"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly
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Lun 8 Juil - 13:26
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Cela faisait pratiquement un mois qu’ils avaient échangé leur premier baiser sur le canapé du salon. Un mois que leur collaboration n’avait plus d’existence réelle, au profit d’une relation qu’ils chérissaient autant l’un et l’autre. Pourtant, lorsqu’Edward s’attardait sur ces dernières semaines écoulées, leur bonheur n’avait été qu’éphémère. Le cruel constat auquel il était parvenu ce matin même, alors qu’Angelica était encore profondément endormie dans ses bras, c’était qu’ils n’avaient eu que tout au plus vingt-quatre de bonheur ensemble. Le reste du temps n’avait été que ponctué d’absence, de disputes et d’éloignement. Ce n’était pas ainsi que le politicien concevait son union avec la jeune femme. Il avait été l’unique et seul responsable de cette distance entre eux deux, et désirait dorénavant s’investir corps et âme dans cette relation qui le comblait au quotidien. Angelica était son premier et probablement seul amour. Il souhaitait maintenant lui prouver dans quelle mesure elle lui était précieuse, et ça commençait par organiser une escale improvisée au Montana. Trois jours où aucune visite inopinée ne viendrait les interrompre. Il ne l’aurait que pour lui seule, mais plus encore, elle l’aurait pour elle seule. Ce qui n’était pas une évidence au quotidien… Edward s’était organisé avec Ava le matin venu pour qu’elle le supplée au cours des prochains jours. Les craintes d’Angelica étaient légitimes et le poids de la culpabilité pesait sur les épaules du quadragénaire qui avait conscience que sa carrière leur ôtait bien du temps qu’il aurait pu lui consacrer à elle, à eux deux. Cette fois-ci, le politicien ne disparaitrait pas toute une semaine durant. Il serait présent chaque soir pour dîner en compagnie de la femme qu’il aimait, et chaque matin pour échanger quelques mots avant son départ pour le bureau. Il le lui promit.
Maintenant, il ne désirait plus qu’obtenir une réponse de la part de l’influenceuse qui accepta. Un sourire sincère et réjoui étira les lèvres d’Edward à ce simple mot. « Prends-le temps qui t’es nécessaire la mia luce. Le pilote attends mes directives ». L’un des avantages à disposer de son propre jet privé, c’était que le départ ne dépendait nullement d’une compagnie, mais de lui seul. La couvant amoureusement du regard, il souffla « Tu disposes de tout le temps dont tu as besoin ». Il ne comptait aucunement la presser. Il se saisit de la lance de sa tasse pour porter le doux breuvage à ses lèvres et une certaine incompréhension voila brièvement ses prunelles azurées, avant de comprendre de qui elle parlait. Ava. Il avala lentement sa gorgée tout en déposant de nouveau le récipient sur le marbre noir « Tu veux dire en dehors du fait que je t’aime et que tu es ma compagne ? » la taquina-t-il et reprit « Je vais l’en informer de ce pas ». Edward se doutait que la réaction de son assistante pouvait probablement l’inquiéter. Par conséquent, et parce qu’il souhaitait qu’elle ait l’esprit serein pour ces prochains jours, il se promit d’en informer Ava d’ici quelques minutes. Tandis qu’elle terminait son petit-déjeuner, le politicien en profita pour l’imiter avec sa simple tasse de café. Il renferma son corps de ses bras quand elle se blottit tout contre lui et sourit « Prévoit des tenues estivales, un maillot de bain et un pull pour le soir. Les sous-vêtements sont superflus » et déposa ses lèvres sur le bout de son nez, avant de lui rendre son baiser « Je sais ».
Profitant qu’Angelica ne soit occupée avec sa propre entreprise, Edward se saisit du petit appareil afin de contacter Ava. Il n’était qu’à quelques mètres de la jolie rousse, profitant ainsi pleinement de la vue qu’elle lui offrait dans sa tenue de yoga qui épousait parfaitement ses formes, dans des postures qu’il ambitionnait à répéter dans d’autres circonstances. La voix de son assistante mit un terme à son observation rigoureuse de sa moitié « J’ai été informé par Angelica que le contrat n’avait plus d’existence légale » « … » « Elle m’en a informé également » « … » « Je sais tout ça Ava. Je n’appelais pas pour te réprimander » « … » « Angelica est venue vivre avec moi dès hier soir » « … » « Nous sommes ensemble depuis un mois maintenant ». Ava en fut tout d’abord surprise, puis il avait pu entendre son sourire par la suite. Elle avait secrètement espérée que ça se produirait. Si son choix s’était porté sur l’influenceuse, c’était dans l’espoir qu’il ne succombe à son charme à un moment donné. Il avait le droit d’être heureux, lui aussi. Tels avaient été les mots de son assistante. Décontenancé, il avait raccroché, préparé sa valise sans un mot et avait rejoint l’entrée peu de temps avant la jolie rousse à qui il rendit son baiser avec autant d’envie «J'en rêve depuis une éternité», et se saisit des deux valises dont il se délesta dans le coffre de la berline. Il prit place à l’arrière, comme à son habitude, sa main sur la cuisse d’Angelica « J’ai informé Ava que nous étions ensemble » déclara-t-il après quelques minutes de silence à observer le paysage urbain, puis reporta son attention sur la femme à ses côtés « Elle n’en fut pas surpris outre-mesure. En jetant son dévolu sur toi, elle espérait que notre collaboration atteigne une telle issue ». Il caressa sa cuisse de son pouce et lui sourit avec douceur, préalablement au baiser qu’il déposa sur sa tempe « Flynn ne m’en veut pas de te kidnapper pour les trois prochains jours ? ».
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Charly
Lun 8 Juil - 14:42
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Un haussement de sourcils. Le pilote ? ça voulait dire avion privé ? Elle ne posa pas question. Elle voulait simplement dire oui, tout gérer en amont et s’enfuir avec Edward pour profiter pleinement de trois jours rien qu’avec lui. Elle revint sur le sujet Ava. L’assistante d’Edward devait être mise au courant. Angie l’appréciait, mais elle n’était pas certaine que les choses soient réciproques. Le contrat invalidé, l’influenceuse n’avait aucune raison de vivre ici. « -elle n’en a pas conscience… » répondit la jeune femme avec douceur. Ava n’était pas bête, elle avait probablement comprit seule que quelque chose s’était déroulé entre eux afin qu’ils ne parviennent plus à communiquer. Cela ne voulait cependant pas dire qu’ils avaient des sentiments l’un pour l’autre. « -merci… » souffla Angie. Elle n’aimait pas les non-dits ou les mensonges. Il était de dire à Ava ce qui se passait véritablement entre eux. Peut-être qu’en étant informée, elle interviendrait moins… Angie l’espérait. Il la fit rire lorsqu’il évoqua les sous-vêtements qui n’étaient pas indispensable. « -aucun voisinage ? » demanda la jeune femme avec un sourire en coin.
Elle prit le temps de donner son corps de yoga, au bord de la piscine. Lorsque la séance toucha à sa fin, elle informa ses followers qu’il n’y aurait pas de yoga les trois prochains jours. Elle les dorlota, leur assura qu’il y aurait tout de même une vidéo par jour. Pas du live, mais un cours qui leur permettait de pouvoir faire du sport. Elle leur envoya des bisous et fila à la salle de bain. Elle se prépara, et lorsque sa valise fut prête, elle gagna le hall. Elle suivit Edward jusqu’à la voiture, salua le chauffeur et tourna la tête vers Edward lorsqu’il prit la parole. « -d’accord… » souffla Angie, même si elle mourrait d’envie d’ajouter un et !!!!! Elle voulait savoir ce qu’avait pu dire Ava. Mais elle tenta de rester patiente. Edward lui donna finalement plus de détails. « -sérieusement ? » elle avait plissé les yeux en entendant cela, assez surprise. Décidément, Ava était parfois une énigme. « -et bien… tant mieux… » même s’ils n’avaient pas besoin de sa bénédiction. Elle préférait avoir Ava de leur côté. « -pas du tout. Il est heureux de me savoir heureuse… » Flyn avait été ravi de l’entendre sourire au téléphone et ravi de pouvoir lui permettre de prendre trois jours hors du temps. Lorsqu’ils arrivèrent sur le tarmac, elle ne pu s’empêcher un regard pour Edward. « -j’ai la sensation d’être une princesse… c’est assez étrange et plaisant à la fois… » elle n’avait jamais réfléchit à la fortune dont pouvait disposer Edward. Le jet privé qui les attendait, lui en donnait une petite idée. Elle le suivit à l’intérieure de l’appareil, sa main dans la sienne. Dans l’esprit de la jeune femme, une question revenait : pourquoi est ce qu’il se prenait la tête à travailler ? Et surtout à faire un job qui ne lui plaisait par, alors qu’il avait la fortune nécessaire pour vivre, une vie de rêve ?
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Lun 8 Juil - 20:41
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Edward avait bien compris que c’était important pour Angelica que son assistante soit informée de leur relation naissante. Le contrat ne disposant plus d’existence légale, elle voulait justifier sa présence en ces lieux. Bien qu’il la taquina à ce sujet, le politicien concéda d’ appeler Ava dans la matinée pour l’aviser de ses sentiments à l’encontre de l’influenceuse. Un sourire pour seule réponse et la laissa venir se blottir tout contre lui, enserrant son corps dans ses bras, prenant soin d’énumérer les différentes tenues qu’elle pouvait amonceler dans sa valise. Son rire était la plus douce des mélodies qui lui était donné d’entendre et ne put que sourire plus encore à ce son « Nous sommes entourés par des hectares de nature et de conifères. Tu pourras être nue toute la journée si tu le désires mon amour » conclut-il tout en laissant ses pensées s’aventurer sur les courbes affriolantes et entièrement nue de sa compagne. Il n’aurait aucunement besoin de s’embarrasser de lui ôter le moindre morceau de tissu pour la faire sienne dès que l’envie se ferait ressentir. Il déposa ses lèvres sur les siennes pour interrompre ses pensées peu chaste, la laissant retourner à ses occupations matinales. Il n’avait suffit que de trois heures seulement pour qu’Angelica n’organise ses réseaux sociaux pour les jours à venir auprès de Flynn et ne prépare sa valise. De son côté, il passa son appel à son assistante, tel qu’il l’avait promis à sa moitié, sans se douter un instant que la conversation lui révélerait qu’Ava avait nourrit l’espoir de les voir unis au moment où ils avaient tout deux apposés leurs signatures sur ledit contrat.
Une révélation qu’il formula à l’attention d’Angelica peu de temps après, tandis qu’ils étaient en route pour le tarmac. « Elle souhaitait me voir heureux à mon tour, et elle a pensé que tu étais la femme qui me correspondrait. Elle ne s’est pas attardée sur les détails, et je ne suis pas certain de le désirer ». Edward resserra son emprise sur la cuisse de la jeune femme « Peu importe que ça soit le résultat d’une manigance orchestrée par mon assistante, je t’aime et c’est tout ce qui m’importe ». Il se pencha pour embrasser sa tempe et reprit en l’interrogeant au sujet de son meilleur ami qui se retrouvait brusquement accablé par davantage de travail. « Je commence à apprécier cet homme » déclara-t-il avec douceur. La sombre berline ralentit son allure pour venir se garer à quelques mètre seulement du jet privé de la famille Wyler. Une hôtesse de l’air les attendait patiemment en compagnie des deux pilotes, au pied des marches. « Tu es ma princesse, je veux te baiser les mains, je veux te prendre dans mes bras » chantonna-t-il avant de rire doucement, quittant l’habitacle sous le regard perplexe de son chauffeur qui l’imita, non sans être décontenancé par l’attitude de son employeur. Quant à Edward, il ouvrit la portière à sa moitié, lui tendant la main, ses doigts s’entrelacèrent hâtivement aux siens « Le jet privé est la propriété de la famille Wyler » précisa-t-il tout en saluant l’équipage au moment de gravir les quelques marches qui les menèrent au cœur même de l’appareil. Edward s’installa à proximité du hublot, comme chaque fois qu’il prenait cet avion pour ses déplacements professionnels et personnels, conviant à Angelica à en faire de même « J’ai conscience qu’on en a jamais parlé tous les deux, parce que j’ai toujours su que ce n’était pas un problème pour toi, mais tu es en droit de m’interroger sur ma fortune ».
Le petit appareil parcourut la moitié du pays en quatre heures seulement, atterrissant sur le tarmac de l’aérodrome de Babb, à quelques kilomètres seulement de leur propriété secondaire. Un taxi avait été réservé antérieurement pour les déposer à leur propriété secondaire. Un chalet bucolique entouré de plusieurs hectares de nature et d’un lac supplanté d’un large ponton sur lequel reposait du mobilier de jardin. Ils n’étaient qu’à quelques deux ou trois kilomètres à pieds du célèbre Parc National de Glacier et de la forêt de conifères qui l’enveloppaient. Se saisissant des deux valises, Edward ouvrit la voie jusqu’au petit chalet décoré chaleureusement. La porte s’ouvrait sur un salon disposant d’une petite cheminée pour les froid d’hiver, d’un mobilier fait de cuir et de bois. A droite, se trouvait la salle de bain, quant à gauche, le salon s’ouvrait sur une cuisine intimiste. Quant aux chambres, elles étaient toute à l’étage supérieur. Le politicien se délesta de ses fardeaux dans l’entrée et fit découvrir le lieu à l’influenceuse, jusqu’à ce que la découverte ne cesse devant la porte de ce qui allait être leur chambre « Ferme les yeux » lui demanda-t-il simplement. Lorsqu’il en fut assuré, Edward tourna la poignet de la porte, s’ouvrant sur une imposante chambre aux draps en lin recouverts de pétales de roses, et souffla « Ouvre ». Sa main toujours dans la sienne, il continua de se reculer jusqu’à la chambre pour atteindre une seconde pièce. La salle de bain. Il avait gracieusement payé la femme de ménage pour qu’elle prépare la pièce avec des bougies, des pétales de fleurs sur le sol et un bas moussant maintenu à température ambiante jusqu’à leur arrivée « Tu es ma princesse » murmura-t-il « J’ai pensé au chocolat » tout en désignant une boite à proximité de la baignoire « Tu aimes ? ».
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Lun 8 Juil - 21:25
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Malgré les recommandations d’Edward au sujet des tenues qu’elle pouvait emporter ou non, la jeune femme avait fait une valise avec tout ce qu’il convenait d’emporter. En l’espace de quelques heures, elle était prête et les quelques jours programmés loin de son téléphone ne seraient pas un souci pour son activité professionnelle. Flynn s’occupait du reste. Angie était prête à totalement déconnecter et seulement se consacrer à sa connexion avec Edward. Dans la voiture, elle fut quelque peu surprise de la réaction d’Ava. Savoir qu’elle avait nourrit des espoirs de les voir tomber amoureux l’un de l’autre, pire encore qu’elle ait eut en tête qu’Angelica pouvait être une femme capable de rendre heureux le politicien, était assez surprenant. Ava était visionnaire ou médium… aller savoir. « -oh je… je n’étais pas en train de me poser ce genre de question. Je sais que nos sentiments se sont développés autrement que par une manigance d’Ava. » elle ne pouvait pas prévoir à l’avance comment les choses allaient évoluer entre eux. Quoi qu’il en soit, Angie était tout de même soulagée qu’Ava soit en accord avec tout cela. Cela lui faisait peut-être un atout en plus… La sœur d’Edward semblait être heureuse pour eux également. Restait encore les parents… Mais là tout de suite, Angie n’en avait rien à faire. Tout ce qui comptait, c’était ces quelques jours passés rien que tout les deux, loin du monde.
En arrivant devant le jet, Angie se mit à rire devant l’interprétation d’Edward. Elle le suivit avec hâte, avant de hocher la tête. Puis elle prit place avec lui dans l’appareil après avoir salué l’équipage. Un léger froncement de sourcils. « -je m’en fou complètement de savoir combien de chiffre à ton compte en banque. » ce n’était pas pour sa fortune qu’elle était tombée amoureuse de lui. Ses propres affaires lui permettait une vie confortable. Elle n’était pas présente ici en tant que profiteuse. Et que ceux qui pensaient ainsi aillent au diable.
Angie ouvrit de grands yeux en découvrant le chalet. Elle trouva l’endroit merveilleux. Intimiste sans être imposant. Elle apprécia la décoration intérieure, et suivit Edward pour la visite. Un léger sourire lorsqu’il lui demanda de fermer les yeux, répliquant avec humour : « -c’est une love room ? » sous entendant qu’il y avait derrière cette porte tout un tas de choses d’ordre sexuel. Elle ferma les paupières et le laissa la guider à l’aveugle. Elle suivit de nouveau ses ordres et découvrit une chambre romantique décorée avec soin. A nouveau elle le suivit pour poser les yeux sur une salle de bain elle aussi des plus romantiques qui soit. Un léger rire amoureux en voyant les chocolats, avant de répondre en passant ses bras autour du coup d’Edward. « -j’adore… » elle déposa ses lèvres sur les siennes avec douceur. « -merci pour cette belle surprise… » normal qu’il se soit levé tôt pour donner tant de consignes et faire préparer tout ça. « -ça serait dommage de ne pas en profiter tu ne crois pas ? » proposition cachée alors qu’elle glissait déjà ses mains sous le haut d’Edward dans le but de lui retirer. Quelques minutes plus tard, ils se glissaient dans l’eau chaude. Son dos contre le torse d’Edward, elle soupira de bien-être.
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Lun 8 Juil - 21:58
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Apprendre que son assistante avait su déceler en l’influenceuse, une femme capable de le faire tomber amoureux pour l’unique fois de son existence, n’altérait en rien les sentiments qu’il lui portait. Cela ne bouleversait aucunement la perception qu’il avait de leur relation. Il ne se sentait pas l’objet d’une sombre machination le poussant à succomber aux charmes d’Angelica. Il était seulement remerciait seulement ce jour béni au cours duquel Ava avait évoqué à voix haute cette idée ubuesque de simuler une relation amoureuse afin de croître les voix en son sens. Sans cela, il n’aurait jamais rencontré la femme qui se trouvait dorénavant à ses côtés et à laquelle il appartenait dans son entièreté. « C’était imprévisible et soudain ». Si Ava avait prédit que l’influenceuse pouvait s’octroyer son cœur d’une manière si unique, l’évidence n’avait pas été similaire pour eux deux. Aujourd’hui encore, leur relation n’était nullement acquise. C’était un travail de longue haleine, mais qui méritait tout l’investissement dont ils étaient capables l’un et l’autre. La jeune femme était parvenue à faire de lui un homme différent, un homme meilleur. Un homme capable de chanter sur la banquette arrière de sa berline afin de faire rire sa petite-amie, se moquant bien du regard que pouvait porter Jeffrey sur lui à l’issue. Il voulait être cet homme pour elle. Edward reprit toutefois un semblant de sérieux afin de saluer l’équipage du jet privé et prit place sur les sièges en cuir, à proximité du hublot, avant de choisir d’évoquer sa fortune « Mon amour, pas une once de seconde j’ai envisagé que tu m’aimais pour mon argent. Crois-moi » déclara-t-il en glissant sa main jusqu’à la sienne « Nous vivons ensemble et ma fortune est un sujet que nous n’avons jamais abordé. J’ouvre juste la boite de pandore. Si tu as des questions, tu peux me les poser. Si tu n’en as aucune, ça me convient tout autant ». Il se pencha pour embrasser sa main « Je ne me souviens plus si je te l’ai dit aujourd’hui. Tu es belle ». Il aimait lui dire à quel point il la trouvait belle, parfaite à ses yeux. Ça pouvait sembler fleur bleue ou rasoir à certains moments. Néanmoins, pour Edward, c’était important. Il voulait qu’elle se voit belle dans son regard à chaque fois qu’elle se trouvait en sa présence.
Le chalet dans lequel ils allaient résider les prochains jours étaient construits uniquement de bois, et offrant une atmosphère chaleureuse et bucolique au lieu. Il se trouvait au milieu d’un terrain de plusieurs hectares appartenant à sa famille. La première propriété secondaire que les Wyler s’étaient offerts en arrivant sur le territoire américain. Il lui découvrir chacune des pièces, à l’exception de leur chambre. Il avait organisé une surprise à son attention et lui demanda de fermer les yeux. Un petit rire échappa au politicien « J’ignore ce que c’est qu’une love room la mia luce », et ouvrit la porte, la guidant à l’aveugle dans la pièce décorée de pétales de roses. Il continua de l’entrainer jusqu’à la seconde pièce, qui était la salle de bain. L’ambiance était plus romantique. Des bougies étaient disséminés un peu partout dans la pièce, au milieu des fleurs choisies expressément pour ce jour. Il n’avait pas omis pour autant la boite de chocolat, dont la précision amusa la jeune femme qui vint nouer ses bras autour de son cou, tandis qu’il l’imitait en enserrant sa taille. Edward lui rendit son baiser avec autant de douceur qu’elle et souffla « J’ai envie de prendre soin de toi. Que ces trois jours soient tout simplement magiques ». Ces dernières semaines avaient été particulièrement compliquées pour eux deux, pour leur relation. Le politicien désirait que ces trois jours soient différents. Il voulait lui prouver qu’elle avait prit la bonne décision en revenant à lui. Il saurait la rendre heureuse. « Avez-vous des idées Mademoiselle Gordon ? » et frissonna à la caresse de ses mains. Quelques minutes plus tard, le quadragénaire avait ses mains nouées sur le ventre d’Angelica, alors blottie tout contre lui dans l’eau chaude de leur bain « J’avais envisagé de t’emmener en Italie. Mais j’avais envie d’être égoïste et de t’avoir pour moi seul » et déposa ses lèvres sur l’épaule de cette dernière « Parle-moi de la Nouvelle-Orléans. Comment ça s’est passé ? ».
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Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Edward avait raison, ils n’avaient jamais parlé argent. Actuellement, elle n’avait pas la moindre envie de gâcher le weekend en parlant de ça. Devait elle lui payer un loyer pour l’appartement ? Faire moitié moitié sur les factures ? Jusqu’à présent, elle ne s’en était pas formalisée, parce qu’il y avait le contrat. Parce que techniquement, elle était payée pour être entre ses murs, avec lui. Mais avec la décision prise cette nuit, les choses allaient changer. Cependant, elle imaginait très mal Edward accepter de l’argent venant d’elle. Ce sujet allait être houleux et elle n’avait pas envie d’assombrir l’ambiance. « -une autre fois… » elle voulait seulement profiter sans se prendre la tête. Trois jours. C’était peu. Alors non, elle ne voulait pas de sujet lourd. La réalité les retrapperait tôt ou tard. Trop rapidement sans doute d’ailleurs.
Angie apprécia le chalet tout comme ses alentours. Elle aimait autant la ville que le grand air. Elle n’était pas forcement une adepte de camping ou de randonnées mais elle appréciait le calme des lieux reculés. Ils étaient propices à la méditation, au repos également. Edward en avait besoin après sa semaine de travail intense. Ici, personne ne viendrait les déranger. Et c’était tout simplement parfait. Un peu comme la surprise qu’il lui avait fait, dans cette salle de bain. Bougies, pétales de fleurs et chocolat. Sans compter le bain moussant… que demander de plus ? Elle se sentait comblée. Et c’était un long soupire de bien-être qui avait passé ses lèvres alors que son corps était moulé à celui d’Edward, dans l’eau chaude. « -trois jours ça aurait été un peu court pour l’Italie… » elle posa sa joue contre son épaule, comme si cela lui permettait de le voir et ajouta : « -c’est parfait… » oui, ça l’était. « -d’accord… » souffla Angie avant de commencer : « -j’ai été contacté il y a quelques temps par un couple qui voulait offrir des séjours clés en mains en Louisiane. Ils cherchaient un moyen de faire leur pub, et m’ont demandé si je pouvais tester et leur faire un retour. » voilà elle plantait le décor. « -des personnes adorables, qui croient en leurs idées et leurs projets. Tout ce que j’aime. » elle avait adoré. « -c’était dépaysant et pourtant c’est le même pays… du coup, avec Flynn on a tester leur séjour. Et c’était vraiment top. Ils m’ont dit qu’ils avaient déjà de bons retours. » elle sourit pour elle-même : « -je suis contente que ça ait fonctionner, ils méritent d’être connu. » et c’était aussi pour ce genre de chose qu’elle aimait son métier. Elle évita avec soin de parler du fait qu’il avait été présent dans son esprit durant tout le voyage. Elle n’avait pas forcement envie de revenir là-dessus. « -c’est amusant de partir en exploration. De tester de nouvelles choses. La balade en hydroglisseur dans le bayou, c’était incroyable. Tout comme la croisière jazz sur le bateau à vapeur. » elle adorait son métier qui lui permettait de découvrir des choses aux quatre coin du monde, mais aussi de merveilleuses personnes.
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Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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Dans l’avion qui les menait tout droit dans le Montana, Edward accepta sans mot dire la décision de la jeune femme. Cette dernière ne désirait pas aborder le sujet de son importante fortune pour le moment. Cela signifiait qu’elle appréhendait d’ores et déjà la probable tournure désagréable que pourrait entreprendre un tel échange entre eux deux. Le politicien avait conscience qu’il était en partie responsable de ces craintes que nourrissaient Angelica. S’il ne se montrait pas si irascible en tout temps, les conversations seraient plus légères et sa moitié ne les redouterait pas tant dès lors que le sujet était décisif pour eux deux. Pour autant, il accepta son choix et ne s’aventura pas de nouveau sur ce terrain-là au cours du vol qui les menait tout droit vers leur résidence secondaire. Un chalet bordait de nature, un appel silencieux à la sérénité et au calme. Tout ce dont ils avaient besoin après ces dernières semaines qui n’avaient eu de cesse que de les éloigner l’un de l’autre. En ce lieu, ils ne seraient importunés par nuls autres que quelques insectes. Ils étaient à l’abri des visites inopinées et des appels intempestifs. C’était le lieu idéal pour se retrouver. Pour cela, Edward s’était levé aux aurores afin d’organiser leur arrivée dans les moindres détails. Ainsi, un bas moussant les attendait à leur arrivée, entouré de bougies et de fleurs de toute sorte. Ici-même, le temps n’avait plus son importance. Ils n’étaient tenus à aucune obligation d’aucune sorte.
Une tranquillité d’esprit qui avait rarement lieu d’être pour celui dont la vie n’était qu’une succession d’obligations. Pourtant, au milieu de cette nature sauvage, dans cette baignoire abondante de mousse, il était pleinement comblé. La présence d’Angelica au creux de ses bras suffisait à son bonheur. « J’aurais envisagé de m’absenter plus longtemps si tel avait été le cas. Je voulais seulement t’avoir pour moi seul ». Bien que leur amour soit solide, leur relation ne l’était pas tout autant. Ce dernier mois avait été jonché de désaccords et d’éloignements en tout genre, et ils avaient plus que besoin de se retrouver. La présence de Nonna n’aurait pas permis cela. Il avait dès lors jeté son dévolu sur ce petit chalet dans le Montana. Il déposa ses lèvres sur sa tempe, et la laissa évoquer son voyage à la Nouvelle-Orléans. Il lui prêta une oreille attentive tout en caressant instinctivement son ventre de ses doigts. « Est-ce que tu proposes régulièrement ce genre de services sur tes réseaux ? » demanda-t-il tout en venant poser ses lèvres contre sa chevelure rousse « Je suis ravi de constater que les crocodiles ne t’ont pas trouvé aussi appétissante que moi ». Il émit un petit rire en imaginant le célèbre dessin-animé de Walt-Disney mettant en scène une Princesse dans le bayou de la Nouvelle-Orléans. « Peut-être que je pourrais t’accompagner lors de ton prochain voyage ». C’était une simple proposition. Elle était en droit de refuser, souhaitant maintenir la barrière entre vie personnelle et professionnelle.
Edward se pencha pour ouvrir la boite de chocolat et se saisit de l’un d’eux, le portant aux lèvres d’Angelica « Ouvre la bouche » et glissa la friandise entre ses lèvres « C’est un artisan local qui les prépare », et s’en saisit d’un à son tour, tout en reposant son dos contre la baignoire « Tu as raison. Les chocolats, c’est plus agréable que les fleurs » et sourit à ces mots tout en fermant les paupières, ses mains de nouveau sur le ventre d’Angelica « Je voulais te dire que Flynn peut venir quand il le désire. C’est chez toi maintenant ». Dès le premier jour de leur cohabitation, Edward avait refusé que le meilleur ami de cette dernière ne se présente à l’appartement sans y être préalablement invité. Aujourd’hui, tout était différent. Ce penthouse était également le sien, et il désirait qu’il en soit ainsi dans les moindres détails. Les paupières toujours closes, sa tête reposant tout contre la baignoire, il ajouta « Je veux que tu t'imprègnes des lieux, que tu te plaises à décorer l'endroit comme tu le désires. C'est chez toi maintenant l la mia luce ».
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Charly
Mar 9 Juil - 20:12
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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L’Italie… Il l’avait déjà évoqué. Elle aurait dit oui également. Parce qu’elle aimait ce pays, parce qu’elle avait envie de rencontrer sa Nonna chérie, parce que partir au bout du monde avec lui ne lui faisait pas peur. Mais le choix du chalet dans le Montana est parfait. Partir quelques jours et se couper du monde, était sans doute la meilleure option pour leur couple actuellement. Après ces deux semaines de distances et de froid, ils avaient de véritablement se retrouver. Et cela commençait par ce bain, coller l’un à l’autre, au milieu de la mousse et des pétales de fleurs. « -tu as fait le bon choix, c’est parfait… » elle l’avait déjà dit. Mais c’était le cas. La cadre était magnifique, et l’isolement également. Cela leur ferait du bien. Ils le savaient l’un comme l’autre.
Angie lui confia les détails de son voyage en Louisiane, lui expliquant le pourquoi de ce voyage. Ce n’était pas la première fois qu’elle était sollicité pour ce genre de chose. « -ce n’est pas la première fois qu’on me le demande oui. C’est une collaboration. C’est mon image qui fait vendre. J’offre un code promo également sur le séjour. Je touche une commission en retour. » elle sourit : « -soit comment allier l’utile à l’agréable. » où prouver par A+B à Edward qu’un job pouvait être rentable et vivable ! « -c’est exactement la même chose que pour un placement de produit. Tapis de yoga, gourde, thé et encore bien d’autres trucs. » un léger haussement d’épaules. Ça ne s’était pas fait en un jour bien entendu, mais aujourd’hui, elle en vivait convenablement. Et surtout elle adorait ce qu’elle faisait. « -hé tu rigoles mais c’est super impressionnant à voir, surtout de nuit. » elle remonta un bras pour caresser celui d’Edward, avant de sourire à nouveau et en pencher la tête en arrière pour le regarder : « -pourquoi pas oui… » cela voulait dire prendre des vacances, partir en voyage peut-être du jour au lendemain, vouloir apparaitre sur ses réseaux aussi. « -tu accepterais qu’on voit ton visage sur mes réseaux ? » demanda-t-elle alors. Ils n’avaient pas parlé argent, ou fortune, mais ils n’avaient pas non plus abordé cela. Leur relation au grand jour !
Angie ouvrit la bouche comme il le lui demanda, avant de trouver le chocolat en question délicieux. « -délicieux ! » commenta la jeune femme. « -les fleurs c’est trop beau aussi… cela rendait l’atmosphère totalement romantique et elle adorait ça également. « -ici ? » demanda Angie sans le laisser finir. « -ah ! » ajouta la jeune femme en comprenant. « -d’accord… » il le lui avait déjà dit… Elle sourit. « -cela sonne encore étrangement à mes oreilles, je dois bien l’avouer… » parce que chez elle, c’était un tout autre appartement à la base. « -tu crois qu’il serait possible de dédier une pièce à… enfin un peu comme ton bureau. Un espace à moi, pour travailler. Ça m’évitera de m’éparpiller entre la bibliothèque et le grand salon. » ce qui était le cas jusqu’à maintenant. Elle n’avait pas forcement besoin d’un lieu précis pour travailler, le bord de la piscine lui allait aussi. Mais peut-être qu’une pièce rien qu’à elle serait la bienvenue.
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Manhattan Redlish
Mar 9 Juil - 21:12
Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.
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L’Italie était une option tout aussi séduisante que ce chalet intimiste dans les hauteurs du Montana. Toutefois, il s’était dissuadé de lui-même de parcourir la moitié du globe si promptement. Les derniers jours avaient mis en péril le doux équilibre de leur relation, et ils avaient avant tout besoin de se reconnecter l’un à l’autre au cours de ces quelques jours. L’Europe pouvait encore patienter quelques semaines. Le calme du lieu leur serait plus favorable que l’enthousiasme débordant de Nonna, bien que cette dernière était plus qu’impatiente de rencontrer la femme qui était parvenue à rendre le sourire à son précieux petit-fils. S’il désirait lui présenter un jour Angelica, il devait auparavant prouver à la jeune femme qu’elle avait eu raison de lui revenir et de lui confier ainsi son cœur. Il n’était pas seulement un homme hostile et acariâtre. Il était également capable de prendre soin de la femme qu’il aimait et de tout mettre en œuvre pour la rendre heureuse. Entendre Angelica confirmait qu’il avait prit la décision la plus pertinente dans le choix de la destination le rassura malgré tout et déposa ses lèvres sur son épaule nue pour seule réponse, et s’intéressa par la suite au dernier voyage de la jolie rousse qui s’était déroulé en Louisiane. Bien qu’il avait particulièrement désapprouvé son choix de carrière lors de leur rencontre, le politicien avait su apprendre de la jeune femme qui avait détruit un par un ses aprioris sur sa profession. Aujourd’hui, Edward se découvrait un attrait certain pour son métier d’influenceuse et appréciait qu’elle partage avec lui ses différentes collaborations. À l’instar d’une réelle femme d’affaire qui avait su concilier la liberté, le plaisir et le productif. « Tu as déjà visité d’autres lieux pour ton travail ? » demanda-t-il réellement intéressé par l’information « Dois-je comprendre que tu m’invites à en faire de même mon amour ? ». Il ne s’en offusquait pas. Il connaissait mieux que quiconque l’opinion d’Angelica sur son choix de carrière. Ce n’était nullement un secret d’État, et moins encore un sujet de discorde entre eux. Seulement, ils évitaient de l’évoquer jusqu’alors.
Caressant instinctivement la peau de sa petite-amie, Edward continuait de lui prêter une oreille attentive « En parlant de ça, où en es-tu sur la séance photo que tu désirais effectuer à l’appartement ? ». Leurs récents désaccords avaient probablement chamboulé l’emploi du temps préétabli de la jeune femme, et il n’était pas certain que la séance initialement prévue ait eu lieu à ce jour. Un petit rire lui échappa tandis qu’il venait blottir sa tête tout contre la sienne, appréciant la caresse de ses doigts sur sa peau « Oh mais je te crois ! » répliqua-t-il avec enthousiasme « Je souligne juste le fait que j’apprécie que tu sois rentrée avec tes quatre membres ». Cette petite escale en Louisiane encouragea le politicien à proposer sa participation pour son prochain voyage. Ça serait l’opportunité de voyager à travers le pays ensemble, tout en liant l’utile à l’agréable. Tels étaient ses mots. Il croisa ses prunelles émeraudes et lui adressa un sourire « Tu ne sembles pas particulièrement convaincu par ma proposition. Tu es en droit de refuser, tu sais », et embrassa sa mâchoire. En formulant une telle proposition, Edward n’avait pas anticipé la question qui allait suivre. Il marqua une hésitation, et reprit en rétorquant un simple « Non », qu’il se décida de justifier avant qu’Angelica ne l’encourage à le faire à son tour « Je veux te protéger Angie, toi et ton entreprise ». Il resserra son emprise sur son corps « Je n’ai aucun doute nous concernant. Ne crois pas cela. C’est juste que … » il poussa un soupir « Je suis une personnalité politique qui ne fait pas l’unanimité auprès de l’opinion publique. Je ne souhaite pas que mes détracteurs s’en prennent également à toi ». Il déposa un baiser sur sa peau « Ce n’est pas une bonne idée que je t’accompagne. Rien ne nous empêche d’effectuer nos propres voyages. Rien que tous les deux ». C’était une alternative tout aussi séduisante.
Accablé par une soudaine gourmandise, Edward souleva le couvercle de la boite de chocolat et s’en saisit délicatement pour glisser l’un d’eux entre les lèvres de sa petite-amie qui complimenta le produit « On en ramènera à New York ». Il observa les lieux, comme s’il prenait soudainement conscience du lieu et souffla « Je suis ravi que ça te plaise ». Ce qui plairait également au politicien, c’était de savoir qu’Angelica se sentait suffisamment chez elle au penthouse pour y convier ses amis proches, notamment Flynn dont leurs débuts avaient été pour le moins chaotique. « Tu m’as dit cela la fois dernière, et je ne l’ai toujours pas vu dîner à la maison ou simplement prendre un café avec toi ». Il ouvrit de nouveau les paupières afin de se pencher suffisamment pour entrevoir son visage « Je suis sincère Angie ». Toutefois, si cette dernière peinait à imaginer que cet appartement était dorénavant le leur, elle rencontrerait naturellement des difficultés à y convier qui que ce soit « On pourrait peut-être faire les boutiques en rentrant à New York. On pourrait changer le mobilier si tu le désires. Je suis certain que les bonnes œuvres ne seraient pas contre l’idée de recevoir quelques dons prochainement ». À l’exception de quelques meubles auxquels il tenait particulièrement, à l’instar de ceux qui composaient son bureau, Edward était prêt à faire table rase de sa décoration actuelle, si cela permettait à la jolie rousse de se projeter davantage dans ces murs. Ses lèvres dans son cou, il ne put toutefois par retenir un sourire à l’idée qui traversa l’esprit d’Angelica, et murmura « Pourquoi crois-tu que je te tiens à distance de l’appartement ces trois prochains jours ? Ce n’est pas uniquement parce que j’avais désespérément envie de t’avoir pour moi seul ». Louisa s’affairait actuellement à rendre la chambre d’Angelica un lieu de refuge pour cette dernière, un endroit qui serait son antre lorsqu’elle le désirerait.
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Charly
Mar 9 Juil - 22:03
Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.
Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.
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Angelica aimait qu’il se montre curieux ce qu’elle faisait de ses journées et de son travail. Il avait nettement changé d’avis à ce sujet et c’était agréable de pouvoir partager cela avec lui sans craindre un jugement. « -avec Flynn on a déjà fait un road trip dans le Colorado, la route 66 en van, plusieurs séjours en hôtel de luxe dans différentes iles. Je ne pars jamais seule. Flynn est forcément du voyage. » elle sourit : « -je n’ai pas à te dire comment gérer ta carrière ou quel choix faire. J’aimerais seulement que tu puisses profiter un peu plus de la vie… » il occupait un poste qu’il n’aimait pas outre mesure, avant des responsabilités qui lui prenaient du temps et la tête surtout. Angie ne voulait pas interférer dans l’avenir professionnel d’Edward, il était maitre des son destin. « -on a décalé parce que le photographe a eut un empêchement et que j’ai refusé que ça soit un remplaçant. Mais ça se fera. Je te tiendrais au courant en temps et en heure. » un contre temps, mais le contrat était singé avec la gamme de vêtement de sport et les photos seraient prises. Quand exactement, la date était encore incertaine.
Un léger rire amusé : « -je ne suis pas partie dans un pays sous développé. Les visites que nous avons faites son encadré. Nous ne partons pas à l’aventure. Il y a toujours un guide avec nous. » Angie aimait trop sa vie pour la mettre inutilement en danger. « -ce n’est pas ça… » s’il voulait l’accompagné, cela voulait dire accepté d’être devant la caméra. Parce que c’était ça son job. Vendre du rêve en image. Elle lui posa donc la question, et la réponse fut limpide. Non, il ne voulait pas que son visage soit dévoilé. « -ça finira par se savoir tu sais… un jour où l’autre, on verra une photo de nous apparaitre. Mon métier et l’idée que s’en font les gens qui gravitent dans ta sphère, peuvent aussi porter préjudice à ta carrière. » même si Ava avait été convaincue du contraire. « -lorsqu’on voyage tous les deux, rien que nous, comme aujourd’hui, je n’ai pas mon téléphone sous la main, je ne montre rien de notre vie. C’est différent. C’est privé. » et finalement, même si au départ elle avait eut un peu de mal avec ça, trop habituée à avoir son téléphone et ses followers avec elle, aujourd’hui, elle aimait cette déconnexion.
« -grande idée ! » parce que ces chocolats était un délice. « -je pourrais lui faire de la pub… » pensa la jeune femme à voix haute. Elle nota mentalement de regarder de plus prêt la boite. Edward évoqua Flynn et le fait qu’il pouvait venir à l’appartement lorsqu’il le souhaitait. « -je sais… seulement jusqu’à présent, je crois qu’on se cherchait encore un peu toi et moi… » elle lui sourit avec douceur et répliqua : « - il viendra diner, je te le promets. Il veut apprendre à te connaitre alors ça sera l’occasion. » les deux hommes de sa vie ne s’étaient que peu croisés, et son meilleur ami tenait à faire la connaissance de l’homme dont elle était tombée amoureuse. Il voulait comprendre comment Edward avait été capable de la séduire alors que de base, ils n’avaient aucuns atome crochus. « -comme tu veux. » elle n’avait pas dans l’idée de refaire toute la déco. « -je me sens bien dans l’appartement tu sais… et je ne suis pas quelqu’un de matérialiste. » tant qu’elle avait un espace de travail qui pouvait lui ressembler, le reste lui allait très bien. Et face à la réponse que lui donna Edward, elle se tourna légèrement pour mieux le voir, plissant les yeux : « -tu as encore beaucoup de surprise sous le coude ? » elle sourit : « -qu’est ce que tu as prévu exactement ? » oui maintenant, elle était curieuse de savoir.
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