Non, pour le moment, elle n’y avait pas réfléchit. Elle finit par lui demandé s’il avait encore des surprises pour elle durant le weekend, alors qu’il venait de lui faire comprendre que lorsqu’ils seraient de retour chez eux, puisque c’était chez eux maintenant, elle aurait droit à une pièce rien qu’à elle. « -deux ou trois ?! » il était sérieux en plus de ça. « -tu adores beaucoup trop me torturer, tu le sais ça ? » ajouta la jolie rousse, un sourire jusqu’aux oreilles. « -j’ai faim… de toi surtout… mais je vais te garder pour le dessert… » Quelques minutes plus tard, ils étaient dans la cuisine. « -tu as également prévu les menus des trois jours ? » demanda Angie avant de s’aventurer dans le salon, découvrant un peu plus les lieux avec ravissement.
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Mer 10 Juil - 21:17
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Angelica était libre de voyager à travers le monde si telle était sa volonté, et il ne serait jamais une entrave à sa liberté, quelle qu’elle soit. Toutefois, le danger était omniprésent et ne cessait pas aux frontières d’un pays. Plus encore lorsqu’on était une femme. Donc savoir que Flynn serait toujours présent lors de ses escales rassurait le politicien et ne s’en cacha pas. C’était la seule modalité sur laquelle il serait intransigeant. « Ne sois jamais une aventurière dans l’âme. S’il te plaît » renchérit-il aussitôt tout en arborant un sourire amusé sur les lèvres. Il s’en accommoderait sans mal d’avoir une petite-amie qui ne sens pas habitée par l’âme de Lara Croft. La perdre n’était pas envisageable. C’était notamment pour cette raison qu’Edward envisageait avec le plus grand des sérieux d’abandonner sa carrière politique au cours des prochaines semaines, bien qu’il n’en toucha pas mot à la jeune femme dans l’immédiat. C’était le résultat de longues journées de réflexion et de l’amer constat qu’il se dédiait corps et âme à une profession qu’il ne désirait plus, au détriment du temps passé auprès de la femme qu’il aimait. Cet éloignement n’était que le dénouement d’une vie qu’il avait mené en nourrissant les ambitions de sa famille et non les siennes. Il en avait lentement pris conscience aux côtés d’Angelica. Dorénavant, il désirait se vouer corps et âme à son propre épanouissement, et plus encore, à leur histoire qui s’écrivait peu à peu chaque jour. Aux mots de la jeune femme, il déposa ses lèvres sur sa chevelure de feu « C’est grâce à toi ». Si elle n’était pas entrée dans sa vie, il aurait poursuivit la destinée tracée par la famille Wyler sans jamais se soucier de son bonheur.
Par ailleurs, Edward avait à cœur de renouer avec la photographie. La proposition formulée par la jolie rousse était toujours présente dans un coin de son esprit et envisager de collaborer au quotidien avec Angelica l’enchantait au plus haut point. Il lui proposa donc ses services pour la séance photo à venir et qui avait été avortée. Le politicien aurait pu seulement se résoudre à lui prêter ses services, mais fit le choix de se justifier à sa manière. Un sourire étira lentement ses lèvres en sentant celles d’Angie se déposer sur son menton mal rasée « Oui » fut sa seule réponse avant qu’elle n’accepte avec un enthousiasme qui le ravit. C’était la plus belle des réponses à ses yeux. « On pourrait peut-être envisager cela pour la fin de semaine. Qu’en penses-tu ? ». Edward avait pour projet de ne plus se laisser accabler par le travail, dédiant chacune de ses soirées à la jeune femme. Que cela soit un dîner au restaurant ou un simple jeu de cartes sur la table basse du salon. Cela n’avait que peu d’importance la manière dont ils occuperaient ce temps. Toutefois, il ne souhaitait plus que sa carrière empiète sur sa vie personnelle, et plus encore sur sa relation avec Angelica. Bien qu’elle prétendait le contraire, la jeune femme ne le pardonnerait pas inlassablement. De surcroît, le politicien envisageait sérieusement de réaliser son rêve d’enfant et de faire carrière en tant que photographe. « Est-ce que tu accepterais de devenir mon modèle ? ».
Comme pouvait probablement le soupçonner Angelica, il était plus à l’aise derrière la caméra que devant. Par conséquent, Edward ne désirait pas apparaître publiquement sur les réseaux sociaux de sa moitié. Il ne faisait pas l’unanimité auprès de l’opinion publique et appréhendait les retombées sur la carrière de la jeune femme. Quant à sa propre carrière, il se contrefichait des conséquences que cela pouvait engendrer. Il n’envisageait pas de poursuivre sa carrière politique. Toutefois, le ton employé par ce dernier pour exprimer sa pensée ne fut pas du goût d’Angelica qui ne se fit pas prier pour le lui rappeler « Que je me moque de ma carrière ou que tu as eu le malheur de m’aimer ? ». Il enlaça de ses bras le corps nu de sa compagne et reprit « Raison de plus de ne pas en ajouter de nouveaux et qui pourraient être plus virulents encore la mia luce. Tu as mis bien trop de cœur et de temps pour que mon image nuise à la tienne » et déposa ses lèvres dans son cou avec douceur. Il savait qu’elle ne partageait probablement par sa pensée, mais il ne lui laissait guère le choix que d’accepter. Cela n’empêchait en rien de partir uniquement tous les deux à l’autre bout du monde pour s’évader de New York et de leurs carrières respectives. Il arbora un doux sourire « On partira seulement tous les deux dans ce cas ». Ce qui lui convenait parfaitement, à lui aussi.
Un petit rire résonna finalement dans la salle de bain « Oui ». La réponse était sincère et sans appel. Angelica était parfaite à ses yeux. Il l’aimait et c’était pour cela qu’il lui avait proposé de venir vivre avec lui la veille au soir. Cela signifiait également qu’elle était en droit d’inviter Flynn. Un dîner qui ne saurait tarder, ce dernier désirant le rencontrer de nouveau et dans d’autres circonstances « Tu sembles bien certaine » rétorqua-t-il sans peu de conviction « Et s’il te met de nouveau en garde contre moi ? ». Il ne faisait nul doute que l’opinion du meilleur ami avait son importance. « Probablement parce que cela faisait plusieurs jours que je songe sérieusement à te le demander ». C’était aussi simple que cela. Sans se départir de son sourire amusé, il répondit aussitôt « Tu as le temps d’y réfléchir Angie. Je ne voulais seulement que tu saches que je ne serais pas contrarié que tu souhaites garder ton appartement ». Il ne percevrait pas sa décision comme pessimiste en ce qui concernait leur avenir à tous les deux. Elle était libre de le garder ou non. C’était sa décision. Pour autant, il avait tout mis en œuvre pour que la jeune femme se sente également chez elle au penthouse à leur retour. Ce n’était pas la seule surprise qu’il avait en réserve « Oui ». Il n’en dirait pas plus. « J’aime te faire beaucoup de choses Angie ». Cela ne se résumait pas uniquement à la torture et elle le savait. « C’est toi qui me torture ». Quelques minutes plus tard, Edward s’affairait en cuisine pour préparer le déjeuner. Une omelette. « Oui. Nous sommes à des dizaines de kilomètres de la ville la plus proche » expliqua-t-il tout en cassant les œufs au-dessus du plat. Les coquilles s’amoncelaient peu à peu sur le rebord du comptoir de la cuisine, tandis qu’il continuait d’ajouter peu à peu les condiments, et après une longue hésitation, osa « Angie… » et déglutit avec lenteur « Tu parlais de dessert tout à l’heure… Ce que tu m’as fait hier soir… » et se mit à rougit jusqu’aux oreilles « Tu n’es pas obligée de le faire, tu sais… » poursuit-il tout en continuant de battre les œufs dans l’imposant récipient « J’ai surpris ma sœur et ses amies un jour évoquer le sujet… Je sais que certaines femmes n’aiment pas… Alors … Tu n’es pas obligée » et baissa hâtivement les yeux sur les œufs qui s’étaient transformés en un liquide unifié orangé, sans pour autant que le rouge de sa peau ne se dissipe.
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Mer 10 Juil - 22:02
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -tu n’as pas de souci à te faire là-dessus. » répondit Angie en toute sincérité. « -je ne pars jamais seule et tu peux suivre mes aller et venu sur mes réseaux. J’aime voyager et découvrir de nouvelles choses, de nouveaux endroits. Mais je ne suis pas adepte de frissons. » elle sourit : « -seulement de ceux que tu es capable de me procurer. » ajouta la jeune femme en espérant l’avoir rassurer. Elle fut heureuse d’entendre qu’Edward prenait du recule sur sa vie actuelle, et semblait vouloir autre chose qu’un emploi qui ne le nourrissait pas de l’intérieur. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il change tout du jour au lendemain. Ce n’était pas si simple. Mais s’il y pensait, c’était déjà une bonne chose. Grâce à elle… Certains diraient à cause d’elle… Si Edward prenait la décision d’arrêter la politique, il y aurait des retombé dans sa famille. Et la faute serait rejeter sur elle. Elle s’en fichait. Elle le lui avait déjà dit, elle voulait le voir heureux et cela dans toutes les sphères de sa vie.
Renouer avec la photo était une idée qui enchantait Angie, même si elle n’avait pas encore vu l’étendu de son talent. C’était sa passion de jeunesse, il avait souhaité en faire son métier… alors l’entendre lui poser cette question fit naitre un enthousiasme fou chez Angie. Bien sur qu’elle voulait qu’il fasse ces photos. « -fin de semaine je ne sais pas si j’aurai les tenues, mais on peut très bien faire un séance test, avec un autre thème. » elle ne manquait pas d’idées. « -avec grand plaisir mi amore. » évidement que la réponse était oui ! Après tout, elle avait proposé qu’il devienne son photographe personnel… Ce n’était pas des paroles en l’air. Elle avait déjà hâte…
« -le malheur de tomber amoureuse de toi. » précisa Angie. « -ce n’est pas le cas. » ce n’était pas un malheur à ses yeux. « -d’accord… » ils feraient comme il voudrait. Elle comprenait que c’était pour la protéger. Elle n’insisterait pas. Respecterait son choix. Même si elle savait qu’un jour ou l’autre, leur couple deviendrait publique et que le secret serait révélé. Elle n’avait pas envie d’y penser. Voulait également croire que ses followers aimaient ce qu’elle dégageait, ce qu’elle leur apportait. « -ça évitera que Flynn se sente de trop… » s’amusa Angie. Partir rien que tous les deux la ravissait. Comme ces trois jours ici, dans ce chalet.
Et en parlant de Flynn, elle promit à Edward que son meilleur ami viendrait bientôt manger chez eux. Il était logique que les deux hommes de sa vie se rencontrent. Convenablement cette fois. « -je le suis. » elle ne doutait pas de l’entente qui pouvait naitre entre Edward et Flynn. « -tant que tu me rends heureuse, il n’aura aucun raison de le faire. » elle savait que son meilleur ami veillerait de loin. Pour ce qui était de la vie à deux, de l’appartement, du sien, Angie n’avait pas réfléchit à tout cela. Elle n’en avait pas eu le temps. Elle aimait se laisser porter, et c’était ce qu’elle avait l’intention de faire. « -je le mettrais certainement en location. » commenta la jeune femme avec un léger mouvement d’épaules. Ça lui ferait une rentrée d’argent supplémentaire.
Edward était un homme plein de surprise et qui aimait en faire. Les lèvres d’Angie s’étirèrent d’un sourire. « -et j’aime beaucoup que tu aimes me faire des choses… » avait elle répondu d’une voix sensuelle et taquine à la fois. Mais profiter de leurs corps attendrait. Edward avait faim et Angie allait finir avec la peau toute fripée à force de rester dans l’eau. Edward avait tout prévu de A à Z. C’était presque impressionnant. Devant la baie vitrée du salon, elle tourna la tête lorsqu’il prononça son nom. « -hum ? » demanda la jeune femme avant de sourire en le voyant rougir de loin. Elle se rapprocha avec lenteur, pieds nus sur le parquet, vêtue d’une robe légère. « -d’accord… » souffla la jeune femme alors que son visage affichait un sourire espiègle. Elle vint coller ses fesses juste à côté d’Edward et décida de répondre : « -j’adore quand tu rougis jusqu’aux oreilles… » c’était amusant qu’il réagisse ainsi lorsqu’il devait parlé de sexe, alors que dans l’intimité d’une chambre, il était capable de lui dire des mots crus au creux de l’oreille. « -je ne me suis pas senti obligé Edward. » elle fronça les sourcils : « -ça donnait cette impression ? » parce que ça n’avait pas du tout été le cas. « -poses ça tu veux… » demanda Angie afin qu’il se tourne vers elle.
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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Sans réellement en connaître les raisons, Edward avait confiance en le meilleur ami de la jeune femme pour veiller sur cette dernière au cours de leurs différentes excursions. Bien qu’il ignorait presque tout de cet homme, il en savait suffisamment pour lui confier la vie d’Angelica sans se soucier outre-mesure de sa sécurité en sa présence. Par ailleurs, apprendre que la jeune femme n’était pas avide de sensations fortes, excepté lorsqu’elle se trouvait dans ses bras, eut pour effet de le rassurer pleinement « Oui, mais ceux-là sont délicieux » précisa-t-il sur un ton léger. Le même qu’il employa par la suite pour confier à l’influenceuse qu’il envisageait sérieusement la possibilité d’abandonner la politique au profit d’une carrière plus à même de lui correspondre. Une décision qu’il n’aurait sans nul doute jamais prise de sa propre initiative. C’était sa rencontre avec Angelica qui avait chamboulé son quotidien tout autant que l’homme qu’il avait toujours pensé être. Il avait conscience que sa décision ne ferait pas l’unanimité auprès de son entourage et qu’ils n’auraient d’autres choix que d’essuyer les critiques, mais c’était un sacrifice que le politicien était prêt à faire. Il avait à cœur de renouer avec la photographie, et plus encore, d’avoir la possibilité d’exercer aux côtés de la jeune femme. Son enthousiasme ne fit que l’encourager plus encore à emprunter cette voie « Tu as des idées ? » parce qu’il n’en manquait pas. Le cas échéant, Edward aspirait notamment à photographier la jeune femme au quotidien, sans pour autant que cela ne se manifeste en séance photo officielle. Un sourire étira ses lèvres et se contenta de déposer ses lèvres sur sa chevelure rousse pour seule réponse. Son engouement était communicatif et il désirait plus encore entreprendre ce tournant dans sa vie.
Pour autant, Edward n’envisageait pas d’être perçut comme le petit-ami de l’influenceuse à succès qui prônait le bien-être et l’épanouissement personnel sur les réseaux sociaux. Son image risquait de nuire à la sienne, et ce n’était pas un sacrifice qu’il était prêt à lui faire endurer pour le moment. Cependant, Angelica le réprimanda davantage sur la forme de sa pensée que le fond. Elle n’appréciait pas qu’il se déprécie de la sorte lorsqu’il évoquait leur relation. Il souffla un « Pardon » teinté de sincérité « Le bonheur de tomber amoureuse de moi » et sourit à ses propres mots. Ça sonnait étrangement à son oreille. Agréablement également. Envisager qu’il n’était pas néfaste pour la jeune femme était plaisant. En attendant que leur relation paraisse dans la presse à scandale ou les médias politiques, Edward resterait en retrait et laisserait arpenter le monde en compagnie de Flynn qui apprécierait probablement de ne pas tenir la chandelle au cours de leurs excursions « Oui ». Et puis rien ne les empêchait de voyager eux seuls. Puisqu’ils évoquaient le meilleur ami, le dîner que lui avait proposé le politicien était toujours d’actualité. Seulement, ça ne serait pas uniquement pour fêter le récent aménagement de sa petite-amie, mais également pour jauger l’homme qui partageait dorénavant sa vie. Angelica ne semblait nullement appréhender cette rencontre prochaine. Il ne put réprimer un petit rire nerveux « Tu parles comme ces derniers jours ? ». Parce que ce qui était de la rendre heureuse, il reviendrait. Cela n’avait pourtant pas empêcher Angelica d’accepter de vivre avec lui. Ce qui posait inéluctablement la question de son propre appartement « Tu es propriétaire ? » et ajouta « J’aimerais beaucoup le visiter ». Une fois encore, il constatait qu’il y avait des pans entiers de la vie de la jeune femme dont il ignorait tout.
Aux mots, le beau brun gronda légèrement, trahissant l’effet que produisait ces paroles sur sa personne. Il se contenta uniquement de prononcer un « Angie… » qui avait plus de sens que ça ne laissait paraître. Il n’était pas certain d’être capable de combler en même temps les deux appétits qui l’accablaient. Il allait devoir prioriser l’un avant l’autre. Ce fut pour cela que quelques minutes plus tard, Edward s’affairait en cuisine, préparant l’omelette pour le déjeuner. En apparence, tout laissait à penser que le politicien était pleinement concentré sur la recette de cuisine, mais il n’en était rien. En arrière-plan, son esprit s’échauffait et se décida à évoquer l’initiative qu’avait amorcé son amante la nuit dernière. Peu à l’aise à évoquer ainsi leur sexualité, sa peau prit une couleur plus rosée. Un malaise dont semblait se délecter sa compagnie qui se rapprocha sciemment de lui, tout en arborant ce petit sourire espiègle qui le faisait chavirer. « Angie » gronda-t-il faussement irrité par ses mots. Le sourire qu’il réprima en était la parfaite trahison. « Tu sais que je n’aime pas parler de ma vie intime ». Pourtant, il ne rougissait pas ainsi lorsqu’il parlait de ses prouesses sexuelles, ou de la manière dont sa féminité acceptait si parfaitement son chibre. Mais le sujet restait pour le moins sérieux pour Edward. Il ne souhaitait pas que la jeune femme se sente contrainte de le prendre en bouche parce qu’il se plaisait à le faire en retour. Peu à peu, il cessa de remuer le plat qu’il maintenait fermement contre l’établi, et se contenta seulement de tenir le fouet d’une main et le récipient de l’autre « Non ! » clama-t-il avec un peu trop d’entrain. Il ferma alors les paupières avec force et reprit avec davantage de douceur tout en reposant ses prunelles azurées sur elle « Non. Ce n’était pas l’impression que tu donnais ».
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Charly
Mer 10 Juil - 23:27
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -oui. » bien entendu qu’elle avait des idées. « -ça fait déjà un moment que j’ai envie de faire des photos du genre professionnelle… » une légère grimace en disant cela. « -tu peux aussi prendre des photos pendant une séance de yoga… mais je te fais confiance, je suis certaine que tu as déjà des idées également. » elle ne se faisait aucun souci là-dessus. Elle faisait confiance au photographe qui sommeillait en lui et qui ne demandait qu’à être réveillé.
Angie comprenait qu’il n’ait pas envie d’apparaitre sur ses réseaux. Elle aimait cette envie, ou ce besoin qu’il avait de la protéger. Ils étaient d’accord depuis le début, leurs deux carrières n’étaient pas en adéquation. Elles pouvaient leur porter préjudice à l’un comme à l’autre. Alors le visage d’Edward resterait secret, jusqu’à ce que d’autres le décident pour eux. « -c’est beaucoup mieux. » commenta Angie. Elle détestait cette idée étrange qui s’était imprimée dans l’esprit d’Edward, qu’il ne pouvait pas être bénéfique dans sa vie. C’était totalement faux. Les sentiments qu’elle éprouvait pour lui la rendait heureuse, il la rendait heureuse. Et c’était tout ce qui importait finalement. Exactement ce qui importait à son meilleur ami. Il n’était pas contre Edward, même si leur rencontre n’avait pas été la meilleure qui soit. Flynn connaissait Angie par cœur, et il avait comprit qu’elle était amoureuse, sans doute même avant elle. Ils les avaient vu sur la plage… il avait vu ce qu’eux deux n’étaient pas encore prêt à s’avouer. « -dans une relation de couple, il a forcement des hauts et bas. C’est humain. » elle voulait qu’il arrête de se blâmer. Oui, parfois ils se feraient la gueule, allaient se crier dessus. Cela ne voulait pas dire que ces moments prendraient le dessus sur les beaux moments de complicité qu’ils étaient capables d’avoir. « -oui, il appartenait à ma grand-mère. Je ne suis pas certaine d’être capable, sentimentalement, de le vendre. » la location serait parfaite. « -si tu veux oui. » elle n’y voyait pas d’objection. Même si le style et la grandeur était totalement différente de chez lui.
« -quoi ?! » s’amusa la jeune femme. « -c’est toi qui a commencé ! » renchérit Angie avant d’accepter de sortir de l’eau pour aller manger quelque chose. Alors qu’elle admirait la vue part la baie vitrée, Edward aborda un sujet dont il était peu friand. Elle s’amusa à la voir rougir. « -notre vie intime. » précisa-t-elle alors qu’elle s’était rapprochée. « -ce n’est que moi… » ajouta-t-elle. Pourquoi rougir alors que c’était lui qui était acteur de leur vie sexuelle. Lui qui était capable de la faire frémir et crier de plaisir. Elle eut un léger rire devant sa réaction. « -tant mieux… » parce qu’elle ne s’était pas forcée.
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Jeu 11 Juil - 20:16
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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La photographie était une passion qui avait animé Edward dès son plus âge, et sans cet accident qui avait remis toute son existence en perspective, probablement qu’il aurait été le photographe en vogue. Celui primé par de nombreux prix pour ses clichés. Finalement, la vie en avait décidé autrement en le propulsant dans les hautes sphères de la politique New-Yorkaise, et sans l’arrivée inopinée de la jeune femme, il aurait poursuivit ses ambitions politiques, jusqu’à le mener au Congrès américain. Aujourd’hui, Angelica lui offrait une porte de sortie afin qu’il puisse vivre pleinement ses rêves d’antan, et décida de saisir l’opportunité offerte. Elle serait son premier modèle et probablement l’unique. « Quel genre de photos professionnelles ? » cette hésitation l’intriguait, et éveillait sa curiosité. « Nous le pourrions également » confirma-t-il tout en acquiesçant dans son dos « J’avais envisagé des photos à la volée ». Il n’avait aucun mal à s’imaginer immortaliser un instant, dévoilant ainsi une Angelica plus authentique encore qu’à son habitude, sans qu’elle ne soupçonne sa présence. Edward éprouvait un réel engouement vis-à-vis de ces projets à venir. Un enthousiasme qui ne l’avait pas habité depuis bien des années maintenant. Il se promis de faire l’acquisition du matériel nécessaire dès leur retour à New York.
Pour autant, Edward ne sentait pas encore disposé d’apparaître publiquement sur les réseaux sociaux de la jeune femme. Plus encore, il désirait la protéger de ses propres détracteurs. Angelica n’avait pas à pâtir de l’agressivité de l’opinion publique parce qu’elle était tombée amoureuse de lui, d’un homme dont le reste du monde méconnaissait. Parfois, il s’interrogeait encore sur les raisons qui avaient fait succomber une telle femme à son charme. Bien qu’il soit pleinement heureux que son cœur l’ait choisi lui plutôt qu’un autre. Un sourire étira les lèvres d’Edward au commentaire de sa moitié, et embrassa sa peau humide « Je ferais plus attention à l’avenir » lui promit-il à demi-mots. Quant à sa rencontre avec Flynn, l’appréhension se ferait ressentir sans nul doute au moment du dîner. Il était l’univers de la jeune femme, son meilleur ami, son confident également. Les tensions des derniers jours n’avaient sûrement pas dû lui échapper, et il n’était pas certain qu’une soirée en sa présence puisse le convaincre du bien-fondé de leur union. Même si aux yeux d’Angelica, elle était confiante quant à leur rencontre prochaine. « Tout ça est nouveau pour moi Angie… Tu es mon premier et mon seul amour… Laisse-moi un peu de temps pour assimiler tout cela » répondit-il avec douceur à son oreille. Sa dernière relation sérieuse datait de plusieurs décennies, il n’était alors qu’un adolescent qui n’envisageait pas sa relation avec sa petite-amie d’antan, comme sérieuse et persévérant dans l’avenir. Il devait tout appréhender de la vie de couple et de ses aléas. « Je ne te le demanderais jamais Angie » souffla-t-il avec une infinie douceur, resserrant son étreinte autour de son corps nu « Je pourrais vendre le penthouse ou le mettre à disposition, et venir vivre avec toi ». Il n’était pas sentimentalement attaché à cet appartement. Il n’était qu’une propriété comme une autre.
« Ce n’est pas une excuse pour renchérir mon amour » déclara-t-il tel un conseil avisé, alors qu’il venait de gronder son nom à l’instar d’une mise en garde. Ils étaient nus et ne suffisait d’un rien pour qu’il succombe à l’appel de son corps. Finalement, pris d’une sagesse insoupçonné, ils parvinrent tous deux à se vêtir pour déjeuner dans la pièce de vie. Alors qu’il s’attelait à préparer le repas, il décida d’évoquer avec la jolie rousse un sujet qui lui occupait l’esprit depuis la veille au soir. L’homme au langage trivial n’était plus lorsqu’il évoquait sa vie intime sans contexte. Rougissant jusqu’aux oreilles, Edward n’était brusquement plus l’homme assuré qu’il pouvait être au quotidien « Notre vie intime » se reprit-il à la demande d’Angelica et acquiesça lentement « Je sais… ».
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Charly
Ven 12 Juil - 14:25
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -je sais pas trop… Genre qui fasse un peu femme d’affaire plutôt que prof de yoga… » elle n’avait pas d’idée précise mais elle ne doutait pas une seule secondes qu’Edward serait capable de lui proposer des idées ou de comprendre exactement ce qu’elle voudrait, le moment venu. « -c’est-à-dire ? Sans que je sois au courant ? » demanda Angie avec un léger froncement de sourcils. Elle sourit, et ajouta : « -tout ce que je souhaite, c’est que tu reprennes gout à la photographie mon amour… que tu oses et que tu laisses ta créativité d’exprimer. » rien de plus, rien de moins. S’il souhaitait la prendre en photo à son insu, alors qu’elle donnait un court de yoga ou bien lorsqu’elle travaillait, ou bien d’autre chose, ça lui allait parfaitement. Une autre idée lui vint à l’esprit, bien plus coquine, mais elle préféra la garder pour elle pour le moment. Il n’était peut-être pas prêt pour ça…
« -je sais… » elle était consciente que la relation de couple n’était pas son domaine d’expertise. Mais à elle non plus en réalité. A la fin de sa dernière relation en date, elle n’était plus que l’ombre d’elle-même… Mais avec Edward, tout était tellement différent… Qu’il s’agisse de leur couple ou de leur vie sexuelle… Angie découvrait chaque jour le plaisir de vivre avec un homme qui croyait en elle. Qui l’admirait d’un regard plein d’amour. Elle découvrait également une autre facette de sa personnalité lorsqu’ils étaient nus. Et elle adorait cela.
« -je sais… » avait elle soufflé en souriant. Ce n’était pas lui de décider si elle devait se séparer ou non de l’appartement. La proposition qu’il fit ensuite la fit réagir rapidement : « -on va pas décider de ça maintenant. Rien ne presse. » il y avait des pour et contre dans les deux lieux de vie. Alors ils prendraient le temps de se poser les bonnes questions le moment venu. « -mon appartement est plus petit, il n’a pas de piscine non plus… Je te ferais visiter et tu verras par toi-même… » impossible qu’ils aient chacun leur espace de travail. Finalement, refaire un peu de déco au penthouse serait peut-être plus simple. Comme elle venait de lui dire, elle ne s’était pas encore poser la moindre question, ne s’était projetée. Alors ils prendraient le temps d’y réfléchir ensemble…
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Ven 12 Juil - 15:15
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Si Angelica n’avait pas d’idées précises de ce qu’elle désirait, il en était tout autre pour le photographe en herbe qu’il était. Les idées fusaient de toute part dans son esprit créatif et il ne manquait pas d’inspiration pour mettre en scène l’influenceuse. Pour autant, Edward resta laconique sur les différentes conceptions qui germaient dans son esprit et se contenta d’un simple « J’ai des idées » énigmatique. Au cours de ces dernières années, il avait envisagé perdre toute once d’inspiration en ce qui concernait son art. Mais aujourd’hui, il était forcé de constater qu’il n’en était rien. Le politicien ne manquait pas d’imagination en ce qui concernait les différentes séances photos dont Angelica pourrait être l’objet. Il avait également envisagé de photographier sa moitié à la volée, sans qu’elle n’en soit informée, pour rendre chacun des clichés plus authentique encore. « Oui » répliqua-t-il simplement, puis reprit « Est-ce que ça te dérangerais ? ». Telle était la question. Les encouragements d’Angelica étaient de véritables catalyseurs pour lui. Edward se sentait soutenu dans son projet de reprendre la photographie, et le cas échéant, d’en faire son métier par la suite. Il déposa un long baiser dans son cou, et murmura « Ne cesse jamais d’être toi la mia luce », et resserra son étreinte autour de son corps nu. Elle était un soutien inconditionnel au quotidien, et avoir son appui, l’exaltait à poursuivre sur sa lancée. Comment ne pas l’aimer et se battre pour elle, pour son amour, au quotidien ? Bien qu’il soit profane en matière de relation amoureuse, il remerciait toutefois chaque jour le Ciel de l’avoir dressé sur son chemin. Elle était devenue son tout.
C’était la raison pour laquelle, lui demander de venir vivre avec lui au penthouse lui avait semblé être la suite logique à leur relation, bien qu’ils n’aient pas pris le temps de peaufiner chacun des détails, notamment l’appartement d’Angelica. Héritage familial qui la rattachait à sa grand-mère. « Nous avons toute la vie devant nous » souffla-t-il à son oreille. Toutefois, avant de mettre un terme à la conversation, le politicien jugea pertinent de proposer de venir emménager avec elle dans l’appartement. Il n’était pas sentimentalement attaché au penthouse. « On prendra le temps d’y réfléchir ensemble ». Il n’était pas contre l’idée d’abandonner la piscine ou bien encore l’espace parfois superflu de son appartement, si ça permettait à Angie de rester proche de sa grand-mère ainsi.
Son jean de nouveau autour de sa taille, Edward se rapprocha de son amante pour l’embrasser et sourit « C’est toi qui es délicieuse ». C’était elle qui le rendait si avide de sexe, de son corps. Aux paroles qui suivirent, le politicien laissa un grondement lui échapper alors qu’il lui adressa un regard plein de défi à la jeune femme « Ne joue pas avec moi femme », sinon il risquait bel et bien tout mettre en œuvre pour respecter sa parole, qu’elle soit si comblée par les orgasmes, qu’elle le supplierait d’arrêter. Il la suivit du regard jusqu’à elle disparaisse de son champ de vision et s’attela à préparer l’omelette. Il terminait de la servir à son retour. Les deux assiettes en main, il se pencha pour embrasser son cou « Je t’aime » et les disposa sur la table, prenant place à ses côtés « Si tu le désires, on pourrait faire une sieste dans la barque après le déjeuner ». Le lac lui appartenait et ils ne risquaient pas de dériver au milieu des océans ici. Par ailleurs, Edward commençait à sentir la fatigue de ces derniers jours l’accabler de plein fouet.
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Ven 12 Juil - 18:09
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie était heureuse de constater qu’Edward songeait véritablement à reprendre la photo. C’était un domaine qu’il avait trop longtemps délaissé et elle était convaincue qu’il devait reprendre ce chemin, sans même connaitre l’étendu de ses talents. « -je n’en doute pas… » elle lui faisait entièrement confiance là-dessus. « -non, je te fais confiance. » elle savait parfaitement que ces photos ne seraient pas intrusives. De nouveau elle l’encouragea, rejoignant par ses mots l’idée simple de le voir heureux. « -je n’avais pas l’intention de changer… » souffla Angie, se sentant si bien dans ses bras.
Edward avait visiblement réfléchit à bien des choses pour leur avenir. Ce qui n’était pas le cas d’Angie. Vivre chez lui ne lui posait pas de souci. Vendre son appartement par contre, c’était exclus. Il était un héritage de sa grand-mère, elle aimait ce lieu. Alors elle prendrait le temps de réfléchir et de faire visiter l’appartement à Edward. Ils verraient ensemble ce qu’ils décideraient. Pour le moment, ils allaient sortir de l’eau et se diriger vers la cuisine afin de manger quelque chose. Seulement la conversation les mena à une toute autre activité.
Elle aimait cette alchimie entre leurs corps et leurs esprits. Elle aimait sa manière de lui parler, tout comme celle de la prendre avec force là, sur le comptoir de la cuisine. Chaque va et viens était un appel à la jouissance. Chaque coup de reins lui tirant des cris de plaisir intense. L’orgasme qui résultat de cette partie de jambes en l’air fut divin, laissant lentement place à plus de douceur. Angie garda une once de provocation, soulignant le fait qu’il lui avait fait une sorte de promesse non respecter. Ils avaient trois jours devant eux, trois jours rien que pour eux. Ce qui voulait dire énormément de temps pour se faire l’amour de bien des manières. « -tu adores ça… » avait elle répliqué avec un sourire en coin, avant de quitter la cuisine quelques minutes.
Lorsqu’elle revint, il y avait une belle odeur de nourriture dans la cuisine et s’avança pour prendre place et frissonna en sentant les lèvres d’Edward sur sa peau. Un sourire doux étira ses lèvres : « -moi aussi… » elle aimait entendre ces mots sortir de sa bouche. Ça lui prodiguait une douceur chaleur dans le cœur. Elle servit deux verres d’eau et répondit avec enthousiasme : « -oh oui, j’adore l’idée. » et ajouta : « -tu as raison, tu as besoin de reprendre des forces… » avant de manger une première bouchée sans le quitter des yeux. « -c’est délicieux. » ce n’était peut-être qu’une omelette, mais c’était vraiment très bon.
Une heure plus tard, elle grimpa sur la barque en question, laissant Edward prendre les rames et les entrainer ainsi jusqu’au milieu du lac. Angie admira la paysage, c’était magnifique. « -tu venais en vacances ici lorsque tu étais enfant ? » demanda la jeune femme qui venait de l’observer ramer quelques minutes silencieusement. Elle le trouvait beau comme ça, plus détendu, sans son costume et sa cravate. Elle aimait le voir sourire, et profiter.
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