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LE TEMPS D'UN RP

"Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour" - Ft. Charly

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Lun 27 Mai - 13:18

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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L’entrain avec lequel Angelica lui confia sa réponse ne put que faire sourire son interlocuteur qui fut particulièrement touché de son enthousiasme à la perspective de ce dîner en tête-à-tête, qu’il présageait d’ores et déjà être exquis. Edward se limita pour seule réponse à un « Bien » tout en sachant que son regard était habité de la même lueur que la jeune femme en cet instant. La conversation dévia par la suite sur la danse de salon dont Angelica ignorait tout. Pour sa part, Edward avait été contraint de suivre son premier cours à l’âge de douze ans, entre autres enseignements, tels que la manière de tenir un verre de cognac, ou la manière de monter et de descendre les marches de l’escalier en présence d’une femme. « Non » fut sa première réponse, avant qu’il ne vienne préciser « La musique, la bienséance, les politesses d’usage. La liste n’est pas exhaustive ». Malgré les piètres talents de danseuse de l’influenceuse, le candidat au Sénat n’envisageait pas pour autant la délaisser pour s’aventurer sur la piste de danse au bras d’une autre femme. « Une vieille dame. Bien évidemment » tout en soulignement sciemment sa précision. Néanmoins, leur petite soirée improvisée au beau milieu de la nuit dû connaître une fin. Il était l’heure de rejoindre leurs chambres respectives, à contrecœur, devait bien avouer le politicien. Sans se douter ce jour-là que la douceur de leur échange ne deviendrait pas une habitude au quotidien…

En rentrant le lundi soir, Edward avait été particulièrement éprouvé par les évènements de la journée, et l’angoisse ressentie par Angelica lui semblait si anodine, qu’il ne se pria pas pour le lui faire remarquer. Bien évidemment, sans le moindre sens de la diplomatique qui était requis, surtout lorsque ces mots s’échappaient de sa bouche avec une froideur dont lui seul était capable. La réaction de la jeune femme n’avait pas attendu et après un bref enseignement sur la manière de s’adresser à un autre être humain, elle avait trouvé refuge dans la bibliothèque. Ce fut la dernière fois qu’il croisa Angelica de la soirée. Quant au petit matin, son absence au petit-déjeuner fut remarquée, mais s’abstint du moindre commentaire à ce sujet. Il en était l’unique responsable, et en avait parfaitement conscience. Le New York Times sous le coude, une tasse de café dans sa main, il avait rejoint son bureau pour les premières heures de la matinée, en se sachant attendu à la Mairie au cours de la journée pour la conférence de Presse et la rencontre avec la famille de la victime. Pourtant, malgré la gravité des faits qui l’avait mené devant ce pupitre, face à une armada de journalistes en attentes des nouveaux éléments de l’enquête, Edward n’avait de cesse de penser que la jeune femme affrontait seule, elle aussi, une ruée de représentants de la marque en maillot de bain. Il fit abstraction de toutes ses pensées dirigées vers Angelica, et se concentra sur les notes rigoureusement préparée par son assistante qui se tenait à quelques pas derrière lui. « Les derniers éléments qui nous ont été transmis … ».

Une heure plus tard, ses richelieus impeccablement cirées s’enfonçaient dans le sable fin de Sandy Hook, dans le New Jersey. Il s’était délesté précédemment de sa tenue du jour pour un jean, qu’il avait associé à un t-shirt blanc et un blazer. Il aurait été malvenu de venir vêtu d’un costume de luxe à une séance photo, de surcroît qui se déroulait en bord de mer. Tandis qu’il s’avançait jusqu’au rebord de l’eau où se tenait une Angelica peu assurée à l’idée de s’enfoncer dans une mer glaciale, il se contraint au silence à la suggestion du meilleur ami. En réalité, il n’avait plus d’yeux que pour l’influenceuse qui sublimait bel et bien la collection du créateur. Il cessa sa marche en arrivant à la délimitation naturelle de l’eau sur le sable. « C’est une séance privée. Je vous demanderais » mais le photographe n’eut le temps de poursuivre qui l’interrompit d’un « Je suis son petit-ami » aussi froid que l’eau dans laquelle la jeune femme tentait d’évoluer difficilement. « Bien. Evitez seulement de la distraire ». Il retira seulement ses lunettes de soleil pour les glisser au col de son t-shirt et lui adressa un petit signe de la main, qu’il glissa ensuite avec l’autre dans les poches.


Charly
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Charly
Lun 27 Mai - 14:30

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Angy était bonne actrice. Edward et Ava le lui avaient confirmé. Et aujourd’hui, en maillot de bain, sur cette plage, elle tentait au mieux de jouer son rôle. Malgré le sable, malgré les retouches maquillages, malgré les demandes du photographe. Regarde par-là, sourit un peu plus, un peu moins, prends un air mystérieux, penche toi un peu plus… Elle n’était pas débile, elle savait parfaitement que pour vendre des maillots de bains, elle devait mettre en avant son corps de femme. Seulement pour le dernier, qui était le plus sexy de tous, les consignes étaient de prendre la pause dans l’eau. Elle n’avait rien dit jusqu’à présent, mais elle n’était pas totalement en accord avec ce qu’on lui demandait. Ça ne collait pas avec ce qu’elle renvoyait comme image, elle, sur ses réseaux. Lorsqu’elle mit les pieds dans l’eau, elle constat quelle était bien plus froide qu’elle ne l’aurait pensé. « -non, stop, les quatre dernières poses, je veux pas les faire comme ça. » « -Angy » commença le photographe. « -quoi ?! » « -c’est le plus sexy, c’est logique que tu les sois aussi. » « -je dis pas le contraire, mais sexy veut pas forcement dire prendre une pose de bitch. » « -Angy… » « -non tu comprends pas. Ça colle pas avec moi. Je veux que les femmes qui me suivent puissent avoir envie d’acheter se maillot. Pas qu’elles aient des complexes en se disant, merde moi je vais jamais ressembler à ça. De plus, y’a que dans les films qu’on voit les nanas sortir de l’eau comme ça. Non, je veux quelque chose de plus naturel. » Dean, le photographe accepta de faire comme elle voulait. De toute manière, c’était soit ça, soit elle enfilait un peignoir et c’était terminé.

Elle prit son courage à deux mains et entra de nouveau dans l’eau. « -aller t’attends quoi ? Que je finisse en… » mais elle ne termina pas sa phrase. Son regard venait de se poser sur l’homme a qui s’adressait le photographe. Même s’il ne portait pas de costume ni de cravate, elle le reconnait au premier coup d’œil. Elle lui adressa un petit sourire, déstabilisé par sa présence sur la plage. « -bon ok t’es plus dedans là. Va lui faire un câlin et on reprends. » elle cligna des yeux, c’était bien à elle qu’on s’adressait. « -aller Angy, ça va te réchauffer. » elle leva les yeux au ciel face à la réplique du photographe qu’elle appréciait, et sans attendre plus, enfin pour éviter de faire attendre les autres, elle se dirigea vers Edward. Elle afficha un grand sourire, et lui sauta dans les bras, bras autour du coup, cuisses autour de ses hanches, lèvres dans son cou. Il fallait jouer le jeu. Elle prit soin de mettre sa tête du côté photographe, afin de cacher le visage d’Edward. Dean étaient capable de faire un cliché, elle le savait. « -qu’est ce que tu fais là ? » demanda Angy d’une voix douce, en reposant les pieds au sol. Comme pour l’autre soir lors de son retour et la partie de poker, tout n’était pas que mise en scène. Elle était heureuse de le voir. « -tu devrais quitter tes chaussures, l’eau est parfaite. »

Manhattan Redlish
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Manhattan Redlish
Lun 27 Mai - 15:22

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Sans cette fusillade qui avait assombrit drastiquement la journée de la veille, il n’aurait fait nul doute qu’Edward aurait prêté une oreille attentive à Angelica, afin qu’elle se confie sur ses attentes et ses angoisses pour le shooting photo. Mais il s’était montré tout particulièrement irascible dès son retour, réprimandant la jeune femme d’exprimer des craintes qui lui paraissaient soudainement dérisoire et futile, alors qu’il n’en était rien. L’influenceuse était en droit de vivre ses émotions et ses ressentis comme bon lui entendait. Toutefois, il n’avait pas eu l’opportunité d’exprimer à voix haute ses excuses pour son comportement de la veille. Angelica avait tout mis en œuvre pour l’éviter au petit matin, dans une démarche légitime de ne pas souhaiter subir à nouveau les foudres du politicien. Et bien qu’Edward aurait souhaité être sur cette place, à ses côtés, pour la soutenir par sa seule présence, il était retenu par des obligations d’un autre ordre à New York. Néanmoins, à la minute où sa journée s’acheva, il s’était rendu à Sandy Hook, en espérant secrètement que la séance photo de la jeune femme n’avait pas eu une fin anticipée en raison de ses craintes qu’elle n’avait pas pu exprimer par sa faute. Un soulagement l’accabla en constatant que toute l’équipe était encore et toujours présente sur le bord de mer, tentant désespérément de photographier une Angelica contrariée par les idées saugrenues du photographe. Bien que masquer par ses lunettes de soleil, son regard trahissait toute la fierté qu’il éprouvait pour elle, en entendant l’influenceuse tenir tête au photographe afin qu’il opte pour une position plus en adéquation avec les valeurs qu’elle véhiculait au quotidien sur ses réseaux sociaux. Arrivant à frontière naturelle qu’avait dessiné le flux des vagues, le politicien retira ses lunettes de soleil qu’il glissa sur le col de son t-shirt, afin de pouvoir bénéficier de toute la lumière éclairait parfaitement les courbes parfaites de la jeune femme qui sublimait ce bikini pour le moins sexy. La voix du photographe ne parvint pas à l’interrompre dans sa contemplation, bien qu’il prit le temps de préciser sa légitimité à se tenir sur cette plage, à proximité de leur égérie.

Sa présence laissa sans voix Angelica, qui malgré l’animosité qu’elle devait sûrement ressentir pour lui à la suite de leur dispute de la veille au soir, elle lui sourit. Il ne méritait sa considération, et encore ce sourire qu’elle lui offrit en remarquant sa présence. Edward était incapable de dire précisément le temps qui s’était écoulé depuis que son regard avait croisé celui d’Angelica, au moment où le photographe lui autorisa une pause pour qu’elle vienne à sa rencontre. Pense à Nonna. Pense à Nonna. Martela la petite voix intérieure pendant que ses bras entouraient le corps pratiquement nu de l’influenceuse, ses lèvres dans son cou. Cette femme ignorait le pouvoir considérable qu’elle détenait sur lui en cet instant précis, et la lutte intérieure qu’il menait pour que son corps ne le trahisse pas. Le contact de son corps pratiquement nu sous ses mains ne pouvait le laisser insensible. Il n’était qu’un homme. Il apprécia tout autant qu’il détestait de la sentir reposer les pieds sur le sable chaud, se reculant de son emprise. « Je suis là pour toi » précisa-t-il en caressant sa joue du dos de sa main « Je t’avais réservé ma journée d’aujourd’hui… Seulement, les circonstances ont fait que je n’ai pas pu me libérer avant ». Il retira sa main de sa joue alors que ses yeux se posèrent sur ses richelieus enfoncée dans le sable « Pourquoi tu grelotter alors à mon arrivée ? » l’interrogea-t-il, plus amusé que suspicieux. Toutefois, il se laissa prendre au jeu et retira ses chaussures l’une après l’autre, les abandonnant là où il se tenait initialement, retroussa son jean aussi haut qu’il lui était possible, et glissa sa main dans celle d’Angelica, tout en faisant signe au photographe « Laissez-nous une minute ». Il s’avança dans l’eau avec cette dernière « Je suis désolé. Sincèrement désolé » murmura-t-il lorsqu’ils furent éloignés du bord de la plage. L’eau avait humidifié la partie inférieure de son jean, mais il s’en moquait. Il était attendu nulle part ce soir. « J’ai surpris votre conversation tout à l’heure. Quelle est ton idée pour les photos ? Qu’est-ce que tu souhaites faire toi ? ».  

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Charly
Lun 27 Mai - 21:47

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Oui, ils étaient en publique, oui il était présent en tant que petit ami, c’était ainsi qu’il venait de se présenter, oui, il y avait ce rôle à jouer. Pourtant, ce n’était pas seulement pour ça qu’Angy lui avait souri. Son visage s’était illuminée parce qu’il était là. Parce qu’il était venu alors qu’il n’avait aucune raison de le faire. Elle avait sourit parce qu’elle était heureuse de le voir, heureuse qu’il soit venu. Alors lorsqu’elle eut l’accord de Dean, elle se précipita dans les bras d’Edward, lui sautant au cou comme si c’était totalement naturelle et qu’ils transpiraient d’amour l’un pour l’autre. Pas une seule seconde elle n’avait pensé à ce qu’elle portait, ou ne portait pas. Pas une seule seconde, elle s’était dit que ça pouvait être déplacé. Elle jouait son rôle et en même temps, elle avait tellement envie de lui dire merci d’être venue. C’était une sorte de pas en avant auquel elle ne s’attendait pas du tout. Une surprise totale. Tellement belle, tellement agréable. Elle osa lui demandé ce qu’il faisait ici, parce que c’était fou de le voir sur cette plage, un peu plus encore en tenue décontractée. « -Edward… » ce fut la seule chose qu’elle parvint à articuler. Il avait réservé sa journée pour elle… elle était surprise, touchée également. Déstabilisé aussi. « -tu n’avais rien dit… » et voilà qu’elle se trouvait presque conne devant lui, avec un sourire tendre sur le visage et dans les yeux. « -merci. » Maintenant, c’était elle qui était incapable d’aligner plus de trois mots à la suite.

« -tu es un tout petit peu plus habillé que moi. » précisa la jeune femme qui n’était pas gênée de se trouver en bikini devant lui. Ça venait peut-être de sa vie d’influenceuse. De fait qu’elle aimait son corps aussi… Elle ouvrit de grands yeux en le voyant retirer ses chaussures, puis remonter son jean. Si elle avait pu croiser le visage de Flynn elle aurait vu son sourire en coin et un air quelque peu intrigué. Et voilà qu’Edward glissait sa main dans la sienne et l’entrainait dans l’eau, demandant un peu de temps au photographe. De son côté, elle ne cessait de sourire. « -c’est pas le moment d’en parler. » répondit Angy avec douceur. « -gâche pas ce moment tu veux ? » demanda la jeune femme en penchant légèrement la tête sur le côté.

« -oh heu… » il n’avait pas bientôt finit de la prendre au dépourvu ?! « -je… je voudrais que n’importe quelle femme puisse avoir envie de porter ce maillot de bain. Qu’elle soit célibataire ou mère de famille. Je veux… je veux montrer qu’on peut porter ce modèle tout en vivant vraiment. Personne ne va à la plage pour sortir de l’eau telle une déesse. » c’était ridicule. « -je voyais, des rires, comme si je jetais de l’eau sur quelqu’un, la planche juste en se laissant flotter au fil de l’eau… » elle tenait à ses idées. « -Dean est très sympa, je suis sûr qu’il va accepter. De toute façon, c’est soit ça, soit je vais m’habiller. » donc en gros, elle ne lui laissait pas le choix. « -bon, Angy du coup on fait quoi ? » demanda au loin la voix du photographe. Elle lui fit un signe de la main et ajouta à l’intention d’Edward : « -ça te va bien comme ça… sans la cravate. » elle lui sourit et ajouta : « -t’es pas obligé de m’attendre dans l’eau ou de m’attendre tout court tu sais… il dois pas y’en avoir pour très longtemps… » « -Angy ! » « -oui, j’arrive ! » Elle entraina Edward par la main avec elle et exposa ses idées à Dean. « -ok ça me va. Vous pouvez vous rendre utile ? En plus vous êtes déjà trempé. Vous n’êtes pas sur le contrat, donc je n’ai pas le droit de vous faire apparaitre sur mes photos. Mais si vous pouviez être celui qui la fait rire, qui lui balance de l’eau… ça serait parfait. Ça vous va ? » Debout entre les deux hommes, le regard d’Angy passa de Dean à Edward, puis d’Edward à Dean, alors que son sourire lui, ne quittait pas ses lèvres.

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Manhattan Redlish
Mar 28 Mai - 10:39

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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À l’instant même où Edward croisa le regard d’Angelica et aperçut ce sourire qu’elle n’adressait qu’à lui, il sut qu’il avait prit la bonne décision. Elle était parvenue à dissiper toutes les craintes qui avaient émergé sur le trajet le menant sur cette plage du New Jersey. Combien de fois avait-il envisagé qu’elle puisse ostensiblement l’ignorer, ou exiger de sa personne qu’il retour à New York. Mais l’influenceuse n’éprouvait aucune animosité à son égard, pas même un soupçon. Elle était sincèrement heureuse de le voir ici, sur le rebord de cette plage. Tout du moins, il voulait croire que c’était sincère, et pas seulement un rôle qu’elle jouait pour satisfaire leur public. Il avait la sensation que ce clivage entre le jeu et la réalité risquait de lui peser avec le temps… Mais pour le moment, il accueillait une Angelica peu vêtue entre ses bras, et bien qu’il appréciait leur proximité soudaine, il dû mener une lutte de tous les instants pour que son corps ne trahisse pas ce qu’elle était capable de lui faire ressentir en cet instant même. Elle semblait insoucieuse, n’envisageant pas une seconde de l’effet qu’elle pouvait produire sur lui. Il apprécia tout autant qu’il détesta l’éloignement qui suivit de leurs deux corps. Mais la question que posa Angelica sur les raisons de sa venue ici eut raison de toute son attention. À son aveu, Angelica semblait comme décontenancée et soudainement bien avare de mots à lui adresser. « C’était une surprise » confia-t-il avec la même douceur que le sourire qu’il destinait à elle seule sur cette plage. Le politicien resta silencieux jusqu’à ce que la jeune femme ne le convie à l’accompagner dans l’eau « Je l’avais remarqué » déclara Edward d’une voix soudainement bien basse qui dénonçait l’intérêt qu’il ressentait vis-à-vis de son corps enfermé dans ces quelques morceaux de tissus.

Pour masquer son trouble, il retira l’une après l’autre ses richelieus qu’il abandonna sur le rebord de la plage, retroussa son jean et s’aventura dans l’eau particulièrement froide, main dans la main, avec Angelica. Il ne demandait qu’une minute à l’équipe, même si dans sa bouche, les demandes étaient souvent formulées à la manière d’une exigence. Il tenait profiter de ce petit instant rien que tous les deux pour s’excuser. Toutefois, Angelica ne voulait pas entendre ces mots dans sa bouche. Pas maintenant. « Plus tard » répondit-il simplement, et décida de l’interroger sur l’idée qui l’animait pour la prochaine séance photo. Edward restait silencieux, buvant chacune de ses paroles, comme s’il se découvrait un intérêt soudain pour la collection de maillot de bain. En réalité, il n’avait aucune peine à imaginer ce qu’elle désirait. « Ça serait dommage » et se rendit compte du quiproquo qui pouvait découler de ses propos « De finir la séance photo sur une note négative », et bafouilla un « Pas que tu ne sois pas … tout simplement sublime dans ce maillot de bain… » et ferma les paupières avec autant de force qu’il contractait sa mâchoire, s’obligeant à se taire. Il reposa son regard aussi bleu que l’eau dans laquelle ils se trouvaient « Tu devrais lui en parler ». Mieux. Le photographe s’impatientait, tandis qu’ils voulaient seulement profiter encore de cet instant rien que tous les deux, comme si le compte à rebours était lancé et qu’à l’issue de la journée, tout cesserait. Il baissa les yeux sur sa tenue décontractée un bref instant, pour croiser de nouveaux les prunelles claires d’Angelica « Conseil de ma petite-amie » précisa-t-il avec légèreté, avant de lui confier avec davantage de conviction « J’ai envie de rester ». Il n’était pas venu en coup de vent, pour seulement la saluer. Il avait envie de rester sur cette plage jusqu’à l’issue de la séance de photo.

Sa main toujours dans celle d’Angelica, il se laissa conduire jusqu’au sable. Le photographe sembla réceptif aux idées de la jeune femme, et il était préférable que cela se déroule ainsi. Il n’aurait pas souhaité altérer leur relation professionnelle en intervenant avec une absence totale du sens de la diplomatie à l’encontre du dénommé Dean. Ce dernier décida notamment de le faire participer à la séance photo. Bien qu’impassible en apparence, il s’interrogeait sur ses capacités à la faire rire de bon cœur. Mais face au sourire qu’elle lui adressa, il ne put qu’abdiquer « Oui ». Il retira malgré tout son blazer et ses lunettes de soleil qu’il déposa avec soin sur la plage, recouvrant ses chaussures de ville, et revint auprès d’Angelica qu’il souleva soudainement sur son épaule. Il se mit à courir aussi profond qu’il lui était possible dans la l’eau turquoise, et la laissa tomber sciemment dans un éclat de rire. Le sien. Lui aussi avait sombré. Ses vêtements lui collaient à la peau, mais pour la première fois, il s’en moquait. Edward avait le sourire insouciant, et se plaisait à éclabousser la jeune femme pour la distraire, et s’approcha d’elle, plongeant la tête sous l’eau pour se glisser entre ses cuisses et la soulever soudainement, postée sur ses épaules « Je te lâche maintenant ? », et balança en avant, en arrière, lui laissant un doute sur ses intentions futures.


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Mar 28 Mai - 12:03

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Une surprise ?! « -et bien… ça a très bien fonctionné… » enfin elle parvint à assemblé quelques mots. Oui, Edward pouvait se féliciter parce que l’effet de surprise était total. Angy n’avait pas envisager une seule seconde qu’il vienne. Elle n’avait pas non plus pensé qu’il ait noté le lieu exacte ou encore prévue de base, de prendre sa journée pour l’accompagner. C’était… c’était assez fou… Mais il était là… présent pour elle, capable de faire ce pas en avant vers la réconciliation. Même si pour Angelica, c’était déjà du passé, déjà oublié. Ils avaient mal réagit l’un comme l’autre. Ça arrivait. De nouveau il la surprise en quittant ses chaussures et en l’entrainant avec lui dans l’eau. Elle se demanda limite s’il n’avait pas prit un truc étrange, parce que ce n’était pas le Edward qu’elle connaissait jusqu’à présent… Ils n’étaient pas seuls, ils n’étaient pas à l’appartement, dans le canapé avec un verre de wiskey à se raconter leur journée. Non, ils étaient sur cette plage, avec un photographe qui attendait de reprendre la séance, Flynn non loin qui prenait des notes mentales. Les propriétaires de la marque, la maquilleuse, l’habilleuse… « -ou jamais… » proposa Angy. Elle ne voulait pas qu’il s’excuse. C’était du passé. Mais elle savait d’avance qu’il reviendrait sur le sujet.

Elle lui confia ses idées et plongée dans le truc, elle ne capta pas le sous-entendu que les mots d’Edward laissait entrevoir. Elle fronça légèrement les sourcils alors qu’il tentait de se rattraper et ce fut cela qui l’aida à comprendre. « -je te fais de l’effet ? » demanda la jeune femme en se moquant légèrement de lui. « -je vais le faire. » elle hocha la tête pour affirmer tout ça. Avant de le complimenté sur sa tenue. « -elle est de bons conseils… ne la laisse pas partir. » elle lui adressa un petit clin d’œil, avant de préciser qu’il n’était pas obliger de rester. « -ok… » avait elle seulement répondu, souriante comme jamais.

Puis elle décida de rejoindre Dean, suivant les conseils d’Edward. Le photographe accepta, ils pouvaient toujours essayer. Angy était ravie de la tournure du shooting, un peu plus encore lorsqu’Edward accepta d’apporter son aide. Elle le suivit du regard lorsqu’il retira sa veste, avant de surprendre le sourire de Flynn. Elle lui adressa un regard qui se voulait menaçant, petit jeu entre eux, il leva les deux mains en signe d’innocence. Et puis Angy fut soulevée du sol en une fraction de seconde, sans rien comprendre. Elle poussa un cri de surprise avant de se mettre à rire joyeusement. Elle eut tout juste le temps de fermer la bouche avant d’être projeté dans l’eau. Elle tenta de mettre un peu d’élégance pour remonter à la surface. « -tu vas voir ! » lança-t-elle en éclaboussant Edward qui riait de bon cœur, visiblement content de son effet. En quelques secondes, alors qu’elle lisait du bonheur sur le visage du politicien, elle oublia complètement l’appareil photo. Elle ne voyait que lui, n’entendait que son rire. Elle fut incapable de bouger lorsqu’il s’approcha, tellement sexy avec son t-shirt blanc qui lui collait à la peau, ses cheveux mouillés. Lorsqu’il plongea, elle baissa la tête avant de s’agrippé aux mains d’Edward pour ne pas tomber, riant aux éclats. « -non ! non ! fais pas çaaaa ! » La chute fut royale, mais en bonne nageuse, elle décida de remonter de se venger. Elle lui lança de l’eau, avant de lui sauter sur le dos, ses cuisses autour de sa taille, ses bras atour de son cou, riant toujours et encore.

« -ok on est pas mal du tout ! » lança Dean, dont la voix brisa cet espèce de moment hors du temps. Angy se laissa glisser dans l’eau, sourit à Edward, avant de tourner le visage vers le photographe : « -on peut faire quelques photos de couple ? On mettra pas votre visage. Vous pouvez retirer votre t-shirt ? » Il regarda Angy et ajouta : « -le soleil est en train de décliner, ça peut vraiment être superbe. On reste dans le même mood, vous vous amusez et puis ensuite vous vous rapprochez. Laissez porter. » Angy déglutit en hochant la tête. « -ok... » facile à dire… Elle osa un regard pour Edward, cherchant à savoir s’il était partant ou mal à l’aise. "-donc on part en photo de couple, amoureux. Hésitez pas à vous embrasser. De toute façon, tu as le droit de regard sur tout Angy." Dean cherchait la rassurer et à la faire véritablement accepter.


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Mar 28 Mai - 13:17

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Edward n’était pas mécontent de son effet de surprise sur la jeune femme qui avait sourit à son arrivée. Il n’entreprenait pas tout cela pour se faire pardonner de son comportement de la veille au soir, mais parce qu’il le désirait, tout simplement. Il la savait inquiète vis-à-vis de la séance photos, et bien qu’ils n’étaient liés que par un contrat, il avait malgré tout envie de la rassurer aujourd’hui. Ses plans avaient été quelque peu bousculés par les derniers évènements, mais le politicien était parvenu tout de même parvenu à libérer de son temps pour Angelica, pour être à ses côtés durant cette journée particulièrement angoissante pour elle. Ils n’étaient plus à l’abri dans les quatre murs de leur appartement, et pourtant Edward ne souhaitait pas revêtir son habit de politicien acariâtre. Pas avec elle. Cela allait sûrement soulever bien des interrogations dans l’esprit de l’influenceuse, mais pour le moment, ça n’avait que peu d’importance. Elle était heureuse de le savoir ici, et il l’était tout autant d’être auprès d’elle aujourd’hui. Ça serait suffisant pour les prochaines heures. Il se délesta de ses chaussures et la rejoignit dans l’eau glaciale, sa main dans la sienne. Malgré les circonstances, il ne se montra pas plus loquace qu’à son habitude et resta silencieux à la proposition de la jeune femme. Jamais. Il n’était aucunement convaincu par sa suggestion. Ils devaient en parler. Seulement, ça n’aurait pas lieu dans l’immédiat. D’autant plus qu’Angelica était présente dans le cadre de sa collaboration avec une célèbre marque de maillot de bain, pas pour échanger avec lui sur des sujets qui relevaient de leur vie privée. Le candidat au Sénat lui proposa donc de partager ses idées de posture, et de fil en aiguille, il se retrouva à se justifier sur le fond de sa pensée, regrettant de ne pas avoir gardé le silence comme à son habitude. La question d’Angelica le déstabilisa, et bien qu’il tentait de dissimuler au mieux son trouble, il savait que ses prunelles azuriennes trahissaient sa soudaine angoisse. Il finit par répondre un « Oui » sincère. Quel homme resterait insensible ?! s’interrogea-t-il comme pour justifier sa réponse. « Je ne comptais pas l’envisager autrement » répliqua-t-il avec un léger sourire, et rejoignirent Dean sur le sable.

Le photographe souhaitait son aide pour la séance photo. Il aurait pu décliner l’invitation, mais au regard que lui adressa Angelica, il ne pouvait s’y résoudre. Il retira alors sa veste et ses lunettes de soleil, rejoignant ses richelieus dans le sable, et profitant du moment de distraction de la jeune femme, il se la saisit pour l’entraîner dans l’eau dans un éclat de rire qui fut rapidement suivit par celui de l’influenceuse. Ils se retrouvèrent entièrement trempés, collant chacun de ses vêtements à sa peau, et pourtant, il n’y portait aucune attention. Edward se plaisait à éclabousser en retour la jeune femme, s’amusant en toute insouciance dans une eau qui frôlait tout juste les 15°c. Le politicien se glissa entre ses cuisses pour la soulever, et la fit de nouveau chuter, riant en chœur avec Angelica qui avait fait le choix de la vengeance en se ruant sur lui. Il posa ses mains sur ses cuisses « Attaque furtive ! » précisa-t-il, avant qu’ils ne soient brusquement ramenés à la réalité à la voix du photographe. Il la laissa glisser dans l’eau avec lenteur et fronça les sourcils face à la suggestion de Dean. « Oui » répondit-il avec impassibilité, mais intérieurement, il doutait que cette idée soit pertinente. Il se rapprocha du sable, retirant le t-shirt blanc qu’il jeta comme un vulgaire chiffon sur le sable, et retourna dans l’eau, uniquement vêtu de son jean. Il serait intransigeant sur ce dernier morceau de tissu. Son regard posé sur l’influenceuse, il n’était plus vraiment certain d’être à l’aise à l’égard de la tournure des évènements, et déglutit avec lenteur « Je ne ferais rien dont tu n’as pas envie » précisa-t-il donc pour la rassurer. Son corps, ses règles. « Dis-moi ce que tu veux, ce que j’ai le droit de faire, tes limites et je les respecterais ». Si elle ne voulait pas l’embrasser, ils trouveraient une alternative. Si elle ne voulait pas de ses mains sur certaines parties de son corps, il s’adapterait.

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Mar 28 Mai - 13:49

Angelica Gordon
J'ai 35 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis influenceuse et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Femme indépendante, qui adore croquer la vie à pleine dents. Elle sourit beaucoup, rit fort, danse pour fêter ses victoires... Angy est une influenceuse dont la renommé grimpe peu à peu. Sur ses réseaux, elle donne des conseils, elle pousse à la positivité, à se réinventer. Fille unique d'un couple divorcé alors qu'elle n'avait que 6 ans, elle a souffert des engueulades de ses parents, se pensait responsable de tout ça. Elle n'aime pas la colère. Elle fait tout pour ne jamais ressentir cette émotion, poussant le curseur joie au max, même si cela peut en agacer certains. Grâce à son image sur les réseaux et sa communauté, Angy a cette délicieuse sensation d'être aimer pour qui elle est.

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Lorsqu’elle posait la question, il répondait ! Elle allait devoir se mettre ça au fond du crâne ! ça n’était pas la première fois qu’Edward se montrait plus que sincère à l’une des questions taquines et déplacées d’Angy. Prendre ça à la légère… oui, c’était la meilleure option. Elle lança alors un : « -en même temps, ça se comprends. » elle fit une petite grimace comme si elle était plus que convaincue que son corps était sublime et que tout les hommes de la tête pouvait ressentir la même chose qu’Edward à cet instant.

Son idée fut conjugué à l’aide d’Edward, à la demande du photographe. Angy était heureuse qu’il accepte, mais ne s’était pas attendu à un tel comportement. Ça dénotait tellement avec l’homme froid qu’elle avait rencontré un soir au restaurant. Elle se prit rapidement au jeu oubliant presque l’appareil photo et la présence des autres. Elle aima entendre le rire d’Edward se conjuguer au sien, un peu comme l’autre soir lorsqu’ils étaient tombés du canapé. Elle eut la sensation d’avoir à nouveau 18 ans, de profiter de vacances heureuse avec des amis.

Ils furent ramener à la réalité par l’intervention du photographe qui semblait avoir des idées pour terminer la séance. Oh mon dieu… gémit une petite voix dans la tête d’Angy alors qu’Edward retirait son t-shirt. Ce torse qu’elle avait vu l’autre jour alors qu’il était dans une colère noire, ce torse qu’elle avait légèrement caresser quand il était désespéré… ce torse qui ne la laissait pas indifférente. Elle écouta le photographe sans parvenir à vraiment se concentrer, et murmura un ok… « -laisse nous trois minutes. » demanda la jeune femme afin de pouvoir parler avec Edward, avant de prendre ces photos. « -je sais. » le problème n’était pas vraiment là. Elle souffla un « -ok… » en posant ses mains sur les avant bras d’Edward. Aller savoir pourquoi. Elle leva les yeux sur lui, plongea dans l’azure de ses prunelles et finit par regarder ailleurs, puis fermer les paupières quelques secondes. Un léger rire nerveux : « -je l’avais pas vu venir. » elle lui sourit et ajouta : « -on fait comme on a déjà fait les deux autres photos. Tes mains, ça me gêne pas. Mais… on s’embrasse pas. » elle hésita à dire : je pourrais plus te regarder après sans la moindre gêne, mais elle préféra dire en sourit et à voix basse : « -on a pas le doit. »

Un nouveau sourire et elle reprit : « -on va… on va commencer simple. De toute manière, il va pas en faire dix mille. Je commence à avoir vraiment froid. » oh merde ce torse… « -ok… poses tes mains sur ma taille, je vais poser les miennes là. Non attends, toi aussi tu dois me dire si quelque chose te gêne. » oui, parce qu’il n’y avait pas que son consentement qui importait. « -si je pose mes mains, là, en haut de ton torse, ça te vas ? Et ensuite je voyais nos fronts coller, les yeux fermés. » elle enchaina : « -seconde pause : tu peux… tu peux peut-être passer tes mains sous mes cuisses, moi j’entoure ta taille. Je passe mes bras autour de son cou, tu niches ton visage dans le mien. » elle hochait machinalement la tête : « -et ensuite, on verra, mais tu peux me faire basculer, et tu gardes ton visage dans mon cou, ou juste un peu plus bas. Et ça suffira. Ça te va ? » elle réalisa qu’elle n’avait pas lâché ses bras.

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Mar 28 Mai - 15:31

Edward A. Wyler
J'ai 42 ans et je vis à New York. Dans la vie, je suis adjoint du maire et je m'en sors plutôt bien. Sinon, grâce à ma chance, je suis célibataire et je le vis, bien.

Je suis un pur produit européen qui a pourtant vu le jour à New York. Mon père est Louis Wyler, un britannique, qui a accru sa fortune pourtant outrecuidante, en créant sa propre marque de montre de luxe mondialement connue aujourd’hui. À l’image d’un célèbre Suisse. Quant à ma mère, Nella Vitali, est, avant d’être une conseillère pour la Banque Mondiale, une italienne fière de ses origines qui aime faire ses courses à Little Italy. J’ai également une jeune sœur, Iris, qui sera prochainement associée de Shaw & Crane, un grand cabinet d’affaires New York et disposant des succursales dans le monde entier. Et moi, diriez-vous ? Je suis Edward Andrea Wyler, adjoint au maire de New York et je brigue le poste de sénateur de New York, porté par les espoirs de réussite de ma famille, alors que chaque jour, je m’interroge sur le sens que j’ai donné à ma vie.

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Le mensonge était une alternative envisageable, d’autant plus pour un politicien dont c’était habituellement ancré dans sa nature profonde. Une éventualité qui pourrait lui empêcher bien des désagréments, ou notamment ce trouble qui l’assaillait en posant seulement son regard sur elle alors qu’elle était peu vêtue. Toutefois, Edward ne pouvait concevoir une vie dans laquelle il serait contraint de lui mentir. Tant pis que ça le mette dans une position inconfortable, il le surmonterait sans peine. Contre toute attente, Angelica le prit à la dérision, ce qui le fit sourire, tout en confirmant par un nouveau « Oui » ses dires. Elle avait un corps que bien des femmes souhaitaient obtenir, et que des biens des hommes désiraient. Même si cette dernière pensait le déranger, et préféra pas s’attarder sur le regard que pouvait porter ses congénères sur sa personne. Au lieu de ça, ils retournèrent à l’âge de l’insouciance ensemble, s’amusant dans la mer qui bordait le New Jersey, ne se souciant plus du monde extérieur pour seulement se soucier d’eux deux et de ce moment de complicité qu’ils partageaient. Sans la voix du photographe, il ne faisait nul doute qu’ils auraient poursuivi jusqu’à l’épuisement. Mais Angelica était présente ici-même pour être l’égérie d’une marque de maillot de bain, et non pour s’amuser à tenter de le noyer. Dean lui demanda de participer à la prochaine session photo, et pour cela, il devait se défaire de son t-shirt. Edward n’était pas certain que ça soit une idée pertinente, mais abdiqua et ôta le tissu qui lui collait à la peau, pour le jeter nonchalamment dans le sable, à proximité de ses effets personnels, offrant ainsi une vue sur son torse sculpté avec soin. Nous sommes à égalité, pensa-t-il alors qu’il revenait auprès d’Angelica. Les suggestions du photographes, c’était une chose, mais le candidat souhaitait savoir ce que désirait la jeune femme, elle et elle seule.

Les battements de son cœur se firent soudainement plus soutenus dans sa cage thoracique au moment où Angelica plongea son regard dans le sien, ses mains posées sur sa peau. La jeune femme ne semblait pas avoir conscience de l’effet qu’elle pouvait produire sur lui. Il luttait intérieurement pour ne pas la toucher à son tour. Il se noyait non pas dans la mer, mais dans ce regard émeraude qui l’enveloppait en cet instant, et qu’elle finit par détourner. Peut-être bien que lui non plus n’avait pas conscience du trouble qu’il pouvait faire émaner chez Angelica. « Moi non plus » murmura-t-il, quelque peu déstabilisé. Lui qui respirait constamment l’assurance, il faisait soudainement pâle figure vis-à-vis des idées du photographe. Angelica lui donna son accord pour poser ses mains sur son corps, mais elle ne souhaitait pas être embrassé. Elle prétexta leur accord d’une manière qui laissait à penser que ce n’était qu’une excuse pour assouvir sa curiosité, mais que la raison était plus profonde. « Le contrat n’interdit pas que l’on s’embrasse » décida-t-il donc de préciser par honnêteté, et déclara « Mais il y a beaucoup de personnes autour de nous pour un premier baiser » dans une tentative désespérée de se détendre eux-mêmes en apportant un soupçon de légèreté.

Plus pour longtemps, avait murmura sa voix intérieure quand Angelica précisa qu’elle avait froid. Edward se mit à sourire face à la prévenance sincère de la jeune femme « Tu peux poser tes mains sur moi ». Edward ne voyait aucun inconvénient à ce qu’elle pose ses mains sur son corps. Seulement, bien que familier du contrôle en toute circonstance, il avait la sensation qu’il n’avait d’autres choix que de passer maître dans la domination de ses émotions aujourd’hui. D’une oreille attentive, Edward nota toutes les idées de postures qu’elle souhaitait partager avec lui, et ce dont il était certain, c’est qu’il n’avait soudainement plus vraiment froid au milieu de cette eau glaciale. « Oui ». Que dire de plus ?! Il n’était pas certain de parvenir à prononcer plus de mots après avoir visualisé leurs deux corps enlacés le temps des photos. Il baissa ensuite son regard sur les mains toujours posées sur ses avant-bras et lui sourit de nouveau, croisant ses prunelles émeraudes « Tout ira bien, tu sais. Je suis là ». Il inspira profondément et ajouta « Tu es prête ? ». Le politicien pouvait sentir son regard devenir plus intense, tandis que dans un geste lent et mesuré, il saisit les mains d’Angelica pour les poser sur son torse, sans se douter que par ce geste, elle pourrait suivre les battements saccadés de son cœur. Ensuite, il plaça ses mains sur sa taille, et les laissa glisser dans une caresse jusqu’à ses hanches, et vint placer son front contre le sien. Derrière son objectif, Dean n’avait pas conscience de la maitrise dont il devait faire preuve en cet instant. « C’est bon ! » précisa ce dernier, leur permettant de changer de pose.

Déglutissant avec lenteur, son regard constamment accroché au sien, Edward laissa glisser ses doigts jusque dans l’eau pour se saisir de ses cuisses, l’invitant à nouer ses jambes autour de sa taille. Pense à Nonna. Pense à Nonna, répéta de nouveau la petite voix intérieure. Toutefois, il n’avait pas envie de penser à sa grand-mère ou à quiconque autre que la femme qui venait de nouer ses bras autour de son cou. Il vint nicher son visage contre sa peau, déposant ses lèvres tout contre avec douceur, et quand ils reçurent le signal du photographe, la fit basculer jusqu’à ce que son dos touche la surface de l’eau, faisant glisser ses mains dans le creux de ses bras, tout en maintenant son visage niché dans son cou. « Parfait ! J’ai tout ce qu’il me faut ! » précisa Dean au loin. Le politicien l’aida alors à reposer pieds au sol, sans pour autant se détacher d’elle, ses yeux bleus s’accrochant à l’émeraude de ses prunelles, son cœur battant à tout rompt dans sa poitrine, et murmura de manière peu audible « Il a tout ce qui faut… » comme si c’était une information primordiale, alors qu’il s’en moquait éperdument.


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Le moment de complicité et de magie était terminé. Dean avait décidé de venir faire éclater la bulle dans laquelle ils s’étaient laissés enfermer. Le retour sur terre fut assez brutal, et déstabilisant. Angy dût prendre sur elle en voyant Edward retirer son t-shirt à la manière d’un mannequin. Comment un corps pareil pouvait il si peu servir… ni être vu ainsi… Elle se gifla mentalement… non mais sérieusement c’était quoi ces pensées ! ça n’allait pas du tout l’aider à aborder la suite du shooting de façon sereine et désintéressée. Angie décida de donner ses premières consignes. Ses mains sur elle, pas de souci. Elle savait parfaitement qu’il n’allait pas se saisir de sa poitrine à peine main ou y plonger la tête. Pour ce qui était de s’embrasser… Elle décida que c’était non. « -comment ça ? Si, je suis certaine que y a une close comme ça. » avait elle répondu en fronçant les sourcils. Dans sa tête, elle formula une question comme : pourquoi tu veux m’embrasser ?  mais elle se mordit la langue pour éviter une fois encore de poser une question dont elle ne souhaitait pas une vraie réponse. Non, elle ne voulait pas savoir. Elle émis un petit rire autant amusé que nerveux et s’entendit répondre un : « -oui totalement, j’ai pas envie que ça se passe comme ça. » elle ferma ensuite les yeux, prenant conscience de ce qu’elle venait de dire. « -s’il te plait ne dit rien de plus. On s’en s’embrasse pas, c’est tout. » vraiment c’était mieux s’il ne s’étendait pas plus sur le sujet.

Elle enchaina avec son consentement à lui, hocha la tête Elle finit par lui sourire alors qu’il tentait de la rassurer. « -je sais… je sais pas pourquoi ça me stress comme ça d’un coup. C’est pas comme si on l’avait pas déjà fait. » mais merde elle allait arrêter ! « -des photos. Enfin t’avais compris. Bref… » elle eut la sensation de ne plus parvenir à respirer lorsqu’il prit ses mains pour les placer. Elle déglutit. Sous ses muscles, elle sentait son cœur battre. Elle n’était pas la seule mal à l’aise, c’était rassurant. Angy ferma rapidement les paupières, essayant de penser à autre chose qu’aux mains d’Edward qui caressait sa peau. Ne pouvait il pas juste les poser ?! Elle recula avec lenteur son visage lorsque Dean déclara que la prise était bonne. Son regard s’accrocha à celui d’Edward. Elle lui sourit puis le laissa la hisser contre lui, nouant ses jambes autour de sa taille. Ses bras autour de son cou, Angy remonta une de ses main sur l’épaule musclé l’autre dans ses cheveux mouillé, alors qu’elle espérait qu’Edward ne pouvait pas entendre son cœur battre comme un dingue dans sa poitrine. Et voilà qu’il embrassait sa peau… il voulait sa mort ou quoi ?!

Encore une pause et ça serait finit. Lorsqu’elle reposa ses pieds sur les sables, une voix lui disait : détache toi ! Mais elle était incapable de bouger. Son cerveau eut une déclic et elle répondit : « -j’ai cru que tu allais me laisser tomber. » son sourire joyeux revenant sur le devant de la scène. « -ça aurait été drôle. Viens… sortons de l’eau , je vais finir aussi bleu que le maillot de bain. » elle évita avec soin de le prendre par la main. Une fois sur le sable, on leur donna des serviette et ils purent se réchauffer un peu. « -je suppose que tu rentres avec Edward ? » demanda Flynn en venant les saluer, tendant une main au politicien pour lui serrer. « -ravie de te revoir. » Elle se tourna vers Edward et ajouta : « -on a encore quelques trucs à régler, si tu veux rentrer tu peux… Flynn me déposera. »


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