"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Mer 31 Juil - 20:53
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Le changement soudain de tenue était la note légère de leur conversation. La taille d’Angelica enserrée dans ses bras, le politicien se plut à écouter la jeune femme prétendre qu’elle ne cherchait aucunement à dissiper toute tentation à son encontre, au profit d’arguments semblablement plus pertinents. Ses prunelles rieuses posées sur elle, Edward prit la décision de la taquiner davantage en renchérissant « Tu peux aussi avouer la vérité et dire que tu as besoin de répit. Je comprendrais aussi mon amour ». Il avait bien conscience que la présence des deux petites filles dans un chalet arboré de toute part rendait le port de la robe quelque peu complexe. En réalité, ce n’était pas la tenue de sa moitié qui le contrariait le plus dans cette situation, mais bel et bien la présence de sa jeune sœur. Le souvenir de leur première rencontre lui laissait encore un goût de ressentiment dans le fond de la gorge, en se remémorant la manière dont Iris avait considéré la jeune femme en raison de sa profession. Edward ne souhaitait pas qu’Angelica soit de nouveau accablé par de tels reproches, bien que sa sœur semblait dorénavant convaincu du bien-fondé de leur relation. Ce qui le déstabilisa plus encore, c’était l’apaisement que pouvait éprouver la jolie rousse face à la venue inopinée de son entourage. Elle semblait si sereine et lui si angoissait … « Tu as raison… » murmura-t-il avec douceur, caressant avec tendresse le visage de la femme blottie actuellement dans ses bras « Je te protègerais » renchérit-il avec plus de légèreté qu’à son accoutumé. Un petit rire sous cape finit par jaillir du fond de sa gorge devant le ton malicieux de sa moitié « Sans même s’être concerté. C’est beau » déclara-t-il avec la frivolité qu’Angie. Plus il passait du temps à son contact, qu’il apprenait à connaître la femme qu’elle était, et plus il tombait amoureux. Elle lui ouvrait de nouveaux horizons, et notamment sur l’avenir que la Vie pouvait lui réserver à ses côtés. Il voulait que cette sensation qu’il éprouvait et qui s’appelait communément le bonheur ne cesse jamais. Ce sentiment était intrinsèquement lié à l’amour qu’il lui portait. C’était la raison pour laquelle Edward prit son courage à deux mains et partagea avec lui la pensée qui l’habitait depuis quelques jours maintenant.
Probablement qu’il perdait l’esprit après ces nuits d’insomnie. Il l’ignorait. Toutefois, Edward avait la sensation que la venue de l’influenceuse dans sa vie n’était pas anodin et était inhérent à la disparition de Tommy. Quand son meilleur ami avait brutalement disparu dans cet accident de voiture, le politicien avait eu la sensation de mourir lui aussi. La joie de vivre l’avait définitivement quitté, ou c’était tout du moins la pensée qui l’avait animé jusqu’alors. Puis Angelica était entrée dans sa vie, de manière toute aussi soudaine. Elle l’avait affublé de ce joli sobriquet qu’était le surnom que lui avait donné Tom dès leur rencontre. Eddy. Cette femme était parvenue à faire surgir en lui un homme diamétralement différent et dont il ignorait encore l’existence jusqu’il y a peu. Elle lui avait permis de s’éveiller au monde et lui donnait goût à la vie, tout simplement. La concordance de certains faits l’avait contraint à réfléchir davantage, le menant jusqu’à l’introspection, jusqu’à ce que cette idée ne surgisse dans son esprit. Contre toute attente, Angelica ne l’assimila pas un aliéné de premier ordre, et se plut même à plaisanter « Je suis dingue de toi » confirma-t-il avec douceur et son cœur bondit dans sa poitrine. Il caressa sa joue avec douceur « Je te le promets… ». Il déposa ses lèvres sur les siennes avec la même tiédeur et souffla « Je suis réellement prêt à tourner la page ». Il la laissa par la suite s’éloigner pour qu’elle troque sa robe pour une tenue tout aussi élégante à ses yeux et ne put s’empêcher de la complimenter. Elle était si belle. « Je n’aurais pas dit mieux ».
Ses doigts entrelacés aux siens, ils rejoignirent la terrasse où son entourage se trouvait, profitant ainsi du soleil et de la brise légère qu’offrait l’altitude. De manière pour le moins inattendue, Iris avait parlé de l’influenceuse à son mari en des termes élogieux, ce qui permis d’apaiser ses appréhensions les plus ancrées. Sa sœur l’avait réellement accepté. Ce n’était pas anodin pour le politicien qui en fut particulièrement touché. Sa main dans le dos d’Angie, il sourit à la question pertinente de cette dernière et échangea un regard avec la jolie rousse avant de répondre « On prend du temps pour nous » « Ça vous va aux teints en tout cas » conclut Iris, qui apporta ensuite une réponse à l’influenceuse « On avait prévu de rester une semaine, mais après discussion avec Conrad, on va réserver une chambre dans un gîte jusqu’à ce que vous rentriez à New York » « On rentre après-demain… On voulait seulement profiter du calme de l’endroit pour quelques jours » « En autre ». Le sous-entendu d’Iris était pour le moins explicite et lui valut un regard noir de son frère ainé qui n’appréciait pas l’ingérence de son entourage dans sa vie, qu’elle soit privée ou publique. La voix de Conrad résonna sur l’ensemble du terrain, attirant aussitôt les deux nièces du candidat au Sénat qui se ruèrent jusqu’à eux. Sa sœur se chargea des présentations, et ce fut sous le regard attendri d’Edward, que les deux enfants échangèrent avec Angie, avant que ces dernières ne les délaissent pour une séance de yoga improvisée dans l’herbe. La couvant amoureusement du regard, il songea de nouveau à leur conversation dans la barque. Des enfants. La voix de sa sœur l’extirpa soudainement du fil de ses pensées « Quand tu m’as dit l’aimer, je ne pensais pas à ce point ». Il sourit et porta son attention sur l’avocate « C’est … » et l’observa jouer avec les enfants « L’amour de ma vie » « Wouah ! Et elle le sait ? » déclara Conrad, quelque peu stupéfait d’entendre ces mots de la bouche de son beau-frère « Oui » « Je n’aurais jamais pensé assister à cela un jour » « Tu es heureux ? » « Comme jamais… Vous m’excusez » et délaissa ces derniers pour se hâter jusqu’à Angie et les deux petites filles « Vous êtes sûre que c’est comme ça que l’on fait ? » et se mit à chatouiller les deux petites filles « Ce n’est pas plus comme ça ? » avant que ses nièces ne surgissent sur lui pour l’assaillir d’éclats de rires et de chatouilles « Aide-moi Angie ! Au secours ! ».
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Charly
Mer 31 Juil - 21:29
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -de quoi ? De répit ? » demanda Angie comme si elle ne comprenait pas. « -je n’en ai nullement besoin. Sache le. » souligna la jeune femme avec un sourire en coin. « -seulement là, on va bien être obligé de ralentir nos projets… » pas le choix. Elle imaginait mal Edward foutre sa sœur à la porte. Elle ne tenait pas à ce qu’il y ait de prise de tête. Ils pouvaient partager l’immense chalet ce soir. Iris et son mari avaient sans aucun doute comprit qu’ils étaient de trop, et avaient déjà envisagé une autre solution. Pour une fois qu’Edward prenait du repos… Iris devait pouvoir comprendre. De eux deux, c’était lui qui semblait appréhender le plus cette colocation imprévue. Angie voyait la présence d’Iris comme une sorte de signe ou d’opportunité. De faire un peu plus connaissance, d’apprendre à mieux s’entendre. Et comme elle le confirma, Edward était avec elle, alors elle ne craignait rien. « -c’est parce qu’on est connecté… » précisa Angie d’un ton enfantin.
L’appeler Eddy… elle en avait souvent envie, mais jusqu’à présent, elle n’avait jamais osé prononcer une nouvelle fois ce surnom. Il le lui avait interdit et il reprenait tout ceux qui étaient assez fou pour l’utiliser. Elle l’écouta avec une immense tendresse dans le regard, évoquer Tommy, et elle finit par hocher la tête. C’était oui, à une condition, elle voulait qu’il soit sincère sur ce que ce nom lui faisait ressentir lorsqu’il sortirait de sa bouche. Un baiser et elle sourit à ses mots sincères et profonds. « -d’accord… alors on va le faire ensemble. » souffla Angie comme un secret ou une promesse.
Quelques minutes plus tard, ils se retrouvaient à faire les présentations familiale. Angie salua Conrad et fut surprise mais aussi flatter d’apprendre qu’Iris avait parlé d’elle à son mari. Elle préféra ne rien dire, laissant Edward répondre. C’était sans doute mieux. « -entre autre oui. » appuya Angie avec un sourire. « -nos emplois du temps ont été un peu compliqués à accorder ces derniers temps, alors on voulait un peu de temps loin du monde. » Une soirée ensemble et ils auraient de nouveau le chalet rien que pour eux. Deux petites tornades firent leur arriver saluant Angie et Edward. Rapidement la jeune femme s’éloigna avec les gamines, afin de leur apprendre les rudiments du yoga adapté pour les enfants. Elle leur parla d’animaux, de chat, de chien et de grenouille, puis encore de flamant rose. Les petites l’imitèrent en riant, et en s’appliquant. Angie regarda l’intervention d’Edward avec un sourire tendre sur les lèvres, avant de rire en le voyant devenir la proie. « -vite donne-moi la main ! » s’exclama la jeune femme, se prenant au jeu, mais elle fut bientôt au sol avec lui, riant sous les chatouilles.
Lentement le calme fit son retour. Ils étaient tous les quatre hors d’haleine, sourire béat aux lèvres. « -on vous laisse jouer les filles, avec oncle Eddy, on va préparer le repas. » finalement, il n’y aurait pas de jacuzzi aujourd’hui, mais un repas de famille. Angie se remis sur ses jambes, tendant la main à Edward pour qu’il se relève à son tour. Elle lui sourit, l’embrassa avec douceur, avant de retourner vers la terrasse sans lâcher sa main.
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Manhattan Redlish
Mer 31 Juil - 22:04
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Tandis que la jeune femme prétendait ne pas comprendre le sens de ses mots, Edward décida crédulement de préciser en murmurant timidement « Je parle de sexe… ». Dans l’esprit du politicien, il aurait été légitime qu’Angelica désire un certain répit pour permettre à son corps de se rétablir après leurs multiples étreintes de cette nuit et de ce début de journée. Il n’en était rien. Angelica n’était ni éreintée, ni reput de plaisir. Seulement, comme elle le précisa, ils étaient contraint de reporter la réalisation de leurs fantasmes les plus intimes « Ça n’en sera que meilleur ensuite ». Parce qu’alors même que son entourage venait de franchir le seuil du chalet, Edward aspirait d’ores et déjà à se retrouver de nouveau seuls avec l’influenceuse, et il n’était pas uniquement question d’intimité. Il appréhendait les retrouvailles des deux femmes, et la jolie rousse pouvait le ressentir au travers de son comportement, de ses mots. De nature si sereine, elle parvint à apaiser quelque peu ses appréhensions et sourit avec douceur, en rétorquant un simple « Oui » plein de conviction. C’était tout du moins la sensation qu’il éprouvait depuis sa rencontre avec Angelica. Elle lui était destinée, peu importe ce que pourrait en dire le monde extérieur. Il avait la sensation que son passé et son présent était dorénavant intrinsèquement lié. C’était la raison pour laquelle Edward se sentait prêt à tourner la page du drame de sa vie pour se focaliser uniquement sur l’avenir qui s’ouvrait à eux. « Ensemble… » murmura-t-il en retour avec la même douceur. Elle était sa lumière dans l’obscurité.
Aussi surprenant que cela puisse être, l’accueil d’Iris et de Conrad à l’encontre de la jeune femme fut pour le moins chaleureux, permettant ainsi de dissiper les craintes du politicien. Il désirait seulement qu’Angelica puisse être acceptée dans cette famille comme avait pu l’être Conrad quelques années auparavant. Il voulait la voir devenir un membre à part entière. Sa main dans le dos de cette dernière, il ne put réprimer le rougissement qui colora ses joues au sous-entendu que confirma la jeune femme, ignorant volontairement le regard noir qu’il venait d’adresser à sa jeune sœur pour son manque évident de discrétion. « Angie… » gronda-t-il à l’attention de cette dernière, bien qu’il se montra soudainement bien moins corrosif quand il posa ses prunelles azurées sur cette dernière. « Mon frère a le désagréable défaut de faire privilégier sa carrière au détriment des gens qu’il aime » déclara Iris sur un ton emplit de reproche « Ne commencez pas vous deux » « Écoute les sages paroles de ton mari Iris » renchérit aussitôt Edward avec une certaine froideur qui était familière à sa sœur et qui ne s’en offusqua nullement, se contentant de lever les yeux au ciel. La tension s’apaisa aussitôt les deux petites filles pénétrèrent dans leur espace pour enrôler Angelica dans une séance de yoga improvisée. Il aurait pu poursuivre la conversation avec son entourage, expliquant les raisons qui le rendait si amoureux de la femme qui s’appliquait à parler de yoga avec des mots simples, mais c’était avec elle qu’il désirait passer tout son temps. Il s’éclipsa donc pour venir chatouiller les deux petites filles, qui l’assaillirent, le surplombant de leurs poids plumes. Il tendit la main à Angie qui décida de lui porter secours, mais elle fut également victime de leur guet-apens, laissant leurs rires retentirent en chœur.
Tous les quatre allongés de tout leur long dans l’herbe fraiche et verdoyante, l’accalmie avait reprit ses droits et ne laissait transparaître que le bruit de la faune les entourant. « Vous restez à proximité du chalet » précisa Edward qui se saisit de la main de la jeune femme, se redressant sans mal sur ses jambes et lui rendit son baiser « Tu m’as appelé Eddy… ». Instinctivement, il entrelaça ses doigts aux siens, et rejoignirent la terrasse sur laquelle patientait Conrad et Iris « En attendant les vôtres, vous pouvez toujours louer les nôtres de temps à autre » proposa Conrad avec amusement « Les enfants ne sont pas au programme » précisa Edward après un regard pour la jolie rousse à ses côtés « Dis celui qui prétendait ne jamais tomber amoureux, il y en encore si peu de temps » « C’est différent » « Pas tant que cela » « On en a parlé avec Angie, et ce n’est pas une priorité » renchérit-il « Eh bien… Vous avez fait du chemin en quelques semaines » commenta Iris avec un sourire, tout en se rendant jusque dans la cuisine du chalet. Edward délaissa les doigts d’Angie à contrecœur afin de préparer trois tasses de café et une tasse de thé « Vous attendez la fin de la campagne sénatoriale ? » « En parlant de ça, j’ai vu hier soir que tu avais gagné deux points dans les sondages ». Le politicien marqua une pause dans ses gestes, dos à l’assemblée, et finit par rétorquer en reprenant ses mouvements comme si de rien n’était « Je… » et osa enfin poser son regard sur l’influenceuse, laissant le liquide brun recouvrir les tasses qui se succédèrent tour à tour « Non. On veut voir si l’envie se fait ressentir. On aime notre vie telle qu’elle est ainsi », décidant d’éluder volontairement sa carrière politique et la fin de celle-ci. « Que souhaitez-vous manger ? ».
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Jeu 1 Aoû - 9:58
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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« -ooohhh… tu parles de sexe… » souffla Angie toujours avec la même décontraction enfantine. Ils allaient être forcé de revoir leur plan. Ça n’était pas la fin du monde. « -exactement… » avait elle renchérit avec un sourire en coin qui en disait long sur ses pensées. Ils allaient passer une soirée sympathique en compagnie d’une partie de la famille d’Edward, elle allait survivre. Et comme elle le lui expliqua, c’était peut-être une très belle occasion de faire un peu plus connaissance. Ce qu’il ajouta au sujet de ce surnom qu’il lui avait jusqu’à lors interdit, la toucha en plein cœur. Il était prêt à avancer… elle lui promis qu’ils allaient le faire ensemble. Parce qu’elle voulait son bonheur et elle tenait à en faire partie. Parce qu’il méritait d’être heureux enfin…
Face à Iris, Angie décida de se montrer sous son vrai jour. Alors elle ne se priva pas pour confirmer le sous-entendu à peine masqué qu’elle venait de faire. Oui, ils étaient là pour profiter du calme et aussi pour s’envoyer en l’air. Iris l’avait très bien comprit en les trouvant sous la douche ensemble. Et encore… c’était sous la douche qu’elle les avait surpris… « -quoi… » souffla la jeune femme avec un sourire amusée alors qu’Edward grondait son prénom. « -je n’ai pas dit que c’était la faute d’Edward. Il avait beaucoup de travail de son côté, et moi un voyage… » elle sourit à Iris comme pour lui faire comprendre qu’elle n’allait pas lui laisser gâcher son weekend ou l’humeur d’Edward. Et elle apprécia que Conrad prenne la parole. Angie glissa une main dans le dos d’Edward, comme elle l’avait fait au premier gala. Une sorte de détends toi silencieux.
Quelques minutes plus tard, elle se tordait de rire avec lui dans la pelouse sous les chatouilles des filles. Lorsqu’elle regarda le ciel en reprenant son souffle, elle sourit. Ce genre d’instant, ça s’appelait un moment de bonheur. Angie déclara qu’il était tant de rejoindre les grands et de passer en cuisine. Elle n’avait pas insisté lourdement sur le surnom, mais il l’avait entendu. Au vu de son sourire, il ne semblait pas l’avoir fait souffrir. « -je t’aime… » souffla Angie pour toute réponse avant de l’embrasser avec douceur.
Angie plissa les yeux en ne comprenant pas toute de suite de quoi voulait parler Conrad. Puis elle capta. Les enfants… décidément dans la famille d’Edward, ils étaient tous très très doués pour abordé les sujets piquant. Elle écouta la conversation en adressant un sourire doux à Edward. « -ah non… non je suis désolée mais je ne veux pas entendre parler de politique de sondage ou de campagne pendant notre weekend. On a fait le choix de laisser le travail à New York. Alors merci de trouver un autre sujet de conversation plus agréable. » elle était peut-être trop franche et trop tranchante dans ses paroles mais merde, ils allaient trouver un autre sujet de conversation. « -ça ne fait que quelques mois que nous sommes ensemble. Alors les enfants ce n’est pas du tout dans les projets immédiats. » elle sourit à Edward. Angie avait accepté de passer une soirée avec eux, parce qu’elle s’était imaginée une soirée sympa. Angie prit le plateau avec les tasses et l’emporta sur la terrasse. Iris et Conrad suivirent, et elle revint sous prétexte d’avoir oublier le sucre. Elle vint se glisser dans les bras d’Edward et tendit ses lèvres pour l’embrasser. « -je ne les laisserais pas diriger ta vie, ni ternir ta bonne humeur. »
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Jeu 1 Aoû - 20:40
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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L’enveloppant amoureusement du regard, le ton enfantin et innocent de la jeune femme laissait apparaître cette petite lueur rieuse au fond de ses prunelles azurées, tandis qu’il répondit par un simple « Humhum » amusé, confirmant ses propres dires. Leur escapade amoureuse avait été quelque peu chamboulée par la venue inopinée de son entourage, les contraignant à reporter leurs projets à venir de quelques heures. Pour autant, Angelica ne semblait pas être irritée par ce soudain désordre, percevant même un signe dans leur venue au chalet. Edward ne partageait nullement le même enthousiasme, nourrissant davantage d’appréhension et de craintes quant à cette soudaine réunion de famille. Bien qu’Angelica parvint à en dissiper la plupart de par sa seule présence à ses côtés, et cette sérénité naturelle qui émanait d’elle. Cette femme lui donnait l’envie d’avancer au quotidien, pour devenir l’homme par lequel elle méritait d’être aimée au quotidien. Il avait conscience que leur relation serait jonchée d’obstacles, mais il savait aussi, en son for intérieur, qu’ils surmonteraient chacun d’entre eux ensemble. Ce séjour improvisé lui avait confirmé ce à quoi il croyait depuis des semaines maintenant. Elle lui était destinée et il remerciait le Ciel de l’avoir envoyé jusqu’à lui… Bien qu’il soupçonnait que ce Ciel ait un nom aujourd’hui, et que c’était celui de feu son meilleur ami. Il était l’heure de tourner la page de son passé, il en était profondément convaincu.
Tous les quatre postés sur le rebord de la terrasse du chalet donnant sur l’imposant terrain qu’avait pris en otage ses deux nièces, Edward n’eut d’autres choix que de maugréer de sa voix profonde en écoutant Angelica confirmer le sous-entendu pour le moins explicite de sa jeune sœur. « Ne lui donne pas de grain à moudre, je t’en prie ». Iris n’avait aucunement besoin que sa petite-amie ne confirme ses sous-entendus lubriques. S’ils s’étaient rendus dans le Montana, ce n’était effectivement pas seulement pour dormir à la belle étoile tout en profitant du calme ambiant, mais également exprimer pleinement leur vie sexuelle. Cependant, cela n’entrava pas Iris dans sa démarche de jugement perpétuel, laissant son frère devenir sa nouvelle cible. De manière inattendue, Angelica intervint en remettant les faits dans leur contexte, tout en omettant volontairement sa crise de jalousie qui les avait contraint à prendre de la distance ces derniers jours. « J’ai suivi ton voyage en Louisiane sur les réseaux sociaux. Edward n’était pas volontaire pour t’accompagner ? » « J’avais du travail » commenta froidement aussitôt le politicien pour ne laisser aucune place à l’interprétation. L’intervention de Conrad fut salutaire, mais pas assez rapide. Le corps de nouveau tendu, il sentait les muscles de sa mâchoire danser sous sa peau. La caresse silencieuse de l’influenceuse eut raison de son attention qui se porta aussitôt sur l’intéressée, et d’un geste, lui saisit la main pour venir entrelacer ses doigts aux siens dans son dos, et se pencha pour embrasser sa tempe. Elle le connaissait si bien …
C’était la raison pour laquelle Edward n’aimait pas la sensation de vide que laissait ressentir son absence, et décida de la rejoindre pour partager ainsi un moment de bonheur simple avec ses nièces. Des éclats de rires dans les herbes hautes et verdoyantes de leur propriété. A bout de souffle et un sourire heureux sur les lèvres, Edward fut particulièrement sensible au petit surnom que lui donna Angie. À l’issue de leur conversation, il n’était aucunement certain qu’elle soit prête à le prononcer pour le désigner. Mais contre toute attente, elle le fit sans attendre et cela ne fit ressurgir aucune douleur, seulement une agréable sensation de chaleur dans sa poitrine. De nouveau sur ses jambes, il rendit le baiser que lui donna la jolie rousse avec cette même douceur, et souffla un « Je t’aime aussi la mia luce ». Lui qui n’avait jamais prononcé ces trois mots au cours de ces deux dernières décennies, il se plaisait dorénavant à le lui répéter tout le long de la journée durant, pour qu’elle ne l’oublie jamais.
Néanmoins, le sourire béat qu’Edward arbora au retour au chalet se dissipa aussitôt que son beau-frère évoqua leur désir d’enfant. Ils avaient évoqué le sujet par le passé et en commun accord, ils avaient prit la décision de patienter pour savoir si un jour, ce désir se ferait ressentir. Pour le moment, c’était nullement le cas. Toutefois, bien qu’il n’avait de cesse de contredire son entourage, ces derniers ne semblaient aucunement sensible à leur réponse. Et comme si cela n’était pas suffisant, la conversation dévia inéluctablement sur la carrière politique de l’actuel candidat au Sénat. Peu loquace à son habitude, Edward manquait de mot et Angie le comprit quand elle décida de répondre à son tour aux interrogations de son beau-frère et d’Iris. Il ne souhaitait pas obscurcir leur séjour en leur annonçant son retrait de la campagne sénatoriale, et son silence aurait sans nul doute éveillé les soupçons de sa sœur. L’intervention d’Angelica fut donc sa seule issue et elle le comprit. « Ce n’est pas vraiment du travail pour Edward, c’est toute sa vie » rappela aussitôt Iris « C’était le cas » déclara simplement Edward tout en se saisissant des tasses deux par deux pour les disposer sur le plateau « Aujourd’hui, Angie est toute ma vie. La politique n’est qu’un travail » renchérit-il avec aplomb. Il rendit le sourire à la jolie rousse qui confirma ses propos. Leur choix d’avoir ou non des enfants ne concernaient qu’eux et aucunement leur entourage. Aujourd’hui, ils avaient d’autres projets, et ils ne concernaient en rien un enfant à venir.
Le politicien laissa la jeune femme s’éloigner en compagnie d’Iris et de son époux, et s’autorisa un instant de solitude. Ses mains sur l’établi de bois, il rentra sa tête dans ses épaules et étira son dos tendu par la succession de conversation irritante. Quand il se redressa, prêt à affronter de nouveau le prochain sujet à débat, Angelica se glissa dans ses bras pour venir l’étreindre, et combla l’espace entre leurs lèvres pour venir l’embrasser avec douceur. « Quand je te demanderais un jour de m’épouser Angie, dans un an ou bien cinq voire dix … Peu importe… Dis-moi « oui » » déclara-t-il avec tendresse, signifiant à quel point il pouvait l’aimer « Tout ira bien. Je te le promets » souffla-t-il ensuite, glissant le bout de ses doigts le long de son visage « Je ne les laisserais pas s’immiscer dans notre vie. Elle me plaît telle qu’elle est aujourd’hui » et déposa ses lèvres sur son front « Ne prends pas peur, je ne vais pas poser un genoux à terre » renchérit-il avec un petit rire sous cape. Il glissa sa main dans la sienne, et se rendirent ensemble sur la terrasse, prenant place autour de la table. Aussitôt installé, Edward déposa ses doigts sur la cuisse de la jeune femme « À l’avenir, tu devrais nous prévenir de votre prochaine destination » précisa Conrad en portant son café à ses lèvres « Je peux le faire dès maintenant. D’ici quelques semaines, on se rend à Tivoli. Je souhaite présenter Angie à Nonna » « Eh bien… » débuta Iris « Ce n’est pas anodin te connaissant » « Angelica, tu as déjà rencontrés leurs parents ? » demanda Conrad.
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Jeu 1 Aoû - 21:25
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angie s’était imaginée une soirée un peu décontractée, sympa, un peu comme entre amis. Mais elle réalisa assez rapidement qu’elle s’était sans doute trompée. C’était un peu comme si Iris prenait un malin plaisir à lancer des piques. « -ce voyage était prévu depuis longtemps, avant qu’on se rencontre. De plus, avec le voyage en Italie, oui, il était submergé de travail. » elle jeta un coup d’œil à Edward et ajouta : « - et puis ce n’était pas des vacances, mais dans le cadre de mon job. Et nous n’avons pas envie de tout mélanger. » et elle allait arrêté de se justifier parce que c’était absurde. Ils auraient peut-être mieux fait d’envoyer Iris et sa famille dans l’hôtel le plus proche… Edward était tendu, elle le sentait sans même le regarder. Alors elle avait glissé sa main dans son dos, et avait sourit en sentant ses doigts rejoindre les siens.
La suite de la soirée ne fut pas moins pénible vu que Conrad évoqua les enfants. Les possibles enfants qu’Edward et Angie devraient avoir bientôt selon lui. Il répondit très bien pour eux, mais lorsque le sujet des sondages fit son apparition, elle prit la parole et remit le cadre. Non, ils ne parleraient pas de ça ni ici, ni maintenant. C’était hors de question. Elle posa un regard sombre sur Iris qui venait de la contredire. Elle n’avait plus vraiment envie de sourire. La petite sœur l’agaçait. La cœur de la jolie rousse se gonfla d’amour pour Edward, alors qu’elle eut envie de rire en voyant presque les yeux d’Iris sortirent de sa tête. Elle se contenta de prendre le plateau et de conduire tout le monde dehors, histoire de laisser quelques secondes de répit à Edward.
Lorsqu’elle revint, elle se glissa entre ses bras, entourant sa taille des siens. Avant de l’embrasser, elle lui fit une sorte de promesse. Non, elle ne laisserait personne diriger de nouveau sa vie. Il avait le droit de faire ce qu’il voulait, ce qu’il aimait. Il ne leur devait rien. Elle lui sourit en se mordant les lèvres, amusée de sa demande. « -d’accord… je dirais oui. » répondit la jolie rousse avec tendresse et sincérité. « -on va trouver des sujets qui les mettent eux dans l’embarras… » oui, c’était une bonne stratégie. Et ainsi la conversation serait tournée vers quelqu’un d’autre. « -est-ce que j’ai l’air d’avoir peur ? » demanda Angie avant de rire.
Main dans la main, ils retournèrent sur la terrasse. Angie s’installa avec élégance à ses côtés, dans le canapé, et se saisit de sa tasse. Elle souffla dessus en souriant, écoutant la réponse d’Edward. Un regard pour Iris par-dessus sa tasse. Quoi encore ? Puis elle regarda Conrad et sourit : « -non, je n’ai pas encore eu l’occasion de les rencontrer. Mais comme je connais déjà leur opinion sur ma personne, je ne suis pas vraiment pressée de faire leur connaissance, je dois bien l’avouer. » pourquoi mentir. Edward avait largement passé l’âge d’avoir la bénédiction familiale. Ils étaient heureux ensemble, ils allaient devoir s’y faire.
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Jeu 1 Aoû - 22:13
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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À compter de l’accident qui aurait pu lui coûter la vie, Edward était devenu brusquement un jeune homme froid et taciturne, l’éloignant peu à peu de son entourage, notamment d’Iris dont il était si proche. Les années qui suivirent ne firent qu’accroître la noirceur de sa personnalité, tandis que sa jeune sœur se façonnait à l’image de ses parents, jusqu’à devenir la femme qu’il connaissait aujourd’hui. Une femme inflexible à l’encontre de tous ceux qui n’entraient pas dans les standards de la famille Wyler. Lui-même ne faisait pas exception, et plus encore maintenant qu’il devenait un autre homme. Et bien que l’avocate se plaisait peu à peu à reconnaître son frère d’antan, elle n’était plus elle-même la même sœur avec laquelle il avait noué une complicité à toute épreuve… Il en prit toute l’ampleur plus encore en cette fin de journée, alors qu’il devenait la cible de ses attaques sournoises. Aux yeux de cette dernière, il n’était qu’un bourreau de travail qui peinait à se libérer du temps pour quiconque, y compris Angelica. Ce qui était nullement le cas, et la jeune femme ne se fit pas prier pour remettre chacun des faits dans leur contexte avec une assurance qui le séduisait tout particulièrement. Elle ne vacillait pas face à son entourage, pendant que de son côté, il sentait chacun de ses muscles se tendre peu à peu au fil de la conversation « Ce qu’essaie de dire Angelica, c’est que nous ne sommes pas continuellement l’un avec l’autre. Cela ne signifie pas pour autant que notre relation chancèle » renchérit-il avec une froideur dont il ne pensait pas être capable au cours de ces quelques jours d’escale loin de Manhattan. La présence réconfortante de la jeune femme à ses côtés lui permis de maintenir le contrôle de ses émotions, parvenant à les réprimer jusqu’à ce qu’elle ne lui octroie un instant de solitude qu’il mit à profit pour extérioriser en silence ses ressentiments.
En se redressant, Edward n’eut pas une seconde pour prendre conscience de qui venait de se faufiler dans ses bras qu’il resserra aussitôt ses bras autour de son corps. Angelica était prête à jouer les garde-fous si ça lui permettait de rester à l’abri des directives de sa famille sur la manière de mener sa vie. Pour première réponse, le politicien combla l’espace entre leurs lèvres pour l’embrasser avec douceur, et finit par anticiper sa probable demande en mariage qui n’aurait lieu que dans un lapse de temps encore indéfinit. Edward s’était attendu à ce que la jeune femme s’oppose à un tel projet, mais n’en fit rien. Au contraire, elle se mordit la lèvre comme il aimait tant, et lui sourit. Son cœur se gonfla d’amour en entendant sa réponse qui signifiait tant à ses yeux « Oui…Tu vas dire « oui »…Bien. Wouah… C’est vraiment très… très bien » bafouilla-t-il, quelque peu déboussolé par sa réponse, mais qui ne lui fit pas perdre pour autant son sourire réjoui de ces mots. « Aurais-tu des idées à me soumettre ? » parce qu’en ce qui le concernait, il en manquait. « Non. Pas le moins du monde » rétorqua-t-il ensuite, quelque peu suspicieux « Tu sembles … plutôt heureuse » et finit par demander « Pourquoi tu n’as pas peur ? ». Après tout, il avait souvenir d’une femme quelque peu inquiète de le voir capable de se projeter si aisément, et voilà que maintenant, elle était si sereine alors qu’il venait d’évoquer le mariage.
La présence d’Angelica à ses côtés était un baume apaisant pour l’ensemble de son corps qui avait pour habitude se tendre à la moindre contrariété. Sa main sur sa cuisse, il reprit le fil de la conversation comme si tout se déroulait pour le mieux, alors qu’il n’en était rien. Iris semblait pour le moins surprise d’apprendre que son frère était prêt à présenter sa petite-amie à Nonna, quant à Conrad, il évoqua inéluctablement leurs parents. Resserrant légèrement la pression sur sa cuisse, Edward renchérit « Tant qu’ils n’auront pas mis de côté leur aprioris sur Angie, je ne vois pas l’utilité de l’embrigader dans une telle rencontre. La seule opinion qui a son importance est … » « Celle de Nonna » interrompit Iris « Non. La mienne » reprit-il. « J’apprécierais que Nonna accepte Angie comme un membre à part entière. Toutefois, si tel n’est pas le cas, cela n’aura pas la moindre importance à mes yeux ». « Tu as changé Edward » « Oui » reprit-il tout en posant ses sur la jeune femme à ses côtés. C’était grâce à elle qu’il avait changé. Il reporta son attention sur Iris et Conrad « J’ai vu que tu avais collaboré avec Adam Speirs. Dis-moi tout Angie ? ».
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Charly
Ven 2 Aoû - 11:20
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Plus la conversation avançait et plus Angie réalisait qu’elle s’était sans doute trompé. Ce n’était pas parce qu’Iris s’était mise au yoga, qu’elles allaient devenir copines. Être abonnée à sa page lui permettait sans doute de la surveiller. Elle avait ressenti une légère pointe de déception, mais elle décida que la présence d’iris et sa famille, n’allait pas assombrir leur weekend en amoureux. Hors de question de laisser qui que se soit faire du mal à Edward, ou vouloir contrôler sa vie. Il se sentait enfin heureux dans sa vie, et Angie souhaitait que cela continue. Alors elle avait reposé le cadre. Non, ils ne parleraient pas de politique aujourd’hui. Elle avait encaissé la réflexion d’Iris, et avait sourit à la réponse d’Edward. Elle aimait lorsqu’il s’affirmait ainsi.
Lorsqu’ils furent de nouveau seul, elle s’était glissée dans ses bras pour un câlin bienfaiteur. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il lui parle de demande en mariage. Cela l’avait fait sourire et elle avait finit par répondre qu’elle dirait oui, le jour où il se déciderait. Ce n’était pas pour lui faire plaisir. Mais parce que là tout de suite, oui, elle avait envie de le dire ce oui. Elle rit joyeusement en constatant qu’elle l’avait déstabilisé. « -oui, j’ai envi de te dire oui Eddy… » confirma Angie en lui souriant amoureusement. « -je vais trouver. » elle se laissait encore quelques minutes pour y penser. Iris et Conrad n’étaient pas parfait. Jusqu’à présent s’était eux qui posaient les questions. Angie devait inverser la tendance. Edward était toujours en train de réaliser qu’elle lui avait dit oui, ayant du mal à assimiler cela, visiblement. « -pourquoi est-ce que je ne serais pas heureuse après ce que tu viens de me dire mon amour ? » demanda Angie en se demandant pourquoi il se faisait des nœuds au cerveau. « -parce que je t’aime… parce que tu es le premier homme avec qui je me sens véritable bien, à ma place, aimer à ma juste valeur. Mais aussi parce que tu as précisé que ce n’était pas pour là tout de suite ! » la fin de la phrase avait été dire en riant joyeusement. « -parce que je trouve ça beau qu’on puisse imaginé être encore amoureux l’un de l’autre dans dix ans, et vouloir se marier. Ça ne sera pas histoire de faire comme les autres ou parce que c’est la suite logique. Ça sera bien plus symbolique. Ça sera plus fort. » elle colla son front contre le sien avant de l’embrasser pour sceller ses mots.
Retour sur la terrasse, retour des sujets pourris. Décidément, ils avaient un don. C’était peut-être un test… Angie décida de rester fidèle à elle-même, que ça plaise ou non. Rencontrer les parents d’Edward… franchement, ce n’était pas une priorité. La jolie rousse sourit avec tendresse à sa moitié lorsqu’il précisa ce qu’elle pensait. Elle baissa les yeux, souriant encore et toujours, touchée parce qu’il avait ajouté. Il se fichait du point de vue des autres… Iris reprit la parole et Angie prit le temps de prendre une gorgée de son thé avant de répondre : « -il n’y a pas grand-chose à dire. J’adore ce qu’il écrit depuis longtemps. Edward nous a présenté et nous a soumis l’idée d’une collaboration. » un haussement d’épaule. « -c’est une belle rencontre, et le projet était vraiment sympa également. » que dire de plus ? Elle se pinça les lèvres et reprit en plantant son regard dans celui d’Iris : « -j’ai la désagréable sensation qu’à chaque fois que tu me poses une question, tu cherches à me piéger. J’aimerais vraiment qu’on arrive à s’entendre toutes les deux. Seulement je n’apprécie pas ce petit jeu. Je suis quelqu’un de sincère et entière. J’aime ton frère, tout ce que je veux c’est qu’il soit heureux. Alors si tu veux me faire passer un test fait le. Mais fait le sans détour. » ça risquait sans doute de mettre un froid dans la conversation. Mais Angie n’avait pas envie de jouer à cela.
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Ven 2 Aoû - 12:51
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis amoureux et en couple et je le vis, plus que bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Depuis leur arrivée au chalet, Iris n’avait de cesse que de le conforter dans ses inquiétudes. La moindre parole, le moindre geste, avait vocation a être interprétée défavorablement par cette dernière, à leur détriment. Un comportement qui commençait à irriter sensiblement Edward dont la mâchoire crispée trahissait toute la tension étreignait chacun de ses muscles. Ils étaient venus en ce lieu pour se ressourcer et se retrouver après des prémices compliqués, et non pour devenir la cible des attaques sournoises de sa jeune sœur qui continuait de condamner leur union. Angelica ne pourrait pas être constamment un garde-fou entre sa sœur et lui, et il n’exigerait jamais cela de cette dernière. Elle n’avait pas vocation à subir constamment les offensives de son entourage, tout en ne cessant jamais de le protéger lui… Angelica était à ses côtés pour être sa meilleure amie, son amante et l’amour de sa vie. Celle qu’il désirait voir un jour porter son nom pour sceller officiellement l’amour qu’ils se portaient l’un à l’autre. Toutefois, en émettant une telle demande à voix haute, Edward ne s’était pas attendu un instant à ce qu’elle le conforte dans son idée de mariage à venir. Elle était prête à lui dire « oui » le jour où il poserait un genou au sol afin de lui demander sa main. Une réponse aussi surprenante que réjouissante, qui lui en fit perdre aussitôt son vocabulaire, ce qui amusa semblablement sa moitié dont le joyeux rire résonner dans la cuisine, se répercutant sur chacun des murs. Le politicien ne pouvait que sourire à ces mots, à ce regard qu’elle posait amoureusement sur lui « Tu fais de moi le plus heureux des hommes la mia luce » souffla-t-il avec une douceur infinie dans la voix. « Le pire est à prévoir, n’est-ce pas ? » rétorqua-t-il par la suite en ce qui concernait sa sœur et son beau-frère dont ils étaient lassés des agressions constantes depuis leur arrivée en ce lieu. Toutefois, pour le moment, cela n’avait que peu d’importance dans l’esprit d’Edward qui restait encore chamboulé par la réponse de sa moitié. Elle n’avait pas peur de l’entendre évoquer le mariage si promptement dans leur relation. « Parce que nous n’avons eu tout au plus que deux ou trois jours de bonheur depuis ce baiser que tu m’as donné sur le canapé du salon… » et il était l’unique responsable de cet éloignement qui avait succédé. Plus Angelica se confiait à lui sur toutes les raisons qui faisaient qu’elle était aujourd’hui sereine à l’idée de l’épouser un jour, et plus le politicien sentait son amour pour elle croître un peu plus à chaque seconde.
Ses bras enserrant toujours sa taille pour la garder blottie tout contre son torse, il l’enveloppait amoureusement du regard, et ne réprima pas le petit rire qui s’échappa d’entre ses lèvres « Non, ce n’est pas pour tout de suite » la rassura-t-il. Le mariage n’était pas une priorité dans l’existence d’Edward « Je n’ai pas besoin d’un anneau à mon annulaire pour me souvenir que mon cœur t’appartiens, et que le tiens est dorénavant mien ». Il aimait tout autant l’idée de la demander en mariage dans plusieurs années, scellant des années de vie commune au cours de laquelle leur amour n’avait eu de cesse de croître l’un pour l’autre. Il imaginait sans mal la convier au rooftop de l’Elyisum un soir d’été, ses cheveux remuant au gré de la brise légère de ce début de saison, profitant de son verre de whiskey tout en contemplant la vue imprenable sur Manhattan. Il n’aurait alors qu’à poser un genou à terre et ouvrit l’écrin contenant le bijou qui les unirait pour la vie. « Je n’imagine pas ma vie autrement qu’éperdument amoureux de toi jusqu’à mon dernier souffle Angie » murmura-t-il, son front posé contre le sien. Il lui rendit son baiser, sans aucune envie que ce moment ne cesse. Elle suffisait à son bonheur. À contrecœur, Edward délaissa l’intimité de la cuisine pour rejoindre ses proches sur le porche du chalet. Sa main aussitôt posée sur la cuisse de sa moitié, il dissipa tous les aprioris de sa sœur selon lesquels, il était incapable de s’émanciper de l’opinion de son entourage. Il n’attendait de consécration de leur relation que de lui-même. Si sa famille n’était pas disposée à accepter Angelica en raison de sa profession, qu’il en soit ainsi, mais il ne la quitterait pas pour correspondre aux standards de la famille Wyler. Qu’ils en soient tous assurés. Elle était devenue sa priorité. Quand il porta ses prunelles azurées sur l’intéressée, il sourit avec douceur en la voyant soudainement silencieuse. Il resserra son emprise sur sa cuisse, et se saisit de sa tasse de café de l’autre main. Son sourire se dissipa aussitôt le prénom d’Adam mentionnait…
Soudainement bien silencieux, Edward décida de laisser la jeune femme répondre à la question qui lui était uniquement réservée. Sa collaboration avec Adam aurait pu se dérouler sans encombre si ce dernier n’avait pas nourrit des sentiments à l’égard de cette dernière, exacerbant la jalousie naturelle du politicien. Une dispute qui avait mis à mal leur relation, les contraignant à prendre de la distance chacun de leur côté. Une crise qui leur avait permis de comprendre à quel point ils tenaient l’un à l’autre. Sans mot dire, il continua de déguster le café n’était pas aussi qualitatif que celui dont il faisait régulièrement l’acquisition pour sa résidence principale. Il s’en accommoderait pour le week-end. Un sourire étira ses lèvres derrière sa tasse qu’il reposa lentement sur le rebord de la table quand Angelica affronta de front sa jeune sœur qui ne perdit pas contenance pour autant. Il avait même la sensation qu’elle jubilait face à la réaction de sa petite-amie, ce qui ne présageait rien de positif pour l’avenir « Ma question n’était pas orientée. J’ai seulement remarqué que vous collaboriez ensemble et que ça semblait se dérouler pour le mieux ». Elle interrompit son monologue pour avaler une demi-gorgée de café, prouvant qu’elle contrôlait la conversation « Je connais bien Adam. Nous avons eu une aventure avant que je ne rencontre Conrad ». Une information dont Edward ignorait tout. Ce dernier releva aussitôt un sombre regard sur sa sœur « Ne fait pas cette tête Eddy » « Edward » la reprit-il froidement « Il est charmant et charismatique. Il est également adorable et ce petit côté sensible nous a toute fait chavirer un jour ou l’autre. Et je ne te parle même pas niveau sexe » « Je vais voir les filles moi » déclara Conrad en prenant congé pour rejoindre ses enfants jouant à chat dans l’immense terrain « Il est incroyable » « La ferme Iris » clama le politicien avec froideur « Ne fait pas ton offusqué. Je ne suis pas la seule qui est passée dans son lit. Amy et Louisa ont couché avec lui. Ava y a songé un jour aussi » déclara-t-il comme si ce n’était qu’une initiation. « Je ne comprends pas comment tu en es venue à coucher avec Adam » « Oh s’il te plaît Edward ! Il est le gendre idéal que tous les parents veulent voir assis à leur table, sans parler qu’il sait aussi être moins idéal dans l’intimité ». Il sentit son regard vaciller de l’un à l’autre, et un rictus déformer sa bouche « C’était une simple question, mais je suppose que c’est plus complexe que cela au vu de votre réaction à tous les deux. Je me trompe ? » « Non. Je vais faire le repas» déclara-t-il en se levant, déposant un baiser sur la chevelure de feu d'Angie en passant devant-elle pour se rendre jusqu'à la cuisine.
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Ven 2 Aoû - 14:06
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Qu’est ce qu’elle aimait cette osmose entre eux. Elle adorait leurs étreintes charnelles aussi violentes que passionnées, tout comme ces moments de tendresse incroyable. Elle aimait lire dans les prunelles sombres d’Edward qu’il la désirait comme jamais, tout comme elle aimait y lire tout l’amour qu’il éprouvait pour elle, comme à cet instant. Alors il était hors de question de voir ce bonheur flétrir à cause de la présence de la petite sœur formatée façon Wyler. « -si c’est le cas, ça ne sera pas de ma faute. » précisa Angie. De base, elle avait prit cette visite avec le sourire et avec bonne humeur. « -ne dit pas de bêtises… le bonheur, ça se compose de petits détails. Le simple fait de te voir prendre ton café dans la cuisine le matin, me rends heureuse. » elle n’avait pas envie qu’ils reviennent sur le passé. « -et c’est du passé… » précisa alors Angie avec un sourire malicieux. « -et moi j’ai déjà un anneau, juste là entre mes seins… » souffla la jeune femme en parlant du médaillon qu’il lui avait offert la veille. Elle avait envie de rester lover dans ses bras encore des heures. « -ça tombe bien, parce que j’ai exactement le même plan de vie. » répondit Angie avec un immense sourire.
Malheureusement, ils avaient des invités pour la soirée, et ils se devaient de passer du temps en leur compagnie. Cela aurait pu être agréable, seulement Angie avait cette sensation qu’Iris ne cessait de la chercher ou de la tester. C’était très désagréable et la jolie rousse décida de jouer carte sur table. La réponse d’Iris ne se fit pas attendre. Non, Angie ne se laisserait pas piéger. Surtout qu’elle n’avait rien à se reprocher. Elle ne laisserait pas non plus Iris venir foutre le bordel, à nouveau, entre elle et Edward. Angie haussa les sourcils devant l’aveu. Elle écouta Iris qui semblait prendre plaisir à s’écouter elle-même. Angie aurait aimé qu’Edward soit capable de contrôler sa colère un peu mieux. Lorsqu’il quitta la terrasse, Angie posa avec lenteur sa tasse de thé bien décidé à faire fermer sa bouche à Iris. Elle demanda : « -pourquoi ? » elle était sérieuse « -pourquoi n’es-tu pas restée avec Adam si c’était un roi au lit ? » elle plissa les yeux : « -et si il est comment tu as dit ? Le gendre idéal ? C’est pas le cas de Conrad ? C’est pas ça niveau sexe ? » Iris avait voulu jouer, Angie était très douée pour faire parler les gens. « -c’était juste un soir ou vous avez eu une véritable aventure ? » Angie n’était pas certaine qu’Adam soit ravi qu’Edward soit maintenant au courant qu’il s’était faite sa sœur… Elle recula dans le canapé, glissant un pieds sous ses fesses, le coude sur le dossier, main dans les cheveux. Elle fixa Iris un moment avant de demander avec le plus grand des sérieux : « -pourquoi fais tu cela Iris ? »
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