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Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Mer 19 Juin - 21:57

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward avait peiné à dissimuler son sourire à Jeffrey qui le conduisait, comme chaque matin, depuis que ce dernier était à son service, jusqu’à son lieu de travail. Bien qu’en retard, ce début de journée avait été pour le moins enivrant. C’était comme si Angelica était parvenue à ajouter de nouvelles couleurs dans son quotidien. Chaque jour passé à ses côtés était plus beau que le précédent. D’autant plus maintenant, alors qu’ils étaient parvenus à franchir une étape décisive dans leur relation de couple. Leur étreinte avait été passionnée et frénétique. Le politicien avait pris plaisir à l’entendre lui confier ce qu’elle désirait tandis qu’il se donnait entièrement à elle, mais plus encore, il s’était surprit à se régaler de l’entendre crier sous l’orgasme. Pas seulement parce que cela flattait son égo masculin, mais parce que cela ne faisait que lui confirmait qu’ils étaient parvenus à une certaine osmose de leurs corps, malgré ses appréhensions presque paralysantes. Il appréciait l’idée qu’il parvenait à la combler dans l’intimité. Toutefois, ses obligations professionnelles balayèrent tout ce bonheur d’un revers de main à son arrivée à la mairie. À peine avait-il eu le temps de prendre place dans le fauteuil de son bureau attitré qu’on lui annonça que le policier responsable du meurtre d’Emily Campbell s’était donné la mort la veille. S’en était suivit une longue tirade sur ses obligations professionnelles au titre de son statut d’adjoint au maire, mais aussi en sa qualité de candidat au Sénat. On l’accabla de dossiers en tout genre, passant de la sécurité, à la scolarité, en passant par les rapports d’économie et de finance de New York.

Si cela n’était pas amplement suffisant, Ava avait débarqué à son bureau les bras chargés de documents convenablement rangés dans des pochettes de couleurs, lui permettant ainsi d’avoir un aperçu superficiel du contenu de chaque d’entre eux. Elle avait bien évidemment ponctué sa venue d’un « Je note l’absence de cravate ce matin. Yuma est en vacances ? » ce à quoi il avait aussitôt répondu par un « Non » simple. « Qu’importe. Voici les budgets de l’État de New York sous les trois derniers sénateurs, le programme de ton opposant, les demandes du parti, … » et elle énuméra tous documents qu’elle lui transmettait, au fur et à mesure qu’elle les déposait devant lui. À l’issue, Edward n’eut d’autres choix que de déplier ses jambes, dominant ainsi la tour de pochettes colorées pour entrevoir le regard de son assistante « J’ai été surprise d’entendre la voix d’Angelica ce matin » « J’étais sous la douche » « Il semblerait que vous prenez peu à peu plaisir à cette cohabitation » « Ava » « Je m’en vais ! Je m’en vais » déclara-t-elle en levant les mains à hauteur de son visage, en signe de reddition et quitta son bureau.

C’était la raison pour laquelle, en rentrant le soir venu à leur appartement, Edward s’était aussitôt dirigé jusqu’à son antre pour continuer, probablement vainement, de rattraper le retard accumulé ces derniers jours. Absorbé par les différents documents communiqués, le politicien ne prêta aucunement l’attention à l’heure qui défilait sur l’horloge suspendu au mur face à lui, surplantant le sombre canapé en cuir. Sans le bruit du poing d’Angelica s’abattant sur sa porte, probablement qu’il aurait poursuivit ainsi jusqu’au milieu de la nuit, sans se soucier des assauts de son estomac qui exigeait de manger. Il clama un simple « Entre » sans pour autant prêter attention à la venue de la jeune femme dans son antre. Ce fut sa voix qui l’interpella, le poussant à redresser la tête afin d’entrevoir son visage. D’un geste, il retira l’épaisse monture posée sur son nez et souffla un « Bonsoir… ». Son cœur gonfla d’amour pour cette femme qui resta posté dans l’embrasure de la porte. Elle lui avait préparé un sandwich. Un geste peut-être anodin pour beaucoup, mais qui signifiait beaucoup pour lui. « C’est une délicate attention, je t’en remercie ». Edward se laissa choir au fond de son siège et ne répondit pas à son interrogation, tendant seulement la main en sa direction afin qu’elle se rapproche, et l’invita à s’appuyer contre le bureau face à lui, lui permettant ainsi de reposer sa tête contre son ventre l’espace de quelques instants. Par la suite, il se recula légèrement pour entrevoir ses prunelles émeraudes « Je viendrais me coucher que plus tard. Je suis accablé de travail et je ne peux m’en défaire… ». Sa main dans la sienne, il la porta à ses lèvres et souffla « Je ne te promets pas d’être particulièrement présent les prochains jours… et d’être bienveillant à ton égard. Alors je t’en prie, ne prends pas le moindre mot que je pourrais prononcer personnellement » et lui sourit « Je suis encore sain d’esprit pour me permettre de te mettre en garde ». Il la caressa de ses prunelles azurées, et finit par ajouter « Parle-moi de ta journée avant que tu ailles te coucher. S'il te plaît ».


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Charly
Jeu 20 Juin - 16:07

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie était consciente qu’ils n’évoluaient pas dans le même monde. Edward avait un job avec de vraies responsabilités. Chaque jours il était confronté à de vraies problématiques. Un job qu’il n’avait pas forcement choisi. La politique n’était pas une passion… De son côté, elle avait choisi de se détacher de cela, pour vivre une vie plus paisible, plus alignée avec la femme qu’elle souhaitait être. Ce soir, alors qu’elle lui préparait quelque chose à manger, elle ne cessait d’y penser. Pourquoi est-ce qu’il poursuivait ainsi ? La jolie rousse décida d’aller le voir, elle voulait seulement lui signifier qu’il avait un repas de prêt s’il le désirait. Elle voulait également savoir s’il allait bien. Elle frappa contre la porte, attendant qu’il l’autorise à la franchir. Lorsqu’elle posa ses yeux sur l’homme derrière le bureau, elle sourit avec douceur, sans pour autant avancer. Elle ne souhaitait pas envahir son espace, ni lui faire perdre de précieuses minutes de son temps. Pas la peine de balancer des choses classique tel que des : ne me remercie pas, de rien. Ce n’était pas grand-chose, seulement un sandwich. Seulement une petite attention pour lui.

Lorsqu’il lui fit signe, Angie franchit enfin le seuil de la porte, afin d’approcher de lui. Elle s’installa fesses contre le bureau, en face de lui. Lorsqu’il posa sa tête contre son ventre, elle glissa ses doigts dans ses cheveux, le couvant d’un regard doux. « -d’accord… » lui souffla Angelica avec douceur et compréhension. Non, elle ne lui dirait pas qu’il travaillerait trop. Non, elle ne ferait pas la gueule parce qu’il était en train de faire passer son job avant eux. Elle écouta sa sorte de mise en garde et lui sourit avant de caressa sa joue. « -d’accord… » souffla-t-elle à nouveau, son regard parlait pour elle. Ce n’était pas grave. « -j’aimerais juste que tu dormes un peu quand même. » ce n’était pas une demande ou un ordre mais un souhait. Qu’il vienne se glisser dans les draps et trouve un peu de repos en se blottissant contre elle.

Angie sourit de nouveau la tête légèrement pencher lorsqu’il lui demanda de parler de sa propre journée. Sans qu’il l’y invite cette fois, elle vint s’installer sur ses genoux en prenant le temps de l’embrasser. « -yoga matinal… une bonne séance… j’ai eu de bon retour. J’ai vu Adam cet après-midi. On a pu choisi les photos et vidéos pour la promo du livre. » elle caressa les cheveux d’Edward avant d’ajouter : « -j’ai besoin de placé une date pour le shooting dont je t’avais parlé ici, mais il attendront, ce n’est pas ta priorité. » elle arrêta de regarder les cheveux d’Edward pour plongeant dans ses yeux : « -j’ai pensé à toi… » ses doigts descendirent sur sa joue. « -tu m’as manqué aussi… » son doigt glissant jusqu’aux lèvres d’Edward.
 
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Jeu 20 Juin - 17:39

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Depuis leur premier baiser, Edward avait la désagréable sensation que chaque moment de bonheur qu’ils parvenaient à s’octroyer n’était qu’éphémère… Si ce n’était l’appel affolé de sa mère pour l’informer de la soudaine crise cardiaque de Nonna, c’était le passé d’Angelica qui ressurgissait au petit matin, ou plus encore, sa propre carrière, qui ne cessait de s’immiscer dans leur vie personnelle. S’il nourrissait encore un tant soit peu d’ambition pour parvenir à décrocher le poste de Sénateur de l’État de New York. Mais ce n’était aucunement le cas. Il en prenait une fois encore conscience alors qu’il venait de passer ces dernières heures à éplucher des comptes-rendus de police vis-à-vis de la situation qui avait conduit à la mort d’une fillette et d’un officier de police, ou encore les rapports financiers de la ville et de l’État. Sans la venue inopinée d’Angelica, probablement qu’il aurait passé sa nuit dans ce fauteuil sans prendre la peine de s’alimenter. La semaine à venir s’annonçait particulièrement nuisible pour leur relation qui n’en était qu’à ses prémices. Ce fut pour cela qu’il attira Angelica à lui, et pas seulement pour profiter d’un soupçon de sa tendresse. Il aimait lorsqu’elle glissait ainsi ses doigts dans ses cheveux. Ses prunelles azurées rivées sur elle, le politicien profita du semblant de lucidité qui lui restait pour la mettre en garde sur les jours à venir. L’influenceuse allait probablement cohabiter avec l’ancienne version de l’homme dont elle était tombée amoureuse, et cela risquait de mettre à mal leur relation.

À l’issue de ces accords successifs, Edward lui adressa un doux sourire « Je t’ai dit aujourd’hui à quel point tu étais parfaite ? Si ce n’est pas le cas… Tu es parfaite ». Peut-être pas à ses propres yeux, mais à ceux du politicien, elle l’était. La jolie rousse devenait son idéal féminin, alors qu’il ignorait jusqu’à peu qu’il en avait. Son regard glissa jusqu’aux nombreux rapports qui jonchaient son imposant bureau en bois massif sur lequel reposé les fesses de sa petite-amie « Je ne te promets rien, la mia luce » rétorqua-t-il sur un ton las tout en relevant la tête en sa direction. Probablement qu’il passerait sa nuit à travailler sur les différents dossiers que lui avait confié tour à tour le Maire et son assistante. À son grand désarroi. Il préférait de loin la compagnie du corps chaud d’Angelica au creux de ses bras, que celle de ses rapports. Toutefois, il doutait grandement qu’il ait vraiment la possibilité de faire un choix… Mais avant de retourner à ses obligations professionnelles, le quadragénaire voulait entendre Angelica lui conter sa journée. Elle lui avait terriblement manquée aujourd’hui, et il appréciait ce petit rituel qui s’était peu à peu instauré entre eux. Elle, évoquant sa journée et lui, buvant chacune de ses paroles.

D’un geste, le candidat au Sénat s’enfonça davantage dans l’imposant fauteuil et entoura machinalement la taille d’Angelica de son bras, tandis qu’il rendait ce premier baiser de la soirée. Son autre main se posa sur sa cuisse et la couva tendrement du regard alors qu’elle prenait la parole. « Quand publiera-tu la promo du livre d’Adam sur tes réseaux ? ». De nouveau, la jolie rousse laissa glisser ses doigts dans ses cheveux bruns. Si elle continuait ainsi, il risquait bel et bien de délaisser son travail pour la rejoindre sous les draps et passer la nuit avec elle. « Tu es ma priorité Angie » clama le politicien avec aplomb « Tu le seras toujours ». En se penchant légèrement, il se saisit de son portable reposant sur le rebord du bureau, et fit défiler son emploi du temps d’un geste du pouce « Vendredi, dans trois semaines. Est-ce que ça te conviendrait ? » proposa-t-il tout en se penchant une fois encore pour faire glisser le petit appareil sur le bureau. Il reposa de nouveau sa main sur sa cuisse et sourit à ses mots « Tu as pensé à moi ? Sans raison ? » et savoura cet instant de douceur rien que tous les deux, à l’abri du monde extérieur. D’un geste délicat, il lui saisit le poignet et embrassa l’intérieur de sa paume « J’ai eu envie d’être avec toi toute la journée… », et déposa ses lèvres dans le cou d’Angelica « Tu es mon meilleur moment de la journée ». Son regard se reporta sur son PC dont une petite sonnerie venait de retentir pour l’informer d’un mail entrant. Il jeta un bref coup d’œil à la synthèse en bas à droite : Conférence de presse demain à 9 heures. Un soupir las lui échappa et laissa reposer sa tête contre le siège, la mâchoire soudainement fermement serrée « On devrait partir un week-end, rien que tous les deux et coupés de tout réseau. Un chalet au bord du lac. Qu’en penses-tu ? ».



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Jeu 20 Juin - 20:23

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Avant d’aller dormir, Angie avait besoin de le voir. Juste quelques minutes. Juste pour savoir s’il allait bien. Elle n’osa pas s’imposer d’elle-même dans cette pièce. C’était la pièce interdite en quelque sorte. Sa zone à lui. Rien qu’à lui. Alors elle commença la conversation en douceur, avant de poursuivre plus proche de lui, mais avec autant de douceur. Il était débordé de travail. Forcement… après une semaine d’absence… Cependant, Angie ne pouvait s’empêcher de se dire que tout cela n’était de la paperasse et que ça pouvait bien attendre demain matin… Elle n’osa pas le formuler à voix haute, se contenta de prendre en compte ce qu’Edward venait de lui dire. Son sourire s’élargit lorsqu’il lui répéta à nouveau qu’elle était parfaite. Elle se mordit la lèvre inférieure pour éviter de rembarrer ce compliment qu’il semblait s’acharner à lui faire, malgré ce qu’elle en pensait. Ce soir, elle lui laissait dire ce qu’il voulait sans le contre dire.

« -je sais… mais ce n’est pas en devenant insomniaque que tu seras plus efficace… » ne pas dormir pour gagner du temps, c’était selon elle, une mauvais option. « -parfois dormir quelques heures redonnent de l’énergie et cela permets de mieux se concentrer et mieux travailler après… » ce n’était qu’un conseil, prononcé avec douceur tout en caressant ses cheveux. A sa demande, elle lui parla de sa journée, en prenant place sur ses genoux. Les dossiers en pagailles allaient attendre un peu. « -normalement ça devrait être en ligne d’ici la fin de la semaine. Il te passe le bonjour et espère que Nonna va mieux. » Puis elle parla de son shooting, à la base elle lui avait demandé si c’était possible de le faire ici. A nouveau elle se mordit la lèvre inférieure. « -oui, ça devrait être bon. Je te reconfirmerais… » en soit, non, ce n’était pas la priorité. « -non… pas sans raison… » un sourire taquin étira ses lèvres. « -impossible de remettre la main sur mon soutien-gorge d’hier soir… » une légère grimace : « -et puis j’ai pensé à toi quand j’ai déjeuner, parce que je devais te faire gouter… » elle finit par l’embrasser sourire aux lèvres. « -oh ba je te comprends… j’imagine bien que je suis de meilleure compagnie que tes collègues… » ironisa Angie avec de le couvrir de douceur.

Lorsqu’il pencha la tête en arrière, Angie vint se blottir contre lui. « -j’adore cette idée… » souffla la jeune femme. « -tu as ce genre de chose sous la main ? Le chalet et le lac… » elle savait qu’il était fortuné. Elle s’en foutait d’ailleurs. Elle avait dit cela avec légèreté. Comme si ça serait faisable facilement et rapidement. Toujours blottit contre lui, elle ajouta : « -parfois ça fait du bien de tout laisser tomber, de se couper du reste du monde, et de seulement prendre le temps de penser à soi. » comprenait ce qu’il voulait. « -tu sais que je suis partie pendant deux mois dans un ashram en Inde après ma rupture. Pour me retrouver, en me coupant du monde… » ce n’était pas du tout le moment de parler de ça. « -quoi qu’il en soit, je vote oui pour le chalet. Quand tu pourras te libérer. » elle releva les yeux sur lui, avant d’embrasser son cou, et de se lever dans l’idée de le laisser travailler.

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Jeu 20 Juin - 21:11

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward n’avait jamais autorisé la jeune femme à pénétrer dans son bureau jusqu’à ce soir. Ce lieu était son antre. Un lieu où cohabitait un imposant bureau en bois massif au fond de la pièce, un canapé Chesterfield en cuir brun aux accoudoirs cloutées près de l’entrée, et une imposante bibliothèque murale sur sa gauche, tout cela dans une décoration aux couleurs chaudes et boisées. Pourtant, sa visite fut estimée et il l’invita à venir jusqu’à lui. Cette femme lui avait désespérément manqué au cours de la journée éreintant qui venait plus ou moins de s’achever. Peut-être qu’Angelica ne parvenait pas à en prendre conscience, mais elle était si parfaite à ses yeux. Que cela soit dans sa manière de glisser ses doigts dans ses cheveux bruns ou encore de s’obstiner à le convaincre des effets incontestables du sommeil sur l’Homme. Elle énumérait ses arguments tandis qu’il la couvait tendrement du regard « Humhum » commenta-t-il dans un premier temps, et reprit « Le sommeil, c’est sérieux dis-moi » en se moquant gentiment d’elle « Je vais y réfléchir » conclut-il finalement. Pourtant, les différents dossiers qui jonchaient actuellement son bureau lui promettait une semaine d’insomnie … Mais avant qu’Angelica ne délaisse sa compagnie pour celle de Morphée, il lui demanda de lui conter sa journée, comme chaque soir. Ses sourcils se froncèrent légèrement à l’évocation de Nonna « Tu lui as parlé de l’incident ? ». Il n’émettait aucun reproche. Il était seulement intrigué de savoir le pourquoi du comment ils en étaient venus à évoquer sa personne. « Bien » fut la réponse qui suivit. Edward se tenait à sa disposition pour qu’elle lui confirme ou infirme la date du shooting photo. Si c’était important pour Angelica, ça l’était également pour lui.

Un petit rire discret résonna dans la pièce quand elle exprima la raison qui l’avait poussé à penser à lui aujourd’hui. La disparition soudaine de son soutien-gorge. « Oups » rétorqua-t-il en étant faussement désolé « Je t’en offrirais d’autres ». Parce qu’il comptait bien continuer à la débarrasser de ses sous-vêtements. « Je ne suis pas certain d’être bien présent ces prochains jours pour goûter ton petit-déjeuner mon amour » répliqua-t-il cette fois-ci sur un ton désolé de devoir lui imposer son emploi du temps surabondant des jours à venir. Après lui avoir rendu son baiser, Edward déclara un simple « Oui » convaincu. Parce que tel était le cas. Ce n’était pas comparable. La vue du message d’Ava à cette heure tardive pour l’avertir de la réunion du lendemain eut raison de sa patience. La mâchoire crispée, il laissa retomber la tête contre le fauteuil avec lassitude. Son bras se resserra autour du corps d’Angelica qui s’était aussitôt blottie tout contre lui « Mes parents sont propriétaires d’un petit chalet dans le Montana, au Glacier National Park ». Un endroit magnifique à quatre heures de vol de la Grosse Pomme. Il ne faisait nul doute que cet endroit charmerait la jolie rousse au premier coup d’œil. « Je ne désire rien de plus au monde actuellement Angie. Seulement toi et moi ». Coupé de tout réseau et de toute interruption extérieure. « Je l’ignorais » souffla-t-il « Est-ce que ça t’a aidé ? ». Angelica était pleine de surprise. Edward se plaisait à l’écouter parler de ses expériences de vie et était toujours avide de ses témoignages. Ce soir ne faisait pas exception. « Bientôt » promis-t-il à demi-mot et la laissa se lever, pour finalement la retenir à lui en lui saisissant le poignet « Attends ». Edward retira sa ceinture de pantalon, et le déboutonna d’un geste habile de son autre main. Il était déjà dur pour elle. Il extirpa sa virilité de son boxer et l’attira à lui. Edward lui ôta sa petite culotte sans la quitter du regard, puis lorsqu’elle fut entièrement nue sous sa robe, il reprit d’une voix rauque par le désir « J’ai envie de toi » tout en l’attirant à lui pour qu’elle vienne s’empaler sur lui.



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Jeu 20 Juin - 21:44

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Ce n’était que des conseils. Dormir était un besoin physiologique tout comme manger. Lorsqu’on ne dormait pas assez, ça jouait beaucoup sur le moral, sur l’humeur… Il venait de la prévenir qu’il ne serait sans doute pas le meilleur des petits amis du monde durant la semaine, elle tentait d’éviter trop de dégât. De plus, elle préférait le savoir blottit contre elle à dormir quelques heures, plutôt qu’ici à lutter et s’endormir sur ses dossiers. Angie sourit en constatant qu’il se moquait d’elle. Il l’avait déjà fait au sujet des 7h dont elle jugeait avoir besoin. « -oui, c’est très sérieux. » avait elle répondu avec un sourire amusée et des yeux brillants de malice. Oui, elle avait comprit qu’il se foutait d’elle. Et elle adorait ça. « -merci… » avait elle ajouté, simplement contente qu’il pense à l’idée. C’était déjà ça.

Elle parla de sa journée, de son rendez-vous avec Adam, et adressa son bonjour à Edward. « -la semaine dernière, il m’a demandé si tu allais bien. Du coup, je lui ai expliqué que tu étais absent pour la semaine. Voyage en Italie. Il a tout de suite demandé si ta grand-mère allait bien. » Edward et Adam étaient amis après tout. Elle n’avait pas envisagé avoir fait un faux pas en expliquant cela à l’écrivain. Cela ne semblait pas déranger Edward plus que cela pourtant. Puis elle évoqua les différentes choses qui l’avait fait penser à lui. A commencer par son soutien-gorge qu’elle n’avait pas retrouvé. « -hum… » murmura Angie, appréciant cette idée. « -sérieusement ? Tu vas partir plus tôt ? » demanda Angie. La déception s’entendait dans sa voix. « -je peux aussi mettre mon réveil plus tôt… » si c’était le seul moyen de le voir quelque minutes…

L’idée du weekend coupé du monde la séduisait vraiment. « -on va se programmer ça… » souffla Angie avec douceur. Même si elle n’avait pas la moindre envie de le voir revivre une journée de merde comme celle-ci parce qu’il s’était absenté deux jours. Il n’avait pas à payé le fait de partir quelques jours pour se reposer. Elle lui fit par de son séjour en Inde, pour se couper du monde. « -ça a été une très belle expérience. J’ai fait la connaissance du Yoga là-bas… et aussi de la Angie que je voulais devenir. » donc oui, ça lui avait fait beaucoup de bien. Il était temps pour elle de le laisser. Il avait du travail… Elle s’était attendue à un baiser et un bonne nuit. Mais contre toute attente, Edward la retint par le bras. Angie lui sourit, avant de baisser son regard sur la ceinture qu’il était en train de défaire. Elle haussa les sourcils, pencha légèrement la tête sur le côté en voyant apparaitre le sexe déjà tendu d’Edward. Son regard passa du membre à l’homme, alors qu’elle se mordait la lèvre inférieure. Docilement, elle se rapprocha de lui, comme le demandait son geste silencieux. Elle le laissa lui retirer sa petite culotte, sans le quitter une seule seconde du regard. Un regard qui trahissait son envie. « -oh c’est vrai ça ? » demanda Angie avec un léger ton provocateur. Elle leva une jambe, puis l’autre, s’installant sur lui, dans son grand fauteuil de monsieur très important. Elle approcha son visage du sien, ses lèvres des siennes, sans jamais les toucher, tout en le faisant entrer avec lenteur en elle. « -à ça aussi tu y a pensé toute la journée ? » demanda la jolie rousse, toujours avec ce même petit ton de voix.


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Jeu 20 Juin - 22:23

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Il ne faisait aucun doute que la jeune femme l’aurait fustigé si Edward lui avait avoué avoir songé de dormir une heure ou deux dans le canapé de son bureau dans le courant de la nuit. Après tout, Angelica avait pris soin de lui faire part de l’importance du sommeil sur le métabolisme. Le politicien ne manqua pas de se moquer gentiment de cette dernière, tout en prenant un semblant d’air sérieux afin d’appuyer les propos de cette dernière « Très sérieux » et finit par sourire, et lui promettre d’y songer. Ce qui suffit à la contenter. Rien que pour elle, Edward était prêt à la rejoindre dans le lit et abandonner la montagne de paperasse qui jonchait sur son bureau. L’influenceuse n’avait pas idée le pouvoir qu’elle détenait sur lui. Il était prêt à tout pour elle. Angelica l’avait bousculé son quotidien et l’homme qu’il était de manière radicale. Jamais avant elle, il n’aurait envisagé, ne serait-ce qu’une seconde, de demander à quiconque de lui exposer les principaux évènements qui avaient composé cette journée qui venait de se clôturer. Mais aujourd’hui, il s’était découvert une appétence certaine pour ces conversations pourtant anodines. Il aimait l’écouter parler de sa journée, de ses rencontres, de ses projets. Ce fut ainsi qu’il apprit qu’elle avait évoqué la crise cardiaque de Nonna avec l’auteur à succès, ce qui l’intrigua aussitôt, sans pour autant qu’il ne désapprouve. « Bien. Je comprends » et déposa un baiser sur sa tempe « Tu pourras lui dire qu’elle se porte comme un charme ». Comme toujours en ce qui concernait sa grand-mère dont la sortie de l’hôpital ne saurait tarder. La conversation avec Adam n’était pas la seule raison qui l’avait poussé à penser à lui. En fait, c’était davantage la disparition soudaine de son soutien-gorge qui en était la cause. Tant pis ! Edward saurait remédier à cela en lui offrant tout un panel de sous-vêtements qui lui tarderait de lui ôter si tôt après. Une idée qui semblait plaire tout autant à Angie qu’à lui-même. Toutefois, ça ne serait pas pour cette semaine. Son emploi-du-temps incommodant allait le contraindre à partir plus tôt du penthouse. Une réalité qui déplaisait à Angelica « Je suis désolé, mon amour » souffla-t-il, en l’étant réellement. Il aurait aimé que son absence de ces derniers jours n’affecte pas tant leur quotidien « Je te propose de te réveiller quelques minutes avant mon départ. Qu’en penses-tu ? » proposa-t-il tout en glissant une de ses mèches rousses rebelle derrière son oreille.

C’était pour cela qu’Edward désirait s’éclipser quelques jours en compagnie de la jeune femme, loin de tout réseau. Rien qu’eux deux. « Oui » confirma-t-il en se promettant intérieurement de trouver le temps pour cela. Ils méritaient ces deux jours coupés du monde. « Celle que tu es aujourd’hui ? » la questionna-t-il, réellement intéressé par son expérience en Inde. Il était l’heure pour Angelica de quitter son antre… Cependant, Edward avait d’autres projets à l’esprit et la retint par le poignet avec délicatesse, tandis que de l’autre main, il déboutonnait son pantalon de costume pour en sortir son sexe tendu rien que pour elle. Cette vue semblait plaire à l’influenceuse au vu de sa réaction, et l’attira donc à lui pour lui ôter sa petite culotte qu’il délaissa au sol. Le rouge monta aux joues du politicien face à sa question quelque provocatrice, et répliqua un « Oui », tout en la laissant prendre place au-dessus de lui. Sa bouche effleura la sienne, sans jamais l’embrasser. Elle jouait avec lui et c’était plus que savoureux ! Ça ne faisait que le rendre plus dur encore. Sa manière de le faire entrer en elle avec lenteur ne faisait que croître son envie pour cette femme qui prenait un malin plaisir à mettre tout son corps en émoi. Il découvrit une Angelica joueuse, provocatrice, et il aimait ça ! Bordel, oui ! Il adorait ça ! « Qu’est-ce que tu veux entendre mon amour ? » tout en posant son regard presque noir de désir « Que je durcissais, rien qu’en pensant à te retrouver ce soir ? ». Un soupir de plaisir lui échappa et souffla un « Oui ». Elle allait le tuer à cette allure. D’un geste, Edward se saisit de ses fesses et se redressa sur ses jambes, balayant tout le contenu de son bureau, sans se soucier des documents ou encore de l’ordinateur qui chutèrent tour à tour sur le parquet vernis de son bureau. Il déposa la jeune femme sur le rebord et sourit contre ses lèvres sans pour autant déposer le moindre baiser « Alors comme ça, Mademoiselle Gordon, on veut jouer ?! » et se retira des quelques centimètres qu’elle était parvenue à immiscer en elle, puis la pénétra brutalement d’un coup de rein « Oh que c'est bon » laissa-t-il échapper tout en saisissant les jambes de la jeune femme, déposant ses chevilles sur ses épaules, la pénétrant plus profondément encore « Je savais que tu étais suffisamment souple ». Il glissa une main sous sa robe pour venir caresser sa poitrine, luttant pour rester inerte en elle « Tu aimes ce jeu ? » et remua avec une lenteur déconcertante en elle « Dis-moi ce que tu désires mi amore ».


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Ven 21 Juin - 9:27

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Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angie n’avait pas réellement envie de voir ressurgir le Edward qu’elle avait rencontré au tout début. Ils n’avaient pas vraiment feeling à ce moment-là. Les choses avaient changé, totalement changé même… Il fut prévenant, elle le remercia de cela, avant de lui conseiller quelques heures de sommeil. Avec le plus grand des sérieux, même si il décida de la taquiner à sa façon. Angie n’insista pas plus, il avait compris. Elle lui raconta sa journée, comme elle l’avait fait chaque soir au téléphone lorsqu’il était en Italie. Le rendez-vous avec Adam, les photos, l’inquiétude de son ami. L’espace de quelques secondes, elle se demanda si elle avait fait un faux pas. Edward était mystérieux sur sa vie privée. Seulement Adam était son ami, alors Angie n’avait pas vu de secret d’état à respecter. Elle lui expliqua et finit par sourire, en hochant la tête.

La masse de travail qui s’étalait devant Edward et qui allait l’écraser peu à peu durant la semaine, allait également venir troubler leur petit rituel du matin. Angie aimait ce temps de début de journée, ces quelques mots, quelques sourires, avant de lancer une journée de travail. « -non, c’est moi… je m’étais imaginée que tu aurais du travail en en rentrant d’une semaine d’absence. Mais pas à ce point-là. » c’était presque à croire que le monde était incapable de tourner sans lui. « -d’accord… mais tu me réveilles vraiment, je veux pouvoir te souhaiter une bonne journée. » elle ne voulait pas seulement un baiser dans le cou et trois mots murmuré à l’oreille. Elle voulait pouvoir ouvrir les yeux, le voir et l’embrasser avant de le laisser partir à contre cœur.

Angie tenta de lui faire passer un message. Tout lâcher ce qui nous retenait, repartir de zéro, partir au bout du monde pour faire le point et de retrouver… ça avait du bien… encore une fois, il était question de vivre et non de survivre. Être acteur de sa vie plutôt que de la subir… Elle évoqua son voyage en Inde, ces quelques mois dans un ashram, le yoga, celle qu’elle avait rencontré là-bas. « -celle que je suis aujourd’hui se rapproche pas mal de celle que j’ai imaginé là-bas oui… » ce n’était pas encore totalement ça. Ce qui s’était déroulé la veille au matin lui prouvait bien d’ailleurs. Il restait encore des choses à traiter, à surmonter, effacer… mais guérir c’était le travaille d’une vie…

Il était temps pour elle d’aller se coucher et pour lui de replonger dans ses papiers. Mais Edward semblait avoir soudainement d’autres plans. Angie l’observa retirer sa ceinture, ne pouvant s’empêcher d’aimer la scène qui était en train de se dérouler. Elle se montra quelque peu provocatrice et sourit en grimpant sur ses genoux, cherchant sans lèvres sans les toucher. Elle recula légèrement son visage, mordant à nouveau sa lèvre inférieure, avant de hocher la tête en souriant. Elle le dévorait du regard, déboutonnant lentement sa chemise qu’elle avait bien envie de lui retirer. Lorsqu’il se redressa pour venir la déposer sur le bureau débarrasser brutalement de ses affaires, elle sourit de nouveau en entendant sa question. « -moi ? » elle jouait les innocentes, avant de lui retirer sa chemise rapidement. Puis il lui arracha un cri de plaisir en entrant en elle, l’obligeant en basculer la tête en arrière. Lorsqu’il remonta ses jambes sur ses épaules, Angie resta sur ses coudes, les mains à plats sur le bureau, son regard rivé sur lui, un léger rire plein de désir. « -oui… » souffla Angie d’une voix pleine de désir. D’accord, c’était mérité, c’était lui maintenant qu’il jouait. « -toi… je te veux toi… » elle fit glisser un doigt le long du torse d’Edward : « -fais-moi crier… » osa-t-elle ajouté. Chose qu’elle n’avait jamais demandé à aucun homme avant lui. Mais il se dégageait d’Edward une sorte d’aura animal qui l’existait énormément. La belle et la bête… lorsqu’il était ainsi, à la dévorer du regard, d’accord, elle acceptait la comparaison. « -fais-moi jouir mi amore… » ajouta Angie.

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Ven 21 Juin - 13:35

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Leur quotidien était mis à mal par la charge de travail incommensurable que lui avait confié tour à tour le maire et Ava, les obligeant à omettre tous ces petits rituels qui leur tenaient tant à cœur. C’était peut-être anodin pour beaucoup, mais pour eux, c’était ce qui avait cimenté leur relation au fur et à mesure du temps. Pour autant, ils allaient être contraint de vivre au rythme d’Edward les prochains jours. Cela signifiait qu’il n’aurait d’autres choix que de s’éclipser de la maison tôt le matin. Adieu ces quelques minutes de conversation banale le temps du petit-déjeuner d’Angelica… « Il faut croire que je suis plus indispensable que je ne l’aurais cru » rétorqua le politicien sans humour. En réalité, c’était même de la lassitude qui transperçait dans chacun de ses mots. Un jour ou l’autre, il savait qu’il devrait faire un choix entre sa vie personnelle et sa carrière politique. Bien que dans son esprit, son choix était déjà fait. Il choisirait toujours Angelica. Cette femme était tout pour lui. « Promis la mia luce» souffla-t-il tout en souriant. Ils avaient fait du chemin ces dernières semaines. Maintenant, ils peinaient à être loin de l’un et l’autre. Le manque était plus accablant encore lorsqu’ils ne parvenaient aucunement à échanger quelques mots le matin même. Edward lui promit donc de la réveiller chaque matin, au cours des prochains jours, pour seulement converser et l’embrasser avant d’affronter sa journée de travail. C’était important pour elle, ça l’était tout autant pour lui. Puis, lorsqu’il parviendrait à venir à bout de toute cette charge de travail, il l’emmènerait dans le Montana pour passer un week-end seul avec elle, coupé du monde extérieur. À l’image des deux mois qu’Angelica avait passé en Inde à la suite de sa séparation avec son ex-petit-ami « J’aime beaucoup cette version-là » murmura-t-il avec douceur.

Durant plus de vingt-ans, Edward avait été un continuel insatisfait. Il n’avait jamais adhéré au sexe ou encore au soi-disant plaisir inhérent. Pourtant, depuis sa première fois avec Angelica, son esprit ne cessait de penser à leurs deux corps unis et gémissant de plaisir l’un contre l’autre. Il ignorait comment elle y était parvenue, mais dorénavant, il avait constamment envie de cette dernière, de se sentir en elle, de l’embrasser. Donc, lorsqu’elle s’apprêtait à rejoindre leur chambre, Edward ne put se résoudre à le faire dans l’immédiat. Il l’attira à lui et constata que cette dernière était d’humeur particulièrement joueuse devant sa virilité tendue pour ses beaux yeux. Qu’il en soit ainsi ! En la sentant s’empaler sur lui dans une lenteur plus que frustrante, Edward avait fait le choix de la porter pour la placer sur son bureau dorénavant libre de toute paperasse. Le pantalon reposant sur ses chevilles, il laissa son amante lui retirer sa chemise pour se retrouver pratiquement nu face à elle « Oui. Toi » confirma-t-il d’une voix profonde. Le candidat se retira pour la pénétrer avec plus de violence et esquissa un rictus en l’entendant crier. Que ce son lui plaisait, bon sang ! Son regard était devenu noir de désir pour Angelica qui continuait de s’amuser « On va jouer alors mi amore » rétorqua-t-il presque menaçant. Sa main glissa sous la robe pour venir caresser sa poitrine, tandis qu’il menait une lutte de tous les instants pour ne pas se mouvoir en elle. Il voulait savoir ce qu’elle attendait de lui « Je serais toujours à toi » déclara-t-il de sa voix rauque. En entendant sa demande, il ne put retenir un petit grognement de plaisir, en se sentant durcir davantage « Tes demandes sont des ordres ». Ses chevilles à hauteur de ses oreilles, ses jambes fermement blotties contre son torse nu, Edward était prêt à la faire crier « Tout ce que tu veux mon amour ».

D’un geste, le quadragénaire se retira entièrement d’elle, pour la pénétrer de nouveau dans un coup de rein abrupte, puis commença les allées et venues en elle avec intensité. Chaque vas-et-viens était plus puissant que le précédent, l’enfonçant toujours plus profondément en elle. Il se retira de nouveau entièrement, et reprit possession d’elle aussitôt avec violence « C’est ce que tu veux Angie ?! » parvint-il à articuler difficilement, la pilonnant avec véhémence. Gonflé et tendu à son paroxysme, le politicien parvint toutefois à se défaire d’Angelica dont il fit descendre les jambes, et posa ses deux mains sur ses deux hanches pour la faire tourner sur elle-même, comme si elle était aussi légère qu’un sac de plumes. Il remonta sa robe pour s’offrir une vue parfaite sur ses courbes, et tout en tenant fermement ses hanches, l’attira à lui pour la faire sienne à nouveau avec toujours cette détermination. Il se pencha ensuite à son oreille « Tu en veux encore ? ». Il aimait cette sensation de la dominer, qu’elle soit entièrement à sa merci en cet instant. De nouveau, Edward imprima des vas-et-viens d’une rare vigueur « Oh putain ! » lâcha-t-il tout en continuant de la pilonner avec toujours plus de force et de hâte, jusqu’à atteindre l’orgasme qui le foudroya, ne pouvant retenir un cri. Il remua encore en elle avec plus de lenteur « Angie… Tu es divine » et arrêta ses vas-et-viens pour se retirer. D’un geste, Edward remonta son pantalon de costume qu’il reboutonna sans la quitter du regard, et l’attira ensuite à lui pour l’embrasser « Je n’ai pas été trop abrupte ? », s’inquiéta-t-il soudainement en reprenant peu à peu conscience de la réalité.



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Angie avait prit la décision de se lever des genoux d’Edward, à contre cœur. Elle ne voulait pas le laisser là, dans son bureau face à ces montagnes de documents. Elle avait encore envie de rester prêt de lui, mais elle avait pris l’option la plus sage. Il avait du travail, il ne pouvait pas se soustraire plus longtemps à ses obligations. Alors oui, elle s’était levée et s’apprêtait à lui souhaiter du courage et lui rappeler de venir tout de même dormir quelques heures. Mais contre toute attente, Edward avait saisit son poignet, lui demandant de rester là. Elle fut légèrement surprise de le voir défaire sa ceinture ainsi, mais cela l’excita au plus haut point. Tout comme les mots qu’il avait ajouté. Il avait envi d’elle. Là maintenant, dans ce bureau. Angie ne protesta pas, le laissa lui retirer sa petite culotte avant de se montrer un brun provocatrice. Elle commença à jouer avec lui, se laissant glisser sur son membre avec une extrême lenteur.  

Finalement, Edward décida de prendre les choses en main, et la faire sienne à sa manière, sur son bureau. Si seulement il pouvait réellement virer son travail comme il venait de le faire là, d’un geste du bas. Elle adora le premier coup de rein puissant qu’il donna, restant figé en elle après lui avait arraché un cri de plaisir, affirmant qu’ils allaient jouer… Ce n’était pas quelque chose dont elle était coutumière. Mais avec lui, cela s’imposait presque naturellement. Elle avait envie qu’il lui fasse l’amour sauvagement, qu’il la fasse crié à en perdre la voix. Elle voulait le sentir agripper ses fesses pour ne pas qu’elle puisse lui échapper. Elle lui sourit, une lueur toujours aussi provocante dans les prunelles. Angie se cambra à nouveau en gémissant lorsqu’il entra de nouveau en elle avec tout autant de puissance, soufflant un délicieux : « -oh oui ! » Chaque va et vient qu’il exécuta ensuite furent un délice pour la jeune femme qui n’avait jamais été prise ainsi, avec autant de passion et de façon si bestiale. Elle se chercha pas à savoir ce qu’il pouvait en penser, qu’elle image cela pouvait renvoyer d’elle. Une seule chose s’imposait : ils étaient sur la même longueur d’onde, là tout de suite, dans ce plaisir animal.

« -oh oui ! » cria la jeune femme avant de lui ordonner : « -continue ! » elle ne voulait surtout pas qu’il s’arrête. Et pourtant, il osa le faire. La belle rousse se mordit les lèvres sous la frustration de ces quelques secondes durant lesquelles il s’était retiré. Il a fit se retourner, encore une fois, elle se laissa faire, lui laissant totalement prendre le contrôle de ce qui se passait dans cette pièce. Elle était toute à lui. Le buste contre le bureau, fesses en l’air elle lui répondit la voix pleine de désir : « -oui… oui… va s’y… » oui, elle en voulait encore. Encore de lui, encore de cette façon de lui faire l’amour sans la moindre retenu. Elle s’agrippa comme elle le pu au bureau lorsqu’il entra en elle, lui coupant le souffle. De nouveau, ces va et vient vigoureux et ses supplique qui venait d’elle : « -t’arrêtes pas… oui… oui… va s’y… » le genre de suppliques sensuelles qui prouvait qu’elle était en train de prendre son pieds avec ce qu’il lui faisait subir. Elle cria en même temps que lui, son corps se contractant sous un orgasme fulgurant. Un orgasme comme elle en avait rarement eut. « -oh mon dieu… » soupira la jolie rousse, peinant à reprendre son souffle, alors qu’Edward s’amusait encore de quelques va et vient purement délicieux.

Lorsqu’il se retira, elle se redressa avec les mains, et se tourna vers lui, laissant redescendre sa robe pour couvrir son corps. Elle colla le bout de ses fesses contre le bureau, les jambes encore quelque peu tremblante. Elle soutint son regard en approchant son visage, petit sourire au coin des lèvres. Un baiser, puis elle répondit : « -je te l’aurai dit… » oui, ça avait été trop violent ou pas à son goût, elle lui aurait fait savoir. « -c’était… nouveau pour moi… mais j’ai beaucoup aimé… » Comme elle le lui avait confié, elle avait eut des expériences sexuelles diverses et variées. Des expériences à plusieurs, avec deux hommes, un homme et une autre femme. Mais jamais elle n’avait laissé un homme la prendre de cette façon, posséder son corps ainsi, tout en lui donnant autant de plaisir. Elle caressa son torse encore nu, sans que son regard ne se décroche du sien.  

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