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Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Sam 1 Juin - 19:55

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Seconde chance. Pourtant, si ma mémoire était aussi précise qu’il voulait bien le croire, Angelica lui avait donné plus que deux chances. Elle faisait preuve d’une patience à toute épreuve lorsque ça le concernait, et il peinait encore à en comprendre les raisons. Qu’avait-elle pu percevoir chez lui pour toujours revenir ? « Tu m’as donné plus de deux chances » lui fit-il remarquer malgré tout. La réaction d’Angelica lui tira un petit sourire « Je n’ai jamais prétendu que tu mieux que qui que ce soit. Seulement toi, je n’ai plus envie de te décevoir, ou te blesser, peu importe le verbe que tu désires entendre. L’issue est la même en finalité ». Un jour viendrait, peut-être la semaine prochaine, ou bien dans un mois, mais tôt ou tard, Angelica sera fatiguée de subir les aléas du comportement du politicien, et elle choisira de mettre un terme à cet accord qui les liait l’un à l’autre. Toutefois, il n’était pas prêt à accepter qu’elle s’en aille par sa faute. Parce qu’aussi invraisemblable que cela puisse être, sa présence à ses côtés participait à le rendre heureux. Leurs conversations jusqu’à tard le soir, ses rires joyeux qui résonnaient dans l’appartement, cette douceur dont elle faisait preuve à son égard, cette manière qu’elle avait de le faire rire lui aussi. Tout cela contribuait à le rendre heureux au quotidien. « J’apprends à l’être ». Malheureusement, sa famille restait une ombre au tableau dont il ne parvenait pas à se défaire. Il hocha simplement de la tête, et une fois encore lorsqu’Angelica confirma que ça faisait mal, se limitant d’un de ses « Oui » habituels. La jeune femme avait su faire preuve d’une plus grande force que lui en la matière. Elle était parvenue à s’émanciper complètement de ses parents pour vivre libre et construire son propre entourage, qui lui correspondait. « Comment as-tu rencontré Flynn ? ». Celui qu’il surnommait intérieurement comme l’Univers d’Angelica. Il esquissa un sourire « Tu as raison. Pour le yoga également ».

Cette ambiance légère qu’ils avaient peu à peu instauré entre eux se dissipa au moment où Edward prit la décision de se confier sur son choix de carrière, sur les raisons qui l’avait conduit à devenir candidat au Sénat. Toute son existence reposait sur un accident de la vie qui avait coûté la vie à son meilleur ami. Deux routes s’étaient offertes à lui, et depuis le début, il arpentait le mauvais chemin tout en continuant de se convaincre qu’un jour, il saurait qu’il avait fait le bon choix en choisissant d’intégrer l’Université de Droit au lieu de cette prestigieuse école de photographie… Un jour. Revivre cet évènement qui avait fait basculer sa vie à tout jamais n’était pas sans conséquence. Cela avait réveillé de vielles blessures qu’il tentait de réprimer depuis toutes ces années. Depuis cette nuit du mois de juin 1999, Edward n’avait jamais évoqué à nouveau cet accident avec quiconque. Il avait seulement enfouie si profondément en lui que ça avait transformé sa propre nature humaine pour devenir celui qu’il était aujourd’hui. Donc oui, évoquer tout cela à voix haute était douloureux, et il apprécia la tendresse de l’étreinte d’Angelica en cet instant. La caresse dans ses cheveux. Son corps chaud contre le sien. Il se recula à peine quand elle lui demanda de justifier son choix de devenir malgré tout un politicien. Sa main avait glissé jusqu’à sa taille, et lui avait apporté une réponse qui lui avait semblait sensée à l’époque, et qui l’était soudainement bien moins à l’oreille du quadragénaire qu’il était aujourd’hui. « Non. L’appareil est photo est dans mon bureau depuis tout ce temps ». Il avait mit un terme à sa plus grande passion ce jour-là, sans être parvenu à tirer un trait définitif.

Si sa mâchoire se crispa par la suite, ce n’était pas par colère, mais parce qu’il luttait pour ne pas se laisser emporter par les tourments que cette conversation avait engendré en lui. Il déglutit dans le vain espoir de déloger cette boule qui avait pris forme dans sa gorge. Un « Angie » s’échappa d’entre ses lèvres dans une supplique. Elle sentit que ses mots n’étaient pas sans conséquences et apprécia la chaleur de sa main sur sa joue mal rasée « Je sais… » et inspira profondément en fermant les paupières, puis rouvrit les yeux sur Angelica « Il se dirait que j’ai mal interprété le message de la Vie lorsqu’il a décidé de me laisser vivre au lieu de lui… Et que je n’aurais jamais dû sacrifier mon rêve pour … ça… ». Il inspira de nouveau pour réprimer tout ce qu’il éprouvait, et se mit à sourire tristement « Je n’ai jamais parlé de tout ça à quiconque depuis l’accident … ». Il n’avait pas versé de larmes à l’enterrement, ni les mois et encore moins les années qui suivirent. « J’ignore le pouvoir que tu as sur moi Angie, mais ça me fait un peu peur » tenta-t-il de plaisanter « Ça met à mal ma réputation de mâle alpha ». Puis ce fut un bref silence qui les enveloppa, durant lequel il prit le temps d’observer la femme devant lui, mémorisant chaque détail de son visage dans son esprit, et rétorqua avec douceur « Pourquoi fais-tu tout ça pour moi ? Dans quelques mois, tout sera terminé, tu retrouveras ta liberté et … Pourquoi t’investir pour moi, pour notre relation ? ».



Charly
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Sam 1 Juin - 21:14

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -ouais je sais… » avait elle répondu avec un sourire taquin. « -mais tu as beau en avoir envie, ça risque d’arriver. Parce qu’on est simplement des êtres humains… qu’on ne fonctionne pas pareil, qu’on ne réagit pas pareil. Tu peux faire de ton mieux, mais si jamais un jour ça arrive, et bien… en s’engueulera ou on prendra de la distance pendant quelques temps… et puis on s’expliquera… » Personne ne pouvait vivre sans blesser un jour quelqu’un d’autre. Et en conclusion, elle voulait seulement la même chose que lui. Le voir heureux. « -tant mieux… » elle aurait au moins réussit à lui apporter ça… elle considérait cela comme une victoire. Pour ce qui était de sa propre famille, Edward pouvait se rassurer, il ne risquait pas de rencontre son père ou sa mère. Ça faisait déjà des soucis en moins. « -Flynn… hum… on se connait depuis qu’on a 16 ans… on a fait notre lycée ensemble, puis notre fac ensemble. On a partagé la même chambre universitaire, puis le même appartement pourri… » elle sourit : « -c’est mon meilleur ami, mon frère, mon jumeaux, mon chevalier servant, mon manager, mon styliste, mon conseiller financier… et tant d’autre chose. Sans lui je… je serais pas celle que je suis aujourd’hui. Il a été plus que présent après ma rupture, il m’a aidé à me remettre debout… j’imagine pas ma vie sans lui. Sans son caractère enjoué, sa légèreté à toute épreuve, son professionnalisme aussi. »

Elle venait de parler de son meilleur ami, il en fit de même mais d’une toute autre façon. Angie l’avait invité à trouver un peu de réconfort dans ses bras. Comme l’autre soir, dans l’intimité de cette chambre. Personne n’en saurait rien. C’était un moment rien qu’à eux. Une confidence des plus secrète qui avait déterminé bien des choses sur les choix de vie d’Edward. Angy décida d’aborder le sujet autrement qu’en lui donnant des conseils classique. Ce n’était pas ce qu’il voulait entendre. « -tu me montrera ? A l’occasion… ce que tu faisais… » peut-être qu’un jour il accepterait de prendre des photos d’elle. « -tu aurais pu le dire quand on s’est galéré pour notre photo… » elle lui sourit, histoire de mettre un peu de légèreté. Mais elle assombrit de nouveau l’ambiance, volontairement. Lorsqu’il souffla son surnom, elle caressa sa joue, l’informant qu’elle ne voulait pas le faire souffrir pour le plaisir. Mais que cela pouvait être pertinent de se poser cette question. Elle le couva du regard, délaissant sa joue pour glisser sa main dans la sienne, entrelaçant leurs doigts. Un peu comme pour lui dire qu’elle était là pour faire ce pas en avant avec lui. Lorsqu’il prit de nouveau la parole, elle ne pu que lui sourire avec une infinie douceur. « -et j’imagine que tu n’as jamais pleuré non plus… » pas la peine d’être devin pour ça.

Elle fronça les sourcils. « -la définition du mal alpha est à revoir selon moi… un homme a parfaitement le droit d’exprimer ses émotions. Toutes ses émotions. Pas seulement la colère. La tristesse et la joie font aussi partie de votre gamme d’émotions, elles ne sont pas réservées qu’aux femmes. Même si on nous a élevé ainsi. » dans le milieu d’Edward certainement plus encore. « -et puis tu n’as rien à craindre pour ta réputation, puisque tout ce qui se passe entre nous, reste entre nous. » Elle le laissa l’observer, sans lâcher sa main, sans se dire qu’ils étaient certainement un peu trop proche. « -j’aime les défis. » répondit Angy avec une étincelle rieuse dans les yeux. « -et arrête avec le mot liberté, je ne suis pas ta prisonnière. » Angie se remit sur le dos, en fixant le plafond : « -j’ai envie que notre collaboration se passe bien et non de la subir comme au départ. J’ai envie d’apprendre à te connaitre, d’échanger nos points de vues, nos opinions. Toutes relations peut être enrichissante. Sans compter que je crois qu’il manque un peu de lumière dans ta vie… » elle lui sourit et se tourna pour éteindre la lumière. « -on devrait dormir… tu te lèves toi demain matin… » elle insista sur le toi, parce que ça ne serait pas son cas. Hors de question qu’elle croise Iris au petit matin.


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Manhattan Redlish
Sam 1 Juin - 22:06

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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La jeune femme avait raison. Ils ne seraient jamais à l’abri d’une dispute, d’une parole déplacée ou d’un comportement blessant, peu importe toute l’envie qu’il pouvait éprouver de ne pas lui souhaiter de mal. C’était inéluctable. Toutefois, le politicien pouvait également fournir les efforts nécessaires pour qu’Angelica n’ait pas constamment la sensation d’être le dommage collatéral de ses journées particulièrement difficiles. « J’en ai conscience Angelica. Mais je sais aussi que je peux me temporiser pour ne pas te faire pâtir ma mauvaise humeur à l’issue d’une journée difficile ». Tout simplement parce que l’influenceuse ne méritait pas d’endurer ses vacillements d’humeur au quotidien. Il ne voulait pas éteindre cette lumière qui l’animait au quotidien, et qui brillait encore grâce à son meilleur ami, qui avait su être un soutien sans faille pour la jeune femme, et cela, dans tous les aspects de sa vie depuis leur rencontre. Ils étaient liés ensemble depuis bien des années maintenant, et il était devenu « Ton univers » comme le précisa à voix haute Edward avec douceur « Tu devrais l’inviter à dîner à la maison un de ces soirs. Tous les trois. Je cuisinerais » et prononça le mot qui suivit pour la première fois depuis des décennies « S’il te plaît ». Edward ne s’embarrassait pas des formules de politesse au quotidien, ne trouvant pas leur présence dans une phrase particulièrement pertinente. Excepté ce soir. Sa démarche était sincère. Il souhaitait que la jeune femme convie son meilleur ami à dîner dans ce qui était officiellement son nouvel appartement. Il ne connaissait que trop bien la valeur d’une telle personne dans la vie, et il avait perdu le sien bien trop tôt, chamboulant par la même occasion toute son existence depuis…

C’était la raison pour laquelle il n’était pas devenu le photographe qu’il rêvait de devenir, au profit d’une carrière politique qui ne lui correspondait pas. Et bien que cette décision lui semblait déraisonnable aujourd’hui, elle ne l’avait aucunement été vingt-ans auparavant. Toutefois, l’appareil photo posé sur l’étagère de son bureau était un rappel constant au rêve qu’il avait oublié de vivre… « Oui... Bien sûr… » souffla le politicien sans grande conviction. Toutes ses photographies étaient rangées dans des boites de fortune qu’il gardait précieusement dans son bureau également. « Pour nous empêcher de chuter du canapé ? Non » répondit-il en tentant vainement de plaisanter, mais les paroles que prononça Angelica par la suite eut pour effet de dissiper tout sourire sur son visage. Les prunelles azurées d’Edward s’était tristement assombrie et il la supplia de ne pas poursuivre… Cette conversation éveillait bien trop de ressentiments, d’émotions, qu’il tentait de contenir profondément en lui, qu’il était parvenu à anesthésier toute une part de son humanité également. Mais ce soir, Angelica avait fait le choix de réanimer ses souvenirs douloureux, et bien que sa main soit à l’image d’un baume apaisant sur une plaie ouverte, ça n’en restait pas moins difficile. Parce qu’il savait au fond de lui qu’elle avait raison de le pousser à remettre en question cette décision qu’il avait fait des décennies auparavant, et qui l’enfermait dans une vie qu’il n’avait jamais désiré… Il resserra la pression sur les doigts que la jeune femme venait d’entrelacer aux siens, tout en murmurant un « Non… Jamais ». Tout en sentant qu’il en avait désespérément envie en cet instant…

Toutefois, il ne les laisserait pas couler tout simplement parce qu’il avait été éduqué de manière à ne jamais laisser transparaître la moindre faille, la moindre sensibilité. « C’est pour cela que je ne pleurerais pas ce soir non plus… ». Un homme se devait d’être continuellement dans le contrôle, et il s’était forgé ainsi. La seule fragilité qu’il laissait transparaître, c’était en présence d’Angelica. Elle était la seule et unique témoin de sa sensibilité. Ce baiser sur sa joue le soir venu, la main dans son dos, cette gorge nouée en parlant de son meilleur ami décédé, de ses rires et sourires qu’elle parvenait à lui extirper. Il ne parvenait pas à être cet homme-là autrement qu’en sa présence. « Je n’ai plus peur. Je sais » répondit-il tout en caressant le dos de sa main de la pulpe de son pouce. Toutefois, ça n’ôtait rien à la curiosité d’Edward concernant les raisons qui poussait la jeune femme à s’investir autant dans cette relation pourtant factice. Il sourit à ses premiers mots « Koh-Lanta aurait été plus facile, tu sais ». Il la laissa prendre possession sur le dos, leurs mains se déliant dans ce geste, pour autant, il ne cessait pas de l’observer « Je crois que nous sommes bien partis pour y parvenir » lui fit-il remarquer avec une légère pointe d’amusement. Edward la laissa éteindre la lumière et se glisser à nouveau dans les draps de soie, et se rapprocha, sa main se posant au creux de sa taille « Ava a fait le bon choix. Je n’aurais pas pu espérer meilleure fausse petite-amie » et déposa un baiser sur sa joue « Bonne nuit Angie », et reprit place dans son côté du lit, sans parvenir à trouver le sommeil dans l’immédiat… Il ne sombra dans un sommeil sans rêve que plus tard dans la nuit, et ne put retenir un grognement en entendant le réveil sonner, tâtonnant la table de nuit à ses côtés pour éteindre le réveil. Il jeta un regard à ses côtés et ne put retenir un sourire en constatant qu’Angelica dormait toujours à poing fermé, la trouvant particulièrement jolie endormie ainsi. Il se leva, s’apprêta en enfilant l’un de ses habituels costume de luxe, et s’arrêta un instant à l’embrasure de la pièce, pour observer la femme allongée dans son lit. C’était une vue agréable et à laquelle il pourrait aisément s’habituer. Néanmoins, la porte de la chambre voisine le tira de sa contemplation, et décida de griffonner rapidement un mot qu’il déposa soigneusement contre la lampe de chevet : La mia luce, pas assez de mots pour te dire « merci » pour cette nuit. Je ramène le dîner. Ton amour. A ce soir, avant de quitter la pièce pour rejoindre sa jeune sœur dans la cuisine.



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Dim 2 Juin - 12:36

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -il en fait intégralement parti oui… » sans Flynn elle ne serait pas totalement elle-même, elle le savait. « -j’ai besoin de le voir souvent, de lui parler beaucoup, je suis jamais partie en vacances sans lui alors qu’on bosse ensemble ! » elle sourit : « -il va falloir t’habituer à lui… » la première rencontre n’avait pas été génial. Aujourd’hui, ça avait été mieux. « -tu es sûr ? » demanda Angie. Techniquement, elle était censée mentir à son meilleur ami. Et pourtant, ici, c’était à Edward qu’elle mentait. Flynn était courant du contrat. Elle en avait forcement parlé avec lui. Angie décida de changer de sujet, elle reviendrait déçu à un autre moment. Pas tout de suite. Elle devait trouver comment amener les choses. Elle aima apprendre qu’Edward aimait la photographie. Il avait même envisagé sérieusement d’en faire son métier. Cela intriguait la jeune femme, elle voulait voir son talent. Elle était certaine qu’il en avait. « -c’est comme tu veux… et quand tu voudras… » encore une fois, elle le laissait libre de décidé quand il voudrait partager cela avec elle. C’était sans doute de nouveau remuer le passer… Alors… il avait peut-être besoin d’un peu de temps. « -t’as aimé ça en fait hein ? » demanda la jeune femme en souriant avant d’ajouter : « -te foutre de moi ! Je l’avais déjà remarqué à une ou deux reprises… La prochaine fois, vu que c’est toi le professionnel, tu trouveras l’idée pour la photo, voilà ! » elle préféra son amuser, histoire de souffler sur les braises de cette passion d’antan.

Evoquer Tommy n’était pas facile, elle le savait, elle s’en doutait. Elle le voyait surtout dans son regard, dans le ton de sa voix. Elle ne faisait pas cela pour le torturer. Elle voulait qu’il prenne conscience de certaine chose. Il savait au fond de lui. Il fallait seulement aider un peu… « -ce n’est pas ce que je te demande… et tu le sais… » le but n’était pas de le faire pleurer. Le but était de le faire réfléchir et prendre conscience que cette douleur garder en lui durant tant d’année, avait peut-être une réelle raison d’être. Il n’avait pas à avoir peur de ce qu’il pouvait lui confier. Elle n’en dirait pas un mot à personne. Pas même à Flynn. Edward l’autorisait à entrer dans son jardin secret, elle respectait cela. C’était précieux. « -t’es dingue ! je sais pas assez bien nager et j’aime trop manger pour m’imposer ça ! » même pas en rêve. « -l’avenir nous le dira… Dors bien… » elle se tourna de l’autre côté, pour faire face à la table de chevet qui était bien moins attirante que les bras d’Edward. Juste pour plaisanter, elle colla ses pieds sur les mollets du beau brun avant de râler : « -rah c’est même pas drôle t’es en pantalon ! » avant de rire et de retirer ses pieds. « -bonne nuit Edward… » elle s’endormie assez rapidement, épuisée de sa journée, heureuse finalement de cette soirée.

Au matin, elle ne l’entendit pas se lever, elle grimaça légèrement en sentant un courant d’air sous la couette, se tournant sur le dos, bras au-dessus la tête. Lorsqu’elle ouvrit les yeux une heure plus tard, Angie se frotta les yeux, s’étira et tourna la tête vers l’oreiller d’Edward. Elle se redressa légèrement pour regarder l’heure. L’appartement semblait silencieux. Elle trouva le petit mot, et il lui suffit à avoir le sourire pour le reste de la journée. Pourtant en se rendant dans la cuisine, l’homme silencieux derrière son journal lui manqua… Tout comme l’odeur du café ou le regard qu’il posait sur elle pour lui dire bonjour. Elle occupa sa journée sans souci et en fin de journée, elle décida de se détendre dans la piscine. Après tout, elle était chauffée et à meilleure température que la plage… Elle en profita pour lancer un débat plage ou piscine sur ses réseaux. Elle demanda à la femme de ménage de la prendre en photo et cette dernière se fit un plaisir de le faire. Quand elle entendit la porte d’entrer, elle faisait des longueurs dans l'eau claire.



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Manhattan Redlish
Dim 2 Juin - 13:23

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Le lien qui unissait ces deux meilleurs amis semblaient inébranlable, à l’image de « deux siamois » lui fit remarquer Edward à voix haute. Bien que son accueil lors de leur première rencontre ne fut pour le moins cordial, le politicien était prêt à fournir les efforts nécessaires pour que la suite de leur entente soit plus chaleureuse. Ce fut la raison pour laquelle il proposa à Angelica de convier son meilleur ami le temps d’un dîner. « Oui. J’ai envie de te connaître, et ça signifie notamment de faire la connaissance des gens auxquels tu tiens », et vint préciser à la suite « Réfléchis à un jour dans la semaine qui vous correspond à tous les deux, et ça sera le mien ». Cet homme était devenu avec la force du temps sa famille la plus proche. Il était donc tout naturel qu’il le convie à l’appartement le temps d’un dîner, et peut-être davantage si les deux amis souhaitaient s’octroyer du temps au sein du penthouse. De fil en aiguille, ils vinrent à évoquer son métier et les raisons qui l’avait poussé à ne pas poursuivre son rêve de devenir photographe. Une passion qu’Angelica souhaitait découvrir par le biais d’anciennes photographies qu’il avait toujours en sa possession « Je veux bien… Mais pas maintenant… ». Il n’avait pas réouvert ses boites depuis qu’il avait prit la décision de délaisser la photo pour la politique. Toutefois, il ne craignait pas que la jeune femme saurait se montrer patiente, une fois encore, à son encontre, jusqu’à ce qu’il sente prêt à lui montrer un pan de sa vie passée. Un sourire vint malgré tout étirer ses lèvres « C’est un nouveau passe-temps que je me découvre, en effet » rétorqua-t-il en confirmant les dires d’Angelica « À tes risques et périls ». L’esprit d’Edward n’était pas avare en idée en ce qui concernait des photographies de couples. Encore fallait-il que cela corresponde aux attentes de la jeune femme qui se tenait face à lui.

Son sourire disparu quand ils en vinrent à évoquer de nouveau le décès brutal de Tommy. Il n’avait jamais versé la moindre larme depuis sa disparition, et ne le ferait pas ce soir non plus. Il souffla un « Je sais », bien que l’envie de laisser couler les larmes lui nouait la gorge. Ça serait si simple pourtant d’accepter de vivres ses émotions… Mais il se l’interdisait depuis tant d’années que cela n’aurait aucun sens de laisser libre à ses larmes ce soir … Pour ne pas alourdir davantage la soirée, Edward s’intéressa davantage à la femme allongée à ses côtés, à tout cet investissement qu’elle mettait dans leur relation, dépassant les simples stipulations de leur contrat. Elle prétexta aimer les défis, mais si tel était le cas, survivre sur une île déserte aurait été sûrement plus simple. Un rire silencieux lui échappa « Pas de Uber Eats sur les îles désertes ». Il la laissa éteindre la lampe de chevet, signant la fin de leur échange nocturne, et tout en déposant les lèvres sur la joue, il lui murmura quelques mots qui contredisait les dires d’Angelica, ceux-là même qui avaient enclenché cette conversation. Il sourit à sa réponse énigmatique, et se coucha, non pas sans rire de nouveau en sentant les pieds froids de la jeune femme venir se glisser sur ses jambes couvertes « Il aurait été malvenu de ma part de dormir nu en ta présence ». Et si dangereux également … « Bonne nuit Angie ». Il entendit sa respiration devenir plus régulière quelques minutes après avoir fermé les paupières, et il avait souri, avant de rejoindre les bras de Morphée à son tour.

Sans un bruit au petit matin, Edward s’était préparé pour la journée de travail qui l’attendait. Bien que pas particulièrement en avance, il s’était toutefois autorisée une première minute pour l’observer endormie au milieu de ses draps, tout en appréciant la vue, et une autre pour lui laisser un mot rien que pour elle. Ainsi, elle saurait qu’il avait pensé à elle en ce début de journée, puis avait rejoint Iris dans la cuisine, qui avait d’ores et déjà préparé les toasts et le café pour chacun d’eux « Bonjour Edward ». Il ne répondit rien. « Tu présenteras toutes mes excuses à Angelica pour mon comportement de la veille. C’était gratuit et infondé » « Je confirme ». Il sentit le regard d’Iris sur lui, le contraignant à lever les yeux de son café pour l’interroger silencieusement sur le fil de ses pensées « Je n’aurais jamais pensé te voir tenir à quelqu’un un jour » « Ne dit pas n’importe quoi Iris. Tu m’exaspères, mais je tiens à toi et à nos parents ». Sa jeune sœur sourit « Je ne parlais pas de ça Edward. Tu es différent quand tu es avec elle, elle te plaît réellement. Alors ne fout pas tout en l’air ». Sur ce, elle se leva, déposa un baiser sur sa joue mal rasée « Je suis contente pour toi grand-frère » et s’éclipsa.

Comme promis, Edward était rentré avec le dîner le soir venu, le déposant soigneusement dans la cuisine, puis se délesta ensuite de sa veste de costume qui recouvra le dossier du tabouret. Il desserra sa cravate et déboutonna les deux premiers boutons de sa chemise, tandis qu’il s’avançait jusqu’à la terrasse. Arrivé au bord de la piscine, les mains dans les poches de son pantalon de costume, il observa Angelica évoluait aisément dans l’eau chlorée de leur piscine, et s’accroupit sur le rebord « Angie ! » cria-t-il une première fois, puis lui jeta de l’eau tout en prenant soin de ne mouiller que sa main, et lui adressa un sourire lorsqu’elle releva enfin la tête de l’eau « Bonsoir La Mia Luce. L’eau est bonne ? ».



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Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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C’était amusant de voir comment un être humain était capable de s’adapter. Et surtout de s’habituer. Cela faisait des années qu’Angie vivait seule, elle avait ses petits rituels, ses façons de faire. Mais en venait vivre ici, même si ce n’était que temporaire, elle devait revisiter tout ça. Même si elle n’avait pas renoncé au plaisir de déambuler en pyjama, total naturelle au petit matin. Edward avait le nez plongé dans son journal, et cela ne semblait pas lui poser le moindre problème. Elle se levait un peu plus tard, pour lui laisser du temps seul. Et ce matin, alors qu’elle avait plongé le nez dans le frigo, le bruit du journal qui se plie, l’odeur du café et surtout la voix grave d’Edward lui avait vraiment manqué. Flynn avait tort. Peut-être qu’elle plaisait à Edward, mais la vérité, c’était que le politicien lui plaisait de plus en plus à elle.

Lorsqu’elle avait allumé la caméra pour le séance de yoga, Angie avait proposé une petite médication de gratitude. Elle aimait bien ça. Dire merci, à la vie, à ce qu’elle recevait chaque jour. Et ça faisait longtemps qu’elle ne l’avait pas fait en live. Alors elle avait prit le temps de rappeler tout ça à ses followers : « -coucou mes lapins, j’espère que vous allez bien. La nuit a été courte ici, mais pour de belles raisons. Généralement je pense à ma fatigue, à mes cernes, à mon énergie… j’étais fatiguée, clairement, mais j’ai passé une soirée d’échange et d’écoute vraiment agréable. Et je suis vraiment reconnaissante pour ça. Du coup, ce matin, je voulais vous proposez un petit atelier de gratitude. On va prendre quelques minutes pour lister 3 choses pour lesquelles nous sommes reconnaissantes. Si vous voulez, vous pouvez me les partager en commentaires. » elle posa ses mains sur son cœur, inspira, ferma les paupières et mentalement, elle remercia la vie d’avoir mit Edward sur son chemin. Cette relation était intéressante, elle appréciait l’homme derrière le personnage. Forcement elle remercia l’univers pour Flynn… et elle décida de dire merci également pour Iris. Sans elle, peut-être qu’Edward ne se serait pas laisser aller à de telles confidences…

En fin de journée, elle décida de profiter de la piscine, vraiment profiter. Pas pour des photos, elle voulait faire des longueurs. Ça ne pouvait lui faire que du bien. Le soleil était présent, bien plus que la veille au bord de plage. Et puis elle trouvait ça dommage d’avoir une piscine pareil de ne pas prendre le temps de faire un plongeon. Elle cru entendre crier son nom, et elle ne pu que sourire en voyant Edward se tenir sur le bord de la piscine. Elle nagea jusqu’à lui, et vint s’accouder sur le rebord. « -bonsoir, tu as passé une bonne journée ? » le menton en l’air pour le voir, elle ajouta : « -et oui, elle est parfaite. Va te changer et viens faire quelques longueur. Ça te détendra après ta journée. » généralement il allait s’enfermer dans son bureau pendant une bonne heure avant qu’ils ne passent à table… mais peut-être que ce soir, il aurait envie de passer son début de soirée de façon différente.

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Dim 2 Juin - 15:31

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Les paroles de sa jeune sœur n’avait eu de cesse de résonner dans son esprit toute la journée durant. Iris avait raison. Il était différent en présence d’Angelica, et il aimait l’idée qu’elle soit la seule femme capable de faire ressortir cette part d’humanité profondément enfouie en lui, et qu’elle ne soit visible qu’en sa présence. Les souvenirs de cette nuit ne l’avait pas quitté non plus. Non pas seulement les douloureux souvenirs de l’accident de voiture qui avait causé la mort à son meilleur ami, mais cette douceur, cette tendresse dont elle avait su faire preuve pour apaiser la peine qu’il éprouvait toujours malgré les années. Il s’était confié sans crainte sur tout un pan de sa vie, dont l’homme qu’il était aujourd’hui résultait, et ce matin, en la voyant allongée dans les draps de soie, encore pleinement endormie, il n’avait pas éprouvé le moindre regret de s’être révélé ainsi à elle. Il ignorait le pouvoir qu’elle détenait sur lui, mais ce dont il était certain, c’était qu’il prenait réellement goût à cette colocation… Il le comprit davantage quand il réalisa le soir venu, en franchissant la porte, qu’elle lui avait manqué. Il l’avait laissé dormir pour lui éviter ainsi une confrontation matinale avec Iris, et leur rituel en avait été chamboulé. Il n’avait pas pu apprécié le bruit de ses pas sur le parquet, tandis qu’il feignait de lire le New York Times à son arrivée, s’octroyer le doux plaisir de l’observer venir jusqu’au réfrigérateur, pour finalement décider de la saluer et s’intéresser à sa nuit, ainsi qu’au déroulement de sa journée à venir.

Donc lorsqu’Edward franchit le seuil du penthouse, et qu’il s’était délesté du dîner sur l’ilot central de la cuisine, ainsi que de sa veste de blazer sur le dossier du tabouret, il avait continué sa marche jusqu’à la piscine dans laquelle évoluait avec une aisance et une grâce certaine, la jeune femme. La voir nager dans l’eau chlorée, uniquement vêtue de son maillot de bain, ne laissait pas indifférent le politicien, dont leur proximité de la séance de photo lui revint rapidement en mémoire. Elle éveillait en lui des sensations qui risquaient tôt ou tard de le trahir s’il ne les contrôlait pas davantage. Il s’accroupit sur le rebord de la piscine, lui offrant son plus doux sourire en cette fin de journée, tandis qu’Angelica prenait appui sur le rebord « Oui » avant de venir préciser « Mais le meilleur de ma journée, c’est maintenant ». Plus les jours s’écoulaient, et plus il aimait rentrer à son appartement le soir venu pour seulement échanger des banalités comme de savoir si l’eau était agréable. Il se redressa sur ses jambes à la proposition d’Angelica « Tu me laisses cinq minutes » et s’éloigna jusqu’à sa chambre, se délestant du reste de son costume trois pièces pour un short de bain qui s’arrêté à la même hauteur que ses habituels boxer qu’il revêtait au quotidien. Il revint sur la terrasse où se trouvait toujours la jeune femme, et plongea dans l’eau la tête en première, pour finalement émerger quelques secondes après, plaquant ses cheveux en arrière « Tu as raison, elle est bonne ». Il se baignait que rarement. Généralement, lorsque la chaleur devenait péniblement supportable, comme la plupart des étés New Yorkais. Edward nagea jusqu’à la jeune femme « Tu as dormi suffisamment cette nuit ? » et tourna autour d’elle, pour finalement sombrer dans l’eau, et ressurgir sous elle, la portant sur ses épaules, pour la jeter un peu plus loin dans l’eau dans un éclat de rire, il se rapprocha ensuite « Ça va ? Tu n’as pas bu la tasse ? » l’interrogea-t-il sur un ton léger, sans se départir de son sourire.



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Dim 2 Juin - 16:25

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Elle fut heureuse de le voir apparaitre. Cela voulait dire que la journée touchait à sa fin, et qu’ils allaient pouvoir passer une soirée tranquille, rien que tout les deux. « -je comprends parfaitement ! Rentrer à la maison, quitter les chaussures… bon dans ma liste à moi y’a aussi virer mon soutien-gorge… » elle se mit à rire en disant cela, sans la moindre gêne. Elle ne voulait pas laisser son cerveau s’imaginer des choses, même si c’était plaisant de croire qu’il venait de dire ça, parce qu’il la trouvait elle, dans la piscine… Elle lui proposa de venir la rejoindre, pour profiter un peu de l’eau et se détendre de sa journée. « -bien sûr. » un sourire avant de reculer dans l’eau, venant s’accouder sur le rebord d’en face. Elle attendit patiemment qu’Edward réapparaisse et lorsque se fut le cas, elle siffla, avant de rire. Wahou… la vue était… roh ce torse… mais quelle idée de lui demander de la rejoindre ! « -tu fais ça comme un pro… » elle le charriait alors qu’il venait de réapparaitre à la surface, en plaquant ses cheveux en arrière. « -tu apprendras que j’ai souvent raison. » s’amusa de nouveau Angy avant de quitter le rebord pour faire quelques mouvements de brasse. « -pourquoi tu as prévu qu’on se couche encore à trois heures du mat cette nuit ? » demanda la jeune femme en le laissant tourner autour d’elle.

Quelques secondes plus tard, elle s’agrippait aux mains d’Edward, avant de se boucher le nez durant le plongeon. Elle remonta à la surface en battant des pieds. Elle reprit sa respiration avant de sourire à Edward et de menacer : « -non mais toi ça risquerait d’arriver ! » elle appuya sur ses épaules, et l’accompagna dans l’eau en riant. Une fois à l’air libre, elle ajouta : « -je pensais pas exactement à ça quand je t’ai dit de te détendre, mais ça me va. » Angie sourit et ajouta : « -je te le dis avant que tu le découvres, j’ai prit 15 minutes de son temps à Yuma pour qu’elle me prenne en photo dans la piscine. » elle nagea loin de lui après avoir avoué cela. Elle vint s’installer sur les marches qui descendait dans l’eau et elle ajouta : « -merci de ne pas m’avoir réveillé ce matin… et de m’avoir éviter de croiser ta sœur. Elle n’était pas trop contrariée ? » en soit, elle n’en avait rien à faire. Mais c’était la moindre des choses de demander. « -c’était ouvert le restaurant dont tu as parlé ? parce que j’y pense depuis tout à l’heure. Tu me donneras le nom, je ferais leur pub si c’est bon. »

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Dim 2 Juin - 17:01

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward ne souhaitait pas s’interroger sur les nombreux changements qui opéraient en lui depuis l’arrivée d’Angelica dans sa vie. Il avait prit la décision de profiter de l’instant présent, et de se laisser guider là où la vie choisirait de les mener l’un et l’autre. Tout ce dont il était certain, c’était qu’il chérissait de plus en plus chacun des moments passés en sa compagnie, et que le meilleur moment de sa journée était lorsqu’il rentrait la rejoindre, bien qu’elle ne le comprit pas ainsi, et cela le fit sourire. Plus encore en l’entendant énumérer sa propre liste qu’elle compléta de ce rire dont il ne parvenait pas à se lasser « Te retrouver toi, à la maison » précisa-t-il notamment, comme pour enrichir cette liste non exhaustive des raisons qui faisaient qu’il aimait rentrer à la maison le soir venu. À son habitude, Edward aimait se recueillir dans son antre, vérifier ses mails personnels et relatifs au Lounge qui gérait à distance, dans l’attente de l’heure du dîner. Toutefois, la proposition de venir se baigner que formula Angelica était bien plus attrayante, et s’éclipsa donc le temps de quelques minutes pour revenir uniquement vêtu d’un court short de bain, mettant en évidence sa silhouette allongée et sculptée dont l’influenceuse avait pu obtenir un avant-goût la veille. Il plongea la tête la première pour ressurgir hors de l’eau quelques secondes après, plaquant ses cheveux en arrière tout en souriant « J’ai pratiqué la natation durant deux ans au collège » se justifia-t-il. Il ne détenait pas de dons naturels pour plonger ainsi dans une piscine. C’était le résultat de quelques longs entrainement par le passé. « Oh ! » rétorqua-t-il par la suite, faussement surprit, continuant de danger autour d’elle, à l’instar d’un requin autour de sa proie « Rien ne nous en empêche » précisa-t-il tout en arborant un fier sourire, puis plongea dans l’eau et émergea entre les jambes d’Angelica qu’il jeta un peu plus loin dans la piscine « Des menaces ?! » l’interrogea-t-il en haussant les sourcils, sans parvenir à se départir de ce sourire amusé sur les lèvres.

Sous le poids d’Angelica, il sombra au fond de la piscine, et rejoignit la surface peu de temps après, inspirant l’air frais à plein poumons « Je suis détendu pourtant ». Son visage se referma brusquement à l’énonciation des premiers mots d’Angelica. Il appréhendait la suite de ses paroles, mais un soulagement l’accabla en apprenant que l’influenceuse avait uniquement utilisé les nouveaux talents de Yuma en matière de réseaux sociaux, pour une photographie d’elle dans la piscine. Son visage se détendit tout autant que le reste de son corps, et nagea jusqu’à cette dernière en effectuant des brasses plus lentes « Tant que son travail est fait au préalable, je n’y vois pas… plus d’inconvénients », et précisa ensuite « Merci de me l’avoir dit ». Edward avait toujours mis un point d’honneur à lui être sincère, et il espérait la même démarche à son encontre. Bien qu’au vu de ses réactions passées, elle puisse appréhender de lui dire la vérité. Mais il espérait qu’ils avaient dépassé ce stade dans leur relation, et qu’elle avait dorénavant suffisamment confiance en lui pour ne pas lui dissimuler la vérité. Le politicien se rapprocha d’Angelica, plaçant ses mains sur le rebord des marches, perpendiculairement à la jeune femme, laissant le reste de son corps flotter à la surface « Tu dormais paisiblement, je ne voulais pas te déranger » répondit-il, tout en enfonçant la moitié de son visage dans l’eau une seconde, pour ressentir la tête de l’eau par la suite « Elle s’est excusée envers toi et moi de son comportement de la veille et … Elle m’a demandé de ne pas tout foutre en l’air entre nous deux, tels sont ses mots » parce qu’il était heureux en sa présence, tout simplement, et qu’elle appréciait de voir son frère ainsi après toutes ces années. « Humhum » et se mit à lui sourire « Le dîner est d’ores et déjà sur l’ilot. Mais on a le temps. On réchauffera si besoin ». Edward laissa son regard glisser avec lenteur sur la silhouette pratiquement nue de la jeune femme, soulignant chaque détail de sa peau, de son visage, son cou jusqu’à ses chevilles plongées dans l’eau. Elle était aussi charmante que belle. À cette simple contemplation, il put sentir sa virilité réagir et se durcir. Oh non … Ce n’est pas le moment… Pense à Nonna… Je n’ai pas envie de penser à Nonna… Il menait une véritable lutte intérieure à laquelle il mit un terme en reprenant la parole, tentant de fixer son attention sur l’eau qui les enveloppait « Je ne t’ai pas demandé comment c’est passée ta journée à toi, La Mia Luce ».  



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Dim 2 Juin - 18:03

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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« -oh… » elle sourit : « -je pensais plus à jeta ta cravate et déboutonner ta chemise… » elle sourit un peu plus encore et ajouta avec un haussement d’épaules : « -mais je suis contente de savoir que tu apprécies me voir présente ici le soir. » c’était toujours appréciable de savoir qu’il était heureux de la retrouver plutôt que de souhaiter s’enfermer dans son bureau. Elle le laissa se changer, puis la rejoindre. Heureusement qu’elle était dans l’eau… une telle vue… ça donnait chaud. Jusqu’à présent, elle n’avait vu que le torse… heureusement qu’il avait plongé. « -ah oui… » elle ne savait pas exactement de quoi il parlait là tout de suite. Ah si, surement parce qu’elle venait de dire qu’il savait bien plonger… « -pourquoi tu tournes comme ça… on dirait que tu vas me bouffer… » l’effet de surprise fut pourtant bien présent. Elle se retrouva hors de l’eau et projeter de nouveau dedans en quelques secondes. « -exactement ! » menaça Angie en riant, avant de s’enfoncer dans l’eau avec lui. « -je voyais quelques brasses, pas jouer au torpilleur. » ajouta la jeune femme en riant.

La jolie rousse prit de la distance, et lui avoua avoir prit un peu de temps de travail de la femme de ménage. « -sincèrement, elle adora m’aider mais je veux pas que ça lui attire encore des ennuis. Je lui ai dit que j'allais t'en parler. » elle lui sourit alors qu’il avançait vers elle : « -et son travail est fait, elle a même changé les draps de ton lit. » après tout, elle avait partagé ses draps, il voulait sans doute effacer cela. Angie voulait se montrer sincère, même s’il y avait un mensonge qu’elle allait devoir abordé et elle redoutait la réaction d’Edward… elle ne savait pas exactement comment aborder cela… mais elle devait lui dire que Flynn était au courant. C’était important. Edward voulait le rencontrer. Elle ne voulait pas jouer un rôle toute la soirée. Au départ, ça avait été amusant, parce qu’Edward était froid, voir rustre. Mais les choses avaient changées. Elle réservait cela pour la fin de soirée.

« -je me serais pas levé de toute manière. » claqua Angie. « -je voulais pas croiser ta sœur. » comme ça c’était claire. Et en parlant de la sœur, elle posa sa question, même si dans le fond, elle s’en foutait vraiment de savoir si Iris tirait la tronche ou non. « -wahou… » ironisa Angie, les coudes toujours sur l’une des marches des escaliers, l’eau de la piscine montant juste en dessous de sa poitrine. « -et bien dit donc, elle a grande confiance en toi ! » s’amusa Angelica. « -pourtant, ça serait dans les intérêts familiaux que tu fasses tout foirer… » elle se pinça les lèvres, leva le visage vers le ciel, avant de faire pénitence : « -pardon. J’arrête. Si elle a présenter des excuses tant mieux. » Angie s’intéressa à ce qu’ils allaient manger ce soir. « -génial… j’ai hâte de gouter à tout ça. » elle avait vraiment faim et toujours avide de découvrir de nouveau restaurant. Angie releva à nouveau le visage, pour prendre le soleil, ne se doutant pas de l’effet qu’elle avait là tout de suite sur Edward. « -je comprends pas que tu profites pas de la piscine plus que ça… » souffla-t-elle avant de reposer ses yeux sur lui suite à sa question : « -j’aime beaucoup ce petit surnom… » souffla Angie avant d’ajouter : « -et sinon, bonne journée… super séance de yoga ce matin. J’avais une cinquantaine de connectées en plus. Trop contente ! » elle lui parla de la suite, tout en faisant quelques longueurs ensemble. Et puis une grosse demi-heure plus tard, elle clama qu’elle avait faim. Et d’un commun accord, ils décidèrent de quitter la piscine et de se retrouver dans la cuisine pour préparer le repas. Angie sortie en premier, et enfila un peignoir, prit une photo au passage, évitant de mettre Edward dans le cadre. Puis elle gagna sa chambre pour prendre une douche, et ressortir de sa chambre en tenue décontractée mais élégante, pour la suite de leur soirée. « -c’était étrange ce matin sans toi. » lança Angie en arrivant dans la cuisine.

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"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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