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Edward
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Edward
Mer 24 Jan - 10:56

Roland
J'ai 28 ans et je vis au Chêneraie, un petit village coincé entre un bras de rivière et les collines forestières d’une baronnie d’un Royaume d’Europe de l’ouest. Dans la vie, je suis débrouillard et je m'en sors plutôt médiocrement. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.

Faire quo… Ah ! Ok, je comprends mieux cette histoire de morsure alors… Rien à voir avec mon sang du coup… Gloussais-je, pris au dépourvu par cette annonce totalement inattendue. Je ne sais pas trop quoi en penser, espérant juste qu’il sait ce qu’il fait.

Lorsque je parle de son teint, elle éclate de rire, arguant qu’elle a l’impression que je parle d’une bougie. Je pouffe malgré mon léger malaise. J’aimerais lui dire vraiment ce que je pense, mais, même si elle est bien plus bavarde que les jours précédents, je crains qu’elle ne soit pas réceptive à un autre choix de mots.
Alors, je tourne la tête vers elle.

D’une belle bougie alors ! Osais-je finalement avec un petit pincement de lèvres.

Plus tard, nous parlions cabane avec nostalgie, évoquant nos anciennes créations ainsi qu’un échec cuisant. Elle parlait de la cicatrice qu’elle en gardait sur le front et immédiatement, le souvenir de la rouste que je m’étais pris de la part de sa mère me revenait.
Je m’assois finalement au sol afin de ne plus avoir à pencher la tête tandis qu’elle évoque nos compétences en la matière, se rappelant cette époque comme étant de bons souvenirs.
Je sens une chaleur m’envahir, un espoir qui fuse. Depuis que l’on s’est retrouvé, c’est la première fois qu’elle parle ainsi de cette période comme étant de beaux souvenirs. Je ferme les yeux quelques instants, profitant de ce moment de souvenirs partagés et de l’émotion que je perçois chez-elle.

C’était le bon temps, oui ! Confirmais-je en lui tournant toujours le dos. A l’époque, je n’avais pas de difficulté à entrer dans nos cabanes. Pouffais-je. Alors, je me retournais pour essayer de voir cette fameuse cicatrice.

Tu as toujours cette marque ? Demandais-je en me retrouvant face à elle, n’y ayant pas prêté attention avant.

Arthécate
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Arthécate
Mer 24 Jan - 11:31

Alaïs
J'ai 27 ans. Dans la vie, je suis chasseresse. Un métier difficile et dangereux d'ordinaire réservé aux hommes. Pourquoi ? Et bien, parce que le gibier qui m'intéresse ne correspond certainement pas à ce que vous pouvez imaginer. Aussi, mon travail me pousse à parcourir le monde, toujours accompagnée de quelques hommes appartenant tous à ma famille… C'est qu'on est chasseur de père en fils chez les miens…Vous devez vous en douter, mais je suis bien évidemment célibataire et je n'ai pas vraiment le temps de m'en soucier.

Informations supplémentaires ici.


Une belle… bougie… je répète, les sourcils arqués face à ce "compliment" étrange.

Je pourrais très bien protester, j'en ai même très envie… Mais, à quoi bon au fond ? Je sais que l'on ne balaie pas si aisément nos sentiments. Il m'a fallu des mois, voire des années pour étouffer les miens. Alors autant faire preuve de compréhension à son égard et ignorer tout simplement… À moins que je ne me trompe complètement et que ses propos soient tout à fait innocents.

Assise à même le sol de la cabane, je prends grand soin d'observer chaque petit détail de cette dernière. Il y a là des restes de vases brisés, une vieille poupée, une couverture usée… Je me demande quelle est son histoire, qui a bien pu la construire et quand. Est-ce un lieu chargé de bons souvenirs ou un refuge ? Si seulement les vieux branchages pouvaient parler… Et que diraient ceux que nous avons connus tous deux ?

À l'époque, tu étais bien plus petit… Enfin, tu prenais moins de place, pouffé-je en saisissant la vieille poupée de tissus.

Elle est toute chiffonnée et recouverte de mousse. Cela doit faire des années qu'elle attend ici, toute seule…

J'évoque ensuite ma cicatrice et je suis surprise de le voir si curieux à ce propos. Il se retourne pour me faire face ce qui me pousse à reculer… Je confirme, il prend beaucoup de place.

Bien-sûr, elle est là, dis-je en relevant une mèche de cheveux pour lui désigner mon front.Juste à la base de l'implantation.

Je ris en me souvenant de la scène… J'ai hurlé si fort ce jour-là… Pas de douleur non, mais pas peur de voir ma mère s'énerver contre nous. Je me rappelle du sang qui s'écoulait abondamment de la plaie – même si je suppose que le temps à largement déformé la réalité – et des sanglots que je n'arrivais pas à contrôler.

J'ai été privée de sortie pendant des jours après ça…





Edward
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Edward
Mer 24 Jan - 12:33

Roland
J'ai 28 ans et je vis au Chêneraie, un petit village coincé entre un bras de rivière et les collines forestières d’une baronnie d’un Royaume d’Europe de l’ouest. Dans la vie, je suis débrouillard et je m'en sors plutôt médiocrement. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.

Je me contente d’un léger sourire lorsqu’elle répète mon compliment en haussant un sourcil. Elle a parfaitement compris ce que je voulais dire, mais ne s’en offusque pas. Aussi ai-je le plaisir de lui avoir dit ce que je pensais sans dépasser les limites qu’elle avait fixé.
Nous ne revenons pas là-dessus, ce n’est la volonté d’aucun de nous deux.

Je détaille la méthode de construction de la cabane avec précision, observant l’enchevêtrement des rondins et des branchages. Lorsque j’évoque les difficultés que je rencontre aujourd’hui à entrer dans cette cabane, elle pouffe en confirmant que je prends plus de place.
L’on se souvient alors de cet accident de cabane écroulée, elle parle de sa cicatrice et, la curiosité me pousse à me retourner.
Ainsi, nous sommes tous deux contraints de nous tortiller pour que je puisse lui faire face avant qu’elle ne soulève une mèche de cheveux.
En effet, il y a bien une petite trace persistante, souvenir de cette époque où nous étions toujours fourrés ensemble.

En effet, joli souvenir de cette lutte contre une cabane instable ! Pouffais-je. Moi, je me souviens de la fessée monumentale que j’ai reçue de mon père.

J’observais sa cicatrice, de nombreuses images de l’époque me revenant. Alors, d’un geste lent, je venais la frôler du pouce un bref instant.

Quand tu as eu de nouveau le droit de sortir, tu te souviens qu’on avait brûlé le rondin responsable de ça ? On l’avait retrouvé avec une trace de sang. Me rappelais-je en souriant. Tu m’avais montré cette cicatrice avec une fierté de guerrière ! Riais-je tandis qu’une boule se formait dans mon cœur.

J’étais dangereusement proche et le désir de me saisir de ses lèvres était puissant, vorace. Il me consumait littéralement tandis que je me retenais. J’avais promis de ne plus l’enlacer, de ne plus l’embrasser, de ne la toucher que si nécessaire.
Pourtant, ce pouce sur sa cicatrice était déjà une entorse à cette promesse.

Je me penchais en avant, doucement, venant presque poser mon front contre le sien, le souffle un peu vif.

Je sais que tu risques de me botter les fesses, mais… Soufflais-je. J’étais tiraillé entre mon désir et tout ce qu’elle avait pu dire les jours passés. Le dernier baiser, elle m’avait reproché de ne pas l’avoir prévenue, puis elle m’avait fait promettre de ne plus faire cela. Aussi, je naviguais entre désirs et incertitudes. Je ne voulais pas rompre cet instant qui me semblait presque inimaginable le matin même, mais en même temps… Elle n’avait rien dit suite à mon compliment, elle évoquait de beaux souvenirs, comme s’il était devenu acceptable d’être avec moi tout en se souvenant du passé.
Au moins, ma phrase devait la renvoyer à ce qu’elle avait dit, quelques jours plus tôt. D’une certaine façon, je la prévenais…

Je venais finalement effleurer ses lèvres sans l’embrasser pleinement, c’était plus proche de ce que j’avais fait de mon pouce sur sa cicatrice. Un peu comme une suggestion parfaitement claire sans un passage à l’acte total.

Arthécate
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Mer 24 Jan - 13:19

Alaïs
J'ai 27 ans. Dans la vie, je suis chasseresse. Un métier difficile et dangereux d'ordinaire réservé aux hommes. Pourquoi ? Et bien, parce que le gibier qui m'intéresse ne correspond certainement pas à ce que vous pouvez imaginer. Aussi, mon travail me pousse à parcourir le monde, toujours accompagnée de quelques hommes appartenant tous à ma famille… C'est qu'on est chasseur de père en fils chez les miens…Vous devez vous en douter, mais je suis bien évidemment célibataire et je n'ai pas vraiment le temps de m'en soucier.

Informations supplémentaires ici.


C'est marrant comme l'on se souvient de certains détails et comme on en élude d'autres… Cette histoire de punition de rondin m'était totalement sortie de la tête jusqu'à ce qu'il l'évoque. Mais je me rappelle à présent et il m'est bien difficile de ne pas en rire. Je me revoie brandissant le fameux bout de bois soit-disant responsable de ma blessure…

Je me souviens aussi avoir pris une belle fessée de ma mère. "On ne joue pas avec le feu !"

Je ris de bon cœur en pensant à elle… Cette femme sévère mais juste qui devait nous élever pratiquement seule. Et l'on peut dire que nous lui avons donné du fil à retordre, mes frères et moi.

Mais les souvenirs, aussi joyeux soient-ils, sont vite évincés par le regard que Roland pose sur moi. Je n'ai pas réagi au contrat de son pouce sur ma peau, ne voyant rien d'exceptionnel dans ce contact… Néanmoins, la proximité qu'il vient m'imposer ensuite est bien plus… intime.

Je sais que tu risques de me botter les fesses, mais…

J'ai cessé de respirer quand mon cœur s'est mit à tambouriner dans ma poitrine… Je ne sais pas ce qu'il fait mais il est extrêmement proche. Ses lèvres effleurent les miennes et je me fige sans réellement savoir comment réagir. Je peine même à déglutir… Mais il s'arrête là.

Je cligne des yeux plusieurs fois sous la surprise. Je n'ose pas bouger d'un pouce puis constatant qu'il ne se passe rien, je me recule doucement pour ne pas le brusquer

J'avais une poussière dans l'œil c'est ça? je pouffe, un peu gênée.





Edward
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Edward
Mer 24 Jan - 13:51

Roland
J'ai 28 ans et je vis au Chêneraie, un petit village coincé entre un bras de rivière et les collines forestières d’une baronnie d’un Royaume d’Europe de l’ouest. Dans la vie, je suis débrouillard et je m'en sors plutôt médiocrement. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal.

J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.

Nos souvenirs nous plongent dans un moment doux et il faut bien reconnaitre que c’est particulièrement agréable. Je trouvais impressionnant comment le fait de se rappeler de tout cela en sa présence était merveilleux. Ainsi, au fond de moi, cette espérance que je nourrissais et dont je lui avais parlé, je me réjouissais de ne pas l’avoir abandonnée.

Alors, après l’avoir prévenu d’une façon un peu détournée, je viens frôler ses lèvres des miennes. Mon souffle est rapide tandis qu’elle reste immobile et, je n’ose aller plus loin. J’ai peur, il faut être honnête.
J’ai peur de finir un geste qui briserait ce moment de véritables retrouvailles, qu’en faisant passer mon désir plus en avant, je détruise ce qui semble germer. Alors, je ne fais rien de plus que voler sur ses lipes.

Je sens son souffle saccadé en approchant jusqu’à ne plus rien sentir, comprenant qu’elle a arrêté de respirer. Je reste suspendu, humant son parfum jusqu’à ce qu’elle finisse par se reculer doucement, les joues terriblement rouges. Je reste là, sans bouger, l’observant. Elle rit un peu étrangement, lançant une plaisanterie.
Je sens un léger courant d’air dans mon esprit, me faisant redresser légèrement la tête et me sortant de mon immobilisme. Ulvar vient de me donner une “tape sur le crâne”, alors je l’entends.
Je sens mon cœur, cavalant dans ma poitrine alors que j’entends le sien, galopant furieusement.
Elle n’a pas rugi comme la dernière fois, elle n’a pas chassé mon pouce, elle évoque le passé avec entrain, elle est rouge comme je ne l’ai jamais vue. Par-dessus tout, elle plaisante alors que mon geste était on ne peut plus équivoque. Il m’a même semblé qu’elle avait attendu avant de reculer.
Alors, je sens mon cœur se gonfler et accélérer encore. Ulvar m’a secoué les puces d’un coup de vent et je me sens plus sûr de moi.

Je lui lance un sourire tendre, un brin malicieux.

C’est ça… Une poussière dans l’œil… Il fallait que je te l’enlève avant de t’embrasser…

Je ramenais en douceur ma main à son épaule avant de m’approcher de nouveau. Cette fois-ci, je me posais véritablement sur ses lèvres, l’embrassant délicatement, fermant les yeux. Je ne la maintenais pas fermement, aussi pouvait-elle se dérober aisément. Cependant, je pensais que cette fois, j’avais fait les choses bien mieux que la fois précédente.
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Mer 24 Jan - 14:17

Alaïs
J'ai 27 ans. Dans la vie, je suis chasseresse. Un métier difficile et dangereux d'ordinaire réservé aux hommes.  Pourquoi ? Et bien, parce que le gibier qui m'intéresse ne correspond certainement pas à ce que vous pouvez imaginer. Aussi, mon travail me pousse à parcourir le monde, toujours accompagnée de quelques hommes appartenant tous à ma famille… C'est qu'on est chasseur de père en fils chez les miens…Vous devez vous en douter, mais je suis bien évidemment célibataire et je n'ai pas vraiment le temps de m'en soucier.

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La déception que je ressens ne m'appartient pas… Enfin, pas entièrement du moins. Je peux entendre l'Autre soupirer bruyamment en nous traitant d'idiots… Puis Ulvar disparaît brusquement avant de revenir pour emporter l'Autre avec lui… Dieu seul sait où. Ma plaisanterie tombe à plat, du moins c'est ce que je crois. Mais je n'ai pas trouvé mieux pour regagner un minimum de contenance.

C’est ça… Une poussière dans l’œil… me répond-il, un étrange sourire espiègle sur les lèvres. Il fallait que je te l’enlève avant de t’embrasser…
Quoi ?

Toutes mes interrogations se perdent sur ses lèvres lorsqu'il vient de nouveau s'emparer des miennes avec une étrange douceur. Je reste pourtant interdite, quelques secondes… Le temps qu'il me faut en réalité pour comprendre ce qu'il se passe.

Je sais que ce n'est pas une bonne idée. Pourtant ce baiser, je le lui rends essayant tant bien que mal de chasser mes doutes à grands coups de pieds… L'espace d'un instant, je revois la gamine que j'étais… Celle qui l'observait constamment, guettant le moindre signe de sa part… Sans doute aurait-elle été très heureuse de vivre cet instant avec lui, elle qui n'attendait que ça…

Cela ne dure que quelques secondes et pourtant le temps semble s'être suspendu… Et tout cela me perturbe. Je suis gênée, un peu choquée aussi… Il ne me retient pas, je peux très bien prendre mes jambes à mon cou, mais je n'en fais rien. Je reste là, à goûter ses lèvres presque par instinct jusqu'à ce que tout me revienne…

Ce baiser, c'est évidemment moi qui le rompt, tête baissée et le regard posé sur la pauvre poupée reposant près de mon genou. À quel moment me suis-je redressée ? Je secoue la tête et m'extirpe de la cabane. J'ai besoin d'air et de distance… Je sens Ulvar quitter mon esprit et l'Autre se mettre à pester bruyamment.


Edward
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Mer 24 Jan - 14:43

Roland
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J’aspirais, gamin, à de belles choses, à une vie d’aventures et de rencontres. Hélas, au début de l’adolescence, je découvrais que j’étais porteur d’une malédiction et mon univers s’écroula. Je dû partir loin, sans même dire au revoir à mon amie, pour m’isoler dans un trou perdu. Je n’ai jamais voulu faire de mal à personne, pas même à cet homme qui à malheureusement croisé ma route. Je n’ai pas su me contrôler et, lorsque l’on est un lycan, cela fait rapidement beaucoup de dégâts.

J’avais beau avoir trouvé du courage grâce à Ulvar, une partie de mon esprit, majoritaire, s’attendait encore à ce qu’elle me repousse. Certes, les minutes précédentes pouvaient laisser penser qu’elle le ferait en douceur, mais tout de même.

Je l’embrassais donc avec douceur et tendresse, veillant à ne pas l’empêcher de se soustraire, les yeux clos, je cherchais à démontrer mon émotion la plus pure.
Alors, elle répondait à mon baiser, ses lèvres entrant dans la danse. Je dégustais les siennes tandis que je restais immobile. Seules mes lèvres bougeaient.
Son goût, son parfum envahissaient mes sens, ne calmant pas mon palpitant qui galopait toujours avec ardeur.
Cette boule qui, dans ma poitrine gonflait, venait écraser mes doutes, mes craintes. Cet instant resterait notre à jamais. Même les deux autres se sont terrés profondément.

Lorsqu’elle décide d’en finir, je ne la retiens pas, nos lèvres se quittent doucement et je retire ma main de son épaule. Je cherche à dire quelque chose, mais je ne sais pas quoi. Je sens mes joues brûlantes et elle regarde le sol, une vieille poupée à côté du genou. La teinte de ses joues perdure alors qu’elle s’agite.

Alors, en silence, elle se met à quatre patte et tente de sortir. Etant devant l’entrée, je suis obligé de me contorsionner pour la laisser passer, me retrouvant majoritairement en appui contre la structure de la cabane. Une fois sortie, je la voie se redresser et probablement prendre une grande inspiration. Je n’ai aucune idée de ce qu’elle pense et je me promets de le lui demander après lui avoir laissé un instant de répit. Ulvar est de retour, mais il se replie sans un mot. Il me laisse à ma situation, car elle ne me concerne que moi, Alaïs et moi.

Crrrck ! Je dresse la tête en entendant ce bruit, m’éloignant par réflexe de la paroi de la cabane.

Oooh ! Dis-je d’une voix totalement neutre avant que l’antique édifice ne s’effondre sur moi dans un capharnaüm de craquements et d’éclats de branches et de branchages.

Je suis toujours assis, servant maintenant de pilier central à cette cabane qui aura été témoin de notre baiser. Une belle bosse est à prévoir sur le haut de mon crâne tandis que je garde le silence une longue seconde.

Euh ! Aïe ? Finis-je par dire avant d’éclater de rire.

Arthécate
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Mer 24 Jan - 14:53

Alaïs
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À peine ai-je mis un pied dehors que la cabane s'écroule dans un fracas de tous les diables… Je me retourne face à un Roland toujours là, assis à même le sol, entièrement recouvert de branchages et de ces vieilles couvertures élimées. Je reste sans voix, attendant la moindre réaction de sa part … Mais son exclamation grotesque et fou-rire achèvent mon sérieux.

À mon tour, j'éclate brusquement de rire, sitôt rejointe par l'Autre qui s'esclaffe plus fort que moi…

Tu vas bien ? je demande quand même, même si je le sais bien plus solide que ça. Tu as ruiné cette pauvre maisonnette, pouffé-je en enjambant un tas de branches pour retirer celles qui sont encore sur lui. Décidément… Allez, viens là… Idiot.

Mon sourire s'étire tandis que je lui tend la main. Il n'en a pas vraiment besoin, mais j'y tiens quand même.




Edward
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Mer 24 Jan - 15:16

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A mon fou rire se joint celui d’Ulvar, alerté par le rafu et il est rapidement suivie par celui d’Alaïs.
Devant cette hilarité générale, mon rire redouble, alimenté par celui des autres. Mon cœur fait un bond spectaculaire en entendant celui de la jeune femme. Il est tellement spontané qu’il n’est permis aucun doute quant au réel amusement qu’elle ressent.
Je crois bien que je suis encore plus heureux d’entendre ce rire que de sentir le fantôme de ses lèvres sur les miennes.

Ca… Ca va, oui ! Confirmais-je difficilement entre deux gloussements tandis qu’elle m’accusait d’avoir détruit ce repère. C’est elle ! Elle m’a sauté dessus ! Raillais-je en repoussant des morceaux tandis qu’elle en retirait d’autre depuis l’extérieur.
Une fois libéré, une main au sol, je suis prêt à me relever lorsque je l’entends me dire de venir en me traitant d’idiot. L’emploi de ce mot, dans ce moment précis, me fait rougir. Il y a, cette fois, quelque chose de tendre dans son utilisation. Alors, voyant sa main tendue, je m’en saisis pour me relever.

Je me retrouve ainsi face à elle et à son large sourire, la main dans la sienne, mon cœur ne s’est pas calmé et j’ai des brindilles dans les cheveux.
Nous sommes proches et, nos mains toujours ensembles, me font frémir.

Merci ! Soufflais-je en souriant. Cela fait du bien de rire. Dis-je alors, sans trop savoir que faire ou que dire d’autre. De ma main libre, je viens chasser une brindille de son épaule, brindille que je lui ai propulsé en me redressant. Je me pince les lèvres, ayant envie de l’embrasser de nouveau et de la serrer contre moi, mais cela ne risque-t-il pas de faire trop pour elle ?

Comment te sens-tu ? Demandais-je finalement en souriant, sans la lâcher, resserrant même légèrement ma main pour lui signifier que j’aimais ce contact, sans pour autant l’empêcher de se dérober, là encore.

Arthécate
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Mer 24 Jan - 15:50

Alaïs
J'ai 27 ans. Dans la vie, je suis chasseresse. Un métier difficile et dangereux d'ordinaire réservé aux hommes. Pourquoi ? Et bien, parce que le gibier qui m'intéresse ne correspond certainement pas à ce que vous pouvez imaginer. Aussi, mon travail me pousse à parcourir le monde, toujours accompagnée de quelques hommes appartenant tous à ma famille… C'est qu'on est chasseur de père en fils chez les miens…Vous devez vous en douter, mais je suis bien évidemment célibataire et je n'ai pas vraiment le temps de m'en soucier.

Informations supplémentaires ici.


Je l'aide alors à se relever, chassant les morceaux de bois de ses cheveux, de ses épaules, toujours avec ce sourire moqueur sur les lèvres. Il a raison, c'est agréable de pouvoir rire… J'ai même l'impression que cela fait une éternité que je ne me suis pas laissée aller ainsi. Je ne remarque pas tout de suite que sa main tient toujours la mienne. Je m'en rends compte en voulant retirer une grosse écharde de son col avant que je ne renonce… Cette main qui se resserre un peu plus sur la mienne sans pour autant me retenir…

Et puis il me demande comment je me sens et… Je n'en sais rien.

Ce n'est pas moi qui me suis prise une cabane branlante sur la tête, je rétorque en haussant les épaules, bien consciente que ce n'était absolument pas la nature de sa question.

Je suis certaine que si l'Autre pouvait me donner un énorme coup de pied aux fesses, c'est précisément ce qu'elle serait en train de faire. Elle grogne et me traite d'idiote… Je me contente simplement de l'ignorer.

Je sais très bien que mon comportement est étrange et surtout paradoxal, mais je suis faite ainsi. Je suis gênée parce qu'il vient de se produire et malgré ma curiosité, je n'ai pas la moindre envie d'en parler …Pas maintenant en tout cas.

L'Autre trépigne dans mon crâne et se met à hurler pour me faire réagir… Néanmoins, je ne me vois pas lutter contre ce que je suis pas alors que je ne sais même pas où je vais. Et puis… Si jamais les choses se gâtent, je tiens à ce qu'il soit capable de tenir sa promesse le moment venu. Hors de question donc de lui donner une raison de ne pas le faire… Surtout en voyant avec quelle facilité il en vient à les rompre.

Je crois qu'il est temps de rentrer.





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