J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors mieux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et papa et je le vis plutôt très bien. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents. Depuis il est en couple avec son ancienne flamme de l’école Jane. Il l’adore plus que tout et pour elle, il donnerait sa vie. Ils viennent d’emménager dans une petite maison confortable.
Max, mon fils, mon microbe
J’en fasais trop? Et comment j’en faisais trop? J’étais bien habillé, bien coiffé et le repas était au four je ne voyais pas où j’en faisais des caisses. Je lui demandais de me dire que tout se passerait bien j’étais prêt à entendre un mensonge si c’était pour me calmer un tantinet. Je l’écoutais alors qu’elle desserrais ma cravate sentant ma nervosité monter d’une petite échelle.
- Je n’ai pas envie que ça se passe mal Jane…
Malgré cela, elle restait calme, maîtresse d’elle-même alors que j’en avais marre de mille scénarios catastrophes. Elle récupéra ma cravate la roulant et la mettant dans sa poche me faisant paniquer. Mais je devais être parfait! J’allais avoir des commentaires sur ma tenue…
- Je ne me déguise pas en fils prodigue… dis-je légèrement piqué dans ma fierté, je suis présenta…
Et ma phrase fut coupé alors qu’on sonnait. Merde! Alors sans cravate ça sera alors. Je souris poliment à mes parents, pinçait les lèvres en voyant le bouquet de fleurs donné par mon père. Une bise à ma mère qui me sourit gentiment et une poignée de main à mon père qui fit ce sourire poli d’homme d’affaires qui me répugnait. Comment quoi il ne sortait pas de son rôle. Allez respire un bon coup Adam, ça va aller. On passa au salon et ma mère nous félicita pour ce que nous avions fait pour la maison.
- Merci maman, mais le plus gros du travail revient à Jane. dis-je en souriant doucement à ma belle rouquine
C’est vrai c’est elle qui a l’âme d’artiste, d’agencer les couleurs et tout le truc moi… moi pas tellement mais je donnais mon avis, sur ce que j’aimais ou pas. Mais en vrai elle a pas mal eue carte blanche. La seule chose à laquelle je tenais mordicus, c’est que je voulais quelques-unes de ses toiles dans la maison. Je ne voulais pas les voir s’empiler dans son atelier. D’ailleurs ma mère vit la toile au-dessus de la cheminée et je ne pus qu’être fier du travail de ma belle. Ma mère c’était même levée pour la regarder de plus près, l’examiner comme elle le faisait souvent quand une oeuvre attirait son attention. Je savais que son exposition avait rapporté pleins d’argent et quand Jane avança que nous ne l’avions pas payé, le regard de mon père allant directement dans le mien. Ouais… non clairement je n’aurais jamais assez d’argent pour m’en procurer une et je pouvais comprendre le regard surpris de mon père à notre endroit. Mon sourire s’élargit quand elle avoua que c’était elle “JW”. Ma mère opta pour un verre de vin blanc, mon père me demanda si nous avions du scotch et je me levais pour lui en servir un comme il aimait, soit deux glaçons et le scotch tout simplement.
- Donc vous avez des toiles de Jane à la maison?
- Hum hum. Quelques-unes. dis ma mère en prenant sa coupe, et Max il ne vient pas?
- Il est campé dans l’atelier à faire je ne sais quoi, il refuse qu’on y entre tant qu’il n’a pas fini.
Je pris une gorgée de ma bière et en captant le regard intrigué de mon père. Bien calé dans le fauteuil, le sourcil relevé je compris que je devais élaborer un peu plus. Ce que je fis en lui disant que Max était doué en dessin, qu’il adorait ça et que ça lui permettait aussi d’extérioriser ses émotions qui parfois il ne comprenait pas.
- C’est un truc que Jane et lui partagent. C’est leur… monde et je suis content que Jane lui montre quelques techniques. Je ne sais pas de qui il tient ça mais clairement pas de moi.
- C’est bien que Max ait un exutoire. Il en a besoin, il est tout petit encore.
Je hochai la tête lentement et tournai le regard vers Jane me demandant si je devais me lancer. Est-ce que je leur disais là maintenant, où j’attendais. La question fut rapidement réglée quand les pas de Max dévalant l’escalier nous annonça sa venue. Il stoppa dans l’embrasure du salon son regard se portant sur mon père. Oui je sais il avait l’air austère et même froid quelque chose d’effrayant pour un gamin aussi jovial que Max. Il bougea enfin vers sa mamie pour lui donner un collage de diverses images colorées qui ressemblaient à une mosaïque, et il avait même prit la peine de faire un petit cadre autour de son œuvre. Il tendit l’autre carton épais à mon père et lui fit un petit sourire timide.
- J’ai demandé à papa c’était quoi ton travail… mais c’est moche de juste dessiner un monsieur à mallette. Alors je t’ai fait là avec mamie, papa, Jane et moi… C’est beau hein?
Je relevai le regard vers mon père et… putin que ça faisait chier d’être incapable de le lire! Même son regard semblait dépourvu d’émotions. Cependant il dit que oui c’était beau et qu’il avait bien du talent. De quoi ravir le petit bout qu’il était et qui s’empressa de grimper sur le canapé entre nous. On passa un moment à discuter jusqu’à ce que je me lève pour aller voir le repas, refusant que Jane vienne m’aider. C’était à peu près la seule chose que je pouvais contrôler alors j’y tenais. C’est une fois debout que Max lâcha un “Woooooow!” me faisant tourner le regard vers lui en haussant un sourcil.
- Tu es trop beau papa! Comme les monsieurs des revues de Jane!
- Ah bien… Merci Max, c’est très gentil. Tu es très beau toi aussi
Je jetai un regard vers Jane en haussant un sourcil l’air de dire “Tu vois?”. J’allais à la cuisine pour vérifier le rôti et la cuisson des légumes. Je sortis l’assiette de service pour disposer le rôti et les légumes autour pour me rendre compte que… peut-être que oui j’en faisais des caisses. Mais bon, je ne pouvais renier comment j’avais été élevé… plus comment la nounou m’avait appris à bien disposer des plats, pour que se soit attrayant à l'œil.
- Papa? Je peux t’aider?
- Tu ne restes pas avec Jane? Tu pourrais en profiter pour parler avec papi justement.
Je refermai la porte du four et descendit la température pour garder le tout au chaud et me préparer pour faire la sauce.
- J’aime mieux être avec toi. Papi a l’air fâché…
Je fis un petit rire et m’accroupit devant lui en fouillant son regard.
- Il n’est pas fâché. Je sais qu’il n’en a pas l’air mais je pense qu’il aimerait bien te connaître un peu plus. Mais si tu veux m’aider, tu peux aussi.
Et il décida de rester alors que je lui approchai une chaise, lui mis un tablier et on termina les derniers préparatifs du souper. ******************* Rose regarda un moment son fils et sourit doucement de le voir s’affairer au fourneaux. Une autre chose qu’elle avait manqué avec lui. Elle regrettait beaucoup de choses, entre autres d’avoir fait passer l’argent, la réussite bien avant le bien-être de son fils unique. Les nounous avaient eu plus d’impact sur lui que eux ses propres parents. Cependant elle le connaissait, quelque chose le tracassait. Elle tourna un regard vers Jane.
- Est-ce qu’il va bien?
- Rose!
- J’ai le droit de demander si mon fils va bien. ********************************** Et on termina la sauce, qu’on mit dans le saucier et on pu disposer des choses sur la table. Je coupai quelques tranches de rôti alors que j’avais envoyé Max leur DIRE que c’était prêt mais il préféra crier un “C’EST PRÊT!!” du pas de la porte du salon me faisant soupirer. Une chance que je lui avait dit l’exact contraire. On s’assied donc et je m’occupais du service avec Max bien sûr qui jouait le petit serveur en posant les assiettes bien comme il faut. On mangea donc de bon appétit et on parla de chose et d’autre. Mon père de sa retraite éventuelle, qu’il parlait depuis presque 2 ans, ma mère de son club de jardinage à Willbay. Max de l’école, de ses amis et de sa nouvelle amoureuse Scarlet qui avait ravi la place de Léa la grande soeur. De mon côté je parlais de mon gym, des clients, des jeunes et j’étais fier de mon petit gym où je mettais tout mon coeur et mon âme. Oui c’est vrai que je ne roulais pas sur l’or, mais depuis quelques mois j’avais plus de clients et de jeunes ce qui aidait beaucoup. Je n’étais certes pas fortuné mais j’avais une copine géniale - que je ne me privais pas de dire à la table - et un fils extraordinaire et je ne demandais pas plus pour le moment. J’étais bien et c’est ce qui comptait le plus à mon sens. Je ne voulais pas évoquer ma thérapie devant Max, pas plus que la garde légale. Quand le repas fut terminé et que Max quitta pour aller jouer, ce fut là que j’en parlais. Je serrais mes mains entre elles, la nervosité me faisant battre le coeur à vive allure et je sentais mes poumons comprimés tellement j’avais une crainte de ce qu’ils allaient dire.
- Ce n’est pas vous, je… j’ai juste besoin de faire du ménage dans ma tête et être au meilleur pour ma famille…
Dis-je en tournant un regard vers Jane allant chercher un support quelconque.
- J’ai vraiment besoin de tout le support possible pour la garde de Max. Je ne sais pas ce qu’elle va faire, je ne sais même pas si elle acceptera la garde partagée. Je tente bien des choses pour que tout soit le plus paisible possible pour nous tous mais pour Max surtout.
- Et Max, qu’est-ce qu’il souhaite? demanda ma mère doucement.
Je relevai un regard vers mon père qui semblait étudier le tout comme si c’était une proposition d’affaire intéressante, pour finalement le tourner vers Jane. Je fini par baisser le regard sur mes mains et avaler difficilement et les serrer un peu plus.
- Il n’a jamais demandé pour sa mère. dis-je en relevant le regard, il est prêt à voir sa mère mais juste si elle ne le dispute pas pour tout et rien. Qu’il puisse s’amuser avec elle…
- Elle n’a jamais été une mère aimante Adam, je ne vois pas pourquoi ça changerait maintenant.
Ma mère s’étrangla sur son “Harry”, et moi je relevai un regard interdit vers lui. Le souffle me coupa alors qu’il se redressa dans le plus grand des calmes. Si j’étais nerveux, là ma nervosité c’était envolée. Il s’appuya sur la table comme s’il allait me faire une contre-offre et pour une fois dans ma vie, j’espérais presque qu’il se montre plus humain qu’il ne l’avait jamais été dans toute sa vie.
- Je ne reviendrais pas sur ta relation avec elle, tu sais ce que j’en pense. Pour le moment c’est Max, Jane et toi les plus importants. Tu as toujours été très calme, gentil et patient avec elle et encore plus depuis que Max est au monde. Tu as été plus un père pour Max qu’elle a été une mère pour lui. Tu lui as tout donné à ce gamin, tu t’es sacrifié plus que ce que tout le monde pourrait le faire. Si tu crois qu’elle va changer mon garçon, c’est que tu es plus rêveur que je ne le pensais.
Je dévisageais mon père ne sachant pas trop si c’était un compliment ou une pique simplement.
- Ce que je te dis, c’est qu’elle voudra encore s’attaquer à toi. Elle a toujours voulu avoir une vie de reine et tu ne lui a jamais donné donc pour elle sa source de malheur c’est toi. Tu fais bien de proposer une garde partagée, ça démontre une ouverture. Une discussion, mais penses-y, est-ce qu’elle va accepter? Si oui, pour quelles raisons? Simplement pour te faire plus de mal et elle sait où piquer, par ton fils ou Jane.
Je baissai le regard sur mes mains. Je me sentais comme un gamin pris en faute, il n’avait pas tort mais en même temps, Max avait besoin de sa mère. je ne pouvais pas être les deux à la fois.
- Tu es un homme bon Adam. tu es un bon père, meilleur que je ne l’ai été. Tu as un fils qui est parfait à ton image même en plus d’être ta copie conforme. Tu as une femme merveilleuse également qui rempli un rôle de mère meilleur que sa propre mère c’est là-dessus que tu dois te concentrer. On sera là pour t’épauler, te soutenir comme tout le monde qui t’entoure et qui savent comment tu es un homme respectable. Qu’en penses-tu Jane?
Alors là… j’étais sans mot! Mon père avait toujours été tellement distant et difficile d’approche que je ne parvenais jamais à saisir à quoi il pensait que maintenant il me dise tout ça… j’étais complètement bluffé. Complètement ahuri de son ouverture et sa franchise.
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– Je n’ai pas envie que ça se passe mal Jane… – Je sais, répondis-je en déposant un baiser sur sa joue. Tout ira bien…
Je voulais qu'il réalise à quel point il méritait d'être aimé et respecté pour ce qu'il est vraiment… Pas pour ce que l'on pouvait espérer ou attendre de lui. Ce déguisement était donc parfaitement inutile. Il valait beaucoup mieux que ça.
Comme je l'avais imaginé, ses parents ne firent aucun commentaire sur son absence de cravate. Au contraire, sa mère nous offrit quelques compliments au sujet de la maison, de son agencement et de sa décoration. Ils se régalèrent avec les petits fours, parlant de tout et de rien comme le feraient n'importe quel parent en visite. Max nous rejoignit pour offrir ses merveilleux cadeaux à ses grands-parents avant de disparaître en cuisine avec son père.
– Est-ce qu’il va bien?me demanda madame Collins, clairement inquiète. – Rose! – J’ai le droit de demander si mon fils va bien. – Il est très nerveux, rétorquais-je sans détour. Il a très peur de vous décevoir… Votre fils ne demande que votre soutien, rien de plus. Il fait énormément d'effort pour vous plaire, au point de s'oublier lui-même. Il se sacrifie en permanence pour tout le monde et… Ce doit être très pesant.
Les Collins échangèrent un regard chargé de résilience. Je n'avais aucun doute concernant l'amour qu'ils portaient à leur fils. Finalement, ils se contentaient de vouloir le meilleur pour lui, ni plus, ni moins.
– Merci, Jane, me lança Rose en souriant. – Je vous en prie.
Le repas se passa très bien. Chacun notre tour, nous félicitâmes Adam et Max pour leurs talents de cuisiniers. Les discussions allaient bon train, mais la nervosité de mon compagnon ne semblait pas se tarir… Je posais doucement ma main sur la sienne, lui assurant ainsi tout mon soutien.
Et puis, quand Max nous abandonna pour jouer, Adam décida finalement de se lancer. De nouveau, je restais volontairement en retrait pour mieux le laisser s'exprimer. Je me contentais donc de suivre la conversation tout en serrant doucement sa main pour l'encourager à poursuivre.
– Qu’en penses-tu Jane? – Je pense que c'est une excellente description de cet homme que j'aime et que je respecte infiniment, dis-je en lui offrant un sourire. Pour tout le reste… Je veillerai à rester un soutien pour lui, comme pour Max. – Avez-vous songé à l'avenir ? demanda Rose, l'air de rien. – Nous avons acheté et emménagé ensemble dans cette maison alors… – Sur le papier, cela ne vaut pas grand-chose, ajouta Harry, les mains serrées sur la table. – Peut-être, mais c'est déjà énorme en six mois, vous ne trouvez pas ?
De nouveau, ils échangèrent ce même regard. Nul doute qu'il y avait beaucoup de complicité entre ces deux-là. Ils savaient se comprendre sans avoir besoin de parler.
– C'est vrai…
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Ven 29 Déc - 21:13
Adam Collins
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors mieux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et papa et je le vis plutôt très bien. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents. Depuis il est en couple avec son ancienne flamme de l’école Jane. Il l’adore plus que tout et pour elle, il donnerait sa vie. Ils viennent d’emménager dans une petite maison confortable.
Max, mon fils, mon microbe
Ça ce passait bien même mieux que je ne l’aurais pensé. Ok certes ils n’avait rien dit sur mon absence de cravate mais moi je sentais qu’il manquait un truc mais je n’eus pas vraiment l’occasion de m’en inquiéter comme j’étais concentré à ce que tout soit parfait, impeccable même. Je m’assurais que le repas soit cuit à la perfection, que la table il ne manque de rien et… en fait je tentais de maîtriser un stress qui ne diminuait que trop peu durant la soirée et je béni presque le ciel quand Max monta aller jouer. Je m’ouvris totalement, franchement comme mon psy me l’avait dit même si j’avais une crainte que mes parents le prennent mal mais j’avais Jane qui serrait ma main pour me signifier qu’elle était là, qu’elle me supportais. Parler ainsi était l’équivalent de me râper la peau sur un mur de brique mais l’effet escompté était de leur faire comprendre que j’avais besoin d’eux comme jamais.
Cependant la réponse de mon père me scotcha sur place ne trouvant rien à répondre. Tellement que je ne pus rien faire de plus que de retourner le sourire de Jane profondément touché et vachement soulagé que j’ai un appui aussi puissant qu’eux trois réunis. Je ris doucement à la question de ma mère qui était pleine de sous-entendu et qui me rappelait la demande de Barbara qui demandait de faire sa fille une honnête femme.
- Si ta question est: Est-ce qu’on va se marier maman, on ne le sait pas encore. On n'en a pas parlé. Pour le moment, on en a assez comme ça à gérer. En six mois on a eu beaucoup donc on doit aussi penser à nous deux.
Ils restèrent encore un moment, j’avais même laissé Max veiller plus tard que d’habitude et sautai le bain pour qu’il aille directement au lit une fois que mes parents fut prêts à partir. Mon père avait visité la maison, nous avait félicité et promis de revenir plus souvent. Chose que je doutais mais je voulais bien laisser une chance. La cuisine ramassée et rangée je m’affalais dans le canapé en soupirant longuement en détachant le premier bouton de chemise. encore une fois je m’étais mis de la pression bien inutile et imaginé milles scénarios catastrophe. Quand Jane passa près de moi je la tirai à moi pour qu’elle s’installe sur moi. J’inspirais un moment me perdant dans son regard d’émeraude.
- Je sais que je te le dis souvent mais… je suis très chanceux de t’avoir dans ma vie Jane Wilson.
Je l’embrassais avec toute la tendresse et tout l’amour que j’éprouvais pour elle tout en l’enlaçant et la serrant contre moi. Relâchant ses lèvres roses je retournai me perdre dans cette marée verte qu'étaient ses iris.
- Je peux te demander quelque chose? dis-je sans vraiment attendre de réponse. Ma vie n’est pas trop bordélique pour toi? Je veux dire… je suis bien et je suis très heureux avec toi mais je ne te l’ai jamais demandé. Est-ce que je te rends heureuse? Est-ce que tu es bien avec moi?
Pas que j’en doute mais avec Max, mon ex, ce qui s’en venait et tout le reste… j’espérais vraiment que quelque part je la rendais heureuse. Qu’elle ne regrette pas sa vie avec moi et plus que tout: J’espérais que je ne lui apportais pas plus d’inquiétude que maintenant.
- La dernière chose que je veux c’est bien que tu sois malheureuse et pas bien…
En même temps elle me connaissait un peu. Si tel arriverait le cas je me fendrais en quatre pour qu’elle soit bien à nouveau en ma présence. Si elle n’envisageait pas le futur, moi je me voyais très vieux avec elle à profiter du temps qui passe, de nos enfants et nos petits-enfants. Chose que je taisais pour ne pas lui flanquer la frousse.
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Ven 29 Déc - 22:02
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Malgré la joie que je ressentais de voir que tout s'était très bien passé, je n'étais pas mécontente de voir la soirée s'achever enfin. La fatigue prit doucement le pas sur le stress et il me tardait de retrouver mon lit… Une fois la maison rangée, nous pûmes enfin nous prélasser tranquillement. Adam alla s'étaler sur le canapé, probablement soulagée que tout soit enfin terminé. J'allais le rejoindre, quitte à m'installer sur une fauteuil pour le laisser tranquille, mais il en décida autrement …
– Je sais que je te le dis souvent mais… je suis très chanceux de t’avoir dans ma vie Jane Wilson. – Et moi, je dois te dire que je suis extrêmement fière de ce que tu as accompli ce soir… rétorquais-je avant de répondre à son bien tendre baiser qui me réchauffa le cœur.
Les interrogations qui suivirent me poussèrent à la réflexion. A l'évidence, Adam attendait de vraies réponses, pas seulement d'être rassuré.
– Tu mènes une vie compliquée, Adam, personne ne peut le nier, dis-je en libérant doucement une mèche de ses cheveux. La mienne ne vaut guère mieux cependant… Mais non, ce n'est pas "trop" pour moi. Si tel était le cas, je n'aurais pas signé mon renouvellement de contrat à l'école … Je n'aurais jamais voulu acheter cette maison… Je serais tout simplement partie.
Je ne saurais dire si l'on pouvait réellement parler de bonheur. Néanmoins, malgré les obstacles rencontrés, nous savions tous deux nous retrouver.
– Je t'aime et je me sens bien avec toi, Adam Collins, mon ours adoré, dis-je avant de m'emparer doucement de ses lèvres comme pour sceller mes dernières paroles. Tu sais … Tout ce que ton père a dit est vrai… Tu es un homme bon, un excellent père…C'est moi qui suis chanceuse de t'avoir dans ma vie.
Je me redressais doucement, revenant à l'assaut de ses lèvres avant de commencer à déboutonner sa chemise.
– Tu portes le costume à merveille, mais je te préfère au naturel… ajoutais-je en affichant une moue plus espiègle.
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Sam 30 Déc - 22:45
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J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors mieux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et papa et je le vis plutôt très bien. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents. Depuis il est en couple avec son ancienne flamme de l’école Jane. Il l’adore plus que tout et pour elle, il donnerait sa vie. Ils viennent d’emménager dans une petite maison confortable.
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Jane était une femme fabuleuse et j’étais content qu’elle partage ma vie, qu’elle soit autant l’amoureuse, l’amie, la confidente comme celle qui me supportait et j’espérais tellement que j’en étais autant pour elle. Mon sourire s’élargit quand elle me dit qu’elle était fière de ce que j’avais fait ce soir. Quelque part j’étais content de l’entendre car s’ouvrir ainsi, surtout à mes parents, me rendait vachement nerveux et mal à l’aise. Qu’elle ai remarqué mes efforts me fit sourire davantage jusqu’à ce que je lui demande si je la rendait vraiment heureuse et si ma vie n’était pas trop compliquée pour elle. Je ne voulais que ça qu’elle soit heureuse et si je devais améliorer certaines choses, alors je le ferais à coup sûr.
Au moins elle me donna raison sur ma vie, mais j’espérais vraiment que ça finisse par se calmer et que, enfin, se soit calme. Le fait qu’elle me dise que non ce n’était pas trop pour elle sinon elle serait partie simplement me fit sourire tendrement. Au moins elle me rassura en me disant qu’elle m’aimait et qu’elle était bien avec moi.
- Disons que j’aspire à être parfait… dis-je en glissant mes mains sur ses hanches.
Je répondis à son attaque de baisers en la serrant contre moi alors qu’elle faisait sauter mes boutons de chemise.
- Au naturel? Et moi qui mit tout les efforts pour que je sois plus que craquant… ajoutais-je pour me moquer.
J’allais mordiller tendrement sa petite lèvre boudeuse, et dévier à son cou que j’embrassai avec gourmandise pour remonter sur la ligne fine de sa mâchoire, mes mains se glissant sous le tissu fin de sa tunique aussi verte que ses prunelles. Je relevai la tête vers elle et fouillai son regard.
- Cependant comme je suis maintenant, il semblerait que se soit toi qui ai plein contrôle. Pour être honnête… j’ai bien envie de découvrir ce que ma jolie louve a en tête.
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Dim 31 Déc - 8:06
Jane Wilson
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis illustratrice et professeur d'Art plastique et je m'en sors plutôt bien, je trouve. Sinon, je suis en couple et on peut même dire que je suis très heureuse. Informations supplémentaires ici.
Je suis parfaitement consciente des différences existant entre le monde dans lequel Adam a été élevé et le mien. Je me souviens très bien de ce changement d'attitude qui s'opérait chaque fois que l'un d'eux était présent…Comme je me rappelle encore de cette angoisse oppressante qui venait l'étreindre quand leur regard se posait sur lui. Voilà pourquoi, à l'époque, j'en étais venue à détester ses parents. L'adolescente que j'étais alors les voyait comme des nuisibles pour qui rien n'était jamais assez bien… Adam faisait de son mieux pour accéder à leurs demandes. Il luttait contre sa nature pour rentrer dans leur petit moule quitte à s'étouffer pour eux. Je trouvais cela triste parce que je savais que leur fils méritait d'être aimé pour ce qu'il était et non pour ce qu'il semblait être et encore moins pour ce qu'ils voulaient qu'il soit.
À présent, je sais que toutes ces petites brimades, toutes ces remontrances, ne sont en fait que des encouragements empreints d'une maladresse surprenante. Ils aiment leurs fils… Ils l'aiment même plus que tout au point de désirer le meilleur pour lui… Ils savent qu'il est capable du meilleur, qu'il pourrait tout faire s'il le voulait. J'espère donc que cette soirée leur aura permis de réaliser que Adam mène déjà la vie qu'il voulait vivre et qu'il fait tout pour que cela fonctionne… J'espère qu'ils pourront être aussi fiers de lui que je le suis moi-même…
– Parfait, vraiment ? je demande en venant doucement mordiller l'angle de sa mandibule. Quel dommage…
Tous les artistes du monde méprisent la perfection au point même de donner une toute autre définition à ce mot. La perfection, c'est l'absence de défaut, mais surtout l'absence d'intérêt. C'est ennuyeux. Il existe des milliards de perles bien rondes, mais les plus belles sont celles qui arborent quelques petites bosses. Ce sont les défauts qui rendent un être ou une chose exceptionnelle, unique.
– Tu es toujours craquant…
Je souris lorsqu'il vient me mordiller la lèvre, laissant mes doigts s'affairer autour des boutons de cette maudite chemise de pingouin. Un frisson me parcourt la colonne vertébrale alors que ses mains s'aventurent sous ma tunique, sur ma peau.
– Cependant comme je suis maintenant, il semblerait que ce soit toi qui ait le plein contrôle. Pour être honnête… j’ai bien envie de découvrir ce que ma jolie louve a en tête. – Ce que j'ai en tête, hein ? je répète en souriant avant de venir m'emparer de ses lèvres. J'ai bien envie de le taquiner un peu. Sa pseudo vulnérabilité m'amuse de même que ses attentes qui se lisent aisément dans ses prunelles d'azur. Je pense que tu es très fatigué et qu'il vaudrait mieux que tu ailles dormir… Tu sais, pour éviter les cernes disgracieuses et les poches sous les yeux.
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Jeu 4 Jan - 18:06
Adam Collins
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors mieux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et papa et je le vis plutôt très bien. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents. Depuis il est en couple avec son ancienne flamme de l’école Jane. Il l’adore plus que tout et pour elle, il donnerait sa vie. Ils viennent d’emménager dans une petite maison confortable.
Max, mon fils, mon microbe
Mes parents avaient été plutôt cool et j’étais surpris aussi de la description qu’il avait fait de moi. Autant j’ai aimé le souper, autant maintenant je voulais juste du calme et du temps avec Jane. C’est ce que je fis en l’attirant à moi pour qu’elle soit toute proche et et que je puisse nouer mes bras autour d’elle. D’ailleurs en blague je lui dis que j’aspirais à être parfait mais sa réponse me fit hausser un sourcil et esquisser un sourire en coin.
- Dommage? Moi tant que je suis parfait pour toi…
Être parfait, ça devait être tellement ennuyant! La seule pour qui je voulais l’être c’était elle,et mon fils bien sûr. La seule que je voulais mettre tous les efforts c’était elle. Bien sûr en toute vérité je sais que je ne serais jamais parfait et sans défaut, je suis humain quand même. S’affairant à faire sauter les boutons de ma chemise je souris à son compliment car même si avait semblé ne pas approuvé mon habillement, je dois dire qu’elle aussi était toujours la plus craquante et la plus belle de toute. Ses lèvres étaient encore sucrées du dessert, son corps tou chaud contre moi. Son regard était aussi brillant qu’une émeraude pure. Sa peau satiné frémissait sous mes paumes alors que j’étais à sa merci. Ce que je lui dis d’ailleurs en relevant la tête vers elle un sourire malicieux au visage.
- Je te dirais que présentement je suis très réveillé puis pour les cernes… il y a les poches de thé qui aident…
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Univers fétiche : Med-Fan, même si je peux jouer sur n'importe quel contexte
Préférence de jeu : Femme
Arthécate
Jeu 4 Jan - 19:03
Jane Wilson
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis illustratrice et professeur d'Art plastique et je m'en sors plutôt bien, je trouve. Sinon, je suis en couple et on peut même dire que je suis très heureuse. Informations supplémentaires ici.
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Univers fétiche : Réel
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Disney lover
Ven 5 Jan - 5:06
Adam Collins
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors mieux. Sinon, grâce à ma chance, je suis en couple et papa et je le vis plutôt très bien. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents. Depuis il est en couple avec son ancienne flamme de l’école Jane. Il l’adore plus que tout et pour elle, il donnerait sa vie. Ils viennent d’emménager dans une petite maison confortable.
Max, mon fils, mon microbe
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Crédits : Lorène Barioz
Univers fétiche : Med-Fan, même si je peux jouer sur n'importe quel contexte
Préférence de jeu : Femme
Arthécate
Ven 5 Jan - 15:27
Jane Wilson
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis illustratrice et professeur d'Art plastique et je m'en sors plutôt bien, je trouve. Sinon, je suis en couple et on peut même dire que je suis très heureuse. Informations supplémentaires ici.