Quand le destin décide de se foutre de toi (Arthécate)
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Mar 24 Oct - 7:36
Phillip Ford
J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.
Voilà le retour du “Ford” que je détestais tant. Putin… Oui bon je savais qu’elle avait raison mais il était d’une condescendance pas possible! Puis oui bon je ne le dirais pas à Taylor mais j’étais un peu jaloux qu’il tente ne serait-ce quoique se soit alors que moi j’y arrivais à pas de souris. Si tant est que je réussissais. Bon en même temps, vu le temps que ça m’a prit juste pour lui dire qu’elle me plaisait et qu’elle me l’avoue à son tour je doute très fort qu’elle succombe en un battement de cil. Mais quand elle me demanda de quoi parlait mon livre je lui fis un bref résumé, qui était les même pour tout ce genre de bouquins, et le rire qu’elle fit était le plus beau son du monde! Si je pouvais la faire rire ainsi plus souvent!
- Mon cerveau et mon intelligence te remercient.
Deux semaines s’étaient écoulées et j’avais réussi à négocier un retour au boulot même si c’était que de l’administratif. J’étais donc plus qu’heureux de regagner mon étage et en prime faire la surprise à Taylor. Je lui coupa l’herbe sous le pied immédiatement en lui disant que le docteur m’avait permis un retour au travail mais de la paperasse seulement. Mon sourire s’élargit à sa réponse grognée.
- Moi aussi je suis content de te voir.
Et je savais que la seconde où je serais seul avec elle, clairement elle allait me remonter les bretelles. De plus, je rageais de voir qu’il avait touché à mes affaires, qu’il avait même tout déplacé sur mon bureau. En plus il se permettait de prendre Taylor à partie. décidant de l’ignorer je dis à Taylor que j’allais voir le chef. Bien sûr il prit de mes nouvelles, comment j’allais, en plus de me parler des tâches que le doc donnait et autres trucs un peu barbant mais bon, c’était mon patron et il voulait s’assurer que j’étais en forme. Je revins donc en tirant une chaise vers eux en leur demandant ce qu’ils avaient. Bien sûr Williams ne tarda pas à se foutre de ma gueule, à mots couverts bien sûr. Je reportais mon attention sur Taylor et je hochai la tête lentement. J’allais répondre mais évidement Williams ajouta son grain de sel et je sentis une flambée d’irritation monter quand il avoua avoir invité Taylor une centaine de fois. Je savais! Mais la réponse de Taylor me fit tellement plaisir elle ne savait pas comment!
- Mais oui ça va t’inquiètes. Je peux même jeter un oeil sur vos autres affaires des fois que je trouverais pas quelque chose. dis-je avec un sourire. Merci Taylor!
Je m’installai donc à son bureau et sortit mes affaires dont le pot à crayon de ma nièce. Ce n’était pas dut grand art mais elle avait quand même prit le temps de peinturer chaque macaronis et de les coller un à un. Je fis donc mon code et je pus regarder les dossiers en cours.
- Elle est vraiment frigide cette fille.
- La belle excuse! Si elles ne répondent pas à ton charme, soit elles sont frigides soit elles sont lesbiennes. Belle mentalité de macho. C’est même dégueulasse pour un gars des mœurs… dis-je sans quitter l’écran du regard. Maintenant laisse-moi bosser au lieu de me faire chier.
J'ai parcouru les cas en plissant le regard légèrement cherchant une piste pour un vol de dépanneur, une agression dans une ruelle et un homme passé à tabac et qui était maintenant dans le coma. Ouais que des trucs joyeux finalement! Je pris un paquet de feuille et je notai quelques informations.
- Toi qui la connaît, dis-moi ce que je peux faire pour qu’elle accepte.
Je lâchai mes notes et relevai mon regard dans le sien. Il était incroyable! Il agissait en connard et ensuite il me demandait comment la foutre dans son lit? Quel con c’est pas possible! Je croisai les bras sur le bureau et plantai mon regard dans le sien.
- Lâche-la. Elle n’a pas voulu cent fois elle ne voudra pas plus après deux cent fois. C’est quand même ironique que tu bosses aux mœurs et que tu fais du harcèlement sur une collègue de travail. Je serais curieux de savoir à combien d’autres tu l’as fait. Bosse au lieu de me faire perdre mon temps. Quoique… ça non plus tu ne dois pas être habitué vu tout ce qu’on vous as choppé dans notre enquête.
Je ne dis rien en pinçant les lèvres et en le dévisageant durement.
- Fous-lui la paix avant qu’elle te colle une plainte d’harcèlement. dis-je en retournant mon regard vers mon écran continuant de noter quelques informations.
- Toi tu vas me faire croire que tu n’as jamais rien tenté.
- Ouais et je me suis fait rembarré comme toi. Sauf que comme je suis plus intelligent que toi, j’ai arrêté au premier non.
* Mais qu’est-ce que je suis un putin de menteur!!*
Je décidais de ne plus m’occuper de lui le temps que je fasse le tour des cas et que je note quelques informations. Trouvant même curieux que certaines pistes n’aient pas été explorées et je savais pertinemment que ça ne venait pas de Taylor. Putin… en plus de se coltiner un connard et se taper tout le boulot, il ne faisait pas la moitié des recherches. Je poussai un soupir alors que le gros débile devant moi faisait… en fait je ne sais pas ce qu’il faisait et pour vrai je m’en foutais. J’allais chercher un surligneur dans le pot à crayon quand j’entendis un petit rire qui me fit lever le regard.
- C’est quoi cette horreur?
- Un cadeau de ma nièce alors fait attention à ce que tu dis.
Puis merde! Qu’il reste tout seul! J’eus même droit à un “Hé! Mais reste on commence à s’amuser!”. Je pris mes notes et mes crayons et allait rejoindre Taylor. Au moins elle, elle faisait moins chier. Je la trouvais dans un local et m’assied de l’autre côté de la table.
- Je suis désolé que tu aies à te le coltiner. D’ailleurs j’ai fait le tour des cas et… il y a des choses qui n’ont pas été vérifié. Je sais que ça ne vient pas de toi. Regarde ici, je ne vois pas que la bande vidéo a été demandée. Faut juste espérer qu’il ne soit pas trop tard. Pour l’agression dans la ruelle, la victime n’a pas fait de portrait-robot? L’homme passé à tabac. Je vois qu’on a parlé à ses potes,le barman et les serveuse du bar mais… aucun autre de la clientèle.
Je posai mon stylo et relevai le regard vers elle et fouillai son regard et lui fit un sourire compatissant.
- Je sais que ce n’est pas toi, depuis le temps je sais que tu relèverais même le tapis si tu avais un doute. Écoute, si tu veux ce soir je reste plus tard et on regarde ça ensemble devant… je sais pas du KFC ou même un bon burger graisseux. tu en dis quoi?
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Mar 24 Oct - 12:54
Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien! Informations supplémentaires ici.
J'avais choisi de m'isoler. J'étais franchement fatiguée et je ne me sentais pas vraiment d'humeur à supporter la vision d'un concours typiquement masculin. Mon café, mes dossiers, du calme… Rien de mieux pour espérer travailler dans de bonnes conditions… Enfin, jusqu'à ce que Ford ne me rejoigne avec des nouvelles bien peu réjouissantes.
– Attends, qu'est-ce que tu racontes ? lui demandais-je, surprise et agacée à la fois. La bande vidéo, le portrait robot, j'ai demandé tout ça, c'est dans mon rapport…
Je ne pus retenir un soupir de profonde lassitude. La seule chose que je n'avais pas vérifié c'est l'aboutissement de mes diverses demandes… Je me revoyais très bien donner ces foutus formulaires remplis à Williams… Qu'en avait-il fait ensuite ? Rien, sans doute…
– J'en ai marre… soufflais-je en me laissant glisser sur la table qui me servait de bureau improvisé. Faudrait lui expliquer que nous faisons un boulot sérieux et que si nous formons des binômes ce n'est certainement pas pour rien.
Je voulais rentrer chez moi et dormir… Dormir pendant des jours entiers… Ouais, ça c'était une idée qui me plaisait bien.
–Je sais que ce n’est pas toi, depuis le temps je sais que tu relèverais même le tapis si tu avais un doute. Écoute, si tu veux ce soir je reste plus tard et on regarde ça ensemble devant… je sais pas du KFC ou même un bon burger graisseux. tu en dis quoi?
Je ne pus m'empêcher de sourire.
– C'est ça ton idée du rancard ? Peut mieux faire, raillais-je en me redressant pour mériter. C'est très tentant, mais non, pas d'heures sup' pour toi. T'es déjà pas censé être là… Ne proteste pas, je le sais pertinemment que si tu as repris aussi rapidement c'est parce que tu as dû casser les pieds de ton médecin. Je vais m'occuper de tout ça toute seule… Je commence à en avoir l'habitude.
Puis j'étais quand même fautive, puisque je n'avais pas vérifié derrière lui. Ça m'apprendra à faire confiance à un guignol simplement parce qu'il porte le même badge que moi. Je pris un papier et un crayon pour lister toutes les enquêtes sur lesquelles nous avions travaillé ensemble… Ensuite, je me relevais pour aller pousser la plus grande gueulante de ma vie sur foutu crétin.
Tout le service m'entendis hurler et je ne pesais pas mes mots. Lorsque le chef intervint, je me fis un plaisir de raconter les découvertes de Ford, pointant ainsi l'incompétence de Williams.
– Ça va… Y'a pas mort d'homme. Ça peut se rattraper, se défendit-il. – Non mais… Tu rigoles ? Tu es à la criminelle ici. Il y a "mort d'homme" dans chacune de nos enquêtes, espèce d'abruti ! Tu penses peut-être que le boulot des mœurs est plus important ? – Bien sur… Et il me semble que tu es plutôt bien placée pour le savoir… Victime numéro sept, déclara-t-il en souriant à pleine dents.
Je n'avais plus de mots… Non, j'étais vraiment choquée, profondément. Cet idiot, ce sale vaux rien avait enquêté sur moi… Et il osait, en plus, me sortir pareille horreur devant l'ensemble de mes collègues… Le coup parti sans que je ne m'en rende compte. Je voulais le tuer… Vraiment. Je pouvais donc comprendre comment des gens pouvaient arriver à pareille extrémités… Et, si je n'avais pas été tirée en arrière, je suis certaine que je lui aurais fait bouffer le crayon bien taillé que je tenais encore en main.
– Vous embauchez vraiment n'importe qui dans ce service, dit-il en essuyant le sang qui s'écoulait de sa lèvre fendue.
– Martinez, dans mon bureau, tout de suite ! Gronda le chef avant d'ordonner à Williams d'attendre dans l'open space.
J'écopais de huit jours de mise à pied. Moi qui voulait me reposer, me voilà servie. Il demanda à Ford de nous rejoindre afin de savoir si ce dernier était au courant de toute cette histoire… Quelle hypocrisie, je n'avais rien caché à nos supérieurs. Ils en savaient même plus que moi vue qu'ils avaient accès à l'ensemble du dossier. Lorsque le capitaine m'autorisa à partir pour faire entrer l'autre abruti, je me précipitais sur mes affaires pour le barrer aussi loin que possible. Je devais me calmer… Me calmer seule.
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Mar 24 Oct - 21:09
Phillip Ford
J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.
Je ne voulais pas lui apporter de mauvaises nouvelles, mais je me devais de lui dire le pourquoi des enquêtes encore ouvertes. Les plus grosses vérifications à faire n'avaient même pas été faites. Je lui fis un sourire désolé en l’entendant soupirer de lassitude. La pauvre… elle avait un gros bébé à gérer et en prime elle devait ne pas avoir dormi beaucoup. Elle se laissa glisser sur la table et pour une rare fois j’avais envie de la serrer contre moi et juste ne rien dire le temps qu’elle aille mieux. Mais comme je ne pouvais même pas m’accroupir je restai assis devant elle comme un con. Donc je lui proposai de rester plus tard en lui disant qu’on pourrait même manger du KFC ou un burger graisseux. Je haussai une épaule à sa remarque et bien sûr elle refusa en me faisant rouler des yeux.
- De un: Comme je ne peux pas trop me déplacer je me disais qu’un rencard au poste ne pouvait être plus sécuritaire. De deux: Ça fait deux semaine que je fous rien alors ça ne me dérange pas. Je posai une main sur son bras et plantai mon regard dans le sien, Tu n’es pas toute seule maintenant, je suis là. Puis tu as l’air épuisée…
Mais bon, c’était sans compter qu’elle avait décidée de remettre les pendules à l’heure et même si je disais des “Taylor… Taylor…” pour qu’elle se contrôle vu sa vitesse versus la mienne, elle était déjà rendu hurlant sur Williams.
- Hé merde… murmurais-je
Bien sûr le chef vint demander se qui se passait et je ne dis rien, les bras croisés. Je tournai lentement le regard vers cet abruti quand il affirma qu’il n’y avait pas mort d’homme. Quel con! Comment il faisait pour bosser aux moeurs lui? C’est pas qu’il n’y avait pas de choses à vérifier quand même! Bon je n’avais pas grand chose à ajouter comme Taylor s’occupait de son cas. Cependant la phrase, CETTE phrase qu’il sortit jeta un froid et un silence au point ou mon regard passa de Jake à Taylor. Il n’avait pas osé! Il avait osé dire ça haut et fort! Même moi quand elle m’énervait au possible je n’avais sorti pareille insulte! En une fraction de seconde, elle lui mit son poing sur la gueule et mouvé par l’adrénaline je me précipitais sur elle en la tirant violemment vers l’arrière. Taylor alla dans le bureau du chef alors que je grimaçai de douleur mettant ma main sur la plaie. Heureusement, ça ne saignait pas mais… je ne pense pas faire d’heures supplémentaires finalement.
- Putin mais elle est folle!
- Compte toi chanceux que se soit elle. Parce que si ça avait été moi, tu saignerais plus que ça.
Le chef cria mon nom et je m’y rendis en tentant d’avoir l’air le plus normal possible. Quand il me demanda si j’étais au courant de l’histoire, je tournai un regard vers la brunette et le plantai dans celui de mon patron.
- Ce qui se dit entre partenaires ne regardent personne chef…
- Quand ça fous le bordel dans mon service oui!
On se toisa du regard un moment mais je refusais de répondre. C’est une confidence que Taylor m’a fait et personne ne me ferait briser ma promesse de ne rien dire. Je lui avais dit que même sous la torture je ne dirais rien.
- Ford ne joue pas avec moi.
- Je ne joue pas. J’ai le droit de ne rien révéler. Moi je m’interrogerais bien plus sur comment à fait Williams pour avoir les informations. C’est ça le noeud du problème.
Jamais je ne trahirais Taylor, surtout sur ce qu’elle avait vécu. Surtout comment son frère avait péter les plombs et se retrouvait maintenant en soin psy. Jamais. Il laissa sortir Taylor et je restai seul avec lui quelques minutes
- Bien. Agent Ford, votre partenaire sera suspendu pendant 8 jours. Vous devrez travailler avec Agent Williams.
- Pardon? Vous êtes au courant que je ne peux pas aller sur le terrain? Vous avez vu la liste des vérifications non faites? Et vous voulez me coller à ce gros con et je ne pourrais rien faire? Sérieusement…
- Je vais lui parler.
Je sortis du bureau en soupirant et secouant la tête. Jake disparu de ma vue et comme Taylor était suspendue, ce fut moi qui alla demander les autorisations. Sale con de merde! Je revis tout les dossier n’accordant aucun regard à Jake du reste de la journée. Il me parlait je l’ignorais joyeusement. À la fin de la journée je me levai et pris mes choses sans un mot.
- Ford, tu vas me faire la gueule longtemps?
- Aussi longtemps que tu seras là Willy le zizi.
Dis-je en le fusillant du regard et tournant les talons pour regagner ma voiture. Je pris des anti-douleurs et m’appuyai sur le dossier de ma voiture en soupirant longuement. Je mis le contact et allai vers le dépanneur pour leur demander la bande vidéo en espérant qu’elle ne soit pas effacée. Heureusement, il avait une mémoire de 30 jours et je pu récupérer l’enregistrement que je mis dans le coffre à gant de ma voiture. J’arrêtai acheter le premier repas que nous avions partagé Taylor et moi et me dirigeai vers son appart. Je voulais m’assurer qu’elle allait bien malgré tout. En bas des escaliers, j’avalai difficilement. Des souvenirs, des sons me revenant en mémoire. Mon coeur s'affola légèrement et l'envie de tourner les talons me prit. Ça va, elle va quand même bien. Je montai lentement les escaliers et toquai à sa porte.
- Avant que tu me pousse en bas des escaliers… je levai deux petites boîtes odorantes, Je viens en paix madame et j’ai même acheté de la nourriture parce que tu n’as pas dû avaler grand chose. En prime si tu ne me laisse pas entrer, tu n’auras pas la surprise ET la bonne nouvelle. ajoutais-je avec un sourire.
Quand elle me laissa entrer je regardai rapidement son appart, comme si je voulais m'assurer que tout allait bien. Je portais mon regard sur elle.
- Montre-moi ta main. dis-je doucement. Allez, je veux voir si tu ne t'ai pas péter les doigts.
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Mer 25 Oct - 4:15
Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien! Informations supplémentaires ici.
Les nerfs à vif, je devais lutter contre l'envie de hurler et de pleurer… Je détestais me retrouver dans un tel état… Il n'y avait rien de bien constructif là-dedans. J'avais beau essayer de respirer calmement, de me détendre avec un peu de musique, rien à faire, mon sang semblait se changer en acide. En passant devant la salle de sport, je décidais de m'y arrêter. Évidemment, l'on commença par le réprimander pour mes vêtements, pantalon de tailleur, chemise et surtout talons hauts ne constituent en rien une tenue appropriée… Mais lorsque le propriétaire vit mes yeux, il me laissa me diriger vers le sac de frappe sur lequel je pu enfin me défouler… La seule condition fut de retirer mes chaussures.
Je connais, encore et encore, allant même jusqu'à oublier de mettre mes gants… Mais quelque part, je m'en fichais. La brûlure qu'engendrait les frottements sur la peau de mes mains représentait une douleur réelle, palpable et visible… Cela me soulageait un peu. Quand on réalise ceci, on comprend mieux pourquoi certains n'hésitent pas à se sacrifier la peau… Ils donnent ainsi un visage à leur douleur, ils la représentent. Jamais je ne pourrais en venir à de telles extrémités… Même si, pour l'heure, je trouvais l'état de mes mains particulièrement satisfaisant.
Deux heures plus tard, je quittais la salle pour prendre la direction du Warehouse Liquors. Je ne buvais jamais, mais cette fois, je voulais clairement me mettre minable. Je laissais Chuck, le gentil vendeur, me sélectionner quelques bouteilles de vins français. Je me ruinais… Mais pour l'heure, je n'en avais strictement rien à faire. Après ça, je fis les boutiques. Ça non plus, ça ne faisait pas partie de mes habitudes… Cependant, j'avais entendu dire que certaines femmes aimaient ça, que ça les aidait à se détendre… Je dépensais près de cinq-cent dollars en vêtements… Malheureusement, je me sentais guère mieux. Je me promenais encore un peu, mangeant glaces, bretzel, hot-dog et donuts jusqu'à ce que l'envie de vomir ne m'arrête… Je finis par rentrer chez moi pour retrouver mon appartement vide…
Je commençais à bouger mes meubles afin de les changer de place. Mes voisins n'étaient pas encore rentrés alors, j'en profitais. Une fois plus ou moins satisfaite, je pris une douche et soignais les plaies sur les mains. J'ouvris une bouteille de vin et bu directement au goulot. J'allumais la musique et commençais à danser toute seule… Il fallait que je bouge, que je m'occupe pour chasser mes idées noires… Et en voyant mes sacs de fringues posés dans l'entrée, me vint une idée… Jouer à faire des essayages… Ouais, c'est une idée comme une autre, surtout lorsque l'on est rendu à la moitié d'une bouteille et qu'on ne boit jamais d'alcool.
Lorsque j'entends frapper, je ne portais rien hormis un débardeur et un boxer… Je m'apprêtais à essayer un pantalon… Mais je ne voyais pas où était le problème… Après tout, je n'étais pas nue… J'ouvris la porte et fus surprise de trouver Philou… Je crevais d'envie de rire, mais je pris sur moi pour rester aussi stoïque que possible.
– Rentre … Mais ne fais pas attention au bordel surtout.
Il voulait voir ma main… Oups… Je lui montrais les bandages qui recouvraient mes brûlures avant de récupérer ma bouteille.
– Sinon, si… T'en fais pas hein. J'ai de quoi remplir mon estomac. C'est du jus de raisin, des fruits… C'est bon pour la santé.
Je savais dans quel état je me retrouverais le lendemain… Mais je m'en fichais puisque je ne travaillais pas. J'avais largement le temps de me remettre de cette future cuite. Pour l'heure, je n'étais pas encore ivre… Seulement légèrement éméchée… Prise dans cette phase étrange où tout est extrêmement amusant.
– Tu veux danser ? Ou essayer une robe peut-être ?
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Mer 25 Oct - 5:12
Phillip Ford
J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.
Ça me gonflait qu’elle ai eue des jours de suspension surtout que c’est lui qui faisait le connard depuis son arrivée ici. Bon le coup sur la gueule disons que ça aidait pas mais il avait été chanceux de n’avoir eu que ça. Toujours est-il qu’une fois ma journée terminée j’avais été chercher la bande vidéo et même aller chercher des burgers parce qu’en pétard comme elle était, c’est clair qu’elle n’avait pas mangé. Enfin c’est ce que je croyais jusqu’à ce qu’elle ouvre la porte en débardeur et boxer. En temps normal j’aurais fait une blague ou je ne sais quoi d’autre mais présentement… Elle avait abusée de la bouteille. Je lui fis un sourire et entrai lentement et même si elle m’avait dit de ne pas faire attention au bordel, il me sautait au visage. Des sacs de vêtements à moitié vidé et des vêtements sur le canapé. C’est con mais je ne pensais pas qu’elle était le genre à dépenser autant en fringues. Je posai les boîtes de repas sur la table et lui demandais à voir sa main mais elle me montra les deux mains couvertes de bandages. Je relevai un regard vers elle et la scrutant du regard. Je savais que j’aurais dû partir en même temps qu’elle!
- Tu devrais arrêter de boire Taylor…
Dis-je doucement alors qu’elle semblait disons bien imbibé mais pas assez pour ne plus tenir debout. Putin mais elle avait fait quoi? Je poussai un soupir mais fronçai les sourcil quand elle m’invita à danser ou essayer une robe.
- Je ne peux pas danser. Je suis blessé tu te rappelle? puis essayer une robe… j’essaie d’arrêter. Allez assied toi que je regarde ça. Et pas de discussion!
Ouais moi aussi je pouvais être un casse-couille quand je voulais. J’allais la salle de bain chercher du désinfectant et refaire ses bandages qui avaient bougé par… par les essayages sans doute. Je revins et soupirai de la voir debout, je la prit doucement par le bras et la fis asseoir sur une chaise alors que je défis un bandage.
- Ça va piquer… dis-je en imbibant un tampon, tu as fait quoi pour avoir les mains comme ça?
Je désinfectais une main et refis un bandage, un peu mieux que ceux qu’elle avait. Je pris la bouteille qu’elle avait entre les mains et lui enlevai en posant un regard lourd dans le sien. Non mais ça va là!
- Ça suffit là. Allez l’autre…
Et je refis la même chose avec la deuxième main. Désinfecter, refaire le bandage et refermer le tout. Avant de me tourner vers elle et chasser les mèches de son visage.
- Alors? Tu t’es fait ça comment Taylor?
Elle toujours en contrôle, qui me prenait la tête pour tout et rien, qui me cassait les couilles pour une connerie… elle était entrain de se noyer dans le vin et pas piqué des vers si je lisais l’étiquette. Pour la première fois, depuis que je la connaissais, j’étais inquiet pour elle
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Mer 25 Oct - 5:31
Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien! Informations supplémentaires ici.
Je fus plutôt surprise de le voir aussi rabat-joie. D'habitude, celle qui tenait ce rôle n'était nulle autre que moi. Cela me déstabilisa un peu… Assez pour afficher une moue boudeuse jusqu'à ce qu'il me rappelle sa blessure.
– T'aurais dû rentrer chez toi pour te reposer… Je vais biiiien.
Ou en tout cas, j'avais la sensation d'aller bien… Pour l'instant. Je le laissais fouiller dans ma salle de bain, me contentant de crier un "fais comme chez toi" tandis que je restais debout. Oui, je suis dotée d'un fort esprit de contradiction qui me pousse à faire l'inverse de ce que l'on me demande… Sauf que là, il n'avait clairement pas envie de rigoler. Je pouffais en songeant qu'il était mignon quand il restait sérieux… Évidemment, je gardais cela pour moi… A la place, je finis par m'asseoir, en même temps, il ne me laissait pas vraiment le choix non plus. Je lui tendis ma destre, puisqu'il insistait sans vraiment prêter attention à ces fameux picotements que je trouvais plutôt agréables en fait. J'en profitais pour boire une nouvelle gorgée de vin… Avant qu'il ne me retire la bouteille.
– C'est pas évident d'être amie avec toi, Philou… Rends-moi ma bouteille…
Il récupéra ma main gauche pour répéter le même procédé… Je commençais à m'ennuyer ferme.
– Alors? Tu t’es fait ça comment Taylor? – J'ai cogné sur un sac de frappe sans porter de gants. Ça va, c'est rien. J'ai connu pire… pouffais-je. C'est bon, t'as fini ? Tu peux me rendre ma bouteille ?
Je me doutais bien qu'il refuserait. À croire qu'il fallait toujours un pince-sans-rire dans notre duo. Je me relevais pour me diriger dans ma cuisine afin d'en ouvrir une autre. Qu'il la garde celle-ci.
– C'est bon, tu as fait ta BA pour la journée. Tu peux rentrer chez toi. Je vais bien. J'ai juste envie de me changer les idées, tu vois. Je ne serais certainement pas la première à me mettre minable parce que j'ai un pet de travers et je ne serai pas non plus la dernière. T'inquiète, j'ai pas l'intention d'aller jusqu'au coma éthylique… Je veux juste noyer mon gentil cerveau et mes nerfs… Ouais, surtout mes nerfs.
Je bu quelques gorgées de cette nouvelle bouteille avant de la cacher dans mon dos. Hors de question qu'il me l'arrache celle-ci.
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Mer 25 Oct - 6:20
Phillip Ford
J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.
Bon entre la Taylor casse-pied et celle que j’avais devant moi, j’aimais mieux la première. Donc quand je lui rappelais ma blessure, elle me dit que j’aurais dû aller me reposer et qu’elle allait bien. Je roulais des yeux parce que je n’ai fait que ça pendant deux semaines me reposer. Puis elle allait bien… Ouais c’est ça… Et moi je suis le Père Noël tiens! J’allais chercher ce que j’avais besoin en lui disant de s’asseoir mais évidement elle ne le fit pas. Bordel! C’est moi qui gérait une gamine? La faisant asseoir, je refis son bardage d’une main avant de lui enlever la bouteille en lui disant que c’était assez. Je relevai mon regard vers elle. Tiens donc maintenant on était amis? Il fallait qu,elle soit imbibée pour qu’elle me dise ça et… Philou?
- Non pas de bouteille et pas de Philou non plus…
C’est pas vrai… elle n’allait pas m’appeler comme ça elle aussi? Pas que ça me dérange mais… Ok en fait c’était mignon comment elle le disait alors de sa part je pourrais l’accepter mais à jeun. Une fois sa deuxième main bandée, je lui demandais comment elle c’était fait ça. Je roulai des yeux en soupirant lentement.
- Tu sais que tu aurais pu te casser les doigts? Et j’ai dis non pas de bouteille,tu as assez bu Taylor!
Bien sûr elle se leva me faisant regarder le plafond mais en posant mon regard sur elle… Génial! Elle en avait une autre! Je me levai et plantai mon regard dans le sien.
- Tu penses que je vais partir et te laisser dans un état pareil? tu vas te rendre malade si tu continue. Allez donne-moi ça…
Dis-je en tendant la main et bien sûr pour me faire chier, elle ne le fit pas. Parfait! J’irais la chercher moi-même alors. Je tentais de la prendre mais même là elle était cite comme un chat se faufilant en gardant bien la bouteille dans son dos. Mais MERDE! Elle attendait vraiment que je sorte de mes gonds là? Je ne sais trop comment mais elle se retrouva coincée sur un coin de comptoir et moi devant. J’étais prêt d’elle mon regard dans le sien cherchant une interstice pour prendre cette fichue bouteille mais elle la protégeait comme un trésor.
- Donne-moi ça. Tu vas te rendre malade. On va parler si tu veux mais donne-moi ça.
Elle m’énervait là! Vraiment elle m’énervait comme jamais elle ne l’avait fait.
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Arthécate
Mer 25 Oct - 6:33
Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien! Informations supplémentaires ici.
– Et alors, où est le problème si je suis malade ? J'ai une belle semaine pour m'en remettre… soufflais-je en gardant précieusement ma bouteille dans mon dos. Je n'ai pas envie de parler, d'accord…
Je ne mentais pas, j'allais bien. En tout cas dans le sens où ma tête pensait encore normalement… L'alcool ne m'avait finalement apportée que ce petit brin de folie et de malice, qui, pour l'heure me plaisait assez bien… Un peu comme son regard à ce moment-là… Mince, je crevais d'envie de l'embêter encore un peu.
– Qu'est-ce qui t'embête au juste ? lui demandais-je à voix basse. Je n'ai pas l'intention de bouger d'ici, je ne me mettrais pas en danger… Tout va bien, Philou.
Je lui offris un sourire en coin avant de me mordre les lèvres. J'avançais d'un petit pas pour me coller à lui… À dire vrai, j'avais totalement oublié ma tenue… Si on peut appeler ça une tenue. Je voulais le provoquer, le taquiner… Voir jusqu'où il pouvait aller. J'aimais le voir laisser son masque de gamin de côté. Voir son regard mécontent et sa moue renfrognée. Je repoussais un peu plus mes bras vers l'arrière afin de garder la bouteille éloignée de ses mains… Puis vins poser mes lèvres sur les siennes, les pressant suffisamment pour qu'il comprenne mes intentions.
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Disney lover
Mer 25 Oct - 8:13
Phillip Ford
J'ai 37 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis Enquêteur et je m'en sors bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis plutôt moyen. Phillip est le bébé de famille et a toujours eu un sens aigu de la justice donc quand il a dit aux gens qu'il voulait rejoindre la police, ça n'a surpris personne. Phillip a tout miser sur ses études de police et il s'est donné à fond pour aboutir à ses fins. Il sort de l'école de police diplôme en main et il postule à la Chicago police. Il a tout fait. Du radar, de la patrouille, la circulation. Il a vu le beau mais aussi le très mauvais de Chicago. Il a vu une porte pour être enquêteur et il a appliqué pour obtenir les examens requis et ainsi quitter la patrouille. Depuis maintenant 11 ans il est enquêteur et il s'en sort vraiment bien. Dans sa vie personnelle, il a déjà été en couple pendant près de 5 ans et un jour, du jour au lendemain, il est revenu dans un appartement vide avec la simple note "Je te quitte" sans plus d'explication. Depuis il est célibataire, oui il lui arrive de ne pas avoir de nuits seul. Mais il est devenu un peu maladroit pour la drague.
Il était où le problème si elle était malade… Je n’avais pas envie d’avoir du vomi partout sur moi tiens! Ou même ramasser son vomi! Bien sûr elle ne voulait pas parler. Bien voyons! Que c’est surprenant tiens! Elle ne voulait JAMAIS parler c’était ça le problème. Mais boire jusqu’à plus soif ce n’était pas la solution non plus, elle le savait ça non? Ok elle était vachement mignonne dans cette tenue mais je n'étais pas assez bête pour en profiter quand même! Je n’étais pas ce genre de mec non plus! Et elle cherchait quoi au juste? Me faire sortir de mes gonds? Si c’était ça, elle était bien partie! Quand elle me demandait ce qui m'embêtait en soufflant à voix basse, je relevais un sourcil. ÇA! C’est ça qui m'embêtait! Ce n’était pas elle! Ce n’était pas la fille que je connaissais depuis des mois!
- Ce n’est pas toi ça Taylor… c’est à qui m’embête. Et arrête de m’appeler Philou…
* Non en fait arrête pas c’est vachement mignon comme tu le dis. Ne m’écoute pas je dis n’importe quoi!*
Je tentais de lui prendre la bouteille mais elle se défilait comme un chat et elle se retrouva coincée entre moi et le coin de comptoir. J’avais beau lui demander de me donner cette fichue bouteille et me montrer ferme elle ne bougeait pas. Mais putin à la fin! Non… ne mords pas tes lèvres comme ça je t’en prie! Elle s’avança d’un pas et elle se trouva collé à moi c’était peut-être ma chance! J'étirais le bras et… bah non, elle recula les siens. Bordel… pourquoi ça m’arrivait à moi? Ce que je fis briller dans son regard me fis avaler difficilement.
- Taylor…
Et c’était mon tour de me retrouvais coincé entre elle et le frigo. Si le baiser d’abord me surprit, bien j’y répondis moi aussi avec la même passion qu’elle en prenant son visage. mon coeur me tambourinait dans la poitrine et j’avais le souffle court. Pendant un moment je dévorais ses lèvres avec envie, une main descendit à son cou délicat et glissai à sa nuque, mes doigts jouant dans ses cheveux. Mais un éclair de lucidité me frappa et lentement je rompis le baiser à bout de souffle. J’ouvris les yeux lentement pour le plonger dans celui de Taylor.
- Non… Taylor… pas ça. Tu… tu n’es pas en état et demain tu le regretteras… dis-je alors que je caressais encore sa joue ronde, rouge et chaude. Tu es à tomber et magnifique et j'aimerais vraiment… enfin te faire l’amour mais penses-y. Demain tu vas probablement le regretter.
Mais je disais quoi à la fin! Elle est renversante de beauté! Mais quelque part je voulais éviter un putin de malaise le lendemain. C’était ironique à la fin! C’est moi qui lui dis qu’elle me plaît et me voilà que je la repousse gentiment. C’était le monde à l’envers! Je détestais me sentir comme ça. Entre l’envie de la prendre là tout de suite et jouer le gentil garçon. Ah puis merde! Je pris ses lèvres passionnément et réussi à lui enlever la bouteille des mains et la balancer dans le lavabo. Je dévorais ses lèvres, les mordillais avec envie. Je dévorais son cou mes mains glissant sur ses hanches. Je rompis le baiser à bout de souffle.
- Si tu ne veux pas, tu m’arrêtes… quand tu veux.
Je sentais la chaleur de son corps contre moi,la douceur de sa peau sous mes doigts.
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Arthécate
Mer 25 Oct - 9:07
Taylor Martinez
J'ai 34 ans et je vis à Chicago, USA. Dans la vie, je suis enquêtrice et je m'en sors plutôt bien. Je suis célibataire et je le vis plutôt très bien! Informations supplémentaires ici.
– Ce n’est pas toi ça Taylor… c’est à qui m’embête. Et arrête de m’appeler Philou…
Je ne pus m'empêcher de sourire. Je me demandais vraiment ce qu'il appréciait tant chez moi d'ordinaire… Ce côté froid et revêche qui me valait ma réputation d'horrible garce sans cœur ? Cette habitude étrange de paniquer dès qu'il faisait mine de vouloir se rapprocher ? Allez savoir…
– Bien-sûr que c'est moi… C'est juste que tu ne connaissais pas encore cette partie de moi justement…Philou, le taquinais-je.
Je voulais le provoquer, certes… Mais pas seulement. Jamais je ne l'avais trouvé aussi attirant qu'à ce moment-là… Et plus je m'amusais à le défier et plus je le trouvais beau… Ses yeux brillaient si vivement que je fus bien incapable de détourner mon regard… J'étais comme captivée. Je ne résistais pas à l'envie de l'embrasser. Ses lèvres répondaient à l'appel des miennes, son corps répondait à l'appel du mien… Je me laissais emporter sans retenue, parce que j'en avais envie, parce que je le voulais et que la petite voix dans ma tête avait enfin décidé de me foutre la paix. Mon cœur tambourinait si fort que je pouvais clairement entendre ses battement résonner…
Et puis, il stoppa tout… Bafouillant quelques paroles franchement stupides. Il ne voulait et moi aussi… Seuls ses états d'âmes nous retenaient.
– Tais-toi un peu… ordonnais-je en pouffant avant que ses lèvres ne reprennent les miennes.
Je me fichais bien de l'avenir de la bouteille. Je le laissais me la prendre et l'envoyer dans l'évier dans lequel elle se brisa. J'avais les deux mains libres et je savais parfaitement comment les employer. Je le serrais contre moi, veillant tout de même à ne pas tirer sur sa cicatrice… Preuve, s'il en fallait, que mon esprit n'était pas si embrouillé que ça.
– Si tu ne veux pas, tu m’arrêtes… quand tu veux. – Je crois qu'il est déjà trop tard pour ça… chuchotais-je à son oreille tandis que je déboutonnais sa chemise avec application tout en lui dévorant le cou.Tu disais vouloir me faire l'amour, non ?
Je pris sa main et sans cesser de l'embrasser, je le guidais jusqu'à ma chambre. Je le laissais me découvrir et j'en fis de même. Il y avait quelque chose d'envoûtant dans cette découverte… La texture de sa peau, son parfum… Trouver ce qu'il aimait, ce qui lui faisait perdre la tête, ce qui le faisait frissonner. Et je m'appliquais dans cette enquête tout en laissant ma propre passion s'affirmer et s'exprimer… Le tout en continuant de faire attention à sa blessure. Le moment se devait d'être agréable après tout. L'échange s'acheva par une explosion de sensations que je ne pris aucunement la peine de contenir. Tant pis si je devais le regretter le lendemain… Pour l'heure, je ne m'en souciais absolument pas.
Après cela, je m'allongeais près de lui, le souffle court et le cœur battant à tout rompre. La fatigue que j'avais laissé de côté jusque-là, ne tarda pas à me rappeler à l'ordre, même si je continuais de lutter encore un peu.
– Tu regrettes ? lui demandais-je finalement, curieuse de savoir ce qui se tramait dans sa tête.
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