J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors de justesse. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et papa et je le vis plutôt moyen. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. Pour avoir le moins de dépenses possibles, il a un grand appart au-dessus de son gym. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents.
Max, mon fils, mon microbe
Je sais que je n’avais pas un programme bien détaillé pour le week-end mais en vrai je n’y avais jamais vraiment pensé. C’était la réponse “logique” que mon pauvre cerveau d’homme avait trouvé. Elle pourrait se balader nue que je serais tout aussi ravi! On verrait au fils des minutes qui s’écouleraient. Je ris doucement quand elle rejeta le fait de rester au lit et même que c’était la dernière fois qu’on y faisait l'amour du week-end.
- Je ne tiens pas à rester seul avec mon oreiller tu sais. Mais j’ai plein d’autres pièces et tout autre endroit où madame désire être aimée.
Bon au froid qu’il faisait depuis des semaines je doutes que j’ai vraiment envie d’avoir les fesses à l’air mais bon. Je pouvais comprendre aussi qu’elle n’ai pas envie de se retrouver au lit quand elle avait passé des semaines clouée dedans. Mais pour le moment ce n’était pas interdit d’y paresser encore non? Depuis quelques temps je cherchais comment aborder le sujet de la garde de Max. Je me doutais bien que ça ne lui causerait pas de problème mais c’était quand même un truc qu’on discutait en couple. Et elle réagit assez rapidement me faisant ouvrir la bouche à sa question pour mieux la refermer quand elle enchaîna avec la suite. Oui Max était mon fils, c’était la prunelle de mes yeux et oui je le couvais peut-être un peu trop mais si on voulait aménager ensemble, ce n’était plus un petit qui ferais des aller-retour, il allait être avec nous, toujours.
- Non… non tu ne m’as pas donné cette impression…
Merde… merde…. merde… Pourquoi j’avais dis ça? Bien sûr avant je devais trouver un bon avocat et pas un qui me demanderait un montant de malade pour me foutre à la rue. Je me sentais mal qu’elle accepte de signer des chèques pour un avocat mais en même temps, avais-je le choix? Pas vraiment. Même tout l’argent des jeunes réunis ne suffirait pas. Putin d’orgueil de merde! Cependant, elle se leva, enfilant un de mes t-shirt en grognant entre ses dents me faisant hausser les sourcils. Ok… j’avais merdé finalement. J’avais le chic de mal m’exprimer, ou à tout le moins ne pas prendre la bonne tournure de phrase. Je repoussai lentement les couvertures et allai enfiler un boxer en soupirant.
- Je sais que ça ne te dérangerait pas. Et oui ça été des cause de ruptures les allées et venues de Max. Je sais que tu es consciente que je veux le bien de Max, et toi aussi… je suis désolé. Ce n’est pas… comme ça que je voulais que ça se passe.
Je ne voulais pas l’insulter non plus, je ne voulais pas qu’elle soit en pétard contre moi pour un truc que j’avais mal dit. Quand elle me dit qu’elle aussi avait quelque chose à me dire, je me murais dans le silence appréhendant un peu ce qu’elle voulait dire justement. Oui je savais qu’elle avait résilier son bail et pour ses effets, j’étais quand même été l’aider un peu. Enchaînant ensuite qu’elle veuille acheter une petite maison, foutait mon plan en l’air de lui demander de rester avec nous. Cependant quand elle me demanda si elle devait choisir entre deux ou trois chambres je la regardai interdit. Deux… ou trois? J’ouvris la bouche et… aucun son ne sortit et je la refermai en fronçant les sourcils une petite seconde. Je m’approchais d’elle en fouillant son regard un instant.
- Tu veux qu’on aille rester ensemble? demandais-je doucement. Pas que je ne savais pas la réponse je m’en doutais fortement, Euh… je voulais t’en parler aussi justement… de là la question sur la garde de Max…
Putin… on avait eu la même idée mais on en avait pas parlé avant? Quels cons! Je souriais doucement en allant poser mes mains sur ses hanches.
- Ok euh… si tu as parlé de trois chambres c’est que tu vois… quoi pour le futur?
Futur et Jane… c’était deux mondes à part.
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Lun 30 Oct - 19:48
Jane Wilson
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– Détends-toi, Adam, je ne suis pas en colère, lui dis-je pour le rassurer un peu. Je suis juste un peu vexée que tu te sois sentis obligé de me parler de tes projets de cette manière, c'est tout.
Pour lui prouver ma bonne foi, je lui offris un grand sourire qui – même s'il pouvait paraître forcé dans ce genre de situation – n'en était pas moins sincère. Je lui parlais ensuite de mon propre projet, celui consistant à acheter une maison. La tête qu'il fit à ce moment-là était… mémorable.
– Tu veux qu’on aille rester ensemble? me demanda-t-il, un peu surpris, visiblement. Euh… je voulais t’en parler aussi justement… de là la question sur la garde de Max… – J'avais saisi l'idée mon chéri, déclarais-je, taquine. Mais comme j'aime bien t'embêter, j'ai préféré faire le premier pas et te devancer… C'est fou ce que tu peux être maladroit. –Ok euh… si tu as parlé de trois chambres c’est que tu vois… quoi pour le futur?
Sa question me prit quelque peu au dépourvu. Je ne songeais strictement jamais au futur… À quoi bon ? Il n'y a rien de mieux pour foirer ses plans que d'en faire, justement.
– Deux chambres… Une pour dormir, l'autre pour me servir de bureau et peut-être même de chambre d'amis… Trois… Pour que Max en ait une bien à lui, rétorquais-je en plongeant mon regard dans le sien…
Je me demandais bien ce qu'il pouvait se tramer derrière ses deux perles d'azur. Pensait-il à l'avenir ? Sans doute. De ce côté-là, l'on peut dire que Adam et moi n'étions certainement pas faits du même bois. Je voulais simplement lui faire comprendre que, pour ma part, je n'avais jamais envisagé cette relation sans que Max n'en fasse partie.
– Pourquoi ? demandais-je à mon tour tout en posant mes bras sur ses épaules avant d'aller chatouiller son nez du mien. Tu as pensé à quoi ? Je suis très curieuse, tout à coup.
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Mar 31 Oct - 8:54
Adam Collins
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors de justesse. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et papa et je le vis plutôt moyen. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. Pour avoir le moins de dépenses possibles, il a un grand appart au-dessus de son gym. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents.
Max, mon fils, mon microbe
Pas en colère mais je l’avais vexée, je le savais. Preuve en est son sourire qu’elle forçait. C’est con comme même les années qui étaient passées ne changeait pas totalement une personne. Mais je ne relevais pas après tout à quoi bon et en même temps elle ne me donna pas vraiment la chance exposant son projet en me disant à demi-mot le nombre de chambre qu’elle comptait prendre. Oui surpris! Je voulais lui en parler mais je ne savais pas trop comment aborder la question. J’avais peur qu’elle trouve ça trop rapide, trop tôt… finalement j’étais bien stupide de ne pas le faire. Prendre un détour pour arriver à en parler était l’idée la plus conne qui soit. Cependant, après des ruptures résultant des allées-retour de Max, des crises de Cheryl pour un oui et un non - et en qualifiant mes copines de pétasses - disons que ça fait craindre un homme. Mais Jane n’était pas sans défense, elle avait la langue bien pendue quand il s’agissait de se défendre.
- Tu es une vilaine fille tu le sais ça? dis-je moqueur.
Mais j’adorais ce trait de caractère. Ça non plus ça n’avait pas changé en fait, elle arrivait à se moquer alors que moi je pensais que j’étais vachement subtil. Visiblement… aucunement! Mais je lui demandais pourquoi le trois chambres en lui demandant ce qu’elle voyait pour le futur. La question en tant que tel était… inutile. Jane ne faisait jamais de plan, elle n’en avait jamais fait. Au contraire de moi que tout était réglé au quart de tour. Oui de part mon éducation mais aussi mon ancienne vie de boxeur parce qu’on ne peut pas arriver sans plan dans un ring. D’autre part, pour la sécurité de Max. Il lui fallait certes un cadre routinier et sécure mais aussi quelques petits projets pour l’amuser. Je voyais bien que ma question la prit au dépourvu mais elle m’offrit la réponse la plus simple du monde. Deux une pour elle, une pour un bureau. Trois pour que Max ait son coin à lui. Ouais… logique en somme. Et c’était mon tour de me faire renvoyer la question en pleine gueule. Ouais… comme si elle ne se doutait pas que je voyais déjà dans le futur. Le café coulait lentement et je la tirai à moi pour qu’elle s’assoit sur moi et je plantais mes yeux dans les siens.
- Euh… bien… j’ai pensé à un tas de trucs en fait… dis-je en tentant de mettre de l’ordre dans mes pensées qui explosaient une par une. D’abord allez rester ensemble, si tout va bien avoir des gamins ensemble.
Oui DES gamins. Pas un mais DES enfants. Elle était adorable avec Max et je ne doutais même pas qu’elle serait une maman formidable.
- Et là je ne descends pas en bas de minimum une équipe de hockey! dis-je à la blague, Non sérieusement, des enfants ensemble. Puis… je ne sais pas peut-être se marier.
Est-ce que j’en disais trop? Est-ce que je voyais trop loin? Elle m’inspirait la stabilité et je voulais vivre à ses côtés, je n’avais pas envie de quelqu’un d’autre. Je la voulais elle.
- Quoique… une vingtaine de gamins… je reverrai le type de maison que tu veux. parce que trois chambres c’est trop peu. dis-je avec un sourire moqueur.
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Mar 31 Oct - 10:07
Jane Wilson
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis illustratrice et professeur d'Art plastique et je m'en sors plutôt bien, je trouve. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Informations supplémentaires ici.
–Tu es une vilaine fille tu le sais ça ? me dit-il en affichant cette moue railleuse que je trouvais tout simplement adorable. – Je le sais… Mais chut, c'est un secret, le taquinais-je à mon tour.
Je le laissais m'entraîner jusqu'à lui… Jusqu'à ses genoux sur lesquels il me fit asseoir. J'étais curieuse de savoir ce qui se tramait dans sa tête. Ce qu'il avait imaginé pour nous… Adam n'était pas le genre d'homme à se contenter d'un "qui vivra verra". Il voyait bien plus loin que cela… Et visiblement, bien plus loin encore que ce que je pouvais imaginer.
Il ne voulait pas un, mais DES enfants… Allant même jusqu'à comparer sa descendance à une équipe de hockey. Je cherchais à faire le compte dans ma tête… Mais n'étant pas particulièrement sportive et encore moins attirée par ce genre d'activité, je ne savais pas de combien de joueurs était composée une telle équipe… Il me parla ensuite de mariage… Oui, après les enfants, selon son plan. Cela me donnait tout de même une idée de son ordre de priorité…
– Une vingtaine ? répétais-je en manquant presque de m'étouffer. Écoute, j'ai été ravie de te connaître hein, mais on va s'arrêter là, je crois, pouffais-je tout en enroulant mes bras autour de son cou.
Je n'avais, évidemment, pas la moindre envie de partir… Même si, je ne me voyais certainement pas porter autant de mini-Collins.
– Tu sais… Je n'ai jamais envisagé d'avoir des enfants. Ce n'est pas quelque chose qui me donnait envie… Être enceinte, accoucher… Changer les couches, bref… Je n'ai jamais voulu être mère.
J'avais lâché ça un peu brusquement… Mais je tenais tout de même à lui faire comprendre certaines choses me concernant.
– Avec Max, c'est facile. Il est grand, il est intéressant et surtout… Ce n'est pas le mien. Je l'adore et même si je ferais toujours tout pour qu'il se sente bien, je ne suis pas totalement responsable de son bien-être.
Je n'ai jamais été très douée pour prendre soin des autres… Enfin, c'est bel et bien ce que je croyais.
– Tu es un papa extraordinaire, vraiment… Mais je ne suis pas certaine d'avoir ton talent. Et je ne suis pas non plus certaine de le vouloir.
Ce n'était pas pour autant un refus catégorique, loin de là. Mais dans tous les cas, à mon âge, je ne me voyais pas pondre jusqu'à la ménopause.
– Ne te méprends pas, surtout. Je ne suis pas fermée à la discussion… J'ai juste besoin de temps pour réellement y réfléchir, parce que… Bah je n'y ai jamais vraiment songé auparavant… Ce serait tout de même un peu plus simple si tu acceptais de revoir le nombre à la baisse… Genre, un seul… C'est déjà pas mal, pour commencer…
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Mar 31 Oct - 20:26
Adam Collins
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors de justesse. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et papa et je le vis plutôt moyen. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. Pour avoir le moins de dépenses possibles, il a un grand appart au-dessus de son gym. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents.
Max, mon fils, mon microbe
J’adorais cette femme simple, aux besoins aussi simple que son sourire contagieux. Elle était parfaite pour un homme qui avait toujours la tête en bouillonnement. Entre les cours, la paperasses, les comptes, Max, l’école elle donnait vraiment une pause à ma tête et je peux vous dire que ça faisait un bien fou. Lui demandant ce qu’elle voyait pour le futur c’était presque de demander si Dieu existait. Jane n’avait jamais fait de plan.C’est elle qui me sortait de ma routine moche et qui me faisait faire des choses… comment dire… sur un coup de tête. Oui bon à 15 ans je n’avais pas besoin de beaucoup de persuasion ceci dit. Mais quand elle me demanda ce que moi j’avais vu pour le futur je lui exposais franchement en faisant une petite blague lui disant que je ne voulais pas moins d’une vingtaine de gamin minimum. En fait je penses que je n’aurais pas la patience pour une vingtaine de gamins même si j’aimais les enfants. 20 comme Max? Je deviens fou et on devra m’interner. Peut-être même se marier avec elle qui sait. Je le mettais après les enfants parce que même si l’idée était là, ce n’était pas grave si elle ne voulait pas non plus. Je fis un petit rire quand elle se moqua légèrement en disant qu’elle avait été ravie de me connaître.
C’est la suite qui me fit perdre mon sourire. Elle n’avait jamais envisagé avoir d’enfants. Merde… bon en soi ce n’était pas SI grave mais avoir une mini Jane qui nous roulerait dans les pattes, ce n’était pas déplaisant à imaginer non plus.
“Je n’ai jamais voulu être mère”
… Là ce fut un coup de poing au ventre. Est-ce que j’avais trop supposé? Oui Max c’était facile, c’était un gamin facile en somme. Elle n’était pas totalement responsable de son bien-être mais quand même une grosse partie. Je tentais de me faire à l’idée tranquillement. Oui j’avais un enfant mais personnellement, j’aurais tellement aimé avoir un frère ou une soeur il me semble que j’aurais eu un complice. Oui dans mes rêves les plus fous j’aurais aimé une grosse famille avec des enfants grouillant de santé et de vitalité mais bon… Si elle ne voulait pas…
- Je comprends…
Dis-je bien platement. Qu’est-ce que je pouvais dire? Je n’allais pas péter une crise non plus, c’était quand même son corps pas le mien. C’est elle qui allait le porter à supposer qu’elle change d’idée mais la fenêtre d’espoir était bien mince. Mais elle ouvrit la fenêtre d’espoir un peu plus en me disant qu’elle n’était pas fermée à la discussion mais qu’elle avait seulement besoin de temps pour y réfléchir. Doooooonc…. j’avais encore une chance alors? Bon avec la forte possibilité que ça n’arrive jamais aussi, je devais garder ça en tête. Quand elle me dit de revoir mon nombre à la baisse, genre un, pour l’aider je plissai les yeux faisant mine de réfléchir en me frottant le menton.
- Hum… Vous êtes une dure négociatrice Mlle. Wilson. dis-je toujours en feignant de réfléchir, Je blague, tu sais bien que 20 gamins… je deviendrais fou surtout s’ils sont tous aussi énergiques que Max. Puis un… c’est pas trop mal je dirais.
J’allais l’embrasser en la serrant contre moi. Je rompis le baiser et la regardais un moment.
- Tu n’as pas parlé du mariage. Est-ce que éventuellement dans un avenir lointain ça pourrait te tenter ou pas du tout? dis-je curieux T’inquiètes je ne vais pas acheter la bague demain, mais peut-être réserver la salle…
Je me moquais bien sûr parce que j’étais bien loin de là. Bien loin même d’une idée de demande.
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Mer 1 Nov - 4:48
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–Je blague, tu sais bien que 20 gamins… je deviendrais fou surtout s’ils sont tous aussi énergiques que Max. Puis un… c’est pas trop mal je dirais. – Ah mais, je me doute, oui, pouffais-je. Je n'ai pas vraiment envie de finir comme ce couple de loup dans le dessin animé avec le vampire et son hôtel là…Quelle horreur.
Un baiser de plus, un regard tendre… Bon sang, j'étais toujours surprise de voir à quel point je pouvais aimer cet homme.
– Hm… Un mariage… soufflais-je en prenant une moue pensive. Je pense que je pourrai éventuellement accepter… Quand je serai divorcée, bien-sûr … mais j'ai tout de même une toute petite condition.
Je me décalais légèrement sur ses genoux pour lui faire face. J'essayais de m'imaginer en madame Collins et cette pensée m'arracha un grand sourire… Je passais mes doigts tremblant dans ses cheveux… Ils avaient bien poussé en quelques semaines.
– Pas de bague, murmurais-je avant de l'embrasser. En tout cas, pas de diamant… J'ai toujours trouvé l'idée de dépenser une fortune dans une pierre totalement grotesque. Je ne veux plus que tu m'offres des fleurs coupées non plus… Je déteste l'idée d'exposer des cadavres en sursis dans un vase… Je préfère qu'elles gardent leurs racines…
J'étais toujours très triste quand je les voyais dépérir doucement dans leur carcan de cristal, de verre ou de porcelaine.
– Mais sans parler de demain…N'attends pas trop longtemps quand même… J'approche de plus en plus de ma date de péremption.
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Jeu 2 Nov - 6:15
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Je sais que parler gamin c’était peut-être tôt mais au moins j’étais fixé. Ce n’était pas un oui mais ce n’était pas un refus total, de toute façon on aurait le temps d’en reparler un jour. Mais si elle avait répondu à cette question, elle n’avait même pas évoqué le mariage. Je pouvais me douter que ça lui tente moyen vu le passif avec son ex mais ça, c’était ok si elle refusait. Quand elle avoua qu’elle pourrait éventuellement accepter, mon visage s’éclaira lentement d’un sourire et haussant un sourcil quand elle me dit qu’il y avait une petite condition.
- Je t'écoute…
Dis-je alors qu’elle se plaça face à moi en glissant ses doigts dans mes cheveux me faisant frissonner. J’ai toujours aimé elle joue dans mes cheveux, même adolescent. Peut-être parce que c’était un geste maternel qui m’avait cruellement manqué. Pas de bague? Euh… elle voulait quoi alors? Bon d’accord le diamant… mais un petit anneau doré c'était tout aussi bien non? Je souris doucement quand elle parla des fleurs et serrai mes bras autour d’elle mon regard connecté au sien.
- D’accord, pas de bague à diamant et des fleurs avec leur racines. J’en prends bonne note. Puis pour ce qui est de ne pas attendre trop longtemps… Tu es toujours aussi belle. Mais pour le moment si on prenait un café et qu’on mangeait? J’ai besoin de prendre des forces, une certaine rouquine me les as toutes prises.
Quelle connerie! J’étais plus en forme que jamais! Le vendredi je l’invitai au restaurant où j’avais tenté le premier rencard mais cette fois, on resta et on se bourra la panse. C’était délicieux! On se promena longuement dans McCall parlant de tout et de rien, le tout main dans la main. On s’aima une… plusieurs fois et je m’endormis avec cette femme magnifique entre mes bras.
Samedi matin, je me réveillai avant elle et je la regardai dormir quelques minutes avant d’aller faire couler le café sans la réveiller. Une fois qu’il fut coulé, je préparais rapidement de quoi manger au lit et retournai à la chambre en posant délicatement le plateau sur ma table de chevet et revint me glisser sous les couvertures et la réveiller doucement en la bécotant, la caressant doucement. Je l’appelais même en murmurant jusqu’à voir ses yeux ouvrir me recouchant sur le côté mon regard dans le sien avec un sourire tendre.
- Bonjour, dis-je doucement, tu es magnifique comme toujours tu sais…
Je rejetai une mèche cuivré derrière son épaule me comptant le plus chanceux des hommes. J’étais fou de cette femme et dormir seul à nouveau je crois que j’aurais du mal. Beaucoup de mal même.
- Assieds-toi, j’ai quelque chose pour nous. Non ce n’est pas des cadavres de fleurs promis.
Je me redressai lentement et prit le plateau que je posai sur ses cuisses et prenant ma tasse au passage.
- Comme promis, déjeuner au lit. Mais le reste de la journée, tu le décide. dis-je en prenant une gorgée de café, OH! Sauf pour ce soir. Ce soir, on va faire un truc qu’on a jamais fait ensemble et il est plus que temps même. MAIS!! C’est une surprise… je ne t’en dis pas plus!
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Jeu 2 Nov - 7:19
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Nous avions le temps, de cela, j'en étais persuadée et je comptais bien profiter de chaque minute à ses côtés… Plus particulièrement quand je pouvais l'avoir pour moi seule. Notre première soirée en amoureux fut tout simplement parfaite. J'aimais bien le fait de me laisser guider sans vraiment réfléchir. Cela me permis de réellement savourer l'instant présent sans me poser la moindre question. J'en oubliais presque ma main tremblante et trouvais le moyen d'exploser de rire en lâchant ma fourchette.
Le lendemain, je m'éveillais bien après le soleil… Faut dire aussi que pour un homme soi-disant fatigué, Adam avait su puiser dans ses ressources et les miennes durant une bonne partie de la nuit. Je pris mon petit déjeuner au lit, chose que je n'aimais pas faire en général à cause des miettes qui avaient la fâcheuse tendance à se cacher dans les couvertures pour mieux venir nous chatouiller ensuite… Mais Adam se donnait tant de mal pour me faire plaisir que je ne me voyais pas pester à ce propos. Non, à la place, je préférais l'embrasser pour mieux le remercier.
Puisque j'étais responsable du déroulement de la journée, je décidais de le traîner à une exposition dédiée à Keith Haring. Loin de trouver ses œuvres particulièrement belles, je les considérais néanmoins comme intrigantes. Je ne pouvais m'empêcher de me demander ce qu'il avait en tête lorsqu'il travaillait. Un style plutôt enfantin, dépourvu du moindre détail visuel bien que chargé d'allégories riches et variées aux couleurs toujours chaleureuses… De nombreux artistes contemporains s'inspiraient de son style sans vraiment le comprendre, chose que je trouvais particulièrement dommage.
Après cela, nous mangeâmes dans une petite échoppe spécialisée dans la cuisine locale. Rien d'extravagant ici, rien de spécialement savoureux non plus… Mais nous pûmes néanmoins repartir avec l'estomac bien rempli. De temps à autre, je m'arrêtais devant les vitrines des agences immobilières pour voir leurs biens disponibles… Simple curiosité de ma part en réalité, je préférais attendre de pouvoir vraiment en discuter avec Adam et Max avant de réellement lancer mes recherches. Après tout, il était tout à fait possible que le petit garçon ne soit pas prêt pour un tel changement dans sa vie… Mieux valait prendre le temps de faire les choses correctement pour ne rien brusquer.
Le soir venu, je rendis les rênes à Adam, curieuse de savoir quelle pouvait être cette fameuse surprise. Il y avait tant de choses que nous n'avions jamais faites tous les deux finalement… Je fus donc bien incapable de deviner ce dont il s'agissait…
– Un bar ? dis-je en arrivant devant le Peter's son. Effectivement, ça… on a jamais fait. Tu sais que tu n'as pas besoin de me faire boire pour me mettre dans ton lit, n'est-ce pas? raillais-je gentiment.
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Jeu 2 Nov - 8:14
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J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis coach de boxe et proprio de mon gym et je m'en sors de justesse. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et papa et je le vis plutôt moyen. Adam est un homme de 35 ans et père d'un fils de 5 ans nommé Max. C'est un homme doux, bon et gentil. Très protecteur envers son fils, il essaie de le protéger le plus possible des aller-retour de sa mère qui part pour des raisons super débiles. (promotion, besoin de voir autre chose, envie de vivre sa vie....) Cependant Adam sait que c'est pour des hommes qu'elle fait ça. Propriétaire d'un gym, il enseigne la boxe aux gamins paumés de son quartier. Pour avoir le moins de dépenses possibles, il a un grand appart au-dessus de son gym. C'est un homme un peu (beaucoup) orgueilleux. Il ne demande pas ou peu d'aide préférant ne rien devoir à personne. Ancien boxeur semi-pro, il n'aime pas trop parler de sa vie d'avant car il ne faisait pas ceci pour lui mais pour ses parents qui voyaient en lui le poulain prometteur. Depuis qu'il a arrêté, il ne parle presque plus à ses parents.
Max, mon fils, mon microbe
J’avais été la rejoindre sous les couvertures la regardant encore un moment alors que le soleil entrait timidement entre les épais rideaux. je ne voulais pas la réveiller trop rapidement, je voulais la voir immerger du sommeil en douceur, la voir cligner des yeux lentement de ses grand cils et voir son sourire étirer ses lèvres roses. J’aurais pu passer bien du temps à juste attendre qu’elle se réveille d’elle-même mais ça aussi j’avais le temps. Donc après un petit déjeuner au lit, un café… même deux, on se leva alors que je la laissais décider du déroulement de la journée. Je voulais qu’elle aussi ait sa journée à elle à me trimballer partout. Elle commença le tout par une exposition d’un peintre que je ne connaissais pas mais je pris le temps de regarder ses œuvres attentivement… même si je n’y connaissais que dalle. En voyant ses œuvres je me permit même de glisser à Jane que moi aussi je pourrais faire d’aussi belles œuvres. Bon en vrai mis à part des bonhommes allumettes je ne ferais pas grand chose. Je la suivais dans une petite échoppe où la bouffe était moyenne mais au moins on avait la bedaine pleine. Même en passant devant les vitrines d’agents immobilier je lui souris et passai un bras autour de sa taille. Je sais que je devrais en parler… ON devrait en parler avec Max mais lui apporter ça doucement. Un trop gros changement le rendrait nerveux mais en lui expliquant bien, il comprendrait.
Une fois revenu, je sautais dans la douche, me fit une petite beauté en me rasant de près et enfilai une chemise en roulant les manches aux coudes et un jean noir et direction la “surprise”. En arrivant près du Peter’s son je lui fis un large sourire en hochant la tête. La ramenant près de moi, je lui fis un sourire en coin quand elle me dit que je n’avais pas besoin de la souler pour qu’elle soit dans mon lit.
- Ah non? Mince… moi qui croyait te soûler pour en profiter. Mais… qui me dit que ça ne sera pas toi qui me soûlera pour profiter de mon pauvre corps?
Comme si elle en avait besoin d’abord! Un baiser rapide et j’entrai avec elle. Ce qu’il y a de bien dans les petites villes, c’est qu’il n’y a jamais de file d’attente. On arrive, on entre et… la mission, se trouver une table ou un banc. J’en repérais un près de la piste de danse et prit la main de la jeune femme pour nous y diriger. Le bar n’était pas plein à craquer mais il y avait du monde. L’éclairage des spot fix sur la piste de danse éclairait les rares danseurs alors que la musique crachait ses rythmes des haut-parleurs. Une fois assis je commandai une bière et attendit que Jane fasse son choix avant de me tourner vers elle en croisant les bras sur la table.
- Alors? C’est pas trop mal comme surprise non? Puis je vais pouvoir dérouiller mes atouts de danseur. Je me suis amélioré depuis vingt ans.
Ouais bon… il y a un moment que je n’avais pas danser mais sans être un gros lourdaud je me défendait pas trop mal en fait. Je n’étais pas Justin Timberlake mais quand même, je ne marchais pas sur les pieds du monde non plus.
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Crédits : Lorène Barioz
Univers fétiche : Med-Fan, même si je peux jouer sur n'importe quel contexte
Préférence de jeu : Femme
Arthécate
Jeu 2 Nov - 13:22
Jane Wilson
J'ai 35 ans et je vis à McCall, USA. Dans la vie, je suis illustratrice et professeur d'Art plastique et je m'en sors plutôt bien, je trouve. Sinon, je suis célibataire et je le vis plutôt mal. Informations supplémentaires ici.
Voyant son air aussi réjoui et fier, je me trouvais bien incapable de lui dire que je n'aimais pas vraiment ce genre d'endroit. De la musique, du monde… Je n'aimais pas spécialement danser non plus. Sur le moment, je me sentais un peu mal et je ne tenais pas spécialement à jouer les rabats joie. Je commandais donc une bière, moi aussi, avant de lancer quelques regards intrigués autour de nous.
– Hm… Je dois probablement être bien plus rouillée que toi…
Plus que rouillée même. J'ai toujours si bien évité les pistes de danse que je ne savais même pas comment m'y prendre…
– Alors comme ça, tu aimes ce genre de sortie ? lui demandais-je, curieuse.
Après tout, même si je n'étais pas très emballée par l'endroit, il s'agissait-là d'un excellent moyen d'apprendre à le connaître davantage. Nous avions évolué de façon si différente, lui et moi. J'avais largement eu l'occasion d'écumer les bars de New-York ainsi que les différentes salles de concert… Mais c'était une autre époque… Un temps où je ne m'y rendais qu'avec le seul et unique but d'anéantir toutes mes pensées à grand coup d'alcool ambré et de poudre blanche.
Les commandes ne tardèrent pas à arriver. La jolie brune qui déposa nos boissons devant nous n'avait d'yeux que pour le bel homme souriant assit à mes côtés. Bon sang, elle le dévorait des yeux et n'hésitait pas à lui exposer son décolleté… La scène était si drôle que j'éclatais tout simplement de rire avant de saluer la demoiselle. "Navrée, mais il est avec moi", me dis-je en souriant à pleines dents.
– Ça alors… Voilà une vision qui nous ramène bien des années en arrière ! s'écria une voix féminine dans mon dos. – T'as raison, chérie, rétorqua son compagnon… Un homme aux traits familiers qui vint saisir Adam par les épaules avant de s'asseoir à côté de lui. – Justin ? demandais-je, surprise … Stacey ??? – Bon sang Jane, ça fait si longtemps.
Vingt ans… J'étais si heureuse de la revoir que je me jetais tout simplement dans ses bras. Dire qu'elle n'avait pas changé serait un vilain mensonge, mais elle restait toujours aussi jolie et pétillante.
– C'est bon de vous voir tous les deux, me dit-elle avant de demander aux hommes de se décaler afin de prendre place à mon côté. On s'incruste dans votre soirée en amoureux… Pour une fois que nous n'avons pas les enfants… – Ouais… Vaut mieux éviter que l'on se retrouve tous les deux… C'est un coup à lancer le quatrième… – Parle pas de malheur…